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économie et finance - Page 545

  • Quand vous gagnez 100 euros, votre employeur en paie 235

    Lu ici :

    "Le salarié français est a priori l'un des mieux payé d'Europe (4e): le salaire «complet» moyen atteint presque 56 000 euros. Mais il est particulièrement fiscalisé (plus de 32 000 euros de charges sociales, impôt sur le revenu et TVA). Au final, il ne reste à l'employé français moyen que près de 24 000 euros, pour ses propres dépenses. Ce qui fait chuter la France au 11e rang en termes de pouvoir d'achat réel, selon l'Institut Molinari.

    Ainsi en France, pour qu'un salarié moyen dispose de 100 euros nets de pouvoir d'achat, l'employeur aura versé 235 euros en 2015. Soit deux euros de plus que l'année dernière et cinq de plus qu'en 2010. Sur cette somme, 79 euros sont des charges patronales, 39 euros des charges salariales, 10 euros des impôts sur le revenu et 7 euros de la TVA."

    Le pire, c'est quand on sait comment l'Etat utilise ces 235 euros.

    "Le modèle social à la française est bien connu: la dépense publique y est historiquement élevée pour proposer des prestations sociales larges et généreuses aux Français (routes, école, santé, sécurité de l'emploi, etc.). Alors, les Français en ont-ils encore pour leur argent? Pour l'institut Molinari, non: il n'y a qu'à regarder du côté des Pays-Bas, de la Suède ou du Danemark, connus aussi pour leur tradition sociale. La-bas, la protection sociale est comparable à celle de la France, pourtant les prélèvements sociaux sont bien moindres. Si bien qu'à la fin les Suédois, par exemple, ont un pouvoir d'achat presque 22% plus élevé que les Français."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pourquoi il faut soutenir l’actuelle jacquerie des paysans

    Tous à nos tracteurs !

    Nos paysans au bord du vide, du déclassement social, acculés au suicide, poursuivent leur révolte. Bloquent routes, autoroutes, sites touristiques et, surtout, aires de grande distribution, leurs ignobles parkings et leurs infâmes panneaux 4×3 qui polluent nos chers paysages de France. Qui pourrait leur jeter la pierre ?

    Tel que l’affirmait Jean-Paul II, tandis que le mur de Berlin tombait, il fut dit, en substance, que le Vatican, s’il n’était pas contre une « économie de marché », se refusait à l’émergence d’une « société de marché » ; et ce, en droite ligne de la doctrine sociale de l’Église. À l’époque, Alexandre Soljenitsyne s’inquiétait qu’une fois le fameux mur tombé, les égouts occidentaux en viennent à submerger la sainte Russie de leurs immondices ; et notre Europe au passage.

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  • Les paysans français rétablissent une forme de protectionnisme

    Alors que nos agriculteurs sont minés par la concurrence tarifaire des concurrents européens, aucun politique français n’a parlé de protectionnisme. C’est pourtant tout naturellement que les paysans ont mis en place des barrages filtrants aux frontières espagnoles et allemandes.

     

  • Éolien français : Vents contraires sur le marché de l'air

    Quelle est la réalité économique de la filière éolienne en France, dans un marché de l’énergie en crise? Que sait on de la production d’énergie éolienne en France? Elle bénéficie d’un a priori plutôt favorable, puisqu’il s’agit d’une énergie propre, renouvelable, et qu’elle vise à abaisser notre dépendance au nucléaire.

    Émission « Le Magazine de la rédaction » diffusée sur France Culture le 31/10/2014

    D’ailleurs la loi sur la transition énergétique récemment votée par le Parlement maintient le cap de 20% d’énergie renouvelable produite d’ici 10 ans.
    Ce que l’on sait moins, c’est que le modèle économique sur lequel elle se base est très contesté. Il repose sur le consommateur, via une taxe sur sa facture d’électricité : la CSPE. Cette dernière permet à EDF de racheter au prix fort l’énergie produite par le vent, quelque soit le volume de production.

    En d’autres termes, une garantie d’achat au profit des producteurs éoliens qui ont rapidement vu la manne.

    Plusieurs organismes ont d’ailleurs pointé la rentabilité excessive de ces producteurs. Alors ce modèle économique de l’éolien français, fortement subventionné, est il efficace ? Peut-il expliquer l’implantation d’éoliennes dans des zones sans vent ?

    Débat avec Invité(s) : Ludovic Grangeon, expert en économie et en énergie, ancien banquier international d’investissment, ancien dirigeant de la branche énergie de la Compagnie Générale des Eaux dans le Sud-Est. Il a travaillé à l’Agence Française de Normalisation (Afnor), et enseigne à l’ESC Lyon et Damien Mathon, délégué général du Syndicat des Énergies Renouvelables (SER).

    Notes :

    « L’énergie éolienne : la grande escroquerie » Reportage d’Armel Joubert des Ouches pour Reinformation TV, Septembre 2014
     
     
    Éolien en France : les chiffres clés Chiffres du Syndicat des Énergies Renouvelables.
     
    « Éolien, une gigantesque escroquerie«  Article de Contrepoints du 27 septembre 2014.
     
     
  • Les petits profits de l’immigration

    En 1985, l’ancien ministre Bernard Stasi écrivait que « l’immigration est une chance pour la France » ! En 2015, elle peut aussi être une façon d’améliorer des bilans d’exploitation pourtant déjà largement bénéficiaires !

