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écologie et environnement - Page 171

  • La décroissance pour les nuls par Guillaume LE CARBONEL

    Qu’est-ce que la décroissance ? Ni une insulte, ni un gros mot, ni même une nouvelle variété de légumes transgéniques. Pour reprendre la belle formule de Serge Latouche, il s’agit plus sûrement d’un slogan politique aux implications théoriques. Un drapeau en quelque sorte, une bannière sous laquelle se rassemblent toutes celles et tous ceux qui luttent contre la société de l’illimité et le développement effréné.

    « Comme le mot socialisme à ses débuts, celui de décroissance reste incertain, polémique et scandaleux, étirable dans des directions contraires. C’est sa force et sa richesse de ne pas être enfermé dans une doxasclérosante, tout en offrant un vocabulaire alternatif à la novlangue envahissante du management » écrit fort justement François Jarrige, maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Bourgogne (1).

    De fait, la décroissance n’est ni de droite ni de gauche, si tant est que ces notions ont encore un sens pour certains. Elle est par contre radicalement anticapitaliste car opposée à la croissance pour la croissance, c’est-à-dire à l’accumulation illimitée du capital, et à l’exploitation des gens ordinaires par des minorités oligarchiques. Elle s’oppose avec force à l’idéologie du progrès et au modernisme, vus par certains comme émancipateurs, mais fabriquant en réalité, à la chaîne, un être abstrait arraché à toutes ses racines, un zombie pousseur de caddie guidé par ses seuls intérêts.

    L’idée maîtresse de la décroissance réside dans l’analyse qu’une croissance infinie est incompatible avec un monde fini. D’après l’O.N.G. W.W.F., l’humanité est entrée en situation de dette écologique depuis les années 70. Depuis, le phénomène n’a fait que s’aggraver. Aujourd’hui, notre empreinte écologique excède de 50 % la bio-capacité de la Terre, autrement dit sa faculté à régénérer les ressources naturelles et absorber le C.O.2. La revue Science estime que la planète atteint de nos jours ses limites dans quatre domaines : changement climatique, érosion de la biodiversité, changement rapide d’usage des sols et perturbation des cycles de l’azote et du phosphore (2).

    La décroissance appelle donc à une remise en cause de notre mode vie et à la construction d’un société conviviale, autonome et économe. La simplicité volontaire doit remplacer la servitude volontaire. Pour ce faire, un simple changement de cap ne saurait suffire. Décoloniser notre imaginaire nécessitera une véritable révolution culturelle et anthropologique. Une subversion totale.

    Comme le rappelait André Gorz, la critique de la croissance n’a de sens, et de portée révolutionnaire, qu’en référence à un changement social total.

    Certains s’imaginent que décroissance rime avec archaïsme, retour à la bougie ou au primitivisme. D’autres fantasment sur une croissance négative, expression absurde. Décroître pour décroître est aussi ridicule que croître pour croître.

    Il s’agit en réalité de sortir de la logique de l’accumulation illimitée et du toujours plus. Il nous faut retrouver des limites pour donner un sens à notre vie étriquée, malmenée par l’hyper-technologie et l’obsession du changement. Serge Latouche parle de réaliser l’abondance frugale, autrement dit la prospérité sans croissance. 

    À l’origine de la décroissance, on trouve deux sources quasi simultanées et convergentes : la remise en question de la société de consommation, animée dans les années 60 par des hommes comme André Gorz, Jacques Ellul, Bernard Charbonneau ou encore Ivan Illitch, et la prise de conscience de la crise de l’environnement sur laquelle travaillera notamment Nicholas Georgescu-Roegen au cours des années 70.

    En 2002, le slogan sera repris par Vincent Cheney et Bruno Clémentin au travers de la revue Silence.

    Toutes ces études montrent à quel point nous vivons dans une véritable addiction à la croissance et comment l’homme s’est transformé en consommateur illimité. François Hollande affirmait encore le 5 janvier 2015 sur France Inter : « Ce que je veux, c’est que la France crée durablement des emplois. Or elle ne le fera que si la croissance dépasse 1 % ». Le moins que l’on puisse dire c’est que nous sommes loin de les atteindre. Malgré l’action de la Banque centrale européenne, l’estimation pour le mois d’avril signale un ralentissement de l’activité globale dans la zone euro par rapport au plus haut de onze mois enregistré en mars (3).

    Serge Latouche est parmi les objecteurs de croissance celui qui a le mieux définit ce que peut être une société de décroissance. Pour lui, la société moderne est basée sur une triple illimitation : dans la production de marchandises (avec destruction des ressources), dans la consommation (besoins artificiels, obsolescence programmée) et dans la production de déchets. Il appelle donc à sortir de ce piège mortifère au travers d’étapes indispensables. Ce sont ce qu’il nomme les « 8 R » : réévaluer, reconceptualiser, redistribuer, relocaliser, réduire, restructurer, réutiliser et recycler.

