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anti-national - Page 828

  • Ni Peillon, ni Najat : Liberté éducative pour les parents !

    La nomination de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de la prétendue Education nationale – qui n’est plus ni éducative, ni nationale ! – est une nouvelle et insupportable provocation pour les familles qui luttent depuis des mois contre la propagande en faveur de l'idéologie du genre à l’école.

    Nous entendons, depuis cette nomination, bien des voix appelant le Président de la République et le Premier ministre à revenir sur cette nomination.

    Il est vrai que Najat Vallaud-Belkacem est la parfaite incarnation de cette propagande scandaleuse (et d’ailleurs hypocrite, puisqu’après avoir vanté en août 2011 cette idéologie du genre dans le quotidien « 20 minutes », Mme Vallaud-Belkacem a eu l’incroyable culot de prétendre deux ans plus tard que l'idéologie du genre… n’existait pas !). Elle a, en particulier, activement promu les « ABCD de l’égalité », auxquels son prédécesseur avait heureusement renoncé devant la levée de boucliers des parents.

    Malheureusement, s’il est parfaitement vrai que l’idéologue Najat Vallaud-Belkacem ne peut, en aucune façon, diriger le système scolaire français, il n’est pas vrai que sa démission suffirait à assainir ce dernier et à le mettre au service des élèves et non au service de la propagande socialiste.

    C’est le monopole éducatif lui-même qui est profondément néfaste. D’une part, parce qu’il viole la liberté éducative des parents. Et, d’autre part, parce qu’il est un gouffre sans fond dans lequel l’Etat socialiste engloutit chaque année des dizaines de milliards pour des résultats toujours plus catastrophiques.

    Il n’existe qu’une seule solution pour casser ce monopole archaïque et donc protéger des enfants innocents du matraquage politico-idéologique de Mme Vallaud-Belkacem et de ses amis : rendre aux parents la liberté financière de choisir l’établissement scolaire qui correspond le mieux aux besoins et aux désirs de leurs enfants.

    C’est pourquoi nous exigeons, non pas seulement la révocation de Najat Vallaud-Belkacem, mais bel et bien le chèque scolaire, solution de justice, d’efficacité, d’économie et de liberté. Et, comme nous doutons fort de la volonté réformatrice de M. Hollande en cette matière éducative, nous demandons à tout le moins aux partis d’opposition de défendre cette réforme vitale pour sortir la France du totalitarisme prétendument progressiste.

    Signer la pétition.

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    Le Salon Beige

  • Connaisssez-vous Martine Reicherts, Jacek Dominik, Ferdinando Nelli Feroci et Jyrki Katainen ?

    Ce sont les commissaires européens par intérim, qui remplacent les commissaires devenus députés européens jusqu’à la mise en place de la prochaine Commission.

    Nos nouveaux patrons, non élus.

    Michel Janva

  • 10 000 avortements supplémentaires pratiqués l'an dernier

    Alors que le nombre d'avortements était stable en France depuis 2006, il est reparti à la hausse en 2013, selon un rapport de la Direction des Etudes et Statistiques du ministère de la Santé (Drees) publié en juin. Le nombre d'enfants tués dans le ventre de leur mère a augmenté de 4,7% par rapport à 2012, passant de 207 000 avortements à 217 000.

    Selon la Drees, cette augmentation morbide a été causée par l'affaire sur les moyens de contraception  et la totale gratuité des avortements depuis le 31 mars 2013. Ou encore l'augmentation en 2013 de la rémunération des établissements hospitaliers qui pratiquent l'avortement.

    Pour certains, c'est la méthode naturelle qui serait la cause de cette croissance, alors même qu'une étude précédente montrait que la plupart des femmes qui avortent sont sous contraception. Le fait est que l'avortement étant gratuit, il est devenu un moyen de contraception.

    Michel Janva

  • France, paradis des militants LGBT du monde entier : nouvelle conséquence de la loi Taubira

    C’est une conséquence de l’adoption par la France de la loi Taubira autorisant le mariage « pour tous ». Hier, mercredi 9 juillet, le Conseil d’Etat a sommé le gouvernement de délivrer sous vingt-quatre heures un visa à un homosexuel sénégalais vivant au Maroc pour qu’il puisse se marier samedi à Creil (Oise) avec un homme français.

    Le Conseil d’Etat considère que le refus de visa porte « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale de se marier », puisque le Maroc n’autorise pas les unions entre personnes de même sexe.

    La loi dite Taubira, du 17 mai 2013, ouvrant le mariage aux personnes de même sexe, prévoit que si l’un des époux est ressortissant d’un pays interdisant ce type d’union, le mariage ne peut pas être célébré par les autorités diplomatiques et consulaires françaises – comme c’est fréquemment le cas pour les couples hétérosexuels – mais qu’il doit avoir lieu en France.

