Les choses se passent rarement comme on peut les prévoir ou les anticiper.
Je suis donc toujours surpris par les certitudes érigées en dogme quasi-religieux de notre Sainte Eglise de l’escrologie.
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Les choses se passent rarement comme on peut les prévoir ou les anticiper.
Je suis donc toujours surpris par les certitudes érigées en dogme quasi-religieux de notre Sainte Eglise de l’escrologie.
Ursula Von-der-Leyen veut-elle la peau des automobilistes ? On peut se poser la question au vu de son acharnement à vouloir leur sécurité à tout prix. Elle impose, suggère plutôt, même si à l’usage on a compris que ses suggestions valaient des ordres, des normes les unes derrière les autres, n’ayant de cesse de contingenter, de surveiller, de punir. Au point que de grands responsables de l’industrie automobile européenne commencent à trouver qu’il devient de plus en plus compliqué de fabriquer une voiture. Les engins, plombés par les normes, pèsent trop lourd, sont devenus trop complexes et c’est à se demander si les acheteurs sont vraiment preneurs de tous ces bidules électroniques qui prennent les commandes de la voiture à votre place pour un oui ou pour un non, si tous les trucs qui sonnent en permanence dès que vous ne faites pas tel ou tel geste, sont vraiment utiles ? Elle fait cela pour notre sécurité, dit-elle, mais est-on vraiment en danger quand on est dans notre voiture ? Non. La France totalise environ 650 000 morts par an, dont un peu plus de trois mille dues aux accidents de la route, soit moins de 1 % et même, moins de 0,5 %, donc l’argument de la sécurité ne tient pas. A titre de comparaison, on a plus de chances de mourir dans un accident domestique que dans un accident de voiture. Et encore, dans le total des accidents de la route, la voiture et le conducteur ne sont pas tout le temps en cause.
C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les propos de Trump concernant les poupées…
En effet le président américain a reconnu que la guerre commerciale qu’il a lancée pourrait engendrer une diminution du nombre de produits vendus et perturber les chaînes d’approvisionnement et vider certains rayons.
Alors que le gouvernement prépare le décret PPE3, une étude d’experts dénonce les fausses vérités qui sabotent un débat rationnel sur l’avenir énergétique de la France.
Le projet de troisième Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE3), censé dessiner le futur du mix énergétique français, repose-t-il sur des postulats erronés ? C’est ce qu’affirme une étude percutante du Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique, qui démonte, point par point, plusieurs assertions répétées à l’Assemblée nationale et dans le débat public.
05/05/25
Selon Europe 1, l’enquête sur l’attaque mortelle perpétrée dans un lycée de Nantes par Justin P., 16 ans, s’oriente vers une piste idéologique : le manifeste envoyé par le jeune assaillant avant son passage à l’acte évoquerait des idées proches du mouvement radical Anti-Tech Résistance (ATR), fondé en 2022 en Bretagne. Cette mouvance, marquée par l’écologie extrême, l’anti-modernisme, voire le survivalisme, s’inspire de Theodore Kaczynski, alias Unabomber, auteur d’attentats anti-technologie aux États-Unis dans les années 1990.
Plus nous installons de sources de production d’énergies renouvelables plus nous fragilisons le réseau électrique qui doit être en tout temps équilibré.
Peut-être qu’un jour la science et les nouvelles technologies nous permettront de pallier à ces problèmes structurels qu’occasionnent les renouvelables, mais pour le moment ce n’est pas le cas.
Le président Georges Pompidou était un homme sage et surtout de bon sens, tout sentiment qui échappera à ses successeurs. Pompidou est ce président qui, à la suite de De Gaulle, a industrialisé la France. Et pour se faire, il avait pour conseiller un certain Ambroise Roux, puissant patron de la CGE. Pompidou n’hésitait pas à suivre ses avis avisés. Depuis cette date, nos gouvernants ont fait tout et n’importe quoi, laissant ces imbéciles d’énarques de Bercy prendre de malheureuses initiatives.
Précisons tout d’abord d’abord l’aspect polytechnique : la saturation du réseau serait à l’heure actuelle (mardi 29 avril 2025 au matin) l’hypothèse la plus vraisemblable comme le suggère Le Point :
“(…) À 12 h 30, au moment de la panne, la production espagnole d’électricité dépassait 28 gigawatts, dont 60 % générés par le solaire, selon les données compilées par Electricity Maps. Or l’Espagne est mal équipée, en cas de pic de production, pour gérer les excédents. Ses capacités de stockage restent limitées. Et la péninsule, sorte « d’îlot énergétique », a des interconnexions limitées avec l’Europe : le pays peut exporter quelque 3 000 mégawatts vers la France, autant vers le Portugal, et 1 400 mégawatts vers le Maroc. Que faire, à l’instant T, si ses voisins n’ont pas besoin de surplus d’électricité ? « La dépendance aux renouvelables expose à des pointes imprévisibles », avance un expert. (…)”