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culture et histoire - Page 809

  • La fierté blanche dans le développement du monde

    "L'essentiel de la pression pour la construction de chemins de fer en Inde est venu de Londres dans les années 1840. Pendant un siècle, les politiques de base et la gestion finale des chemins de fer indiens ont été émises à partir de Londres."

    Par Ricardo Duchesne

    Nous offrons ici à nos lecteurs une traduction en français de cet article paru le 3 juillet 2018 sur Council of European Canadians. Texte original en anglais de Ricardo Duchesne (photo ci-dessous), sociologue, professeur à l’Université de New Brunswick.

    Les Blancs sont la seule race dont il est interdit d’avoir de la fierté envers leurs ancêtres. Des millions d’étudiants blancs à travers l’Occident se font dire quotidiennement que leur histoire est une litanie de crimes, tandis que les immigrants étrangers se font dire d’être fiers de leur héritage et de croire que sans le racisme blanc et l’exploitation impériale, leur culture se serait épanouie au-delà de tout ce que l’Occident a vu.

    Lire la suite sur grandfacho.com

  • Zoom : TV Libertés à la découverte de Belgrade et de la Serbie

    Nicolas de Lamberterie s’est rendu en Serbie et plus particulièrement à Belgrade à l’occasion d’une conférence sur le potentiel touristique de la Serbie organisée par Sladjana Novakovic, directrice exécutive de Dest Travel et infatigable promotrice du tourisme en Serbie pour le public francophone. Ce reportage fait découvrir aux téléspectateurs de TV Libertés une nation profondément attachante, qui va de l’avant malgré la guerre injuste et cruelle qui lui a été faite.

    Avec les commentaires d’Alexis Troude, spécialiste des Balkans et auteur du premier guide touristique paru en langue française sur la Serbie-Monténégro, découvrez Belgrade de jour comme de nuit, avant de survoler les autres régions de la Serbie : Novi Sad et la Voïvodine, les monts Fruška gora et bien d’autres lieux encore.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/24/24488/zoom-tv-libertes-a-decouverte-de-belgrade-de-serbie

  • Camp Maxime Real del Sarte Université d'été 2018

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    150 nuances de Maurras : des repères pour le XXIe siècle

    Cent cinquante ans après la naissance de Charles Maurras, la France a connu de nombreuses mutations, le contexte et les enjeux auxquels notre pays est confronté ont bien évidemment changés. Pour autant, demeure le souci du bien commun et de l’homme dans toutes ses dimensions.

    Le rôle de l’Action française n’a jamais été de réciter un catéchisme, mais bien plutôt de réfléchir aux conditions d’un redressement. Face aux défis que notre époque impose (Union européenne, PMA/GPA, immigration, écologie, question sociale etc.), la pensée maurrassienne fournit un certain nombre de repères.

    Le cinquantième anniversaire de Mai 68 nous offre également l’occasion d’un regard rétrospectif sur une époque charnière dans la rupture anthropologique, qui a accouché de multiples velléités de transgression de la nature humaine (antispécisme, transhumanisme, etc.), qu’il nous importe de défendre comme condition du politique.

    Bénéficiez d'un tarif préférentiel
    pour toute inscription avant le 31 juillet !

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    Conférences 

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    Vous ne pouvez participer à notre camp d'été ?

    Permettez à un jeune d'y prendre part !

    La génération qui vient a besoin d'un enseignement solide, d'une formation continue pour décrypter l'actualité, s'engager dans le débat et servir la cité. 
    Avec 120 euros vous permettez à l'un de nos jeunes de partager avec ses camarades une semaine de formation exigeante et complète.

      J'aide un jeune  

    CMRDS : du 19 au 26 août

    Camp de formation Maxime Real Del Sarte, pour étudiants, lycéens et jeunes travailleurs (15-35 ans)
    Conférences magistrales, cercles d'étude, ateliers pratiques, sport et camaraderie !

    Tarif préférentiel pour toute inscription avant le 31 juillet :
    - 100 euros (adhérents)
    - 130 euros

    Tarif normal pour les inscriptions à partir du 1er août :
    - 120 euros (adhérents)
    - 150 euros

    Il vous est également possible de ne venir que quelques jours : 25 euros la journée

    UDT le 25 août

    Université d’Été de l'Action française, ouverte à tous :
    25 euros 

    Informations pratiques

    - A proximité de Roanne (gare SNCF à 5 kilomètres, navettes organisées)
    - Arrivée souhaitée entre 15h et18h le dimanche 19 août
    - Départ possible entre 9h et 13h le dimanche 26 août

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    Action française

    10, rue Croix-des-Petits-Champs

    75001 Paris

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Parution du Cahier d'Histoire du nationalisme sur Oswald Mosley : UN ENTRETIEN AVEC RÉMI TREMBLAY, SON AUTEUR, SUR EUROLIBERTÉS

    753398205.2.jpgSource EuroLibertés cliquez ici

    « Bien qu’il fût un homme d’action, Oswald Mosley fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique »

    En quoi Mosley reste-t-il pertinent en 2018 ?