    Le Sénégalais en question, résidant à Casablanca, avait entamé des démarches pour épouser son amant français peu après l’adoption de la loi Taubira. Le 26 mai, il avait déposé une demande de visa court séjour au consulat de Casablanca et avait essuyé un refus le 16 juin. Bien informé des procédures, il avait alors fait appel en urgence devant le tribunal administratif de Nantes, qui avait rejeté sa demande, et avait ensuite saisi le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative.

    Le ministère de l’intérieur avait justifié le refus de visa en évoquant « les antécédents migratoires » du ressortissant sénégalais, déjà venu en France sans papiers en 2010. Le ministère a également mis en doute « la sincérité de l’union »entre les deux hommes, qui ont trente-cinq ans de différence d’âge.

    Le Conseil d’Etat a rétorqué que les deux hommes partageaient un appartement à Casablanca, que le requérant sénégalais avait un emploi stable, et qu’il n’avait pas l’intention de s’installer en France – ben tiens, on en reparlera plus tard. Le ministère de l’intérieur a été condamné à délivrer un visa sous vingt-quatre heures et à verser 5 000 euros à l’homosexuel sénégalais.

    Voilà une jurisprudence qui va faire parler d’elle et va servir de nouveau prétexte migratoire pour faux et vrais militants LGBT du monde entier.

    http://medias-presse.info/france-paradis-des-militants-lgbt-du-monde-entier-nouvelle-consequence-de-la-loi-taubira/12629

  • L'idéologie du genre au CAPES

    Comme chaque année, des milliers d’étudiants ont tenté de décrocher le sésame pour accéder aux fonctions d’enseignement, le fameux CAPES. Une candidate au concours, lectrice du Salon Beige, dénonce un recrutement écœurant qui ne laisse que peu de place à l'idéal enseignant. Description d’un concours plus que contestable :

    Le jury du CAPES détermine à l’avance un programme de révisions sur trois « questions » d’histoire, et trois « questions » de géographie (les sociétés coloniales des années 1850 aux années 1950, La France en villes…), auxquelles s’ajoute un module « Agir en fonctionnaire de l’état de façon éthique et responsable ».

    En effet, le référentiel des Dix Compétences du Professeur étudié dans le cadre de ce module hiérarchise les compétences exigibles du futur professeur certifié :

    1. Agir en fonctionnaire de l’Etat et de façon éthique et responsable
    2. Maîtriser la langue française pour enseigner et communiquer
    3. Maîtriser les disciplines et avoir une bonne culture générale
    4. Concevoir et mettre en œuvre son enseignement
    5. Organiser le travail de la classe
    6. Prendre en compte la diversité des élèves
    7. Evaluer les élèves
    8. Maîtriser les technologies de l’information et de la communication
    9. Travailler en équipe et coopérer avec les parents et les partenaires de l’école
    10. Se former et innover

    Il est déjà curieux de voir qu’au vu de cette hiérarchie, il est plus important pour l’Etat de disposer de bons petits fonctionnaires obéissants que d’enseignants maîtrisant la langue française. Mais le scandale va plus loin.

    Lors des oraux d’admission au CAPES, les candidats présentent deux épreuves : la première dite de « leçon » (30 minutes d’exposé sur un sujet tiré au sort suivies de 30 minutes d’entretien) et la seconde dite « épreuve sur dossier ».

    Cette épreuve sur dossier se déroule en deux temps :

    • 20 minutes de réflexion et analyse sur un sujet en histoire ou en géographie (selon la matière non présentée à la leçon), à partir de trois documents (suivies de vingt minutes d’entretien)
    • 10 minutes de réflexion et analyse sur un quatrième document se référant à cette fameuse compétente « agir en fonctionnaire de l’état de façon éthique et responsable ».

    Cette année, le jury a poussé l’idéologie ambiante à son paroxysme. Le sujet posé à de nombreux candidats le lundi 16 juin posait ainsi deux questions à l’épreuve sur dossier en géographie :

    • L’étude des discriminations, notamment de sexe et de genre, est-elle pertinente pour aborder les conflits en géographie ?
    • En quoi les luttes contre les stéréotypes filles-garçons participent-elles à régler les situations conflictuelles.

    Outre l’absence de lien direct avec les compétences en géographie des futurs enseignants, les documents à l’appui étaient d’une rare objectivité : préface d’un ouvrage Genre et construction de la géographie, extrait du rapport remis en janvier 2014 à Najat Vallaud-Belkacem pour la lutte contre les stéréotypes du genre…

    C’est donc officiel. Le changement de civilisation promis par Mme Taubira et le changement des mentalités voulu par M. Peillon passent par l’école. Ecole dans laquelle les professeurs ne seront cette année sélectionnés qu’en fonction non pas de leurs compétences disciplinaires et pédagogiques, mais bien de leur adhésion à une idéologie d’Etat. 

