Ignace y dédicacera son album
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Ignace y dédicacera son album
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Franck Tanguy reçoit Charles Gave, Grégoire Boucher, Arnaud Menu et Philippe Karsenty. Ils débattent de l’actualité des Gilets Jaunes, des inégalités dans le monde et des traités de Marrakech et d’Aix-la-Chapelle.
https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n42-avec-charles-gave
En Macronie, on le croyait « sorti de la nasse ». On l’avait trouvé tout plein d’énergie pour lancer son grand débat national à Souillac. Deux sondages avaient indiqué que sa cote de popularité, tombée au plus bas fin 2018, se redressait un peu et un autre annonçait même que son parti pourrait virer en tête aux élections européennes. C’était le printemps.
Mais les sondages savent jouer au yo-yo, même avec nos Présidents. Souvenez-vous de François Hollande regagnant quinze points après Charlie. Cela dura un mois. Et il finit, comme vous savez, à 8 % d’intentions de vote. Et s’il finit ainsi, c’est que toutes les enquêtes de fond sur sa perception par les Français étaient, elles, unanimes. D’où l’intérêt de consulter ces sondages-là.
Le sondage IFOP-Fiducial pour CNews et Sud Radio, réalisé les 29 et 30 janvier derniers, et donc après ces supposées embellies, enregistre des dégradations profondes et inquiétantes de l’image du Président chez les Français depuis six mois.
Ainsi, les qualités majeures qui lui étaient reconnues, notamment par rapport à son prédécesseur, subissent un effondrement et deviennent presque toutes minoritaires dans l’opinion : autorité : -15 (à 54 %), compétence : -9 (à 42 %), détermination (« sait où il va ») : -10 (à 47 %), sympathie : -12 (38 %).
D’autres chiffres sont particulièrement inquiétants pour lui, surtout dans cette période du grand débat qui demanderait de la confiance et de l’empathie : Emmanuel Macron « inquiète » les Français pour 62 % d’entre eux (en hausse de 6 %), il n’est « proche de leurs préoccupations » que pour 22 % (en baisse de 6 %), et il n’est « sincère » que pour 33 % (en baisse de 5 %).
Ces chiffres n’étonneront que ceux qui n’ont pas voulu voir les événements qui se sont enchaînés depuis juin dernier et qui ont abouti à la crise des gilets jaunes. En effet, depuis la fête de la Musique controversée dans la cour de l’Élysée, l’affaire Benalla, les selfies douteux de Saint-Martin, c’est bien l’image, au sens propre du terme, du Président qui a été atteinte. Et donc la perception profonde qu’en ont les Français.
Le Président multiplie les mea culpa, promet de se surveiller, d’éviter les petites phrases. Avec une telle dégradation – un véritable retournement – et dans les circonstances actuelles, cela ne suffira pas. Les Français doutent de lui, se défient de sa personnalité et de son aptitude à entraîner le pays.
Un autre sondage, toujours de l’IFOP, pour le JDD, indique que, pour 66 % des Français, Emmanuel Macron n’a pas changé. Une écrasante majorité de Français indique qu’il doit notamment changer dans son « attention aux préoccupations des Français » (85 %) et « sur sa manière de s’exprimer lorsqu’il est au contact des Français » (80 %). C’est plus que du pain sur la planche. Or, depuis le départ de Sylvain Fort, il y a un mois, l’Élysée recherche toujours son directeur de la communication…
Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…
Francis Bergeron
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Ce jeudi 31 janvier, Jean-Marie Le Pen était en effet l’invité de Présent, dans le cadre de la remise du prix du livre 2019. Ce prix récompensait le livre, paru en 2018, et considéré comme le plus important au regard des valeurs défendues par notre quotidien. Les lecteurs étaient invités à désigner l’ouvrage de leur choix. Fils de la nation, le premier tome des Mémoires de Le Pen, a recueilli 32 % des suffrages des participants, devant La France interdite, de Laurent Obertone.
Ce 31 janvier, il s’agissait de remettre son prix à Jean-Marie Le Pen : un prix se composant d’un diplôme, dessiné par Chard, d’une statue de Jeanne d’Arc, et de dix publicités gratuites dans Présent.
La librairie était bien trop petite pour accueillir un public très nombreux. En septembre dernier, la venue de Zemmour dans cette même librairie avait chamboulé le Quartier latin. Nous n’en étions pas loin, jeudi soir. Même si les sinistres « black blocs » ne s’étaient pas mobilisés.