    Le but étant de retrouver une empreinte écologique égale ou inférieure à une planète, de relocaliser les activités, de restaurer l’agriculture paysanne et de lancer la production de biens relationnels, c’est à dire réinventer le bien commun en retrouvant une autonomie économique locale. 

    L’ancrage anthropologique de l’homo œconomicus doit disparaître au profit d’une société plus humaine. Il n’est plus question de « sauver des emplois » mais de sortir de la société travailliste et productiviste. André Gorz parle de bâtir la civilisation du temps libéré. Il faut changer les valeurs sur lesquelles repose la société, réduire l’incitation à la consommation ostentatoire, définir un projet collectif enraciné, encourager le commerce local, réduire le tourisme de masse, lutter contre le bougisme obsessionnel et la marchandisation du vivant, contre l’isolement engendré par le numérique et contre les grands projets inutiles. 

    On le voit, la décroissance est un projet révolutionnaire infiniment plus dense que ses détracteurs veulent bien le laisser croire. Il est surtout le seul paradigme véritablement nouveau qui offre un contre-projet de société viable et sans cesse en évolution. C’est la nouvelle utopie du XXIe siècle, un art de vivre, une vocation à reprendre la main et à façonner littéralement son mode de vie (4). 

    Guillaume Le Carbonel

    Notes

    1 : cf. La Décroissance, n° 118, avril 2015. 

    2 : cf. Le Monde, le 15 janvier 2015.

    3 : cf. Challenge.fr, mis en ligne le 23 avril 2015.

    4 : cf. Clara Breteau, La Décroissance, n° 114, novembre 2014.

    • D’abord mis en ligne sur Cercle non conforme, le 25 mai 2015.

    http://www.europemaxima.com/

  • Bardot à Ségo : « Comment pouvez-vous être une telle catastrophe écologique ? »

    Victime de la maltraitance des hommes, cette biche sait se comporter en véritable tigresse lorsque les chasseurs/prédateurs de la bonne société se conduisent comme des hyènes.

    Dans les années 50-60, les puritains de droite clouaient au pilori Brigitte Bardot parce qu’elle représentait la beauté, la féminité et la liberté. De nos jours, elle est considérée comme « réac » et « facho » par les néo-puritains de la gauche bobo parce qu’elle vilipende la décadence morale, le relâchement généralisé et la branchitude cosmopolite. Libre, toujours libre, BB ! Toujours en porte-à-faux avec son temps et ses modes dominantes. Entière, droite et de la droite la plus décomplexée ! Toute une vie marquée par la fierté solaire, le courage et l’indépendance d’esprit en honorant la France, au service des animaux et de la nature.

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  • L'escroquerie du réchauffement climatique !

