Comme il l’a fait avec d’autres secteurs, finance, industrie, banques, commerce, diplomatie, armée, renseignements, le président a demandé aux responsables de la NASA de se concentrer sur leur cœur de métier au lieu de batifoler dans les à-côtés à la mode. Comme la pluie et la neige dans le Sahara, les secrets des ruines mayas et les marées barométriques confondues avec Waterworld. « Des trucs qui amusent les Européens, ils aiment ça, mais nous avons mieux à faire ».
écologie et environnement
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Trump interdit à la NASA de gaspiller des milliards pour le prétendu réchauffement climatique
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L’escrologie jusque dans les poubelles…
Nous sommes dirigés par des fanatiques qui ne croient plus qu’en une divinité, Gaïa, et c’est en fondamentalistes de l’escrologie qu’ils décident et imposent leur vision de la société. Ils font de l’économie en confondant les genres, en pensant qu’elle peut se plier aux seules exigences d’une croyance qu’il est devenu suspect de contester. Ainsi, il est prévu de remplacer, dans certaines villes pour commencer, la Taxe des ordures ménagères par une TEOMI, qui facturera au poids réel, avec l’argument habituel que c’est nécessaire pour faire le tri et inciter les gens à moins consommer. Le tri, mais n’est-il pas déjà fait dans la grande majorité des cas ? Quant à réduire le tonnage des déchets, quel serait l’intérêt premier puisqu’on sait les traiter, les recycler et même revendre le produit de cette transformation ? Le problème est que là où ça a été essayé, les gens ont vite trouvé la solution : ils mettent leurs déchets dans les poubelles publiques, ou pire, les jettent dans la nature. En fait il s’agit surtout de tenter de récupérer un peu plus d’argent, les prélèvements globaux, une peu plus de 60 %, ne sont à leurs yeux pas encore assez haut, il convient de trouver un subterfuge pour taxer davantage, tout en culpabilisant le consommateur, afin de mieux faire passer la pilule bien entendu et de vendre une hypothétique baisse si l’on ne rejette rien.
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Le durable l’est-il vraiment ?
par Étienne Lombard
Il y a 20 ans, Greenflex et l’ADEME créaient le Baromètre de la Consommation Responsable avec l’institut CSA. L’occasion de faire le point sur deux décennies d’influence de « consommation responsable ».
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Acétamipride : la nouvelle faute du Conseil Constitutionnel
Habituellement, je fais plutôt partie de ceux qui se méfient de l’emploi de produits chimiques dans l’agriculture, ou des pratiques de pêches qui détruisent l’océan. On pourrait donc s’attendre à ce que je fasse partie des opposants à la loi Duplomb. Mais, du fait du travail de Géraldine Woesner, j’ai l’impression que l’emballement médiatique est plutôt du côté des opposants à l’acétamipride, qui ont malheureusement eu le renfort de la plus haute instance juridictionnelle du pays jeudi 7 août.
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Les canicules du passé étaient plus chaudes que celle d’août 2025
En l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Les humains mouraient, desséchés.
Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les témoins d’époque, clercs et tabellions, évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois ! Les ecclésiastiques y voyaient la main du diable comme Greta y sent l’odeur du CO2.
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Mix électrique français : Stop au dogme, place au pragmatisme nucléaire et au stockage intelligent
Sommes-nous prêts à sacrifier la stabilité de notre réseau électrique et la compétitivité de notre industrie pour une idéologie "tout renouvelable" dont les limites sont flagrantes ? Face aux défis de l'intermittence et aux coûts faramineux des éoliennes, la France doit revoir sa copie. Une stratégie audacieuse s'impose : utiliser notre nucléaire à pleine puissance et faire du stockage massif par STEP la clé de voûte d'une décarbonation réaliste et souveraine.
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[SATIRE A VUE] Nous sommes en guerre contre… les thermomètres !
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Écologisme contre le bon sens – Épisode 2 : De la mine Ibbenbüren fermée au steak transatlantique
par Serge Van Cutsem
«On ferme des productions locales au nom du climat, puis on importe de beaucoup plus loin avec plus de pollution et moins de garanties de qualité ce qu’on peut produire ici. D’Ibbenbüren au MERCOSUR, des fermes françaises aux cargos de bœuf et de produits laitiers, se dessine une écologie à deux vitesses : restrictive pour les citoyens, et profitable pour les multinationales. Derrière les discours «verts» il y a un sabotage méthodique du bon sens».
Dans l’épisode précédent, j’ai détaillé l’histoire du charbon Ibbenbüren, cette petite ville allemande devenue symbole mondial de l’absurde climatique avec la fermeture de sa mine automatisée, rentable et située à côté d’une centrale, ceci au nom de l’écologisme, et j’insiste sur le suffixe «isme» qui fait toute ma différence. Cette même centrale qui a continué de tourner durant plus de 3 ans en brûlant du charbon importé d’outre-mer (Russie, Colombie, USA, puis Australie, Afrique du Sud, Indonésie après 2022).
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Le charbon Ibbenbüren : l’écologisme contre le bon sens (épisode 1)
par Serge Van Cutsem
Charbon vert, absurdité noire : la tragédie silencieuse d’Ibbenbüren
C’est une histoire à peine croyable, et pourtant, elle est vraie, vérifiable, et symbolique de ce qu’est devenu l’écologisme politique1 : une succession de décisions absurdes prises au nom d’une idéologie déconnectée de la réalité physique, énergétique et industrielle. Elle est d’autant moins contestable qu’elle ne provient pas d’un blog ou d’un militant, mais directement d’un client et ami belge de longue date. Cette entreprise belge, qui importe du charbon depuis un siècle, m’a révélé ce que je n’avais jamais pris le temps d’observer : que le charbon que je pensais encore allemand ne venait plus d’Allemagne.
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Les malheurs de Sandrine Rousseau racontés par notre Ami Pierre Cassen
C’est une belle déclaration que les paysans bretons viennent de faire à Sandrine Rousseau ! Rien à voir avec les histoires d’homme déconstruit – même s’ils sont curieux de rencontrer ce specimen prochainement – mais l’annonce de son prochain achat de résidence secondaire à Dinéault, dans le Finistère, a mis le feu aux poudres ! Ils sont donc décidé d’organiser un barbecue géant devant sa prochaine maison, une résidence secondaire !