    Michel Janva

  • La dénaturation du mariage ne leur suffit pas : LGBT en veut toujours plus

    Le délégué d'Homosexualité et socialisme (HES), Sébastien Kinach, annonce qu'il quitte le Parti socialiste :

    «ça fait longtemps que je l'envisage. Les dernières prises de position du gouvernement et le résultat dont a été engagé le débat sur le Mariage pour tous m'y ont poussé. En faisant des concessions à un électorat qui ne votera jamais pour lui, le gouvernement a perdu des voix à gauche. Par ailleurs, les défaites aux municipales et aux Européennes n'ont pas fait réagir le parti. Personnellement je ne pouvais plus faire le grand écart entre le PS et Homosexualité et socialiste.»

    «Il reste beaucoup de travail à faire, notamment autour du projet de loi sur la famille. Nous serons vigilants et force de proposition. Il y a aussi des questions qui ne sont pas réglées ou soumises à interprétation comme le don du sang ou l'adoption».

    Michel Janva

  • Mariage : la loi Taubira a créé dans la société une fracture sociale

    De Tony Anatrella dans Valeurs Actuelles :

    "[...] La loi du “mariage pour tous” a créé dans la société une fracture sociale et une confusion psychique sur le sens du couple générationnel et de la filiation. Parler ici de “couples” de femmes, “d’épouses” et de “mères” montre que l’on ne sait plus de quoi l’on parle en attribuant à un duo de même sexe les caractéristiques empruntées par mimétisme au couple formé par un homme et une femme. Ces derniers étant les seuls à former un couple et une famille, même si la loi civile ose dire le contraire. L’un comme l’autre sont de structures différentes, et voler le vocabulaire de l’un pour l’adapter à l’autre est une duperie psychologique et sémantique. J’ai souvent repris la formule de Camus à ce sujet qui affirme que « mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde ». La loi civile est ainsi un facteur de pathologies sociales qui nous conduisent à la violence.

    En réalité nous assistons à une manigance qui consiste à valider l’idée que l’enfant peut se “faire” sans sexe, puisque deux personnes de même sexe en sont incapables. En effet, on ne conçoit un autre qu’avec un autre et non pas avec du même. Il faut donc forcer la réalité pour montrer qu’il y a d’autres voies possibles et qu’il revient à chacun, selon les concepts du genre, de se construire soi-même et d’inventer la famille. De cette façon, à l’image des tribus anciennes qui, faute d’avoir une progéniture pour se survivre, pratiquaient le rapt des enfants, nous réactualisons le même phénomène par la “prise” de produits biologiques masculins pour se donner une filiation narcissique. On s’étonnera par la suite que, dans cette confusion psychologique et sémantique, des adultes s’engagent dans la recherche de leur origine à travers la généalogie et tentent de résoudre leurs troubles de la filiation. Le rapt des enfants au nom de l’unisexualité nous plonge au coeur du déni de ce qui nous humanise."

    Michel Janva

  • COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Le Printemps Français refuse au parlement toute légitimité pour créer un nouveau statut parental !

    Le Printemps Français s’est opposé et continue de s’opposer à la loi Taubira et à la prétention du législateur à créer un mariage entre des personnes de même sexe, au nom de l’évidence biologique qui institue le mariage.

    De même, le Printemps Français s’oppose à la prétention du législateur à créer un statut de tiers-parent, pour soit-disant donner des droits à la personne qui vit avec l’un des deux parents de l’enfant. Il est totalement faux de prétendre que cette proposition de loi réponde à une nécessité. Elle n’a qu’un objectif : faire rentrer dans la loi un statut du beau parent au profit des couples homosexuels. Cette loi, si elle est votée, ouvrira demain à toutes les dérives par la simple adjonction de droits nouveaux à ce que le législateur aura fait.

    La loi est faite pour protéger l’enfant, pas pour donner satisfaction aux fantasmes des adultes. En instaurant juridiquement une confusion volontaire entre les parents et le tiers qui vit avec l’un d’eux, le projet socialiste et écologiste ne vise rien d’autre qu’à l’instauration légale de l’homoparentalité, sous couvert de résoudre des problèmes qui ne se posent que pour eux. En effet, la loi dispose déjà des moyens d’organiser la vie quotidienne entre des parents séparés pour préserver les intérêts de l’enfant. Dans cette proposition de loi, une fois de plus, ce sont les intérêts des adultes que l’on cherche à promouvoir au détriment de l’enfant.

    Le Printemps Français demande aux parlementaires de cesser de mentir aux français. La cause de la famille et des enfant mérite mieux.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?COMMUNIQUE-DE-PRESSE-Le-Printemps