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économie et finance - Page 519

  • Balkany part en croisade contre les privilèges de la presse et des journalistes

     

    Source : Ojim.fr Bien connu pour ses relations tendues avec les médias et les journalistes, Patrick Balkany vient de déposer trois propositions de loi visant à réduire les privilèges de la profession journalistique.

    Ainsi, comme indiqué dans le Journal officiel du jeudi 23 juillet, la première d’entre elles vise à supprimer « l’avantage fiscal dont bénéficient les journalistes dans le calcul de leur impôt sur le revenu », la deuxième vise à supprimer les aides à la presse écrite, ce qui se justifie par « l’état de nos finances publiques », et la troisième plaide en faveur de « la privatisation de l’audiovisuel public ».

    Concernant l’avantage fiscal, Patrick Balkany dénonce un « privilège qui ne se justifie plus aujourd’hui, continue de perdurer, créant ainsi des situations inégalitaires qu’il faut corriger ».

    Pour le maire de Levallois-Perret, la presse est « un secteur sous perfusion d’argent public qui peine à se réorganiser et à opérer sa transition numérique ». De plus, « ces mêmes journaux qui, régulièrement, dénoncent la gabegie financière de l’État, nous prédisent une banqueroute prochaine si les politiques ne se ressaisissent pas, fustigent la mauvaise gestion financière des collectivités locales, là encore trop dépensière. Cette presse semble oublier – ou tout du moins feint d’oublier – qu’elle coûte aux Français, qu’ils soient ou non lecteurs, plusieurs centaines de millions d’euros chaque année ».

    Enfin, à propos de la privatisation du service public, il déclare : « Alors que notre pays est dans une situation économique difficile, qu’il nous faut réaliser des économies budgétaires drastiques et que les Français croulent sous les impôts et les taxes, on peut s’interroger sur la pertinence de conserver, au regard des montants engagés chaque année, les groupes généralistes du secteur audiovisuel public: France Télévisions et Radio France. » Et celui-ci de souligner le « manque d’objectivité et la partialité évidente de certains programmes diffusés sur ces chaînes publiques ».

    La guerre entre certains médias et l’homme politique n’est pas prête de s’arrêter…

    http://fr.novopress.info/

  • Après un an d’absence, la « Troïka » revient en Grèce

    Des représentants des créanciers de la Grèce, UE et FMI, entameront lundi à Athènes les discussions avec les autorités grecques sur un nouveau prêt au pays.

     

    Les équipes techniques des créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) doivent commencer à arriver à Athènes ce week-end mais les chefs de mission n’arriveront que d’ici à jeudi, a déclaré samedi soir une source du ministère grec des Finances. Les discussions débuteront dès lundi entre les équipes techniques et des responsables grecs pour finaliser l’accord sur un nouveau prêt international au pays, a indiqué de son côté un porte-parole du FMI. Les chefs de mission des créanciers « seront en retard d’un ou deux jours », ils seront à Athènes d’ici à jeudi, a précisé cette source.

    Quelques heures auparavant, la même source avait indiqué à l’AFP que Declan Costello, de la Commission européenne, Rasmus Rüffer, de la Banque centrale européenne (BCE), Delia Velculescu, du Fonds monétaire internationale (FMI), et Nicola Giammarioli, responsable du Mécanisme européen de stabilité (MES), se rendraient à Athènes ce week-end. « Le retard des chefs de mission est dû à des raisons techniques et non pas à des raisons politiques ou diplomatiques », a expliqué cette source qui n’a pas donné plus d’information sur les lieux de ces rencontres.

    Samedi matin, un porte-parole de la Commission n’a pas voulu confirmer la date exacte de l’arrivée des représentants des créanciers à Athènes, indiquant juste qu’ils s’y rendraient dans « les prochains jours ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-un-an-d-absence-la-Troika

  • L'échec programmé de la loi Duflot-Hollande

    L'entrée en vigueur des dispositions encadrant les loyers le 1er août s'annonce dès maintenant pour plutôt catastrophique.

    Au gré d'un dispositif fort compliqué en effet cette nouvelle politique de "l'encadrement" va, non seulement ne pas enrayer, mais plutôt contribuer au renchérissement des loyers, conséquence du déficit de production, construction ou aménagement de maison et d'appartements.

    Plus de 16 mois après son départ du gouvernement il s'agit d'un legs de Mme Duflot. Celle-ci a été, dans les deux gouvernements de Jean-Marc Ayrault, donc jusqu'au 31 mars 2014, Ministre du logement et de "l'égalité des territoires". Cette appellation plutôt grotesque s'apparente à celle du "Redressement industriel" attribuée à Montebourg. Elle dure encore. Nommée le 16 mai 2012, la dirigeante écologiste avait immédiatement affirmé sa doctrine : le blocage des loyers "à la relocation". C'est dès le 4 juin dans Libération, qu'elle présentait sa décision : "Il s'agit d'une disposition d'urgence pour répondre à la crise du logement qui pèse sur les ménages".

