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anti-national - Page 796

  • [COMMUNIQUÉ] NOUVELLE AGRESSION DES "ANTIFÂ" CONTRE L’ACTION FRANÇAISE PROVENCE : UNE FEMME ENCEINTE MATRAQUÉE !

    Ci-dessous le communiqué de L’Action française Provence sur la lâche agression des nervis "antifâ", qui n’ont pas hésité, avec le courage qui les caractérise, à "intervenir" après le départ de la majorité des participants à la réunion et à matraquer les femmes, dont une est enceinte.

  • La Bombe de Wikileaks dont vous n'avez jamais entendu parler (VF)

  • Islam en France : c'est le moment de dire la vérité

    Entretien de 40 minutes de Philippe de Villiers sur TV Libertés. Il y affirme que la France est en train de perdre son identité. Pour lui, si rien n’est fait, la voix du “muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs”. Philippe de Villiers met de côté son métier d’entrepreneur ou sa passion pour la politique, il se fait lanceur d’alerte. L’auteur a eu accès à de nombreuses informations qu’il divulgue pour que les Français sachent et prennent conscience de l’extrême gravité de la situation.

    Dénonçant une classe politique achetée (comme l'indique un autre livre récent) et qui pratique l’intelligence avec l’ennemi… montrant du doigt des media coupables d’instituer un couvre feu moral, l’auteur parle de remigration, de partition, propose d’inventer un nouveau roman national et lance un cri du coeur : la France doit rester la France. Elle n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’Islam. 

    Michel Janva

  • EXCLU - Sarkozy à Assad : « On va mettre la Syrie à feu et à sang ! » (Rochedy)

  • La Fondation Jérôme Lejeune à l’ONU : Les personnes trisomiques ont le droit de vivre !

    Communiqué de la Fondation :

    "« Le dépistage prénatal n’est pas la solution ; accepter et aider les personnes porteuses de trisomie 21 est la solution ! Elles ont le même droit que les autres d’exister. » vient de défendre la Fondation Jérôme Lejeune le mercredi 5 octobre applaudie à l’ONU.

    De façon concomitante, dans le cadre de l’Examen Périodique Universel, la Fondation et Downpride, association hollandaise défendant les personnes atteintes de Trisomie 21,  ont déposé une déclaration écrite dénonçant l’introduction du DPNI dans le système de santé public néerlandais. Elles y rappellent le danger de l’introduction du test de Dépistage Prénatal Non invasif (DPNI) alors qu’en France déjà 96% des fœtus diagnostiqués trisomie 21 sont avortés.

    Ce nouveau test, à partir d’une prise de sang analyse des bouts d’ADN du bébé présents dans le sang de la mère. Aujourd’hui, son but n’est pas de soigner, mais de détecter la trisomie 21.

    En France, la Haute autorité de santé (HAS) a rendu en novembre 2015 un avis favorable à l’intégration du DPNI dans le parcours de dépistage remboursé par les pouvoirs publics. Aux Pays-Bas, le ministre de la santé a annoncé que le DPNI serait mis à disposition des femmes enceintes à partir du 1er avril 2017, et remboursé en grande partie par la sécurité sociale. Comme le dénonce Renate Lindman, présidente du collectif Downpride :

    « à l’inverse, peu de programmes de recherche existent pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de trisomie 21. C’est un signal clair de la société qui a choisi la solution de l’exclusion prénatale ».

    Lors de son intervention la Fondation Jérôme Lejeune est venue rappeler sa mobilisation internationale depuis janvier 2016 sous la forme d’une pétition Stop Discriminating Down qui formule trois exigences aux Etats :

    - Arrêter de proposer par les pouvoirs publics le dépistage prénatal systématique des enfants porteurs de trisomie 21, visant délibérément à la sélection de fœtus « sains »

    - Réglementer l’introduction du dépistage génétique prénatal, sur la base des principes définis dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, dans la Convention d’Oviedo (articles 11 et 12) et dans la Charte européenne des droits fondamentaux de l’Union européenne (articles 2, 3, 21 et 26).

    - Permettre l’utilisation des tests génétiques uniquement pour améliorer les soins et le bien-être, et non pour discriminer les personnes en fonction de leurs prédispositions génétiques.

