En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Phénoménale contradiction des climatistes que plus rien n’arrête, c’est du n’importe quoi intergalactique ! Magique ! Pile ils gagnent, face on perd ! À tous les coups ils ont raison qu’il fasse chaud ou froid ! D’autant que dans les années 70 ils annonçaient tous une ère glaciaire qui s’est transformée pendant les années 90 en réchauffement. C’est une mascarade ce GIEC, c’est d’une stupidité rare.
Cet article vous avait peut-être échappé. Nous vous proposons de le lire ou de le relire.
Cet article a été publié le 09/04/2025.
Face aux ZFE, la société se cabre. Pour la deuxième fois, peut-être (après les 80 km/h), une mesure inspirée par les écologistes suscite un ras-le-bol palpable et massif des Français. Les manifestations se succèdent, une grande part de la population refuse cette nouvelle mesure coercitive.
Le groupe Orsted connaît davantage de difficultés en Bourse… L’action baisse encore de 30 % en août, une chute de trois-quarts en 5 ans.
Les groupes du secteur de l’éolien en mer, comme Orsted, dépendent du recours à la dette pour le financement des parcs. Ensuite, ils cèdent des participations à des groupes d’investisseurs pour la génération de trésorerie. Ils réduisent ainsi le poids de leur dette. Comme vous le voyez ci-dessous, la dette d’Orsted atteint 91 milliards de kröner danois au dernier trimestre, soit 12 milliards d’euros.
Comme il l’a fait avec d’autres secteurs, finance, industrie, banques, commerce, diplomatie, armée, renseignements, le président a demandé aux responsables de la NASA de se concentrer sur leur cœur de métier au lieu de batifoler dans les à-côtés à la mode. Comme la pluie et la neige dans le Sahara, les secrets des ruines mayas et les marées barométriques confondues avec Waterworld. « Des trucs qui amusent les Européens, ils aiment ça, mais nous avons mieux à faire ».
Nous sommes dirigés par des fanatiques qui ne croient plus qu’en une divinité, Gaïa, et c’est en fondamentalistes de l’escrologie qu’ils décident et imposent leur vision de la société. Ils font de l’économie en confondant les genres, en pensant qu’elle peut se plier aux seules exigences d’une croyance qu’il est devenu suspect de contester. Ainsi, il est prévu de remplacer, dans certaines villes pour commencer, la Taxe des ordures ménagères par une TEOMI, qui facturera au poids réel, avec l’argument habituel que c’est nécessaire pour faire le tri et inciter les gens à moins consommer. Le tri, mais n’est-il pas déjà fait dans la grande majorité des cas ? Quant à réduire le tonnage des déchets, quel serait l’intérêt premier puisqu’on sait les traiter, les recycler et même revendre le produit de cette transformation ? Le problème est que là où ça a été essayé, les gens ont vite trouvé la solution : ils mettent leurs déchets dans les poubelles publiques, ou pire, les jettent dans la nature. En fait il s’agit surtout de tenter de récupérer un peu plus d’argent, les prélèvements globaux, une peu plus de 60 %, ne sont à leurs yeux pas encore assez haut, il convient de trouver un subterfuge pour taxer davantage, tout en culpabilisant le consommateur, afin de mieux faire passer la pilule bien entendu et de vendre une hypothétique baisse si l’on ne rejette rien.
Il y a 20 ans, Greenflexet l’ADEME créaient le Baromètre de la Consommation Responsable avecl’institut CSA. L’occasion de faire le point sur deux décennies d’influence de « consommation responsable ».
En l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Les humains mouraient, desséchés.
Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les témoins d’époque, clercs et tabellions, évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois ! Les ecclésiastiques y voyaient la main du diable comme Greta y sent l’odeur du CO2.
Sommes-nous prêts à sacrifier la stabilité de notre réseau électrique et la compétitivité de notre industrie pour une idéologie "tout renouvelable" dont les limites sont flagrantes ? Face aux défis de l'intermittence et aux coûts faramineux des éoliennes, la France doit revoir sa copie. Une stratégie audacieuse s'impose : utiliser notre nucléaire à pleine puissance et faire du stockage massif par STEP la clé de voûte d'une décarbonation réaliste et souveraine.
Le ministre de la Santé dévoile son plan de protection des travailleurs souffrant de la chaleur. Par décret, trois litres d'eau par jour et par personne doivent être mis à la disposition du personnel opérant en extérieur.