Un reportage de 1mn20 de Euronews, citant le livre "Der grosse Basar" ("Le grand bazar") d'un certain Daniel Cohn-Bendit...
écologie et environnement - Page 174
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Les Verts face aux pages les plus sombres de leur passé : la pédophilie
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Ecologie nationale, démocratie véritable, proportionnelle intégrale
La plupart des médias font mine (?) de s’étonner de la volonté du FN, décrite comme nouvelle, de traiter des thèmes environnementaux, à l’occasion du lancement officiel le 10 décembre, d’un nouveau collectif, le «Collectif Ecologie», selon le souhait de la présidente du FN. «C’est un des axes stratégiques empruntés par Marine Le Pen pour élargir sa base électorale et muscler son programme en vue de 2017» indique ainsi Le Huffington Post. « Sa lettre de mission (dudit collectif, NDLR) est double: d’une part, rassembler les patriotes en phase avec la ligne nationale-étatiste du FN et sensibles à la question du développement durable; de l’autre, plancher sur le programme environnemental de la future candidate à l’élection présidentielle». En réalité, le vœu de Marine s’inscrit là aussi dans une parfaite filiation frontiste. Bruno Gollnisch l’a souvent rappelé, les questions environnementales ont toujours occupé une place importante au FN. L’écologie fut ainsi le thème de la première publication du Front National en 1974. Ce n’est pas de notre fait si les faiseurs d’opinion ont toujours voulu réduire le programme du FN aux questions touchant à l’immigration et à l’insécurité.
Les nationaux n’ont pas attendu l’irruption de l’écolo-gauchisme sur la scène politique pour se préoccuper d’écologie véritable, et le FN a multiplié propositions et prises de position dans ce domaine depuis quarante ans. L’écologie bien comprise est une «science de droite » par excellence et le lien est évident entre la défense de l’identité nationale et celle de notre environnement. Le patrimoine de la France s’incarne dans un peuple et dans une civilisation, mais aussi dans un terroir, avec ses paysages, sa faune et sa flore.
Les valeurs portées par le FN, son refus de la marchandisation du monde en font par essence un mouvement écologiste, l’écologie étant la défense de l’harmonie entre la nature et l’activité humaine. Or, comme le relevait Jean-Marie Le Pen, « le matérialisme effréné (…) a détruit cette harmonie. Ceux qui se réclament aujourd’hui de l’écologie n’ont pas arrêté ce phénomène, car ils utilisent le mot pour recycler trois idéologies particulièrement toxiques : le communisme, le mondialisme et le nihilisme».Bref, l’écologie est une question trop sérieuse pour la laisser en France aux mains d’officines l’instrumentalisant à des fins antinationales ou à la nébuleuse altermondialiste…
Incarnation de la gauche progressiste euromondialiste, Manuel Valls était hier soir l’invité du JT de France 2. Non pas pour parler écologie, puisqu’il s’est cantonné à dire que dans les dossiers du barrage de Sivens ou de l’aéroport Notre-Dame-des-Landes « force doit rester à la loi ». Il a préféré confirmer les orientations économiques de son gouvernement symbolisées par la nomination du banquier Emmanuel Macron et l’extension du travail le dimanche. Le Premier ministre a également tenu à affirmer qu’il entend rester à Matignon même après la déroute annoncée pour le PS lors des élections départementales en mars prochain. Il a également appelé sans surprise à la mobilisation de tous, comme Bernard Cazeneuve qui souhaite en faire une «priorité nationale», contre l’antisémitisme après l’odieuse agression d’une couple à Créteil commise par des racailles la semaine dernière.
Mais M. Valls ne s’est pas contenté de rappeler au passage qu’il s’était senti assez esseulé dans son combat contre Dieudonné (décidemment une fixation), il a aussi tenu à sermonner/ mettre en garde nos compatriotes. En février dernier, il évoquait déjà des « forces obscures » à l’œuvre, « une fronde des anti : anti-élites, anti-Etat, anti-impôts, anti-Parlement, anti-journalistes… Mais aussi et surtout des antisémites, des racistes, des homophobes… Tout simplement des anti-républicains», jugeant le climat comparable avec celui des « années 1930 ».