    Personne ne devrait avoir à défendre son droit de vivre en raison de son patrimoine génétique.

    Pour le dire avec nous, signez la pétition Stop Discriminating Down !"

    Michel Janva

  • Police : troisième « nuit debout »

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    Insultés, caillassés, tirés comme des lapins, brûlés vifs dans leur voiture par des « sauvageons »… Après deux nuits de manifestations spontanées – lundi sur les Champs-Elysées, mardi à Paris et en province –, les policiers se sont de nouveau rassemblés mercredi soir dans plusieurs villes de France pour dire leur ras-le-bol et exprimer leur soutien à leurs collègues de Viry-Châtillon.

    Ainsi, à Paris, quelque 500 policiers se sont rassemblés pour une troisième « nuit debout » place de la République, au pied de la statue. Un rassemblement dans le calme au cours duquel ils ont entonné la Marseillaise et réclamé, du moins pour certains, la démission de leur ministre de tutelle, Bernard Cazeneuve, tandis que d’autres se sont rendus à pied devant l’hôpital Saint-Louis où est hospitalisé leur collègue grièvement brûlé le 8 octobre à Viry-Châtillon, après avoir été empêchés de rentrer sur la place Beauvau par des gendarmes.

    Idem à Toulouse, où une centaine de policiers se sont réunis devant le monument aux morts, et à Bordeaux où, là aussi, une bonne centaine de policiers se sont rassemblés devant le palais de justice.

    Tandis qu’ils manifestaient une nouvelle fois leur colère, d’autres policiers étaient visés par une quarantaine de « jeunes » armées de cocktails molotov à Vénissieux, une banlieue particulièrement sensible de Lyon.

    Des policiers oubliés par un gouvernement et une justice en pleine déliquescence qui préfèrent saluer le « sang froid » des policiers, invités à ne surtout pas se servir de leurs armes quitte à se faire lyncher ou tuer sans riposter, plutôt que de mettre hors course les racailles. Des policiers qui « veulent une réponse pénale aux agressions et à la violence dont ils sont victimes ».

    Des policiers qui ne lâchent rien – malgré le rappel à l’ordre du ministre de l’Intérieur et de leur patron Jean-Marc Falcone, directeur de la police nationale – et qui ont annoncé la tenue d’une « marche de la colère policière et citoyenne » le mercredi 26 octobre.

    Une manif annoncée qui ne laissera sans doute pas une nouvelle fois de « surprendre » le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui, ne sachant plus comment sortir du pétrin le lamentable gouvernement hollandais, dénonce, on croit rêver, « la patte » du Front national derrière les manifestations de policiers qu’il n’hésite pas à qualifier de « hors-la-loi ». Pour lui, le Front national, Marine Le Pen en tête, « se camoufle dans la situation politique » et « manie tout à la fois la banalisation et l’excitation ». Faut quand même oser.

    Réponse de Florian Philippot à ce médiocre et minable diagnostic de Jean-Christophe Cambadélis : « Pas de “patte” du FN mais un soutien sans faille face à un pouvoir qui a manifestement de la haine pour la police. »

    CPierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 21 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/201157/police-troisieme-nuit-debout/#more-201157

  • Jean-Frédéric Poisson victime du lobby-qui-n’existe-pas

    Hier, nous nous inquiétons de la liberté d’expression qui se réduit tous les jours un peu plus, et la judiciarisation toujours plus pesante du débat public. Hélas, chaque jour qui passe vient nous apporter de nouvelles preuves. Cette fois-ci, c’est un candidat à la primaire Les Républicains, parti consensuel s’il en est, qui en a fait les frais. Pourtant, vous allez le voir, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, mais les bâilloneurs sont très susceptibles et il en faut très peu pour les faire sortir de leurs gonds.

    Ainsi, dans une interview dans le cadre de la primaire des Républicains, Frédéric Poisson était invité à donner son opinion sur les élections américaines. Poisson a émis des réserves au sujet d’Hillary Clinton, jusque là, rien que de très normal, mais là où certains voient un scandale, c’est à cause des raisons qu’a fournies Poisson : En effet, ce dernier a jugé «dangereuses pour l’Europe et la France » la « proximité » de la candidate démocrate « avec les super-financiers de Wall Street » et sa « soumission aux lobbies sionistes ».