    Quelles sont les causes réelles du changements climatiques ?
    Il suffit de constater que la température s'élève. de quelques degrés en moyenne sur la Terre. pour qu' aussitôt certains l'attribuent à la pollution consécutive aux activités humaines et prévoient le pire pour les générations futures. C'est le cri d'alarme d'Al Gore (voir NH n01163). 
    S'il est un fait que nous sommes dans une période de réchauffement climatique, nous ignorons ce que nous réserve l'avenir, et ceux qui font des "modélisations" climatiques sur ordinateur ont toutes les chances de se tromper. 
    Dans cet article, philippe Riey, conseiller régional FN en Midi-Pyrénées et ingénieur ENSIA, se fondant sur l'aspect purement scientifique d'un éventuel changement climatique, examine les variations du climat dans le passé, les changements climatiques récents observés et nous rappelle les principales théories explicatives.
    Les variations du climat dans le passé 
    Le climat des époques antérieures est enregistré .. en différents lieux : glaces du Groenland ou de l'Antarctique, sédiments marins, lacustres (par exemple lac Gerzensee, Suisse), et tourbières (Grande. Pile en France). Sont accessibles : composition de l'air de l'époque, température, poussières etc. Nous vous ferons grâce des détails techniques. 
    Le résultat met en évidence des variations cycliques sur de longues périodes que l'on relie à des phénomènes astronomiques bien identifiés et des variations rapides et brutales totalement inexpliquées. 
    Variations cycliques 
    Six grandes glaciations sont identifiables d'une période de cent mille ans chacune, d'une amplitude thermique de huit degrés centigrades accompagnées de montée et descente du niveau des océans. 
    Ces glaciations sont reliées à des événements astronomiques cycliques très bien connus à savoir : 
    - Excentricité de l'ellipse parcourue par la Terre autour du Soleil. Le diamètre de cette ellipse augmente et diminue en cent mille ans de façon cyclique. 
    - Changement de l'inclinaison de l'axe de rotation de la Terre par rapport au plan de l'ellipse. Période 40 000 ans. Variation 21,5 à 24,5 degrés .. 
    - Orientation ou "précession" de l'axe de rotation. Période 20 000 ans. 
    Naissance de la théorie de l'effet de serre 
    Au cours de chaque glaciation la température descend de huit degrés puis remonte d'autant (tous les cent mille ans) 
    Simultanément l'air emprisonné à l'époque (par des bulles dans la glace) voit sa composition changer. 
    Le C02 est présent à hauteur de 200 parties par million (ppm) quand il fait froid. Température "t" degrés 
    Il passe à 280 ppm quand il fait chaud. Température· "t + 8" degrés. 
    On se trouve devant la poule et l' œuf. Les mouvements astronomiques ne fabriquent pas de C02. 
    L'augmentation de température entraîne l'augmentation de C02 et non le contraire. Les partisans de la théorie de l'effet de serre nous expliquent que les événements astronomiques ne font que démarrer le réchauffement observé lequel produit du C02 qui fera l'essentiel du travail de réchauffement... 
    Même chose lors du refroidissement, à ceci près que personne ne nous indique pourquoi le C02 disparaît et où il passe. 
    La théorie de l'effet de serre est née. Bien des ombres accompagnent sa naissance. " 
    Les variations climatiques récentes 
    Un certain nombre de variations climatiques récentes de courtes durées ont superbement ignoré la théorie de l'effet de serre. 
    Younger dryas 
    Des Danois travaillant sur les glaces du Groenland ont découvert qu'il y a environ dix mille ans des variations de températures de 5° en cinquante ans sont apparues. La période a été baptisée Younger Dryas. Des universitaires bordelais travaillant sur des sédiments marins au large du Portugal notent des variations· de température de plusieurs degrés par siècle à la même période. Un Américain travaillant sur le niveau des mers en étudiant les coraux met en évidence une montée des mers de plus de trois mètres par siècle pendant cette même période. Coté effet de serre et teneur en C02 de l'atmosphère, pas de variation notable. 
    Ce n'est pas bien vieux, on est vers la fin du paléolithique. Certains hommes décorent Altamira, d'autres courent vite car la mer monte !! 
    Les mammouths congelés 
    On continue de trouver en Sibérie des mammouths surgelés (C' est-à dire: congelés rapidement). Certains avec du foin dans les dents! Des refroidissements brutaux ont eu lieu sans laisser de trace coté effets de serre.
    optimum climatique médiéval 
    Entre 950 et 1250 après JC, il a fait beau. Environ 1,5 degré de plus que de nos jours. Les Vikings se promenaient autour du Groenland qu'ils ont baptisé la « terre verte» et où ils ont trouvé de la vigne !! Les Francs qui devaient être frileux se promenaient du côté de Jérusalem. Aucune trace de variation de gaz à effet de serre! 
    Petit âge glaciaire 
    Nous voilà de 1430 à 1850. Au plus froid de cette période, on est entre trois et quatre degrés en dessous de la température régnant au plus chaud des Croisades. C'est le temps des famines et de l'immigration des Européens vers les Amériques. Effet de serre toujours absent. 
    De nos jours 
    De 1850 à nos jours la teneur en C02 monte de façon très régulière du fait des activités humaines. La température de la Terre monte ou non de façon indépendante des variations du C02 
    De 1850 à 1910 la température reste stable. 
    De 1910 à 1940 augmentation de 0,4° C en trente ans alors que le C02 dans l'atmosphère n'a pas encore beaucoup augmenté. 
    De 1940 à 1980 stabilité de nouveau pendant quarante ans. 
    Et de 1980 à nos jours, augmentation de 0,2°C de la température. La température moyenne sur terre a augmenté au total de 0,6°C en cent cinquante ans en deux courtes périodes l'une de trente ans l'autre de vingt ans. Les glaciers des îles Kerguelen ont reculé de 4 kilomètres, un refuge qui était au niveau de la Mer de glace du temps de Monsieur Pérrichon surplombe maintenant de 100 mètres le glacier. Nous sommes incontestablement dans une période de réchauffement climatique. C'est un fait. 
    Mais la corrélation entre ,température et C02 n'a rien d'évident! 
    Les théories explicatives 
    Les Chinois et les taches solaires 
    Les taches solaires ont été notées par les Chinois depuis quinze siècles et par les Européens depuis la Renaissance. Les variations de l'activité solaire sont corrélées avec les variations climatiques courtes et récentes: optimum médiéval, petit âge glaciaire et période 1910-1940. 
    Le mécanisme en cause est mal élucidé mais les corrélations sont là. 
    La théorie de l'effet de serre 
    Dans le passé lointain et sur de longues périodes une corrélation existe entre teneur en C02 et température sans qu'on puisse dire lequel des deux phénomènes est responsable de l'autre. La plus nette et plus compréhensible corrélation existe entre les mouvements astronomiques et la température. 
    L'effet de serre n'explique absolument pas les événements climatiques courts et récents: Younger dryas, optimum médiéval, petit âge glaciaire, réchauffement 1910 1940. 
    D'après cette théorie, l'énergie venant du Soleil (rayonnement visible et ultraviolet) ne serait pas arrêtée par le C02 produit par l'activité humaine. Le rayonnement émis par la Terre ,(rayonnement infrarouge) serait lui partiellement arrêté par le C02 produit par l'homme. Ce1a parait tout simple... La réalité est un peu plus compliquée. 
    Le plus important gaz à effet de serre est l'eau sous forme gazeuse. (Absorbe 90 watts/m2 dans l'infrarouge) soit trois fois plus que le C02 (32 watts/m2). L'eau sous forme de gaz à basse altitude contribue au réchauffement climatique.
    Mais l' eau peut en altitude devenir gouttelettes ou même cristaux de glace (dans les nuages). Sous ces formes elle retient moins d'infrarouges mais en revanche retourne la lumière solaire et les UV à l'envoyeur. Tout cela devient très compliqué et ceux qui font des "modélisations" climatiques sur ordinateur ont neuf chances sur dix 'de modéliser à coté de la plaque ... 
    En 1998 une pétition dénonçant la rhétorique de l'effet de serre avait réuni plus de 15000 signatures de scientifiques dont nombre de prix Nobel. Ces gens mettaient en doute la véracité d'une théorie non vérifiée sur autant de points précis. Depuis, à part des attaques personnelles contre les signataires, peu d'éléments nouveaux ont été versés au dossier pour la défense de cette théorie. 
    Laquelle est la bonne ? A vous de juger ...
    National Hebdo