C’est un Le Pen en très grande forme qui a consacré une soirée entière à ses lecteurs. Il était accompagné de son épouse Jany, apparemment bien remise de la toute récente agression dont elle a fait l’objet. La Nouvelle Librairie ne manque pas de charme, et présente une exceptionnelle sélection de livres et de revues de droite. Cette jeune librairie s’est installée à une prestigieuse adresse, puisque ce fut celle de l’Action française, de 1900 à 1925, avant d’être reprise par le Faisceau de Georges Valois, jusqu’en 1932.
Un peu de nostalgie en pensant aux combats menés
Dans son discours de remerciement, Jean-Marie Le Pen a tenu à féliciter très chaleureusement l’équipe de Présent pour la qualité du journal, et sa capacité à « être et durer » pendant presque 40 ans. Jean Madiran, François Brigneau, Pierre Durand, Bernard Antony, Georges-Paul Wagner : ces noms sont associés à Présent, bien entendu, mais aussi, peu ou prou, à l’aventure politique du fondateur du Front national.
Une belle soirée, un peu de nostalgie en pensant aux combats menés, aux années écoulées, aux visages familiers qui ne sont plus. Mais pour lancer ce Prix du livre des lecteurs et amis de Présent, nous avons eu la chance de bénéficier du meilleur des récipiendaires qui, instantanément, lui a donné une formidable crédibilité. Rendez-vous donc en janvier 2020.
Une certaine idée de la France, de sa culture
La presse est en crise, nous assène-t-on. Le livre serait en péril, la lecture diminuerait et pourtant, portées par la volonté de certains de ses acteurs, des initiatives perdurent contre vent et marée. Le quotidien Présent en est un bel exemple qui désormais se lance un nouveau défi, avec la remise de son prix des lecteurs et amis de Présent qui se veut désormais un rendez-vous incontournable de début d’année !
Associés à cette belle aventure avec une chronique littéraire hebdomadaire, il nous paraissait évident de nous joindre à cette gageure. Et voilà que l’émulsion a pris, dépassant nos espérances. Les amis de Livr’Arbitres se sont d’ailleurs volontiers prêtés au jeu et auraient pu, de peu, faire pencher la balance pour leur favori, Bruno Lafourcade, auteur d’une satire féroce de l’école républicaine, L’Ivraie, paru chez Léo Scheer.
Mais Jean-Marie Le Pen fait un bon gagnant. Son livre de Mémoires couronne un parcours politique d’une rare longévité. Homme de tempérament, il aura toujours su porter haut une certaine idée de la France, de ses valeurs et de sa culture. Les lettres en font partie, celui-ci sachant aussi bien réciter des vers d’Aimé Césaire que ceux de Robert Brasillach ou du roi poète Charles Ier d’Orléans…
Bref, il nous tarde de nous lancer dans la recherche d’un prochain lauréat. Nous voilà déjà à l’affût d’une belle prise, d’une grande surprise ! Suivez notre actualité, participez à cette belle aventure et rendez-vous à l’année prochaine…
Patrick Wagner
Directeur de “Livr’arbitres”
En cinq ans, TVLibertés a réalisé plus de cinq mille émissions, totalisant plus de trois mille cinq cents heures de production et plus de trente concepts d’émission. Le succès de TVLibertés se mesure également au nombre grandissant de téléspectateurs.
En mai 2015, la chaîne comptait un peu moins de cinq cent mille vues sur les plateformes de diffusion. Trois ans plus tard, ce chiffre a été multiplié par cinq pour atteindre deux millions cinq cent mille vues. Marie-Simone Poublon et Philippe Randa vous racontent ce pari fou auquel bien peu croyaient… Et pourtant !
Le Défi, Marie-Simone Poublon et Philippe Randa, Dualpha, 256 pages, 10 €
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Rétablir l’harmonie au sein de la nation est une nécessité vitale car c’est par l’harmonie que notre civilisation pourra de nouveau s’épanouir, que les valeurs pourront reprendre leur place et notre société être remise en ordre. Mais l’harmonie ne reviendra que par l’application de principes aujourd’hui diabolisés comme l’homogénéité, la préférence, la régulation, l’autorité ou la sélection. Autant de principes politiquement incorrects dont Ligne droiteestime qu’ils doivent être portés par la droite nouvelle afin de créer dans la durée des rapports harmonieux au sein de la société.
Des règles exigeantes
Si l’harmonie est une nécessité pour la nation et la civilisation, elle ne résultera pas en effet de la méthode Coué, des bons sentiments ou de prétendues mobilisations médiatiques. Le Système peut bien glorifier le partage, la solidarité et le vivre ensemble, les médias et le show-biz faire la promotion de la charité laïque, rien de tout cela ne mettra un terme au chaos qui règne dans notre société car rien de tout cela n’est créateur d’harmonie. Celle-ci ne pourra en effet être atteinte ou à tout le moins approchée que si des règles exigeantes sont posées et respectées.
