culture et histoire - Page 1650
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La vie des gallo-romains
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Les professeurs ne sont jamais tenus responsables des résultats de leurs élèves !
Entretien avec Anne Coffinier
Les professeurs français sont parmi les moins respectés d’Europe. C’est ce que révèle l’index mondial du statut des professeurs 2013 réalisé par la fondation Varkey GEMS. L’étude, menée dans 21 pays développés, s’intéresse à la perception du métier d’enseignant dans la société. Anne Coffinier, directeur général de la Fondation pour l’école, répond aux questions de Boulevard Voltaire.
Les professeurs français sont, selon cette étude, les moins respectés d’Europe. Qu’en pensez-vous ?
Cela ne m’étonne pas. Cette étude a le mérite de mettre le doigt sur un des facteurs principaux de la crise de l’école en France : la dégradation de la condition enseignante. Ne vous y méprenez pas : je ne vais pas vous dire que les professeurs ne sont pas assez payés. Ils le sont un peu moins qu’ailleurs en Europe mais je ne crois pas que ce soit le principal problème. Ce qui est en cause, c’est l’image du professeur. Depuis mai 1968, la place du professeur dans la société n’a fait que se dégrader. L’usage du terme d’« enseignant » montre à l’envi que le professeur est descendu de son piédestal, au terme d’un processus mi-subi mi-désiré.
Les professeurs seraient-ils responsables de leur mauvaise image ?
En adhérant à une certaine pédagogie dominante qui veut faire d’eux des animateurs sur un pied d’égalité avec les élèves plutôt que des professeurs qui, du fait de leur savoir, sont clairement dans une position de supériorité face à l’élève, oui certainement.
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Meeting de l'Action Française 2014 : "La République est une prostituée !"
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FRAKASS - Le Chant Des Corbeaux
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[PARIS] MERCREDI 29 JANVIER 2014 : JEAN SEVILLIA AU CERCLE DE FLORE
A Paris, mercredi 29 janvier à 19h00, ne manquez pas le nouveau Cercle de Flore.
Jean Sevillia, écrivain, rédacteur en chef du Figaro Magazine, viendra présenter son dernier ouvrage " Histoire passionnée de la France"
VENEZ NOMBREUX À CETTE SOIRÉE EXCEPTIONNELLE !
Mercredi 29 janvier 2014, à 19h00
10 rue Croix des Petits Champs 75001 Paris, Escalier A, 2 ème étage
M° Palais-Royal
PAF : 3€ , gratuité pour les adhérents.
Pour ceux qui le désirent, Jean Sevillia signera son ouvrage à la fin de sa conférence.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?PARIS-MERCREDI-29-JANVIER-2014
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Contes et légendes du communisme français : la légende thorézienne
A une telle école, les dirigeants communistes français allaient à leur tour se distinguer. Autoproducteurs de leur propre histoire, celle-ci se confondit souvent avec des contes et légendes que l’on raconte le soir aux enfants pour les émerveiller.Le premier de ces contes fut publié en 1937 et diffusé à grande publicité. Il s’agissait de Fils du peuple, « autobiographie » signée du secrétaire général du PCF, Maurice Thorez, dont on apprit dans les années 1970 qu’elle avait été rédigée par le critique littéraire de L’Humanité, Eugène Schkaf – un fils de grand bourgeois qui écrivait sous le pseudonyme de Jean Fréville et qui n’avait pas manqué de laisser sa griffe de nègre dans un paragraphe ad hoc connu des initiés.Thorez y était présenté comme un ouvrier modèle venu naturellement au communisme. En réalité, après avoir épousé la nièce du secrétaire de la fédération communiste du Pas-de-Calais, il avait été propulsé à la direction de cette fédération et était devenu permanent du PCF à 23 ans. Repéré par le service des cadres de l’Internationale communiste, il avait alors connu une promotion foudroyante, facilitée par ses capacités politiques et sa souplesse d’échine à l’égard de Moscou : membre du comité central puis du bureau politique à 25 ans, et secrétaire général dès 1930, poste qu’il occupa jusqu’à la veille de sa mort en 1964. Bref, un remarquable itinéraire d’apparatchik stalinien.Plus récemment, grâce à l’ouverture des archives de l’Internationale communiste après l’implosion de l’URSS, on apprit que si Thorez était, dans les années 1930, secrétaire général en titre, il était en fait cornaqué en permanence par un juif slovaque, cadre supérieur de l’IC, Eugen Fried, qui avait la haute main sur la ligne politique, le choix des hommes et le contrôle de l’organisation. C’est en réalité le tandem Fried-Thorez qui avait dirigé le PCF entre 1931 et 1939.Stéphane Courtois, Mythes et polémiques de l’histoire
http://www.oragesdacier.info/2014/01/contes-et-legendes-du-communisme.html
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Dédicace à Paris
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« Banquet patriotique » à Paris
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Europa Nostra - Mon berry
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Camel Bechikh à l'AF : "Le socle des valeurs communes en France est celui du catholicisme"