  • 89 % des stations météos terrestres américaines transmettent des relevés erronés

    C'était il y a quelques mois une sorte de fierté pour Météo-France d'exposer sur son site les stations météorologiques d'autrefois, méticuleusement dressées dans des vergers ou des cimetières de façon que les données ne soit pas polluées par des sources de chaleur. Bizarre, bizarre... vous aurez quelques difficultés à les trouver, semble-t-il. C'est que la question est devenue de forte actualité dans le monde depuis qu'ont été mis à jour en Australie et aux Etats-Unis des relevés truqués transmis par des météorologues militants du Réchauffement Climatique, décidés à faire triompher par tous les moyens leur point de vue idéologique.

    Or cela n'est pas nouveau. Un météorologiste américain renommé, Anthony Watt, Watt'supwit-hthat, a publié en 2009 un rapport de 31 pages, illustré d'une centaine de photos révélatrices, intitulé : « Est-ce que les températures de surface relevées aux Etats-Unis sont fiables ? ». Avec un sous-titre qui ne laisse planer aucun doute sur ce qu'en pense l'auteur : « Comment imaginer que le réchauffement global puisse être un problème si nous ne pouvons pas faire confiance aux relevés de températures ? » Dans ce rapport, Watts démontre avec précision qu'un nombre considérable de stations météorologiques ne répondent à aucun des critères de sécurité imposés par les propres règlements du service de météorologie nationale. Et qu'on n'aille pas prétendre encore qu'en France nous ne serions pas concernés parce qu’étant épargnés par de telles aberrations. Watt précise qu'il a recruté 650 volontaires pour inspecter et photographier 860 des 1 221 stations météos américaines qui transmettent quotidiennement les relevés aux analystes du NOOA (l’Administration Nationale pour les Océans et pour l'Atmosphère, relevant du ministère du commerce), autorité de tutelle de toutes les structures travaillant ce qu'ils ont découvert aura été positivement "choquant" : « Nous avons, écrit-il, trouvé des stations installées contre les ventilateurs d'extraction d'unités de climatisation, entourées de parkings et de routes goudronnées, sur des toits brûlants, près de trottoirs ou de bâtiments absorbant ou irradiant la chaleur. Nous avons découvert 68 stations situées sur des sites de traitements des eaux usées dans lesquels le processus de digestion des déchets provoque des températures plus élevées que celles de l'environnement immédiat. » Ce qui l'emmène à cette conclusion stupéfiante : « En fait nous avons trouvé que 89 % des stations — 9 sur 10 — ne respectaient pas la distance de 30 mètres minimum de toute source de chaleur ou de radiation artificielle exigée par le Service National Météorologique. En d'autres termes, du fiât de leur situation, 9 stations américaines sur 10 enregistrent des données supérieures à la réalité. » Et d'observer que l'erreur provoquée par cette inflation des chiffres est très largement supérieure aux 0,7° d'augmentation de la chaleur au cours du XXe siècle qu'affirment les partisans du Réchauffement Climatique.

     

    Jim REEVES. Rivarol du 9 juillet 2015

  • Une alimentation saine et respectueuse du climat

    En décembre prochain, les chefs d’État et de gouvernements se retrouveront à Paris pour la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, où ils devront après d’âpres négociations conclure un accord détaillé sur la réduction des émissions de carbone et l’atténuation du réchauffement planétaire.

    A l’approche de cette réunion, les gouvernements devraient prendre note d’un fait crucial, mais souvent ignoré : la principale cause de la dégradation de l’environnement et de l’épuisement des ressources est le changement de notre alimentation – qui plus est, une alimentation peu propice à une vie saine.

