
Nous avons du mal à suivre les journalistes de Ouest-France, toujours à l’ouest :
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Nous avons du mal à suivre les journalistes de Ouest-France, toujours à l’ouest :
Une nouvelle étude fournit la première preuve directe que le centre – et pas seulement les bords – de la calotte glaciaire du Groenland a fondu dans un passé géologique récent et que l’île, désormais recouverte de glace, abritait alors un paysage de toundra verdoyante.
https://www.sciencedaily.com/releases/2024/08/240805164411
«Nous avons désormais la preuve directe que non seulement la glace a disparu, mais que des plantes et des insectes vivaient là», a déclaré Bierman. «Et c’est irréfutable. Il n’est pas nécessaire de se fier à des calculs ou à des modèles».
Publié
Je suis choqué. Choqué, je vous le dis.
Extrait d’un récent article du New York Times, spectaculairement intitulé « Une découverte climatique surprenante » :
« Je suis convaincu qu’il y aura des îles aux Maldives » dans 50 ou 100 ans, m’a dit l’un des chercheurs de l’équipe, Paul Kench, alors que nous étions à Dhigulaabadhoo. « Elles ne ressembleront pas à ces îles ; elles vont être différentes. Mais il y aura de la terre ici. »
Juste un aveu désinvolte que les îles dont la secte du changement climatique prétendait qu’elles allaient disparaître ne disparaîtront pas après tout.
En octobre 2021, l'ancien PDG de Hertz avait amorcé un virage électrique en commandant plus de 100 000 Model 3 de Tesla. Trois ans plus tard, les résultats du deuxième trimestre publiés ce jeudi par le géant de la location soulignent le lourd tribut financier de ce changement stratégique.
Elle ne nous parle que du carbone et d’une industrie décarbonée. On engloutit des milliards en Recherche et Développement pour essayer de tout décarboner, au prétexte que cela serait dangereux pour la planète, mais uniquement dans le discours, parce que dans la pratique, elle fait exactement le contraire. En réalité, dans sa fable carbonique, rien ne tient la route et les failles sont partout. Etat des lieux.
L’Action française affiche clairement son souci écologique. Elle a produit une brochure que l’on peut se procurer aux Éditions de Flore. C’est pourquoi il nous a semblé intéressant de reproduire un article de Gérard Leclerc publié à l’occasion de la sortie d’un ouvrage de Bernard Charbonneau et Jacques Ellul, « La Nature du combat. Pour une révolution écologique », aux éditions L’Échappée. Il l’a publié dans le bi-hebdomadaire Royaliste n°1221.
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Par Gérard Leclerc
Le combat écologique semble avoir marqué des points, ces dernières années. La conquête de villes métropoles aux élections municipales par les Verts n’en est-elle pas une marque significative ? Par ailleurs, le souci de l’environnement s’affirme dans le programme de toutes les familles politiques. Est-ce une affaire gagnée pour autant ? Jacques Ellul et Bernard Charbonneau, pionniers d’une véritable pensée écologique, faisaient déjà, il y a quarante ans, le constat d’une incontestable prise de conscience : « Il faut mesurer la différence entre aujourd’hui et la situation d’il y a trente ans, où tous les dangers s’accumulaient, réels et potentiels, mais où n’apparaissaient pas l’ombre d’une contestation, d’une prise de conscience, d’une mobilisation pour la défense de la nature, d’orientations nouvelles dans les sciences, de recherche de techniques douces ou alternatives : le progrès est immense en ce qu’au moins le problème de fond est posé ». Néanmoins, la question restait posée d’un aboutissement satisfaisant.
Erythrina caffra sera rebaptisée, en 2026, Erythrina affra
Arnaud Raffard de Brienne
Travailler au plus près de la nature et dans un cadre rigoureusement scientifique ne prémunit à l’évidence pas d’une contamination par les nuées du wokisme et d’un certain révisionnisme. En témoigne un vote majoritaire de botanistes scientifiques du monde entier réunis en fin de semaine dernière et cette semaine à Madrid dans le cadre de leur vingtième congrès international qui se tient à Madrid, en ce moment-même, du 21 au 27 juillet.
C’est dans les zones arides que ce verdissement mondial est le plus visible et qu’il a le plus d’impact sur les écosystèmes et la vie des populations qui en dépendent.
Une évaluation réalisée en 2020 par Evans et Arden Burrell, chercheur en télédétection au Woodwell Climate Research Center de Falmouth, dans le Massachusetts, a révélé qu’environ 6% des zones arides avaient connu une désertification depuis 1982, soit seulement un quart des estimations précédentes basées sur les conditions météorologiques. Ces zones comprenaient une grande partie du sud-ouest des États-Unis, le nord-est du Brésil, sujet à la sécheresse, et certaines régions d’Asie centrale.
On n’entend parler que du carbone et d’une industrie décarbonée. On engloutit des milliards en Recherche et Développement pour essayer de tout décarboner, au prétexte que cela serait dangereux pour la planète, mais uniquement dans le discours, parce que dans la pratique, on fait exactement le contraire. En réalité, dans cette fable carbonique, rien ne tient la route et les failles sont partout. Etat des lieux.
L’extrême-gauche sème le chaos à La Rochelle, sous des prétexte écolos.