    En réalité cette "mesure" comme la plupart des initiatives sur lesquelles les politiciens "communiquent" ne sont pas autre chose que de vieux dossiers traînant dans les cartons de leurs administrations. La réactivation d'un vieux dispositif remontant à 1989 était dans les tuyaux.

    Ainsi fera-t-elle voter une loi kilométrique dite "Alur", - "pour l'accès au logement et un urbanisme rénové". Ce texte se propose (Titre Ier) de "favoriser l'accès de tous à un logement digne et abordable". Il sera promulgué par Hollande et publié au Journal officiel le 24 mars 2014, puis aggravé par la loi Alur-2015 de Sylvia Pinel, ministre "radicale de gauche" qui lui a succédé le 2 avril — l'ensemble alourdissant encore la réglementation, afin de "réguler les dysfonctionnements du marché" avec pour effet de pénaliser l'offre de logements : faut-il s'étonner des conséquences ?

    Il ne faut donc pas croire que la gauche au pouvoir ne dispose plus, en vue de sa réélection, que de la possibilité de faire voter des lois que l'on appelle désormais "mémorielles" ou "sociétales".

    Cette gauche "pas chère" s'en prendrait en effet, sans difficulté, à des symboles, voire à ce qu'on dénomme également du mot incertain de "valeurs" : ainsi de la loi Taubira instituant ce que ses promoteurs désignent comme "le mariage pour tous". Si cette transformation considérable a remué les consciences de millions de Français, généralement peu sensibles aux sirènes de la gauche, si elle en a fait descendre dans la rue des centaines de milliers, elle n'a pas sensiblement modifié les déséquilibres monétaires calculés à partir des règles de l'Eurozone. Et cela seul expliquerait que le gros roublard Hollande se soit engouffré dans cette brèche.

    Hélas cette analyse ne résiste pas aux faits.

    Certes, sur ce terrain, comme sur un certain nombre d'autres, par exemple les discours culpabilisateurs à sens unique sur la case de l'oncle Dom-Tom, sordide ficelle électorale qui ne trompe même pas les intéressés, ou les voyages en Algérie, etc. aucun compte n'est à rendre dans les réunions de la zone euro.

    Le propos reste encore et toujours la destruction sociale et culturelle.

    Car, non seulement tout cela contribue à dissoudre le lien social et national, non seulement cela aggrave encore les campagnes de haine de la France et des Français qui nourrissent le terrorisme, ce qui n'est pas rien… mais il faut se rendre aussi à une autre évidence.

    Hollande et ses ministres, depuis 2012, s'ils passent pour avoir été incapables de mener à bien les vraies réformes dont le pays a besoin, ont mis en place des aggravations, des contraintes, des carcans, des charges, des interventions qui ruinent encore plus la France et les Français, entravent leur prospérité et empêchent leur redressement.

    On ne saurait oublier par conséquent que depuis 2012 ont été mises en place des législations nouvelles dont les promoteurs se croient en droit de revendiquer le caractère de "réforme".

    Du chamboulement des programmes scolaires par Mme Vallaud-Belkacem, au retour 15 ans en arrière du monopole ferroviaire pour complaire à M. Pépy et, en partie, à la CGT, les dégâts collatéraux des pseudo-réformes inutiles ou dommageables de M. Hollande se révèlent ainsi probablement aussi redoutables que sa mollesse à accomplir celles qui seraient nécessaires.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Crise des éleveurs : les agriculteurs maintiennent la pression

    Malgré les accords trouvés ces derniers jours, les éleveurs sont restés mobilisés dans plusieurs régions de France. Près de neuf Français sur dix approuvent leur mouvement de contestation, tandis que 81% d’entre eux se disent prêts à payer plus cher pour acheter de la viande et du lait français.

     

    La crise des éleveurs aura eu pour grand intérêt de faire prendre conscience à l’opinion publique et aux responsables politiques de la gravité de la situation. Selon un sondage BVA-Orange-iTELE publié vendredi, les Français soutiennent les agriculteurs : près de neuf Français sur dix (88%) approuvent le mouvement de contestation des éleveurs français, mobilisés depuis plusieurs jours pour protester contre la faiblesse des prix de la viande et du lait. Et ils se disent prêts à les aider : 81% des personnes interrogées se déclarent également « prêtes à faire un effort financier » pour privilégier le lait et la viande français. En revanche, ils ne font pas confiance (78%) au gouvernement en place pour améliorer leur situation.