Hier sur France 2, il a dénoncé dans le même esprit un climat politique plombé, le succès du livre d’Eric Zemmour et de la puissance électorale du FN. Faut-il s’en étonner ? A l’aune de cette dynamique patriotique et nationale, le Premier ministre a tenu à préciser que la promesse du Président de la République d’introduire la proportionnelle sera «compliqué à faire».
Quant à la proportionnelle intégrale aux législatives a-t-il dit, «ce serait une sacrée responsabilité que je ne souhaite pas que nous prenions. Cela ferait rentrer 150 ou 180 députés Front National à l’Assemblée. Et puis, surtout, cela rendrait le pays totalement ingouvernable. Et ça, je crois que c’est une voie que nous ne pouvons pas prendre». Un avis partagé par tous les responsables et dirigeants de l’UMP farouchement opposés eux aussi à l’idée de voir entrer massivement le courant patriotique à l’Assemblée.
Pour être tout à fait précis selon un récent sondage du Figaro, si les législatives avaient lieu en ce moment, avec un scrutin à la proportionnelle intégrale, le FN obtiendrait 158 sièges de députés…et la gauche subirait une déculottée d’une ampleur historique. « Le pays » serait bien évidemment tout à fait gouvernable affirme Bruno Gollnisch, il s’agirait seulement alors de tenir compte de la volonté populaire, exercice auquel répugne il est vrai les caciques de notre démocratie confisquée.
Volonté populaire qui s’est exprimée hier dans la troisième circonscription de l’Aube où avait lieu une élection législative partielle pour succéder à François Baroin, devenu sénateur. Dans ce fief de la droite UMP, la surprise n’est pas venue du score obtenu par Gérard Menuel, adjoint aux finances à la mairie de Troyes et suppléant de François Baroin depuis 1993, qui est arrivé en tête avec 40,76% des suffrages.
Le coup de tonnerre est bien la qualification pour le second tour de notre camarade, Secrétaire départemental et Conseiller régional Bruno Subtil qui a obtenu 27,64%des voix. Il devance dans tous les cantons le candidat du Parti socialiste Olivier Girardin -sauf dans celui de la Chapelle-Saint-Luc dont il est maire-, lequel obtient 14,69% des suffrages. Le PS recule de 14 points par rapport aux législatives de 2012. Le PC (7,46%) et EELV (4,47%) confirment ici une nouvelle fois leur absence d’ancrage populaire.
Notons encore que si le taux d’abstention a dépassé hier les 75%, malgré ce handicap, Bruno Subtil a augmenté de près de 10 points le score du FN par rapport au premier tour des législatives en juin 2012. « Il est bien évident que nous profitons d’une dynamique nationale » a-t-il déclaré en appelant les abstentionnistes à se mobiliser: «Nous ne sommes pas favoris mais on peut espérer, au minimum, une augmentation significative du nombre de votes et pourquoi pas la victoire… ».
La presse locale a rapporté que «les militants socialistes appellent à faire barrage au FN en votant pour l’UMP dimanche prochain ». Un front ripoublicain qui écœure les Français, de plus en plus contreproductif pour le Système, mais qui matérialisant la collusion UMPS, a au moins le mérite de la clarté.
http://gollnisch.com/2014/12/08/ecologie-nationale-democratie-veritable-proportionnelle-integrale/
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Notre-Dame-des-Landes : une des plus grosses opérations de police sous la 5ème République
Les moyens engagés vont être impressionnants – même si le détail, à ce moment, n’est pas connu : « Un hélicoptère EC135, des équipes cynophiles, des brigades motorisées, le service des SIC [systèmes d’information et de communication], la cellule d’appui à la mobilité, le véhicule Œil et deux véhicules blindés à roues », détaillera la gendarmerie, qui oublie un deuxième hélicoptère, des grimpeurs, une équipe de déminage, et la mobilisation des renseignements généraux. Combien d’hommes et de femmes auront été déployés ? Cinq cents sur le terrain et mille deux cents en tout dira le ministère de l’Intérieur, mais jusqu’à deux mille deux cents selon le principal syndical de police, Unité SGP Police, majoritaire chez les CRS. C’est en tout cas une des opérations policières les plus importantes des dernières décennies, voire la plus importante.
