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Le patron de Safran, Olivier Andriès, a critiqué l'accueil hostile d'élus écologistes à un projet industriel de son groupe à Rennes, affirmant ne plus vouloir investir dans des villes dirigées par des Verts.
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Le patron de Safran, Olivier Andriès, a critiqué l'accueil hostile d'élus écologistes à un projet industriel de son groupe à Rennes, affirmant ne plus vouloir investir dans des villes dirigées par des Verts.
Créer 500 emplois, redonner vie à une friche industrielle, investir 80 millions d’euros dans une usine high-tech respectueuse de l’environnement : sur le papier, le projet de Safran à Rennes cochait toutes les cases. Mais c’était sans compter sur la véritable guerre idéologique déclenchée par les élus écologistes locaux. Résultat : une fracture politique, un patron outragé… et un avertissement clair lancé aux autres villes gouvernées par les Verts.

Vous connaissez les « chemtrails », un truc de complotistes qui s’imaginent qu’on leur pulvérise des produits chimiques depuis le ciel ? Bien sûr que ça n’existe pas, ça se saurait. Le problème est que ces pulvérisations ne se font même pas en cachette et que les entreprises qui les pratiquent ont pignon sur rue, que rien n’est secret du tout, mais qu’en parler c’est du complotisme, allez comprendre ? Sauf que le Département de la Santé américain, sous la direction de Robert Kennedy Jr, a pris acte de la décision de trente et un États américains venant de voter des lois interdisant les pulvérisations stratosphériques, l’injection d’aérosols et la manipulation du rayonnement solaire.

En 2006, le film d’Al Gore « Une vérité qui dérange » qui annonçait un cataclysme climatique a obtenu un grand retentissement mondial. Depuis lors on observe une déferlante médiatique qui martèle ad-nauseam que les émissions de CO2 produits par l’activité humaine provoqueraient un effet de serre induisant un réchauffement climatique dit anthropique qui aura demain des conséquences catastrophiques. En 2007, la justice britannique a démenti un grand nombre d’assertions du film mais cet événement fut quasiment passé sous silence.

Puisque le consumérisme nous a menés à notre perte, les peuples n’en veulent plus. L’ordre libéral a vécu et voici que le politique va reprendre ses droits sur l’économique, au nom d’une véritable écologie… À retrouver aussi dans Politique magazine (n°244) avec de nombreux autres articles.

Personne n’a oublié cette scène qui a fait plaisir à des millions de Français, ceux qui ne supportent plus les écolos, et qui, dans le meilleur des cas, ont envie de les jeter dans la fosse à purin, et parfois, de se livrer contre eux à des débordements que la décence interdit de préciser davantage.

En fait, le titre serait réellement beaucoup plus long :
« Climat, réchauffement planétaire, environnement, pollution, ozone, carbone, bilan carbone, décarbonation, mort des océans, élévation du niveau des mers et des océans, fonte des glaciers, disparition des espèces, etc., la plus grande escroquerie planétaire organisée par les dirigeants du monde ! »
Aimer, respecter et protéger la nature, c’est bien. Aimer notre belle planète bleue, c’est bien. Aimer et respecter notre environnement et éviter de le polluer et de le détruire, c’est très bien, à commencer pour nous-mêmes, d’ailleurs. Aimer et respecter le règne animal et le règne végétal, c’est parfait.