La carte ci-dessous montre les écarts à la moyenne de saison, seule l’Europe connait un coup de chaleur, bien d’autres régions sont plus froides que l’habitude :
écologie et environnement
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La planète ne brule pas, l’Europe de l’ouest connait un coup de chaleur, les seuls records battus : la bêtise escrologiste
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La canicule « déclenchée » selon la ministre Pannier-Runacher… On recommence. Buvez de l’eau et mettez un chapot !
Allez les neuneus.
Pensez à boire et à mettre votre chapot ! Je sais chapot ça ne s’écrit pas avec un « pot » à la fin mais vu comment kon nous parle, je peux bien écrire chapot comme dans chapi-chapot… même si la non plus cela ne s’écrit pas comme cela. Sinon, vous avez bien bu votre litre et demi d’eau ? Et votre ventilateur ? Vous l’avez branché. Si vous avez trop chaud, vous pouvez prendre une douche froide.. mais bon pas trop longue et en faisant pipi sous la douche pour sauver la planète qui brûle.
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Protéger les ressources de la mer.
Dans une indifférence populaire assez tragique, se tient le troisième sommet de l’ONU sur les océans qui doit évoquer les mesures à prendre pour protéger les mers et les fonds de celles-ci d’une dégradation malheureusement fortement avancée et accélérée ces dernières années en conséquence du déploiement de la société de consommation et de croissance dans le monde, en particulier dans les pays du Sud global, ceux-là mêmes qui veulent accéder au paradis consommatoire sans beaucoup de précautions sur les moyens d’y parvenir. C’est un triste constat : les mers se vident, et « nous regardons ailleurs », pour paraphraser l’ancien président Chirac…
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Les Républicains est-il le parti des éoliennes ?
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Qui a raison ? Les archéologues (avec leurs preuves) ou les informaticiens du GIEC (des maths et rien d’autre) ? À l’époque romaine il faisait plus chaud qu’aujourd’hui sur la planète
Plus chaud SUR TOUTE LA PLANETE
Les archéologues et les historiens, en s’appuyant sur des preuves matérielles et textuelles, soutiennent souvent que l’OCR optimum climatique romain a eu un impact plus large, potentiellement global, en raison des indices suivants :
• Prospérité agricole et expansion : En Europe, en Afrique du Nord et dans certaines parties de l’Asie, la période romaine coïncide avec une expansion agricole notable. Par exemple, la culture de la vigne dans le nord de l’Angleterre (zones aujourd’hui trop froides pour cela) et la production céréalière intensive en Afrique du Nord (le «grenier de Rome») suggèrent des conditions climatiques favorables, potentiellement plus chaudes et humides. Ces observations sont documentées dans des textes romains (par exemple, Pline l’Ancien) et des études archéobotaniques.
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Au secours, la France se réchaufferait plus vite que le reste de la planète !
Agnès Pannier-Runacher l’affirme. La ministresse de l’escrologie n’a que 51 ans. Et déjà le cerveau bien ramolli. À cause de la canicule ou du sucre en poudre comme la plupart des sinistres et des députains macronards-progressistes ? Son patron Fripounette donne le mauvais exemple. Comme lui, elle parle beaucoup pour dire n’importe quoi.
« Il faut s’adapter au réchauffement climatique. Un enfant qui naît aujourd’hui en France, dans un pays qui se réchauffe plus vite que le reste de la planète, c’est pas de chance, c’est géographique, il vivra dans un monde à + 4 degrés quand il aura 75 ans, en 2100. »
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La transition énergétique n’aura pas lieu
Il y a un discours dominant, porté et martelé par toutes les institutions, tous les États, tous les hommes politiques, tous les médias, tous les hommes d’affaires : la transition énergétique va nous sauver du réchauffement climatique. Des sommes pharaoniques, publiques comme privées, y sont consacrées. Autant d’argent et autant de matraquage, ça sent l’embrouille : essayons d’y voir clair.
La transition énergétique consiste à opérer une conversion dans la production d’énergie, de passer des énergies fossiles comme le charbon, le gaz ou le pétrole aux énergies décarbonées ou renouvelables, comme les énergies nucléaire, hydroélectrique, solaire, éolienne.
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[RÉACTION] « 377 députés ont voté pour le doublement de vos factures d’électricité »
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Ecologie : des élus atterrissent…
Sacrilège, l’Assemblée nationale française a voté un moratoire sur toute installation nouvelle d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques, tout cela à cause des « fachos » Républicains, Rassemblement National et autres Ciottistes. Résultat, pas de nouvelle demande d’autorisation de permis ou de raccordement ne pourra être déposée, ou instruite, tant qu’une étude objective et indépendante sur le mix énergétique optimal ne sera pas réalisée. Incroyable, on ne pourra plus défoncer le fond de la mer, ou recouvrir des terres agricoles de panneaux achetés en Chine et pas recyclables, sans un minimum de précaution. Incroyable encore, il y a des gens qui osent douter du narratif réchauffiste, sur lequel il n’y a pas le moindre consensus scientifique et pour lequel l’impact de l’activité humaine n’est réellement prouvée non plus, tout cela relevant très probablement du cerveau malade de quelques financiers idéologues ayant trouvé la fable du carbone pour pouvoir créer de toutes pièces force taxes et culpabiliser le quidam. On rappelle tout de même, sans grand risque de se tromper que la planète a connu des alternances de coups de chaud et de froid et bien plus de carbone dans l’atmosphère, avant même l’apparition de l’homme, là-dessus par contre, il y a consensus scientifique.
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GIEC, les «scientifiques» sont nommés par les politiques, les sceptiques exclus, pas d’archéologues, d’historiens, de géographes ou de physiciens purs, seulement des croyants
Le biais de confirmation, également dénommé biais de confirmation d’hypothèse, est un mécanisme cognitif qui consiste à privilégier les informations confirmant ses idées préconçues ou ses hypothèses, ou à accorder moins de poids aux hypothèses et informations jouant en défaveur de ses conceptions, ce qui se traduit par une réticence à changer d’avis. Ce biais se manifeste chez un individu lorsqu’il rassemble des éléments ou se rappelle toutes les informations mémorisées de manière sélective pour les interpréter d’une manière biaisée.