
Réalisé par le WWF avec la Zoological Society of London, le rapport publié ces jours-ci estime que, sur la période 1970-2020, « la taille moyenne des populations d’animaux sauvages suivies a diminué de 73 % ». Contrairement à ce que disent des titres alarmistes, cela ne signifie pas que près des trois quarts des animaux sauvages ont disparu. L’indice Planète vivante (IPV) mesure, en réalité, « l’abondance relative de près de 35.000 populations de 5.495 espèces de mammifères, oiseaux, poissons, reptiles et amphibiens ».