    Cette crise n’est d’ailleurs pas terminée. Péages gratuits et opérations escargot sur autoroute, vérification de la provenance des viandes dans de nombreux supermarchés.... Malgré une série de réunions d’urgence et d’accords cette semaine pour relever le prix du boeuf, du porc et du lait, les éleveurs sont restés mobilisés ce samedi dans plusieurs régions de France. Ils disent vouloir vérifier que les promesses seront tenues ou jugent les résultats insuffisants.

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Crise-des-eleveurs-les

  • La France rurale, en colère, fait trembler l’exécutif

    Au lendemain des annonces faites par le gouvernement, les agriculteurs poursuivent leur mobilisation.

    Le plan d’aide d’urgence aux éleveurs, d’un montant de 600 millions d’euros, a reçu un accueil plus que mitigé de la part du monde agricole du pays et de ses représentants syndicaux, ne réclamant ni aides ni primes mais la possibilité de vivre du fruit de leur labeur.

    François Hollande s’est rendu à Dijon ce matin pour rencontrer des agriculteurs et tenter par un bavardage insipide et incantatoire de calmer leur colère :

    « Nous devons agir sur ce qu’est le sujet, c’est-à-dire les prix, aussi bien du lait que de la viande, et je pense à toutes les productions, porcine, bovine, et d’autres encore… »

    Même vide chez le Premier ministre, Manuel Valls, qui a sorti la posture éculée de la fermeté :

    « Je condamne toujours avec la plus grande fermeté la casse et les violences (…) La colère ne permet pas tout ! »

    Il n’a cependant pas pu, dans ce dossier sensible, en appeler à « l’esprit Charlie » pour tenter de mater toute contestation, et s’est révélé autant hier à l’Assemblée nationale qu’aujourd’hui au micro de RTL totalement hors sujet, montrant par la banalité de ses prises de parole qu’il ne maîtrise aucunement le dossier :

    « Il faut (…) que chacun prenne ses responsabilités, notamment les abatteurs et les industriels. Il est essentiel que les prix augmentent dans la filière du bœuf… »

    Le Premier ministre a assuré que les pouvoirs publics allaient renégocier tous les contrats d’approvisionnement pour aller vers une généralisation de l’approvisionnement local dans toutes les restaurations collectives d’État, une décision qui aurait dû être prise il y a des années, preuve de l’incapacité de nos gouvernants à donner la priorité aux produits français.

    Enfin, Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, s’est vanté d’avoir demandé et obtenu la tenue d’un conseil des ministres européens de l’Agriculture en septembre sur la crise de l’élevage. Preuve, s’il fallait encore en donner, que Paris a totalement cédé sa souveraineté à « l’étranger ».

    Dans la journée, de 10 à 15 000 éleveurs se sont mobilisés dans le pays et ont procédé à des blocages, manifestations et autres démonstrations en périphérie de Lyon, en Auvergne, en Bourgogne, en Franche-Comté dans le Limousin, en Poitou-Charentes, dans le Centre, en Bretagne, en Normandie et dans le Nord.

    Les tracteurs se sont rassemblés dans le centre de Lyon pour entendre le secrétaire général des Jeunes Agriculteurs, Florent Dornie, et le président de la FNSEA, Xavier Beulin, qui n’est pas le mieux placé pour défendre ses collègues. En effet, comme le révèle le journaliste et critique gastronomique Périco Légasse dans l’édition en ligne du Figaro du 22 juillet :

    « Sublime paradoxe, la patron de la FNSEA, premier syndicat agricole, Xavier Beulin, qui discute avec le ministre, est président de la multinationale Sofiprotéol, propriétaire de plusieurs marques agro-alimentaires, dont l’une des filiales à 100%, la société Farmor (Glon-Sanders), à Guingamp, importe des centaines de milliers de tonnes de poulets industriels brésiliens produits dans des conditions ignobles. D’une main j’envoie mes éleveurs de volailles faire des actions commandos, d’une autre j’importe en masse, ce qui les conduit à la ruine. Tout un symbole des aberrations de notre époque. Une question historique se pose alors, qu’est-ce que ce monsieur fait à la table des négociations ? »

    Il est assez remarquable de constater le silence total sur les conséquences financières dans le monde de l’élevage des mesures prises par Moscou, après la mise en place de sanctions stupides par Paris dans le cadre du dossier ukrainien.

    Il faut souligner que les annonces faites par l’exécutif ne sont qu’une addition de mesurettes, qui contreviennent pour une partie d’entre elles aux règlements européens, et cela face à une opinion publique acquise à la cause paysanne. Il est à craindre cependant qu’au final, et comme à l’accoutumée, le monde agricole ne se fasse une nouvelle fois enfumer et que les consommateurs soient victimes d’une hausse des prix. Dans l’immédiat, de nouveaux mouvements sont à prévoir dans les jours prochains.