    Il n’en a pas dit plus, mais c’en est trop pour certains. Plutôt que de réfuter les dires de Poisson avec des arguments et ainsi opposer arguments contre arguments comme cela devrait être dans un débat qui cherche la vérité, un certain lobby a sonné l’hallali : Le CRIF a publié un communiqué jugeant que ces « propos abjects » et « nauséabonds » méritent une « sanction exemplaire » et une « condamnation ferme » de la part de la commission d’organisation de la primaire de la droite et du centre. Pas moins.

    On devrait penser que le parti Les Républicains viendrait en aide à l’un de ses candidats, bassement attaqué par un lobby que l’on n’a pas le droit de nommer car, paraît il, ce lobby n’existe pas. Eh bien, c’est exactement l’inverse qui s’est passé, ce parti se couchant littéralement devant le diktat du lobby-qui-n’existe-pas. Ainsi, Thierry Solère, président de ladite commission, a donné raison au Crif dans la foulée, faisant fi de la neutralité dont il est supposé être. « En tant que député de Boulogne/Boulogne-Billancourt, je condamne avec la plus grande force les propos de Jean-Frédéric Poisson », affirme-t-il, ajoutant que l’expression «lobby sioniste (…) nourrit les thèses conspirationnistes et a un caractère insidieusement antisémite. » Soyons sûrs que les autres candidats à la primaire partagent l’avis de Solère.

    Quant à Poisson, s’il a arrondi les angles (jugeant maladroite la formulation), il n’a pas renié le fond de sa pensée, ce qui est à son honneur.

    http://www.contre-info.com/

  • La liberté d’expression plus que jamais menacée

    Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.

    Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…

    http://www.contre-info.com/la-liberte-dexpression-plus-que-jamais-menacee

  • Haine de la famille, violence : La Manif Pour Tous porte plainte

    Injures, passages à tabac, caillassages de bus, drapeaux brûlés, appels au meurtre, déversements de haine : les opposants à la Manif Pour Tous montrent leur vrai visage.

    6a00d83451619c69e201b8d22e2eec970c-200wi.pngLe Procureur de la République de Paris est saisi. Le Défenseur des Droits pourrait l'être aussi. La Manif Pour Tous assure de son soutien le père de famille passé à tabac devant ses enfants par une bande de militants d'extrême gauche anarchiste ultra-violents. 

    Au lendemain de son succès sur le pavé parisien, La Manif Pour Tous dénonce la violence de la familiphobie et la haine dont les défenseurs de la famille sont victimes, aussi bien sur les réseaux sociaux que physiquement. Ludovine de La Rochère précise :

    « Les militants radicaux LGBT ne cessent de nous insulter en nous qualifiant d'homophobes pour éviter tout débat de fond. Ce scandale dure depuis des années et il doit maintenant cesser ». « La Manif Pour Tous, ce sont des citoyens de tous âges, des familles, qui défilent dans un état d'esprit toujours pacifique, respectueux des personnes et du bien commun (même pas une poubelle renversée en 10 manifestations parisiennes de grande envergure !). Alors ces Français pacifiques, il est facile de leur taper dessus car ils ne répondent pas. Mais maintenant, ça suffit ! »

     Insultes, menaces, appels au meurtre et aux actes terroristes !

    • « Daesh, c'est le moment où jamais »,  
    • « Envie de tous les brûler »,
    • « I have a dream, des centaines de lodens et de trench coats homophobes malmenés le 16 octobre par un gros camion blanc »,
    • « Bonjour bande d'enculés », 
    • « J'ai rêvé que j'assassinais tous les gens de La Manif Pour Tous. Est ce que c'est perturbant ? Non, pas du tout »,
    • « Un attentat prévu pour ceux qui sont à la Manif Pour Tous ? Non, parce que ce serait bien »,
    • « Niquez bien vos mères les reines des putes... »

    .... La liste des insultes, menaces, appel aux meurtres et aux actes terroristes sur les réseaux sociaux est aussi longue qu'inquiétante. Albéric Dumont, coordinateur général de La Manif Pour Tous, explique :

    « Le plus grave est que ce déversement de haine de la part de nos opposants se traduit physiquement par des agressions. Des distributeurs de tracts bousculés, insultés et frappés. Il y a quelques mois, plusieurs condamnations ont été prononcées pour des violences contre nos militants, dont l'une pour un nez cassé et l'autre pour une agression au couteau. Dimanche c'est un père de famille qui a été passé à tabac (voir la vidéo) sous les yeux ses enfants, aux cris de « On va vous pendre bandes de bâtards ! » par une dizaine de militants d'extrême gauche cagoulés qui soutiennent les revendications LGBT ». 