    Outre le fait que, comme le pensait François Duprat, nous nous devons de connaître l’histoire du nationalisme, de ses échecs et réussites, pour pouvoir apprendre des erreurs et succès passés, l’étude de Mosley et de ses politiques est extrêmement importante.

    Tout d’abord, bien qu’il fût un homme d’action, il fut aussi un homme de réflexion et beaucoup de ses idées restent d’une actualité brûlante. Au niveau économique, sa critique du libre-échangisme et de la mondialisation semble aujourd’hui quasi prophétique. Mais il n’a pas fait que prévoir les problèmes qui allaient surgir, il a offert des pistes de sortie et ceux qui s’opposent au mondialisme y verront des solutions concrètes pour se sortir de l’impasse actuelle. On peut facilement imaginer que, s’il n’avait pas revêtu la chemise noire avant la guerre, il serait devenu l’un des penseurs les plus influents en matière d’économie, à l’instar de son ami John Maynard Keynes.

    Au niveau géopolitique aussi, particulièrement dans les dernières décennies de sa vie, il se démarqua en mettant en avant une Europe unie dans un monde multipolaire. En ce sens, il précède l’eurasiste Alexandre Douguine, et contrairement à des penseurs comme Jean Thiriart, il ne sombra pas dans la vision d’une Europe jacobine qui aurait nié les identités régionales ou même nationales. Avec l’échec de l’Europe de Bruxelles, l’alternative qu’il présente reste tout à fait pertinente.

    Contrairement à ce que l’on entend parfois, Mosley était loin d’être un marginal…

    Tout à fait ! Mosley était un aristocrate fort apprécié de la haute société et il se maria d’abord avec Cynthia Curzon, dont le père Lord Curzon était un homme important, ayant notamment été vice-roi des Indes. Lors du mariage, nombre d’aristocrates furent présents, y compris le couple royal belge. Dans ses premières années en politique, il était une véritable vedette de par son éloquence, sa rigueur et l’originalité de sa pensée. Tant au Parti conservateur que plus tard au Parti travailliste, il était pressenti pour un jour gouverner le Royaume-Uni. Mais, il préféra défendre ses convictions, plutôt que de se compromettre, risquant et sacrifiant sa carrière politicienne qui, aux dires de tous les historiens sérieux, l’aurait mené à de grandes responsabilités.

    Il faut ajouter que même lorsqu’il quitta les partis dits respectables pour fonder la British Union of Fascists, il continua à jouir du respect d’une partie de la haute société britannique et d’une partie de l’intelligentsia.

    On connaît le Mosley de l’avant-guerre, mais qu’en est-il du Mosley de l’après-guerre ?

    C’est bien là un des drames de la vie de Mosley qui considérait que la période de l’après-guerre fut sa période la plus féconde et aussi, faut-il le mentionner, la plus longue. Après la guerre, durant laquelle il put lire et étudier à cause de son internement, il développa l’idée d’une « Nation Europe » basée sur un socialisme européen qui n’a rien à voir avec celui promu par les Soviétiques ou même les Travaillistes. Il développa aussi une critique constructive de l’œuvre nietzschéenne, jetant les bases d’une pensée européenne, inspirée autant par Goethe que par les philosophes grecs, dans laquelle la volonté d’accomplir devient l’ambition ultime de l’homme.

    Dans le domaine plus concret et terre à terre, il fut également l’un des premiers politiciens à proposer la remigration et à entrevoir les défis démographiques et sociaux liés à une immigration de masse qui ne faisait à l’époque que débuter.

    Rémi Tremblay, directeur du magazine québécois Le Harfangcliquez ici, est aussi l'auteur d'un autre Cahier d'Histoire du nationalisme consacré à Adrien Arcandcliquez là

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 1968-2018, une révolution anthropologique

    6a00d83451619c69e2022ad3831de3200d-200wi.jpgSynthèse de l'intervention de Patrick Buisson lors de l'université d'été de Renaissance catholique :

    "Au lendemain de la Libération, l'Etat-providence aboutit à la destruction de la solidarité traditionnelle du monde rural. A partir de la fin des années 60, l'Etat a cessé de nous défendre en tant que peuple pour nous protéger en tant qu'individus. Les années 60 sont aussi les années d'une déchristianisation. Il y a une méfiance et un mépris du clergé vis à vis des traditions populaires assimilées à des superstitions.

