économie et finance - Page 235
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Halte au suicide économique !
Bouclés depuis le 16 mars en raison du confinement général décrété par un Président de la République incapable de faire face à la crise sanitaire du Coronavirus, tous les commerces de proximité non-alimentaires ont été abusivement fermés et se retrouvent aujourd'hui dans une situation dramatique.Alors qu'Emmanuel Macron a décidé, sans demander l'avis des Français, d'annuler la dette abyssale des pays africains, les commerçants et artisans voient leurs charges fiscales, déjà écrasantes en temps normal, seulement différées !Les observateurs de la vie économique française prévoient déjà la fermeture définitive de plusieurs milliers de bistrots, restaurants, hôtels, magasins, TPE, etc.Le Parti de la France exige la réouverture immédiate des commerces de proximité, de l'ensemble des entreprises françaises et de tous les services publics. Halte au suicide économique !Site du PdF cliquez ici -
Annulation de la dette : le Zambèze avant la Corrèze
Macron et le pape François ont une solution miracle pour combattre le coronavirus : opérer une annulation massive de la dette des pays pauvres. Vous voyez le rapport ? Pas vraiment. Mais le pape François pousse à cette annulation. Il l’a dit dans son message pascal. Lundi, le président Macron a évoqué lui aussi une « annulation massive » de cette dette.
Montant de la dette : 365,5 milliards d’euros. Ce n’est pas une bagatelle. Mais après tout, au point où l’on en est… 25 pays seraient les heureux bénéficiaires de ce transfert de richesses. Parmi ces pays, figurent plusieurs pays francophones, d’anciennes colonies françaises avec lesquelles nos liens restent évidemment très forts, comme la Centrafrique (ex-Oubangui-Chari), Madagascar, le Mali (ex-Soudan français), la Guinée, etc. Pays pauvres ? Si l’on veut. Mais, dans ce groupe de 25 pays pauvres, on trouve des pays potentiellement riches comme, par exemple, la République démocratique du Congo (ex-Congo belge), pays immense, eldorado victime de guerres internes à répétition.
Sur CNews, Eric Zemmour a souligné l’aberration ou du moins le caractère très inapproprié de cette proposition présidentielle, au moment précis où l’on nous prépare à une catastrophe économique sans précédent, dans un contexte de récession mondiale : « Les Français qui ont entendu cela auraient préféré qu’on annule leurs dettes à eux. » Mais l’éditorialiste a aussi émis quelques hypothèses sur cette soudaine générosité en pleine crise sanitaire : « Je pense qu’ils annulent la dette pour empêcher une nouvelle vague migratoire vers l’Europe. »
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Un plan européen qui confirme la domination germanique
Un plan de lutte contre la crise du coronavirus a été validé par les ministres des Finances de la zone euro : 540 milliards d’euros pourront être injectés pour soutenir l’économie. Trois moyens de financement sont mis en œuvre. Le Mécanisme européen de stabilité (MES) est activé pour un montant de 240 milliards d’euros. Ensuite, la Banque européenne d’investissement (BEI) prévoit d’accorder 200 milliards d’euros de prêts aux entreprises. Enfin, la Commission européenne prévoit 100 milliards d’euros pour le financement du chômage partiel, comme le rappelle Capital.
Les divergences ont été surmontées. Les Pays-Bas souhaitaient, en contrepartie de l’aide du MES, que les pays bénéficiaires réalisent des réformes. Cette exigence n’a pas été maintenue. Par ailleurs, les corona bonds n’ont pas été acceptés malgré les demandes de la France, de l’Italie et de l’Espagne. Ces obligations mutualisées entre pays européens ont été refusées par les Pays-Bas, l’Allemagne et des pays scandinaves.
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L'Afrique malade de la cupidité occidentale
Occident affiche une schizophrénie un peu pathétique vis-à-vis de l’Afrique. Je t'aime, mais j’aime encore plus tes richesses Moyennant quoi, l’actuelle domination occidentale sur Afrique n’est assumée par personne. Un non-dit qui cause bien des dégâts. À tout le monde - sauf bien sûr aux actionnaires de quelques boîtes omnipotentes et parasitaires. Comme si on avait décolonisé Afrique pour mieux la capitaliser.
Denis Sassou-Nguesso, président de la République démocratique du Congo, a récemment publié un ouvrage en forme de plaidoyer pour l'Afrique, très axé sur les enjeux écologiques à venir(1). Il évite de se vautrer dans les poncifs mille fois rabâchés sur ces « sales cons de Blancs » qui sont venus tout casser en Afrique (même s'il n’en pense pas moins). Ses vues sur la domination économique de l'Occident sont, de son point de vue, imparables. « La traite et la "civilisation coloniale" ont été des chocs terribles, mais les Trente Glorieuses en représentent un autre, plus récent, dont nous n'avons encore pas tout à fait mesuré l'impact. » Nous non plus. Il n'est certes pas question de se culpabiliser - ça ne sert à rien. Mais ignorer les faits ne mène guère plus loin. « En augmentant le niveau de vie de leurs populations, les nations occidentales ont pendant trente années dégradé l'environnement global de la planète en surexploitant ses ressources naturelles, dont les nôtres en majeure partie. » Eh oui !