Hervé Kempf, Notre-Dame-des-Landes
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Inondations : « Appeler M. Hulot »
Un article très intéressant de Stanislas de Larminat (L'écologie chrétienne n'est pas ce que vous croyez (Salvator, 2014), paru sur le site de Liberté politique, au sujet des inondations qui ont récemment dévasté le sud de la France. Où l'auteur pointe du doigt tout le système "écolo", qui fait beaucoup de mal, et qui, selon ses propres mots, voudrait "mettre l’environnement sous cloche et en faire un écomusée au mépris de l’homme."
"À la suite des inondations de janvier 2014, le catastrophiste éclairé Nicolas Hulot tirait la sonnette d’alarme : « Les derniers événements... nous rappellent s'il en était encore besoin les conséquences dramatiques et quotidiennes du changement climatique sur notre planète. » Dans la série « Une catastrophe, il faut appeler M. Hulot », après la transition énergétique (I) et le barrage de Sivens (II), ne faudrait-il pas attirer son attention sur les responsabilités de l’écologisme dans les drames qui se répètent régulièrement dans le sud de la France ? Comme les forêts, les rivières s’entretiennent. Sinon, elles meurent, ou elles tuent.
DE NOUVELLES INONDATIONS ont causé des morts dramatiques le 30 novembre 2014. Il est urgent de prendre du recul et d’analyser les événements à tête reposée.
S’agissant des conséquences, il est clair que les constructions qui se sont développées anarchiquement dans les zones à risques, ont aggravé le risque de drames humains et alourdi le montant financier des dégâts.
Mais il faut aussi remonter aux causes. Or les médias, avec une complaisance coupable, ont l’œil rivé sur les seules prévisions météorologiques. On fait des allusions insidieuses au réchauffement climatique, alors que celui-ci n’a rien à voir dans cette affaire. En effet, la pluie n’est pas la cause première de telles calamités naturelles. Elle n’est que le facteur déclenchant de causes bien connues et qui ont été complètement négligées au fil du temps.
Dans l’analyse des catastrophes, on réalise toujours qu’il y a un enchaînement de causes. Quelles sont-elles ? En amont, il y a un déficit d’investissement dans les retenues d’eau destinées à réguler les cours d’eau. Plus en aval, de graves défauts d’entretien des berges et du profil des rivières freinent l’écoulement. À l’embouchure, l’accumulation des alluvions sans travaux de dragage empêche les eaux de s’évacuer vers les océans.
Or les ONG écologistes portent une grave responsabilité dans cet état de fait. Pourquoi ?" (suite sur le site de Liberté politique).
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Le Giec aurait exagéré le nombre de morts prévus dûs au réchauffement climatique
... d'après l'aveu de l'un de ses membres fondateurs, le professeur Indur Goklany :
"Un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé prévoyait récemment une série de morts causée par le réchauffement global dans les années à venir : un quart de million de morts entre les années 2030 et 2050, dont 95.000 personnes à cause de la malnutrition, 60.000 à cause de la malaria, 48.000 personnes par des diarrhées et 38.000 personnes âgées incapables de supporter la chaleur. Quelle précision ![...]
Ce rapport est vivement contesté par un ancien conseiller sur le changement climatique auprès du gouvernement américain et membre du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), le professeur Indur Goklany, membre fondateur du GIEC. Pour celui-ci, la conclusion ne prend pas en compte l’adaptation dont est capable l’homme et exagère au moins 10 fois les prédictions…"[...]
A noter que lui-même se place dans un contexte où le réchauffement global aurait lieu, ce qu’aucune mesure de température ne peut aujourd’hui prouver."
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Courant pour une écologie humaine, qu'est-ce que c'est ?
Le Courant pour une écologie humaine organise ses premières Assises les 6 et 7 décembre. "La révolution de la bienveillance" changera le monde par nos initiatives. Tugdual Derville explique :
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Les « zadistes » de Notre-Dame-des-Landes, nouveaux djihadistes verts ?
Un cap est franchi avec le climat de peur savamment entretenu par des milices dangereuses.