    Autre rupture anthropologique : destitution du père comme figure d'autorité sociale et politique car l'ordre patriarcal est considéré par le marxisme comme la figure de l'oppression bourgeoise. Mai 68 : Le rejet du père n'exprime plus la volonté du fils de le remplacer, mais le rejet de ce qu'il est. L'avènement du tout marchandisme passe par le jeunisme, c'est à dire la prise en considération du jeune comme un acteur social. L'industrie du divertissement va domestiquer la jeunesse par l'apparition du transistor. La soumission aux pratiques socio-culturelle va être vécu comme une rébellion. Le néocapitalisme qui se met alors en place nécessitait au préalable la liquidation du Vieux monde pour que le marché puisse s'étendre sans limite et fabriquer l'homo economicus

    Dernière rupture anthropologique : la révolution sexuelle, la culture du désir. La dissociation de l'acte sexuel et de la procréation a une influence profonde dans le délitement de la structure familiale. Corrélation entre l'émancipation sexuelle et la promotion de la femme objet et la marchandisation du corps avec par exemple le succès du film "Emmanuelle". On nous a promis le bonheur et on a seulement fait exploser le marché des anxiolytiques... Drogue, suicide des jeunes, autant de marqueurs de la désespérance des jeunes. La modernité est un processus de destruction du sens. "La mort de Dieu charrie le cadavre de l'homme" Pierre Boutang"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/07/1968-2018-une-r%C3%A9volution-anthropologique.html

  • Francis Cousin sur l'échec de Mai 68 et la restructuration du Capital

  • L’islam est multiple, mais il y a aussi une forme d’unité idéologique de l’islam

    6a00d83451619c69e2022ad35d25d2200c-200wi.pngOdon Lafontaine, spécialiste de l'islam (lire Le Grand secret de l'islam), a été longuement interrogé par Franck Abed. Extrait :

    "En Europe, beaucoup ont tendance à parler de l’islam comme si celui-ci n’était formé que d’un bloc, alors qu’en réalité il est multiple (chiisme et sunnisme, dont les différentes écoles juridiques de ce dernier, nouveaux courants réformistes, traditionnalistes, salafistes, « islam des lumières », soufisme etc.). D’où vient cette simplification outrancière ? De fait, ne participe-t-elle pas à une méconnaissance de l’islam ou des islams ? Concrètement, comment appréhender ou combattre un phénomène méconnu voire inconnu ?

    C’est là un des sujets traités au fond dans mon dernier livre, La Laïcité, mère porteuse de l’islam ? (3). J’y renvoie les lecteurs pour des explications complètes.

    Très grossièrement on pourrait penser que les flux d’immigration musulmane ayant été à peu près homogènes jusqu’à présent, cela a pu nourrir cette idée chez certains Occidentaux d’un islam unifié. Forcément, les Français n’ont vu principalement de l’islam que celui des Maghrébins malékites de leurs colonies d’Afrique du Nord, les Allemands celui des Turcs hanafites et les Anglais celui des Indo-Pakistanais, Egyptiens et Irakiens, hanafites également. Les vagues plus récentes d’immigration montrent cependant combien l’islam est beaucoup plus divers que cela.