    Au cours des dernières décennies, l’augmentation des revenus a entraîné une évolution radicale des habitudes alimentaires, avec en particulier une place croissante de la viande dans l’alimentation. Étant donné que l’élevage et le transport du bétail nécessitent plus d’intrants, de terres, d’eau et d’énergie que les plantes, l’accroissement de la demande en viande épuise les ressources naturelles, exerce des pressions sur les systèmes de production alimentaire, détruit les écosystèmes et contribue fortement aux changements climatiques.

    La production de viande consomme presque dix fois plus d’eau que la production de calories et de protéines végétales. Il faut par exemple 15.415 litres d’eau pour produire un kilo de viande de bœuf. C’est également une manière peu efficace de produire des aliments : 30 calories végétales sont nécessaires pour donner 1 calorie animale.
    Le cheptel mondial s’élève aujourd’hui à plus de 150 milliards d’animaux, comparé à 7,2 milliards seulement d’êtres humains, signifiant que son empreinte écologique directe est plus importante que la nôtre. L’élevage est responsable de 14,5 pour cent environ des émissions de gaz à effet de serre et contribue de manière sensible à la pollution des eaux.

    De plus, l’élevage consomme un tiers de la quantité totale de l’eau utilisée dans le secteur agricole (qui représente 71 pour cent de la consommation d’eau mondiale ) ainsi que 40 pour cent de la production mondiale de blé, seigle, avoine et maïs. Enfin, la production animale occupe 30 pour cent des terres, qui étaient auparavant des habitats naturels, jouant ainsi un rôle important dans la perte de la biodiversité et l’extinction des espèces.

    Il a fallu plus d’un siècle pour que le régime alimentaire européen comprenne de la viande à tous les repas, y compris au petit-déjeuner. Mais dans une grande partie de l’Asie, cette évolution s’est accomplie en une génération seulement. Les régimes alimentaires carnés se sont traduits par un problème d’obésité mondial, y compris et de manière surprenante en Chine, dont le poids croissant sur la scène internationale s’est accompagné d’un surpoids de ses citoyens.

    Les Américains sont les plus gros consommateurs de viande, après les Luxembourgeois. Compte tenu de la taille de la population américaine, c’est en soi un problème. Si le reste du monde rattrape les États-Unis – où la consommation annuelle de viande s’élève à 125,4 kilogrammes par personne, contre seulement 3,2 kilos en Inde – les conséquences environnementales seront catastrophiques.

    Les signes avant-coureurs sont déjà inquiétants. La demande de viande devrait augmenter de 50 pour cent entre 2013 et 2025, avec une progression relative dans les pays occidentaux et une flambée de la demande dans le monde en développement, en Asie en particulier.

    Pour répondre à cette demande, les producteurs de viande ont du adopter des pratiques d’élevage extrêmement problématiques. Pour s’assurer que les animaux prennent rapidement du poids, les éleveurs les nourrissent de grain, au lieu du fourrage qu’ils consommeraient naturellement – des pratiques qui exercent de fortes pressions sur la production de céréales, les ressources naturelles et l’environnement.

    Plus grave encore, le bétail est traité avec de vastes quantités d’hormones et d’antibiotiques. Aux États-Unis, 80 pour cent des antibiotiques vendus sont administrés de manière prophylactique aux animaux, sans pour autant empêcher la propagation des maladies.

    En fait, compte tenu de la transmission de nouvelles maladies infectieuses des animaux aux humains, les vétérinaires, microbiologistes et épidémiologistes tentent de comprendre l’écologie des maladies (comment la nature, et l’impact de l’humanité sur la nature, propagent les maladies).

    Et bien que les coûts environnementaux et sanitaires de l’évolution de nos régimes alimentaires aient été largement documentés, le message n’a pas été entendu. La crise mondiale de l’eau, l’augmentation rapide des températures, la croissance galopante de la population mondiale et les problèmes de santé émergents, comme l’insuffisance coronarienne, doivent nous inciter à opérer un changement radical – et rapidement.

    Pour commencer, les producteurs de viande doivent adopter des méthodes d’économie en eau, dont l’irrigation goutte-à-goutte, pour réduire les pressions sur les ressources naturelles. Parallèlement, les gouvernements et les groupes de la société civile doivent promouvoir des régimes alimentaires plus sains basés sur les protéines et calories végétales.

    Selon des recherches récentes, si les agriculteurs cessaient de produire des récoltes à destination de l’alimentation animale ou des agrocarburants, il serait non seulement possible d’éradiquer la faim dans le monde, mais également de nourrir quatre milliards de personnes en plus – soit plus que le nombre estimé de nouveaux arrivants avant que la population mondiale se stabilise. La consommation de viande est déjà responsable de plus d’émissions de gaz à effet de serre par an que la circulation automobile.