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L’indécence du MEDEF, remise en cause du temps de travail et des congés payés !
Pour le président du Medef, Geoffroy Roux de Bezieux, estime dans une interview publiée samedi dans Le Figaro qu’il faudra à l’issue de la crise, engendrée par l’épidémie de coronavirus, se poser la question « du temps de travail, des jours fériés et des congés payés » pour accompagner la reprise économique.
« L’important, c’est de remettre la machine économique en marche et de reproduire de la richesse en masse, pour tenter d’effacer, dès 2021, les pertes de croissance de 2020 », déclare le président de la première organisation patronale française.
« C’est la création de richesses qui permettra d’augmenter l’assiette des impôts et donc les recettes, et ainsi de rembourser la dette accumulée pendant la crise », ajoute-t-il.
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Annulation de la dette des pays africains : exigeons des contreparties !
Suite à la prise de parole du président de la République, les Identitaires ont réagi au projet d’annulation de la dette des pays africains…
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Emmanuel Macron a annoncé lundi soir une annulation de la dette des pays africains. Celle-ci ne vise pas à contenir l’épidémie mais à stabiliser les régimes africains au sortir de la crise sanitaire. Qu’a demandé le président de République en échange de cette générosité ?
Les dirigeants africains se sont-ils engagés à tout entreprendre pour mettre fin à l’immigration illégale ? Se sont-ils engagés à accepter le retour de leurs ressortissants en situation irrégulière en France ?
Les Français sont en droit de l’exiger, il en va plus que jamais de leur sécurité. La menace sanitaire s’ajoute durablement à toutes celles que faisait déjà peser l’immigration massive. Dans cette crise sans précédent, le président serait avisé de défendre enfin les intérêts des Français.
Texte repris du site de : Les Identitaires
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Macron annonce que la France et l’Europe vont devoir aider « nos voisins d’Afrique » en « annulant massivement leurs dettes »
«Nous devons aussi savoir aider nos voisins d’Afrique sur le plan économique en annulant massivement leur dette», déclare le président de la République Emmanuel Macron
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Conséquences économiques disproportionnées du coronavirus sur un Système déjà en faillite
Marc Rousset
Les civilisations occidentales matérialistes, décadentes et hédonistes ont tellement peur de la mort qu’elles ne veulent plus la voir en face et surréagissent médiatiquement face à la moindre épidémie. À ce jour, les 10.000 morts en France représentent moins de 2 % des 580.000 décès annuels. Dans les années 1880, la tuberculose tuait, tous les ans, 100.000 personnes dans une France beaucoup moins peuplée. La canicule de 2003 fit, à elle seule, 15.000 morts. Pour relativiser encore, selon l’OMS, tous les ans, la grippe saisonnière provoque, dans le monde, 5.000.000 de cas graves, dont 280.000 à 600.000 décès. À ce jour, le coronavirus a provoqué environ 100.000 décès.
Nous allons donc connaître une catastrophe économique en France seulement parce que le pays ne dispose pas de masques et d’appareils respiratoires en nombre suffisant, suite au laxisme de nos élites. Et le plus grave, c’est que ce choc économique disproportionné par rapport à la gravité sanitaire réelle du coronavirus viendra heurter un système économique déjà en faillite, provoqué par ce même laxisme décadent, droit-de-l’hommiste, hédoniste, socialiste, gauchiste.
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Épargnants, sauvez votre argent !
Le mégakrach est là, et bien là, comme je l’avais annoncé dans une vidéo YouTube du 31 décembre dernier (Le mégakrach aura bien lieu). On me dira que l’on ne pouvait pas prévoir la pandémie qui l’a provoqué : mais la situation financière mondiale, le niveau record d’endettement, la spéculation frénétique, appuyée sur des produits dérivés hyper risqués, l’intervention massive des banques centrales, qui a conduit à cette incongruité totale des taux négatifs, tout donnait des signes d’une rupture imminente. Le monde de la finance cherchait un bouc émissaire pour endosser la catastrophe à sa place et pouvoir, ainsi, oser réclamer le soutien des États : le patron de Goldman Sachs avait expliqué au journal Les Échos que, si crise il devait y avoir, la guerre commerciale USA/Chine en serait la principale responsable.
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Dans Marianne, le coronavirus annonce "la fin du capitalisme néolibéral", selon le chef économiste de la banque Natixis.
Le temps du capitalisme néolibéral, qui a misé sur la globalisation, la réduction du rôle de l’Etat, les privatisations et la faiblesse de la protection sociale, est révolu selon Patrick Artus, chef économiste de la banque Natixis.
Ce n’est pas un poisson d’avril. Très productif en analyses, le chef économiste de la banque Natixis Patrick Artus a publié le 30 mars une note où il prédit tout simplement "la fin du capitalisme néolibéral" à cause de la crise du coronavirus. Ces dernières années, cet économiste s’est habitué à sortir, une fois de temps en temps, des sentiers battus de la pensée dominante. Il avait notamment clamé haut et fort que "Marx avait raison" en février 2018.