![]()
Depuis le 21 mai 2025, de nouvelles règles imposées par l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) encadrent l’utilisation de termes comme « vert », « durable » ou « transition » dans les noms des fonds d’investissement.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
![]()
Depuis le 21 mai 2025, de nouvelles règles imposées par l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA) encadrent l’utilisation de termes comme « vert », « durable » ou « transition » dans les noms des fonds d’investissement.

Etonnant, ces « études » qui sortent, les unes derrière les autres, pour expliquer que non, on n’est pas spécialement malade dans une voiture électrique, que oui, elles sont encore plus économiques et plus écologiques que ce que l’on pensait, que oui encore, elles coûtent encore moins cher à l’utilisation que ce qu’on pensait, que non, les temps de recharge ne plombent pas les temps de trajet. En gros, ça doit vouloir dire qu’on est malade dedans, qu’elles coûtent plus cher que prévu et que les temps de trajet sont interminables. Il faut bien bien développer une contre information pour essayer d’obliger les gens à les acheter étant donné qu’ils s’en détournent massivement. Il est vrai que quand on voit ce que devient la batterie d’un simple téléphone portable au bout de trois ans, ça ne donne pas trop envie d’acquérir un ordinateur à roulettes. D’ailleurs, une autre « étude », plus confidentielle celle là, montre que les propriétaires de voitures électriques les gardent en moyenne trois ans et que cela va générer des tonnes de carcasses pas trop recyclables, en gros un désastre écologique n’est pas bien loin. On peut ajouter qu’elles peuvent prendre feu de manière intempestive et mettent en échec les techniques habituelles des pompiers.
Le numérique planétaire et le « Sans frontières » de la mondialisation profitent amplement aux différentes mafias de la drogue, des armes, de l’immigration, du blanchiment d’argent sale, de la criminalité organisée, du terrorisme, et facilitent également des escroqueries comme la fraude à la TVA dans le cadre de la mise en place de la taxe carbone. Des boîtes aux lettres dans plusieurs pays, des passages virtuels dans chacun d’eux, et c’est le « carrousel » de la fraude.

par Serge Van Cutsem
«On fabrique un réchauffement en déplaçant les capteurs, pas en observant le climat».
Ce texte n’est ni une provocation, ni un acte de déni. Il s’appuie sur des faits vérifiables, des normes techniques reconnues (OMM), et des audits rigoureux (SurfaceStations.org). Il ne remet pas en cause l’existence de phénomènes climatiques, mais interroge la fabrication du récit, la fiabilité des mesures, et surtout l’omerta médiatique qui interdit d’en débattre librement. Dans un monde rationnel, cette démarche relèverait de la méthode scientifique classique : poser des questions, confronter les sources, analyser les biais.

FRANCE-ÉCOLO
Pétition contre la loi Duplomb : il faut absolument dénoncer cette énorme manipulation de toute la gauche. Remettre les pendules à l’heure, Julien Odoul excellent sur le sujet. Qui est à la manœuvre ? Les écolos qui, par Sandrine Rousseau, assument leur mépris pour le monde paysan, et les Insoumis qui invitent la racaille à prendre possession des campagnes. Des députés ayant voté la loi sont victimes de menaces et de dégradations.

Le réchauffement climatique est un sujet dont on nous parle depuis les années 1980. En 1988, le GIEC fut fondé. En 2025, nous sommes légitimement en droit de nous interroger : A-t-il rempli ses objectifs ?
Le GIEC multiplie les rapports et ceux-ci sont, selon les comptes rendus des médias, toujours plus catastrophiques. On pourrait le résumer ainsi : Nous allons tous mourir et personne n’en a rien à faire. Cette situation est bien évidemment paradoxale : Comment un organisme qui bénéficie de tant d’échos peut-il avoir si peu d’influence réelle ?
À l’inverse, car nous aimons les paradoxes, nous constaterons que les impôts justifiés par l’écologie sont désormais élevés et donc, le GIEC a un impact : Sur les factures.
La torpeur estivale associée à la pauvreté de l’info a toujours été propice à la croissance des marronniers. Inusables depuis des décennies. Yéti, Big Foot, serpent à sornettes du Loch Ness, fantômes et ectoplasmes, soucoupes volantes, recettes pour devenir irrésistible ou apprivoiser sa belle mère…
Cette année, un nombre croissant d’ignares au QI déficient, motivés par l’ambition de faire parler d’eux, se sont improvisés scientifiques. Après tout pourquoi pas ? Après la mongolienne illettrée venue du Grand Nord pour faire du yachting chez les salafistes, tout le monde peut se dire savant. Surtout s’il fait partie d’une secte réchauffiste.