    Cela ne veut pas dire pour autant que tout le monde doit devenir végétarien. Mais une modification même partielle des habitudes alimentaires – comme choisir des volailles ou des produits de la mer plutôt que de la viande de bœuf – pourrait avoir un impact considérable. En effet, la production de viande de bœuf nécessite en moyenne 28 fois plus de terres et 11 fois plus d’eau que toutes les autres formes d’élevage, tout en produisant cinq fois plus d’émissions de gaz à effet de serre et six fois plus d’azote réactif.

    L’adoption d’un régime équilibré et majoritairement végétal, comprenant une consommation minimale de viande rouge et des produits carnés transformés, contribuerait à préserver les ressources naturelles, à limiter le réchauffement climatique d’origine anthropique et à réduire les maladies chroniques liées à l’alimentation et même la mortalité attribuable au cancer.

    Les gouvernements ont utilisé avec succès des lois, des réglementations et d’autres instruments pour décourager le tabagisme. Il est temps qu’ils en fassent autant pour l’alimentation, en encourageant les citoyens à manger équilibré – à la fois pour leur santé et celle de notre planète.

    Project Syndicate

    http://fortune.fdesouche.com/386531-une-alimentation-saine-et-respectueuse-du-climat

  • Restrictions d’eau pour les agriculteurs : STOP au deux poids, deux mesures !

     

    Tandis que les racailles gaspillent des milliers de mètres cubes d’eau, les agriculteurs et les particuliers sont rationnés. Cherchez l’erreur…

    Pendant la période de canicule qui a touché la France début juillet, des racailles issues pour une majorité d’entre eux de l’immigration, (dénommées « jeunes » dans les quelques médias « mainstream » qui ont relayé les faits) ont vandalisé des milliers de bouches d’incendie en France, principalement dans les « cités sensibles » de la banlieue parisienne, mais pas que… La presse s’est faite l’écho d’incidents répétés dans la métropole lilloise, en Seine Saint-Denis, dans le Val d’Oise ou dans la région lyonnaise, pour ne citer que quelques exemples.

    Le site « FDeSouche » a comptabilisé les actes de vandalisme de bouches incendies en France :
    Quelques jours plus tard, on apprend que la population française, et principalement les agriculteurs, est soumise à des restrictions d’eau liées à la sécheresse qui sévit depuis plusieurs mois sur une grande partie de l’Hexagone.

    Un rapide calcul permet de constater que les 30 000 000 de litres d’eau gaspillés rien que dans la métropole Lilloise auraient permis à raison de 10 litres d’eau par m², d’arroser 300 hectares de cultures …

    STOP à la culture de l’excuse du genre « “Ils ne font rien de mal, ils ne cassent pas de voitures… ils s’amusent avec l’eau ” (voir ci-dessous) !

    Comme d’habitude, en plus de payer les milliards d’euros dépensés en pure perte dans les banlieues, les Français et en particulier les agriculteurs vont se trouver privés d’eau pour assurer leurs récoltes, c’est à-dire le fruit de leur travail… Pendant ce temps-là, la racaille s’amuse… en gaspillant l’eau et en caillassant les forces de l’ordre

    Stop à cette racaille ! Agriculteurs, Français, réveillez-vous !

    Aux élections Régionales, renversez la Table ! Dites haut et fort : « On est chez nous ! Les Français d’abord ! »

    Franck GUIOT

    http://fr.novopress.info/

  • Météo : Un business au beau fixe

    Elle dicte notre façon de nous vêtir le matin, conditionne nos sorties et peut gâcher nos congés : la météo fait la pluie et le beau temps dans notre existence, en particulier durant les vacances. L’engouement des Français pour les prévisions météorologiques est spectaculaire: c’est l’une des applications les plus consultées sur smartphone.

    On supporte difficilement aujourd’hui une averse surprise sur la plage ou lors d’une balade à vélo… Certains font leurs propres prévisions en s’offrant une station météo individuelle, d’autres choisissent leur camping ou leur lieu de vacances en fonction des garanties de remboursement offertes en cas de pluie.

    Autrefois, Météo France occupait seule le terrain, mais aujourd’hui, des start-up ont fait de la météo une activité lucrative, en développant ce qu’elles appellent la “business intelligence climatique”.

    Elles proposent leurs services aux entreprises météo-dépendantes (fabricants de glaces, de boissons, jardineries, clubs de vacances…) afin qu’elles puissent ajuster leur offre saisonnière. En France, 25% du PIB serait lié aux conditions météo. Enquête sur la science du beau temps… pour éviter la dépression durant ses vacances.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Monsanto, la “reine des graines OGM”

     

    Vendre son poison et son antidote est l’assurance d’un business florissant. #DATAGUEULE s’intéresse à l’empire Monsanto, la “reine des graines OGM”.

    Cette entreprise américaine dont le siège est situé à Creve Coeur, dans le Missouri, est la cible prioritaire de ceux qui souhaitent défendre une agriculture durable et sans OGM.


    http://fr.novopress.info/

  • Réchauffement : elle va leur coûter cher aux Français la COP21-Paris !