    Ainsi, la société privée Groupe Eurotunnel dont les ventes ont progressé de 9 %, qui enregistre une hausse de chiffre d’affaires pour le onzième semestre consécutif, qui a dégagé un profit avant impôt de 56 millions d’euros en 2014 (contre 20 millions l’année précédente) et que le quotidien Le Monde estime être « désormais une machine à cash parfaitement huilée » ! D’ailleurs, sa direction se félicite « (de s’être) fixé comme objectif d’atteindre 500 millions d’excédent brut d’exploitation en 2015 (et de réaliser) cet objectif avec un an d’avance. »

    Néanmoins, pour son PDG Jacques Gounon, Eurotunnel assure « une forme d’étanchéité du tunnel sous la Manche par rapport au passage des migrants en Grande-Bretagne, puisque le nombre de migrants interceptés par les forces britanniques se compte sur les doigts de la main. L’essentiel est intercepté en France. Ça a un coût »

    Et quel coût ! Eurotunnel réclame donc une indemnisation de 9,7 millions d’euros à la Grande-Bretagne et à la France pour « compenser ses dépenses de sécurité et sa perte d’exploitation liées à l’afflux de migrants qui tentent de rallier la Grande-Bretagne via le tunnel sous la Manche… »

    S’il n’y a pas de petites économies, il n’y a pas non plus de petites sources de profits à négliger… et on sait bien que les petites rivières font les grands fleuves ! Tout comme les petites filières de la clandestinité, les grandes marées de l’immigration, d’ailleurs !

    Philippe Randa

    notes:

    (paru dans le quotidien Présent) (Philippe.randa@present.fr)

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EuFlpyZVpFkfBWqxrF.shtml

  • Patients algériens : l’AP-HP ne veut plus payer ? C’est notre Sécu qui le fera !

    Le transfert pour soins des Algériens, qui ne concernait jusqu’à présent que les salariés actifs et leurs ayants droit, sera élargi à tous les Algériens non assurés sociaux mais détenteurs d’une carte de démuni et nécessitant des soins à l’étranger (environ 30 % de la population).

    La CNAS algérienne (Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés) rejette en bloc les affirmations de la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui lui réclame une facture, selon elle totalement fantaisiste et qui ne correspond à rien, de 31 millions d’euros, dont se sont fait l’écho les médias français.

    Elle défie les hôpitaux parisiens d’établir un listing des patients algériens pris en charge dont les factures sont restées impayées.

    Il y a des contentieux, certes, entre les deux parties mais ils sont réellement minimes, affirme la CNAS, qui refuse d’assumer les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés par ses soins avant leur départ.

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  • Gilbert Collard veut que les Français versent 60 M$ au lobby juif américain


    Shoah Business

    Nous avions évoqué le scandaleux racket de la SNCF par le lobby juif américain, qui exigeait pas moins de 60 millions de dollars – pris dans la poche des Français – en « réparations » du « rôle » des trains français dans la déportation de certains juifs américains (non couverts par les programmes français déjà existants) durant l’Occupation…

    Il faudrait d’ailleurs savoir : si le gouvernement de Vichy était une parenthèse illégale (selon la version actuelle du Système) et non pas le prédécesseur légal du gouvernement actuel, pourquoi ce dernier devrait-il payer les dettes du premier ?

    Or, alors même que la plupart des élus Républicains (ex-UMP) s’abstenaient, le député mariniste Gilbert Collard, ultra-sioniste et franc-maçon, a voté le 24 juin en faveur du projet de loi entérinant l’accord entre le gouvernement français et les Etats-Unis concernant le versement de ce pactole au gouvernement américain, qui le gèrera directement.
    Scandaleux…

    Dans le même esprit, le vice-président du FN Louis Aliot, relate sur son blog, en reprenant la logorrhée du Système, que dimanche dernier « à Perpignan, il participait à la cérémonie pour la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’état [sic]  français et d’hommage aux justes de la France. »

    Cet énième journée de « mémoire » résulte d’une loi votée le 10 juillet 2000 par l’Antifrance et fixant au 16 juillet cette nouvelle opération annuelle de repentance et de masochisme français.
    Décidément, la haine du Système contre le Maréchal est tenace : il ne faudrait pas que les Français viennent à regretter sa salutaire politique de « Révolution nationale ».

    Louis Aliot dénonçait les « passéistes » (pétainistes et autres) qui étaient encore nombreux au FN il y a quelques années, mais l’on voit, comme d’habitude, qu’il y a en réalité le bon passéisme (validé ou promu par le Système) et le mauvais passéisme (dénoncé par les médias).

    http://www.contre-info.com/

  • 29 juillet : retenez bien cette date

    IndexCette année la libération fiscale des Français, c'est à dire le jour à partir duquel ils travailleront pour eux et non plus pour financer la puissance publiqueinterviendra le 29 juillet. C'est un jour plus tard qu'en 2014,selon le rapport de l'Institut économique Molinari. En Europe, seuls les Belges encore plus mal lotis, avec une «libération fiscale» qui intervient le 6 août.

    L'indicateur de «libération fiscale» mesure le poids des impôts (impôt sur le revenu, TVA) et des charges sociales (cotisations patronales et salariales, CSG-CRDS) pour les seuls actifs. Un poids qui atteint 57,5 % du salaire en France contre 45,1 % dans l'Union européenne.

    Michel Janva