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Jean avec ses chèvres a sauvé son village du feu. Selon lui, interdire le pâturage dans la garrigue condamne les forêts.
Depuis mardi, le massif des Corbières (Aude et Pyrénées-Orientales) est ravagé par le plus gros incendie qu’ait connu la France depuis près de vingt ans : plus de 17.000 hectares de végétation et de pinède partis en fumée, une habitante tuée, treize blessés, dont plusieurs pompiers, et des centaines de sinistrés.
Quand le sérieux laisse place à la propagande, on sombre dans le mensonge. C’est le cas de Bayrou avec les incendies. Il semble découvrir ce phénomène et se précipite dans ce drame pour venir nous distiller son narratif sur le réchauffement climatique. Après nous avoir servi un discours digne d’une purge pour constipés sur le budget, le voilà qui nous explique le pourquoi des feux de forêt et de nous présenter l’affaire comme une presque nouveauté, un truc qui n’existait pas avant, ben voyons… allons un peu de sérieux. En 1949 un incendie a ravagé 52 000 hectares d’un coup dans les Landes, qu’auriez-vous dit monsieur Bayrou face à cette catastrophe ? En 1976, 80 000 hectares victimes des flammes. En 1986 46122 hectares pour être précis ( rapport du Sénat) détruits.
Correspondance avec les auteurs du GIEC sur la Fig. 7.3
Afin de clarifier la situation ci-dessus, nous avons contacté les auteurs principaux coordonnateurs du chapitre 7 de la contribution du GIEC AR6 WG1, le professeur Piers Forster de l’université de Leeds (Royaume-Uni) et le professeur Trude Storelvmo de l’université d’Oslo (Norvège). Nous leur avons demandé qui étaient les auteurs de la section 7.2.2 du chapitre 7, où apparaît la figure 7.3. Le professeur Forster a rapidement répondu en nous informant que la section 7.2.2 avait été rédigée et éditée par le Dr Matthew Palmer de l’université de Bristol et du Met Office britannique (Royaume-Uni) et le Dr Chris Smith de l’université de Leeds (Royaume-Uni). Le Dr Palmer était l’auteur principal de cette section. Le professeur Forster nous a également fourni un lien vers le référentiel du GIEC AR6 WG1 sur GitHub.com, où résident tous les fichiers de données et les scripts de traitement Python utilisés pour générer les figures apparaissant dans le rapport du WG1.
Les partisans du réchauffement climatique causé par les activités humaines sont obligés de tricher pour défendre leur thèse !
La température sur terre reflète la balance entre la chaleur reçue et celle qui s’échappe. La chaleur reçue est modulée par la couverture nuageuse : plus celle-ci est importante, moins de chaleur arrive sur terre.
La chaleur qui s’échappe est modulée par les gaz à effet de serre, plus ceux-ci sont abondants, moins de chaleur quitte la terre.
Les données des satellites montrent que l’augmentation de la température correspond à une diminution de la couverture nuageuse, ce qui embête le GIEC parce que la couverture nuageuse n’est pas déterminée par l’activité humaine.
En Allemagne, les constructeurs automobiles Mercedes, VW et BMW se rebellent contre le Green Deal. L’industrie automobile table sur une levée de l’interdiction du moteur thermique en 2035 et réclame des aménagements de la réglementation européenne, qualifiée de « désastre complet ».
Sainte Greta est éplorée. Il y a de quoi. En plein mois de juillet, la température de l’eau sur la Côte d’Azur équivalait à celle de la Manche. Même si des savants Cosinus expliquent que c’est à cause du réchauffement, ça a de quoi vous refroidir.
Du coup, la mongolotte a troqué le réchauffisme contre l’amour des fedayin au goût sauvage. Une esquive à point nommé. Le FBI s’intéresse à l’usage des milliards de dollars attribués à des associations bidon pour sauver le monde. Même si elle n’a rien fait de mal, la proximité avec des assassins ternit sa réputation.
La France est en train d’être sacrifiée sur l’autel d’un écologisme radical, imposé par une caste politique coupée du réel. Derrière la propagande lénifiante du « sauvetage de la planète » se cache un projet liberticide qui piétine le bon sens, ruine les propriétaires, frappe les classes populaires et détruit des millions de logements. Sous couvert de comportements vertueux, l’État a déclenché une véritable guerre contre son propre peuple, imposant des lois d’inspiration totalitaire. Le texte de Julius Muzart qui suit, premier volet d’une série à suivre, démonte ce mensonge et révèle comment l’idéologie verte est devenue l’arme d’une minorité pour contrôler et appauvrir la majorité. Polémia
Depuis le 21 mai 2025, de nouvelles règles imposées par l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) encadrent l’utilisation de termes comme « vert », « durable » ou « transition » dans les noms des fonds d’investissement.
Etonnant, ces « études » qui sortent, les unes derrière les autres, pour expliquer que non, on n’est pas spécialement malade dans une voiture électrique, que oui, elles sont encore plus économiques et plus écologiques que ce que l’on pensait, que oui encore, elles coûtent encore moins cher à l’utilisation que ce qu’on pensait, que non, les temps de recharge ne plombent pas les temps de trajet. En gros, ça doit vouloir dire qu’on est malade dedans, qu’elles coûtent plus cher que prévu et que les temps de trajet sont interminables. Il faut bien bien développer une contre information pour essayer d’obliger les gens à les acheter étant donné qu’ils s’en détournent massivement. Il est vrai que quand on voit ce que devient la batterie d’un simple téléphone portable au bout de trois ans, ça ne donne pas trop envie d’acquérir un ordinateur à roulettes. D’ailleurs, une autre « étude », plus confidentielle celle là, montre que les propriétaires de voitures électriques les gardent en moyenne trois ans et que cela va générer des tonnes de carcasses pas trop recyclables, en gros un désastre écologique n’est pas bien loin. On peut ajouter qu’elles peuvent prendre feu de manière intempestive et mettent en échec les techniques habituelles des pompiers.