Patrice Valentin, directeur de Dervenn (entreprise spécialisée en conseil d’ingénierie écologique), s’exprimait au micro de France Info en ces termes : « Ça n’est pas la première fois que l’on reçoit des lettres de menaces. Il y a un site sur lequel on est cité comme étant une cible en appelant tout le monde à venir perturber la vie de l’entreprise et en nous menaçant de faillite. L’objectif des opposants est de créer un climat de peur pour que personne ne réponde. Pour moi, cela s’appelle du terrorisme. » Les opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes dévoilent ainsi une face obscure, qui n’est pas loin de rappeler des méthodes que l’on croyait disparues depuis les années 1970, celles des groupes terroristes Action directe ou des Brigades rouges.
Déjà, les méthodes des militants « antifas » qui ont protesté à Toulouse et à Nantes étaient assimilables à une forme de para-terrorisme mais là, un cap est franchi avec le climat de peur savamment entretenu par des milices dangereuses.
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Reportage au Salon Marjolaine, auprès de Kokopelli et d'artisans
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Une ville du Texas vote l’interdiction de la fracturation hydraulique
La ville de Denton au Texas vient de voter l’interdiction de la fracturation hydraulique sur son territoire. Mardi dernier, 58 % des votants de cette ville de 123 000 habitants se sont prononcés contre la poursuite de l’exploitation des gaz de schiste sur leur commune.
C’est une première au Texas, état conservateur où l’exploitation des énergies fossiles joue un rôle primordial dans l’économie. Les firmes impliquées dans l’exploitation gazière avaient pourtant dépensé plus de 700 000 dollars pour faire échouer ce vote.
L’interdiction de la fracturation hydraulique là où elle est née
Le quotidien britannique The Guardian décrit Denton comme « certainement la ville la plus lourdement fracturée de tout les Etats-Unis ». Un tiers de la superficie de la ville est concernée par l’extraction des gaz de schiste. Les habitants se plaignent des nuisances : passage de camions, fumées et bruits.
Denton se trouve sur le gisement de Barnett, l’un des plus importants du pays. C’est aussi là où les technologies de la fracturation et du forage horizontale sont nées. Le scrutin a eu lieu à l’occasion des élections de mi-mandat durant lesquelles les électeurs sont conduits à élire leurs représentants au niveau fédéral et pendant lesquelles ils votent aussi sur des enjeux locaux.
Une remise en cause de la fracturation hydraulique
Pour les opposants au gaz de schiste et à la fracturation, il s’agit d’une victoire. « Cela doit être un signal envoyé à l’industrie : si les habitants du Texas où la fracturation a été inventée ne peuvent pas vivre avec elle, alors personne ne le peut », affirme Sharon Wilson de l’ONG EarthWorks qui réside à Denton.
Bien que ce vote remette en cause les forages locaux, il risque d’abord d’entrainer de nombreuses batailles judiciaires puisque les compagnies gazières vont contester cette décision devant la justice. Le Républicain David Porter qui siège à la Commission des Chemins de fer du Texas (organisation du Texas qui gère l’énergie) regrette : « en passant cette loi, les électeurs de Denton ont cédé à la peur et ont accepté des déformations de la vérité. Cette interdiction basée sur la désinformation – et non sur les faits et la science – menace la renaissance énergétique du Texas et, par extension, son bien-être. »
Il faudra donc attendre les prochains mois pour savoir si l’interdiction de la fracturation hydraulique prendra ou non effet. Et la question risque de prendre de l’ampleur puisque près de 15 millions d’Américains vivent à proximité d’un forage.
GOODPLANET
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Légumes d’Antan : Retour gagnant
Crosne, panais, pâtisson, rutabaga : ces légumes aux noms curieux, longtemps laissés à l’abandon, sont de retour sur les étals de nos maraîchers, mais aussi dans la grande distribution.
Tombés en désuétude peu après la Seconde Guerre mondiale au profit d’une agriculture intensive, leurs noms sont associés à des périodes de malheur ou de disette. Pourtant, ces légumes ont désormais le vent en poupe.
Ce succès ne traduit-il pas un réel besoin d’un retour à l’authentique? Ces racines rustiques aux formes bizarres apportent une certaine diversité dans les assiettes. Les chefs étoilés sont à l’origine de cet engouement et aujourd’hui, après les marchés, la grande distribution suit la tendance.
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