    Le matraquage sur le réchauffement climatique qui se met en place va monter en intensité au cours des sept prochains mois. Pour atteindre son paroxysme entre le 30 novembre et le 11 décembre à Paris lors de la 21e Conférence des Parties qui est en somme l'organe dirigeant de la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique (CCNUCC). Il est absolument essentiel que cet événement soit perçu par les Français comme L'Evénement de la décennie à partir duquel François Hollande et sa clique espèrent bien relancer victorieusement leur maintien aux affaires en 2017. Mais il n'est pas le seul à viser une issue triomphale à cet exceptionnel rassemblement. Il suffit d'observer comment à peu près toutes les organisations internationales situées sous le contrôle de l'ONU — elles sont innombrables et ont déjà tissé sur la planète une toile gigantesque — entendent elles aussi retirer d'énormes bénéfices d'un enracinement définitif dans la conscience mondiale de l’inéluctabilité de ce Réchauffement Climatique fantasmé. Véritable religion civique globale, avec ses rites, ses missionnaires, ses évangiles, qui en appellent à une solidarité universelle en faveur de la réduction messianique des gaz à effet de serre, seule capable de sauver le monde. Portant de surcroît en germe l'unification mondiale dans une démocratie planétaire à laquelle nul ne saurait se soustraire.

    En tout cas si la plupart des banques internationales et des géants de l'industrie, des services, de la communication, des mines, de la chimie, de la pharmacie, des média se sont depuis longtemps soumis à cette tyrannie globale, les Etats eux-mêmes, avec toute la puissance de coercition qui est la leur disposent d'arguments impératifs pour faire appliquer les oukases définis par les assemblées supranationales.

    Pierre-René Lemas, directeur de la Caisse des Dépôts et Consignations, était le 21 mai l'invité de Patrick Cohen sur France Inter. Ce n'était pas une démarche anodine. Elle relevait en effet du formidable bras de fer engagé par le système mondialiste contre les dernières résistances des nations et des individus, au prétexte d'un réchauffement climatique camouflé en changement climatique. Lequel, depuis des dizaines de milliers d'années, fait partie des variations naturelles normales.

    Ce n'est donc pas un hasard si au premier rang des organisations qui se sont investies dans l'imposture climatique, on trouve la CDC qui a les moyens d'influer sur l'ensemble de l'économie française. Pas plus qu'il n'est surprenant qu'à sa tête François Hollande ait placé un serviteur qui a toute sa confiance et dont le parcours  est garant de celle-ci, l'ancien préfet Pierre-René Lemas.

    Avec un cynisme surprenant il n'a pas caché la pression considérable que l'organisation qu'il préside exerce sur l'ensemble de l'économie française. Son portefeuille s'élève à 22 milliards d'euros et les entreprises dans lesquelles la Caisse a des participations s'appellent Veolia Environnement, Accord, PSA, EADS, Schneider, Danone, Michelin, Suez, Areva, Saint-Gobain, Société Générale, Eiffage. Le gratin de l’industrie française. Certes ces participations sont minimes mais Lemas corrige avec désinvolture. Quand on l'interroge sur l'intérêt de détenir 2, 3 ou 4 % des actifs d'une société, il répond que, outre celui d'abonder les finances de sa société, « avec 5,5 % du capital d'une société on peut faire beaucoup. Vous pesez sur l'ensemble des décisions. Vous n'avez pas besoin d'avoir 100 % d'une entreprise ni 90 %. Il suffit que vous soyez présent au capital et au conseil d'administration, que vous ayez une politique actionnariale claire et que vous fassiez passer vos messages. » Cette politique, claire, s'appuie sur l'Etat, c'est une politique longue, 8, 10 ans, parfois plus qui engendre la confiance. « Dans l'économie verte, poursuit-il, nous allons accompagner toutes les résolutions des entreprises qui iront dans le bon sens. Nous allons voter contre toutes les résolutions qui n'iront pas dans le bon sens. Je peux vous dire que le vote de la caisse des Dépôts a du poids dans un conseil d'administration d'entreprise. » Quant à ceux qui sont encore réticents, on va les y contraindre : « Il faut convaincre, parfois contraindre, le monde de la finance d'aller dans le sens de l'économie verte ».

    LE CADEAU DE HOLLANDE : 1 MILLIARD DE DOLLARS !