L’homogénéité
La première est l’impératif d’homogénéité. Une société constituée de groupes intrinsèquement différents sera en effet vouée aux tensions et aux conflits. Les éléments hétérogènes qui la composent ne peuvent en effet qu’entrer en compétition et s’opposer les uns aux autres, chacun cherchant à imposer ses normes, ses mœurs ou ses traditions. Il est donc indispensable de veiller à conserver un haut degré d’homogénéité ethnique, religieuse, culturelle, économique et sociale pour assurer l’harmonie de la société. S’il n’en va pas ainsi, il n’y a pas d’harmonie et c’est le désordre qui s’installe. Telle est d’ailleurs la situation de la France d’aujourd’hui qui, en raison de l’immigration de peuplement qu’elle subit depuis de nombreuses années déjà, ne respecte nullement le principe d’homogénéité et connaît de ce fait un chaos croissant.
La préférence
Dans une société peu homogène, il demeure cependant possible de créer un minimum d’harmonie grâce au principe de préférence. Un principe qui consiste schématiquement à donner à chacun sa juste place en instaurant une hiérarchie entre ceux qui constituent le corps homogène de la société et ceux qui contribuent à le rendre hétérogène. En matière d’immigration, ce principe dit de préférence nationale établit que les Français bénéficient de droits et d’avantages qui ne sont pas accordés aux nouveaux venus. Une différenciation qui permet à chacun de connaître sa place légitime. Les citoyens de souche, confortés dans le sentiment d’être chez eux dans leur pays, seront rassurés et sécurisés. Quant aux étrangers qui arrivent, ils ne pourront que considérer ce principe comme normal et être incités à tous les efforts pour respecter l’identité du pays qui les accueille et, le cas échéant, pour s’y assimiler.
La régulation
Dans le même esprit, la régulation représente elle aussi une règle exigeante propre à créer l’harmonie. Car en l’absence de régulation, ce sont les forces brutes de la nature, de l’économie ou de la société qui prévalent, écrasant les faibles, créant des injustices et provoquant du désordre. Aussi l’harmonie passe-t-elle par un minimum de régulation collective comme par exemple la régulation des échanges aux frontières. Le fait de pouvoir décider qui rentre et qui sort du pays permet de renforcer la sécurité intérieure mais aussi de maîtriser l’immigration. De même, la régulation des échanges commerciaux internationaux permettrait de corriger le dumping social, écologique et monétaire que subit notre pays. Cette régulation aux frontières pourrait, par le retour à une concurrence loyale, mettre un terme au désordre économique et social engendré par le libre-échangisme international et, ce faisant, aller vers plus d’harmonie en France et en Europe.
La sélection au mérite
Encore faut-il que dans ce domaine, comme plus généralement dans toute la société, soit établi le principe de la sélection au mérite. L’harmonie exige en effet que chacun reçoive en fonction de son talent, de son travail, et du service qu’il rend à la collectivité. Vouloir traiter tout le monde de façon égalitariste ou, pis encore, utiliser les individus comme des pions pour instaurer partout une représentation préétablie de certaines catégories ne peut en effet que créer de l’injustice et de l’inefficacité. Ainsi en est-il des discriminations dites positives qui favorisent arbitrairement certains individus en raison de leur ethnie ou de leur sexe, une pratique génératrice de frustrations et de dysfonctionnements. De même, l’interdiction faite aux universités de sélectionner les étudiants en fonction de leur travail, de leur talent et de leur mérite est profondément malsaine car les plus brillants ne peuvent progresser comme ils le méritent et les moins doués perdent leur temps dans un cycle d’études qui n’est pas adapté à leurs qualités propres. L’harmonie passe donc là aussi par l’instauration du principe de la sélection au mérite.
L’autorité
L’harmonie exige enfin l’impératif d’autorité car, si l’on sélectionne les plus aptes pour occuper les postes de responsabilité, il est nécessaire de leur donner les moyens d’exercer leurs fonctions. Ce qui implique avant tout la reconnaissance et l’acceptation de leur autorité. La tendance actuelle à vouloir communautariser les décisions de façon à diluer les responsabilités et à limiter le pouvoir des décideurs est dangereuse car elle détruit l’autorité et conduit à la disparition des chefs. Or, si les chefs légitimes n’existent plus, ce sont des personnages indignes ou illégitimes qui s’empareront de leur pouvoir. Et c’est le chaos qui s’installera.
Impératif d’homogénéité, sélection selon le mérite, préférence, régulation et autorité, autant de leviers que Ligne droite estime indispensable d’actionner pour rétablir un minimum d’harmonie dans notre pays.