     

    Sourceegaliteetreconciliation.fr

    http://www.altermedia.info/france-belgique/egalitereconciliation/la-france-rurale-en-colere-fait-trembler-lexecutif_139330.html#more-139330

  • 17 députés français se rendent en visite officielle en Crimée, dans un contexte de crise agricole due aux sanctions russes.

    C’est à l’initiative du député républicain, Thierry Mariani, que  dix-sept parlementaires (dont 3 sénateurs) sont partis mercredi pour Moscou. Thierry Mariani, Nicolas Dhuicq, Jacques Myard, Yves Pozzo Di Borgoainsi que la plupart de leurs compagnons de voyage, sont des récidivistes; en septembre 2014 ils s’étaient déjà rendus en Russie en compagnie de 14 parlementaires pour assurer le Kremlin de leur soutien dans la crise ukrainienne. Ils ont, comme la fois précédente, rencontrer Sergeï Narychkine, le Président de la Douma. L’originalité, cette fois-ci, tient au fait qu’ils se sont rendus en Crimée. Le rattachement de la Crimée à la Russie, selon la volonté de ses habitants, avait été le prétexte aux séries de sanctions que l’Occident a depuis, fulminées contre la Russie.

    Christine Dalloz, Yannick Moreau tous les deux Républicains, et Jérôme Lambert (RRDP) sont les nouveaux venus, cette année.

    Les parlementaires étaient en Crimée ce jeudi et y resteront demain. Il ont confié au Courrier de la Russie qu’ils militent pour une « Grande Europe, [dans laquelle] nous sommes de toute façon « condamnés » à travailler avec la Russie. L’affaire ukrainienne est un cancer qu’il faut stopper, et pour cela, il faut garder le contact. »

    Un voyage qui rappelle également la visite de parlementaires français à Damas, reçus par Bachar-el-Assad: quatre députés en février 2015, parmi lesquels Jacques Myard, et tout récemment, le parlementaire chrétien-démocrate, Jean-Frédéric Poisson .

    L’Ukraine veut interdire son territoire aux députés…

    Thierry Mariani ajoute : « la Crimée est historiquement russe. Point final. On ne lutte pas contre l’Histoire. Et si quelqu’un estime qu’il s’agit d’une violation du droit international, eh bien, je suis très fier, à 56 ans, de commencer une carrière de délinquant international ! » A propos d’une éventuelle interdiction d’entrée en Ukraine, il précise: « Je connais bien l’Ukraine et j’y étais encore il y a un mois, à titre personnel, afin de rédiger un rapport pour l’Assemblée nationale. J’attendrai que le pouvoir actuel – dont, à mon avis, les jours sont comptés – tombe et je retournerai en Ukraine lorsqu’un nouveau gouvernement sera en place.»

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  • Crise agricole : Propos d’un candide.

    « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France ! » Ces paroles du sage Sully étaient connues de tous les petits français à l’époque où l’on enseignait encore l’histoire à l’école.

    Je regardais la télé hier soir et tombait sur un reportage d’une chaine du service public qui expliquait que l’Allemagne s’en tirait mieux en matière de production bovine parce qu’elle avait privilégié le gigantisme industriel. Et de nous faire visiter une usine d’élevage que les milliers de bovins ne quittent jamais de la naissance à la mort, et le journaliste d’ajouter un brin admiratif : « En Allemagne, on ne voit plus les vaches dans les champs car elles sont toutes rassemblées dans ces immenses hangars qui permettent une réduction significative du cout d’exploitation ».

    Cela n’est pas sans me rappeler les grandes crises viticoles dans les années 70 en France, où les viticulteurs français interceptaient les transports italiens et espagnols qui inondaient nos marchés de piquette équivalente, en mauvaise qualité, à nos vins du sud de la France, mais moins cher en coût de production. Finalement, les gens de l’Aube de l’Hérault et d’ailleurs, ont arraché leurs pieds de vigne et produit un vin de meilleur qualité qu’ils ont pu vendre à nouveau au juste prix aux vrais amateurs, reléguant les vins étrangers bon marché à une position marginale qu’ils n’auraient jamais dû quitter.

    Il serait certes réducteur de limiter la crise agricole à ces seules observations, la politique agricole commune ne fonctionne pas, l’Europe est devenu le champ clos d’une concurrence féroce ou tous les coups sont permis, à cela s’ajoute la crise des sanctions contre la Russie, sur ordre de Washington, qui ferment une part importante de nos débouchés d’exportation. Sans oublier le dictat des chaines de distribution. [...]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français