    Ces moyens il les a. Ce sont d'abord ceux que lui donnent les Français avec leur épargne. Et il le clame avec une arrogance assez déplaisante : « La Caisse des Dépôts c'est l'épargne des Français. C'est le Livret A, votre Livret A, mon Livret. C'est 250 milliards d'actifs. Ça sert à financer le logement social, les entreprises, les infrastructures. L'argent de l'épargne des Français utilisée au service de l'économie. Notre rôle est d'être présent dans le capital entreprises. On accompagne les entreprises du CAC 40, les PME, les ETI, on est le principal financier des ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire) et des PME. » En réalité un peu plus de 50 % des sommes sont fournies par le livret A, 20% par le LDD, Livret de Développement Durable, et 18 % par le Livret d'Epargne Populaire. Sauf que l’on ne leur a jamais dit aux petits épargnants que leur argent n'allait pas intégralement au logement social ou aux PME mais que désormais ils devraient financer en priorité les sociétés industrielles acceptant de lutter contre le Réchauffement Climatique ! Et pas seulement : il a été calculé que 16 % de l'argent collecté par les Livrets A et LDD servent à financer la dette souveraine de la Zone Euro. « Le "green washing", dit-il, favorable à une économie verte en soi c'est bien. Maintenant il faut passer à l'acte. » Et passer à l'acte, c'est ceci « La Caisse des Dépôts elle-même, entre maintenant et 2017, va mettre 15 milliards d'euros, les crédits des Français, les fonds d'épargne, en faveur de la transition écologique et en faveur du climat. » Et ce n'est pas tout. Il va faire pression pour que l'ensemble de l'économie française se plie à cette règle. Ce qui n'est pas rien. « Vous savez, interroge-t-il, combien on mesure, grosso modo le besoin de financement à partir d'aujourd'hui ? A 60 milliards d'euros par an d'ici 2050 - 2 100 milliards d'euros en tout ! -. Il faut que les autres acteurs économiques s'y mettent aussi ».

    D'ailleurs le Fonds Vert pour le Climat, essentiellement abondé par les pays occidentaux, s'est vu initialement capitalisé pour un total de 93 milliards de dollars dont il est prévu qu'il ne s'agit que d'une somme "initiale" La France, à elle seule, dont on sait la richesse et la générosité, en dépit de sa dette supérieure à 2 000 milliards d'euros, a fourni la bagatelle de... 1 milliard de dollars ! Ils n'ont pas fini de la payer, la COP21, les Français.

    Pas de doute, on se trouve bien déjà au cœur d'une immense machination destinée à instaurer un système de gouvernance mondiale en prenant appui sur une escroquerie scientifique historique : le réchauffement climatique.

     

    René Blanc Rivarol du 28 mai 2015

  • Réchauffement : le gavage de cerveaux s'accélère

    Depuis le 1er janvier 2015 de nombreuses manifestations se sont déjà succédées en préparation la COP21-Paris. 

    Le 26 février, ânonné par la starlette Marion Cotillard depuis la capitale des Philippines et « voulu par François Hollande », l'Appel de Manille pour l’action pour le climat.

    Le 28 mars 2015 le WWF, qui en est l'instigateur, prétend que l'Heure de la Terre aurait été respectée dans 172 pays et rien moins que 620 000 actions menées à bien par des bénévoles en faveur de la lutte contre le Changement Climatique. Ce fut l'occasion pour Ban-Ki-Moon d'ajouter une autre perle de sottise à son long palmarès : « Les gens peuvent résoudre le chargement climatique, s'est-il écrié. L'heure de la Terre du WWF montre ce qu'il est possible de faire lorsque nous nous unissons pour soutenir une cause. »

    Le 31 mars 2015 c'est la soumission des contributions des parties à la CCNUCC (Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques), notamment en engagements à réduire les émissions de gaz à effet de serre anthropiques.

    Le même 31 mars 2015, c'est aussi le salon Pro-Durable, à Paris, « l'événement professionnel phare dans l'agenda du développement durable et de la Responsabilité sociétale des entreprises ».

    Sous le patronage du ministère de l'Écologie, du Développement Durable et de l'Énergie, soutenu par les principaux réseaux professionnels (ORSE, OREE,IDDRI,EPE...).

    Le 6 mai 2015 14 lycées d'Ile-de-France et 450 lycéens ont participé à des manifestations initiées et pilotées par la Driee (Direction Régionale et Interdépartementale de l'Environnement et de l'Energie) et les académies de Créteil, de Paris et de Versailles, en partenariat avec la Région Ile-de-France et les ONG CliMates et Fréquence School. En présence de Ségolène Royal et de Najat Belkacem. Le but était de présenter leur propre accord sur le Climat.

    Le 14 mai 2014, pendant trois jours, 1 000 jeunes conçoivent, fabriquent et habitent une ville du futur qu'ils démonteront pour la reconstruire ailleurs.

    Le 20 mai 2015 un millier de responsables d'entreprises et de décideurs politiques se sont réunis à Paris à l'appel de Ban Ki Moon dans le cadre du Business Climate. « Travailler ensemble pour construire une meilleure économie », telle est leur devise.

    Le 22 mai 2015 ce fut la Journée de la Finance, « Climate Finance Day ». Afin « de créer un effet d'entraînement au sein de la sphère financière dans son ensemble et de souligner la pertinence des solutions issues de la finance privée pour lutter contre le changement climatique ». Pierre-André Lemas et sa Caisse des Dépôts et Consignations étaient parmi eux.

     

    R.B. Rivarol du 28 mai 2015