    On pourrait aussi identifier certains facteurs identitaires et historiques chez les Européens qui leur ont fait voir l’islam comme un bloc unifié. L’identité européenne s’est en partie construite par son opposition aux musulmans et à l’islam : l’opposition doctrinale et totale entre islam et christianisme, la guerre d’expansion conduite par l’islam très tôt en Europe, la coupure avec la partie de l’empire romain d’Orient prise par l’islam, puis sa perte totale, les entreprises de reconquista de l’Espagne ou de la Terre Sainte, l’alliance des puissances européennes pour résister aux coups de boutoir des Ottomans, la piraterie et les razzias barbaresques, etc. ont longtemps forgé une image du musulman comme ennemi juré de l’Occident et de l’islam comme hérésie absolue. La colonisation et la soumission de la quasi-totalité des « terres d’islam » à une Europe triomphante ont relativisé cette perception, introduisant davantage de complexité. Le développement de l’antichristianisme occidental à partir du XVIIIe siècle a par ailleurs inoculé une dimension idéologique nouvelle dans la perception de l’islam et « du musulman » : c’est durant ces périodes que certains historiens ou philosophes, comme Voltaire ou Guillaume Libri ont commencé de construire une histoire fantasmée et reconstruite de l’islam comme pendant à l’histoire chrétienne de l’Europe que l’on cherchait ainsi à dévaloriser (la chimère du paradis perdu de l’Andalousie, par exemple, havre de paix et de tolérance dans une Europe alors en proie à la sauvage barbarie des âges obscurs). De là commencèrent d’émerger des figures idéologiques « du musulman » à partir desquelles le XXe siècle a imposé les siennes. Depuis les années 1950, la figure « du musulman » a en effet été présentée comme celle du nouveau révolutionnaire selon la grille d’analyse marxiste, ou plutôt progressiste : « le musulman » en lutte contre l’oppression impérialiste (les moudjahidine du FLN), « le musulman » construisant dans son pays une voie de développement alternative au capitalisme (Ben Bella recevant Che Gevara à Alger), « le musulman » immigré en Europe comme outil de destruction du monde occidental d’avant, de ses traditions, de ses racines, de sa religion, de son identité (des intouchables « potes » de SOS Racisme aux « migrants » régénérateurs de Georges Soros et Jacques Attali, en passant par les « kids de Bondy » encensés par France Inter et Télérama pour leur contribution heureuse au multiculte, chaque génération se construit son « musulman de service »). Cette vision « du musulman » relève du fantasme idéologique, passant par pertes et profits la complexité de l’histoire, de l’islam et les réalités vécues par les personnes.

    Car oui, l’islam est multiple, traversé par des logiques parfois antagonistes, des dynamiques historiques, culturelles, nationales, nationalistes, des courants religieux, des influences extérieures, et désormais des dynamiques issues de l’enracinement de l’islam dans les pays européens… Face à une telle diversité, on pourrait ainsi céder à la facilité de refuser d’y comprendre quoi que ce soit, ou à celle de se contenter de schémas idéologiques. Je pense cependant que, notamment grâce à l’étude historique profonde et à l’analyse des idées, on peut déterminer une certaine cohérence, une forme d’unité à tous « les islams » : c’est cette même conviction que l’islam serait la solution au mal (les définitions de l’islam et du mal pouvant cependant varier… la chose est complexe !). L’islam étant principalement une idéologie, comme j’ai pu le souligner et montrer déjà maintes fois au fil de nos échanges, on peut comprendre cette diversité par l’analogie avec d’autres idéologies, comme le mouvement socialo-communiste : bolchéviques et menchéviques, léninistes, stalinistes, trotskistes, maoistes, khmers, juche, révolutionnaires, réformistes, nationalistes, internationalistes… Tous différents, mais tous unis derrière la poursuite du même rêve de libération de l’humanité.

    L’identité islamique, la solidarité entre musulmans de toutes obédiences dans l’adversité et le sentiment d’appartenance à une même communauté se révèlent cependant lorsque le projet de l’islam lui-même est en jeu, lorsqu’il s’agit de se battre contre le Mal, lorsque, par exemple, l’islam est menacé, lorsqu’il y va de son projet messianiste». C’est ainsi que tous les pays musulmans, par-delà leurs différences, se sont associés au sein de l’OCI (Organisation de la Coopération Islamique, qui regroupe les chefs d’Etat des 57 pays musulmans). L’OCI constitue de fait la première autorité de l’islam, tout à fait capable de parler d’une seule voix et d’agir en commun pour le bien de l’islam, au nom de son expansion, comme je l’ai déjà souligné dans nos échanges. On trouve des exemples de cette solidarité dans le front commun face à « l’islamophobie ». On connait l’officine qui s’est positionnée sur ce créneau en France, le CCIF et ses accointances salafistes. Il est facile de constater qu’elle travaille à la communautarisation des musulmans contre la société civile traditionnelle française. Elle est donc objectivement un agent de fractionnement, de dissolution de cette société civile, un agent de chaos, lequel chaos ne servira ni l’islam ni la France… Ce constat est à la portée de tous, avec ou sans les révélations de Wikileaks. Hé bien, j’ai toujours été étonné de constater l’audience du CCIF chez les musulmans les plus « modérés », les musulmans les plus français et se revendiquant de la France, alors même qu’ils devraient le voir comme leur pire ennemi.

    Alors oui, bien sûr, l’islam est multiple, mais il y a aussi une forme d’unité idéologique de l’islam qui peut justifier cette perception d’un « bloc » musulman. Perception que renforcent encore les idéologies progressistes occidentales lorsqu’elles assimilent les musulmans à la figure « du musulman », c’est-à-dire du « musulman de service », du musulman mis au service du schéma idéologique progressiste."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html