    Le siège du mouvement a également subi des dégradations la nuit dernière. 

    « Que dire de la tentative des Femen de s'exhiber devant les enfants lors d'une manifestation à caractère familial ou bien encore du caillassage de deux bus remplis de manifestants venus de Lorraine pour défendre paisiblement la filiation père-mère-enfant et la famille ».

    Des poursuites ont été engagées contre les Femen et un procès pour « délit d'exhibition sexuelle » doit se tenir le 25 janvier prochain à Paris. Plusieurs autres groupes sont venus faire de la provocation en marge du rassemblement de dimanche et une militante au moins a été interpellée, après avoir porté un coup de poing.

    Me Henri de Beauregard, déclare :

    « Nous avons également saisi le Procureur de la République de Paris pour incitation ou apologie de terrorisme visant La Manif Pour Tous, au titre de plusieurs tweets. Je ne peux pas imaginer que le parquet laisse en appeler à Daesh en toute impunité. S'il le faut, nous saisirons également le défenseur des droits ». 

    Désormais, LMPT est décidée à agir contre ceux qui l'accuseront d'homophobie, qu'il s'agisse de personnalités ou d'inconnus retranchés derrière des pseudos sur les réseaux sociaux. « L'anonymat ou le pseudonymat ne sont pas des garants d'impunité » confirme l'avocat du mouvement. Il y a quelques années, le mouvement avait déposé une plainte à la suite d'une alerte à la bombe, qui avait abouti à l'identification d'un militant LGBT. Dimanche dernier, lors d'un débat télévisé sur le scandale de la GPA, l'avocate Caroline Mécary a dérapé en traitant d'« homophobes » tous les présidents des partis politiques des droites et du centre.

    Ces insultes et dérapages à répétition entretiennent un climat de haine sur les réseaux sociaux qui se traduit ensuite dans la vie réelle. Trop, c'est trop !  La Manif Pour Tous invite d'ailleurs ceux qui seraient sceptiques à faire l'expérience de défendre la famille et la filiation père-mère-enfant sur Twitter : ils se rendront vite compte des torrents de haine et menaces à leur encontre. 

    Ludovine de La Rochère déclare :

    « Notre mouvement défend la famille et le droit pour chaque enfant d'avoir un père et une mère. Nous en avons assez d'être caricaturés, insultés, menacés et agressés. Nous sommes un mouvement pacifiste, enthousiaste, ambitieux et déterminé. Nous n'avons jamais insulté quiconque. En revanche, nos opposants vont jusqu'à souhaiter un acte terrorise à notre encontre, dans l'indifférence du parquet et des professionnels habituels de l'indignation ! Cela doit cesser car ces attaques violentes et virulentes dont nous sommes victimes au quotidien n'ont pour seul objectif que d'éviter le débat de fond. Notre engagement est aussi en faveur de la démocratie et des libertés individuelles, à commencer par la liberté d'expression ». 

    Vous trouverez des tweets et photos sur cette page.

    Par ailleurs, le journal LGBT Yagg a justifié dans un article la violence à l'encontre de La Manif Pour Tous, estimant que ce n'est que justice :

    "Le jour où la "Manif pour tous" et ses amis cesseront de combattre les gays, les lesbiennes, les bi.e.s, et les personnes trans et de défiler contre leurs droits, le jour où les personnalités publiques ouvertement gays comme Ian Brossat, Jean-Luc Romero ou bien d'autres ne recevront plus de menaces de mort sur les réseaux sociaux en raison de leur orientation sexuelle, les insultes à l'égard de Christine Boutin, Ludovine de la Rochère et leurs amis disparaîtront comme par magie.[...] En attendant, souffrez [...] que le boomerang revienne parfois à la figure de ceux qui l'envoient."

    Le lobby LGBT est d'essence totalitaire, c'est un fait.

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html