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économie et finance - Page 548

  • [Ile de France] L’Action Française dénonce le financement de l’islamisme par nos impôts [Vidéo]

    Dimanche matin, 50 étudiants de l’Action Française ont fermé symboliquement un centre des impôts afin de dénoncer le financement indirect de Daesh et de l’islamisme par les puissances occidentales. Puisque nos impôts financent le terrorisme, fermons les centres des Finances Publiques !

     

  • Les grands projets inutiles - Orages d'acier - 22/11/15

  • Des élus financent l’islamisme radical avec l’argent public

    Marion Maréchal Le Pen répond à Caroline Parmentier dans Présent. Extrait :

    6a00d83451619c69e201b7c7ef259d970b-320wi.jpg"[...] Je n’ai pas applaudi François Hollande devant le Congrès parce que je ne veux pas applaudir des mots. Je veux applaudir des actes. Je me souviens après Charliedu discours très incisif, tonitruant de Manuel Valls, on allait voir ce que l’on allait voir et il n’y a eu strictement rien de fait. Je n’ai pas entendu la condamnation des mosquées salafistes dans la bouche du président. Il n’a pas nommé l’islamisme, n’a même pas utilisé le terme. Il s’est contenté de parler du mode opératoire des terroristes mais pas de leur idéologie. Je ne vous cache pas que je suis très méfiante parce que je sais que la gauche et certains élus de droite entretiennent une relation et une complicité malsaine aujourd’hui avec l’islam radical. Pour la simple et bonne raison qu’ils y voient aussi un vecteur électoral. A partir du moment où ils achètent certains représentants par des contournements de la loi de 1905, par des subventions ou par des permis de construire de mosquées, ils achètent la communauté. Aujourd’hui on a non seulement le problème des mosquées mais on a aussi ce dont on parle très peu et que j’ai voulu mettre en avant dans mon intervention à l’Assemblée, c’est l’ensemble des associations humanitaires, sportives, culturelles, qui sont en fait des associations satellites de l’islamisme et notamment de l’UOIF, proche des Frères musulmans, qui pullulent sur le territoire et qui sont autant de courroies de transmission du développement de l’islam radical. C’est quelque chose de très important et dont on parle très peu. Nous avons énormément d’élus aujourd’hui comme Christian Estrosi à Nice, en regardant un peu ce qu’il faisait je m’en suis aperçue, qui soit par cynisme électoraliste soit par inconscience ou simplement parfois parce qu’ils ne le savent pas (l’appellation de ces associations ne le laissent pas toujours transparaitre) financent l’islamisme radical avec l’argent public. L’exécutif doit absolument aujourd’hui alerter les élus, identifier ces associations et au-delà de la fermeture des mosquées salafistes et de l’expulsion des imams radicaux, interdire le financement et la propagation de ces associations.

    Vous parlez de la nécessité d’un réarmement moral des Français. A quelles valeurs pensez-vous et comment les défendre ?

    Déjà je crois qu’il faut sortir de l’auto-culpabilisation. La théorie qui est développée maintenant depuis des années et qui malheureusement a été celle portée par les élus au pouvoir, a été de dire : le développement de l’islam radical, les départs pour le djihad, la violence liée à l’islam sont dus à l’islamophobie. Un transfert de responsabilité totalement délirant. C’est un peu la thèse du philosophe Pierre Manent qui séduit un certain nombre de gens de droite ce qui me terrifie et qui consiste à dire : il faut faire des accommodements raisonnables parce que finalement c’est le laïcisme et c’est le refus de laisser la religion musulmane s’exercer sereinement qui fait que l’on a aujourd’hui un islam radical. Il faut arrêter avec cette théorie délirante. Aujourd’hui le développement de l’islamisme est mondial, ce n’est pas un phénomène propre à la France. Il se développe spécifiquement en France du fait de l’immigration, du communautarisme et de la lâcheté de nos gouvernements. Mais c’est d’abord un phénomène mondial et il faut arrêter de dire que c’est parce que les Français sont islamophobes. Quand on regarde le nombre d’actes prétendus islamophobes détectés par le très partial Observatoire de l’islamophobie, on se rend compte que cela concerne 300 actes islamophobes par an qui vont du graffiti sur la mosquée à l’agression. Il n’y a aucun phénomène d’islamophobie en France. Il faut sortir de la culture de l’excuse. Et ne pas en permanence justifier la délinquance, la violence, le retour à l’islamisme ou au terrorisme par soi-disant le chômage, la pauvreté, l’exclusion, autant de théories qui ne se vérifient pas dans des territoires qui sont pourtant également très pauvres notamment les campagnes. Il faut porter un diagnostic différent.Et puis je crois qu’il y a un moment aussi où il faut accepter de définir et de revendiquer quel est notre héritage et quelle est notre identité. Ça passe par l’affirmation de notre héritage gréco-romain et chrétien. Il faut dire que la France est une terre culturellement et très longtemps spirituellement chrétienne. Et dans ces conditions, si des Français peuvent être musulmans et exercer leur foi, il faut qu’ils acceptent de le faire sur une terre qui est culturellement chrétienne. Ça implique aujourd’hui qu’ils ne peuvent pas avoir exactement le même rang que la religion catholique. Ne serait-ce que parce que nous avons des traditions populaires qui ont des connotations spirituelles qui peuvent s’exercer dans le cadre public ce qui aujourd’hui ne peut pas être le cas de l’islam."

    Michel Janva

  • « Supercapitalisme / Le choc entre le système économique émergent et la démocratie » Par Robert Reich

    Et si le capitalisme d'aujourd'hui signait l'arrêt de mort à petit feu de la démocratie ? Selon l'auteur, Robert Reich, ancien ministre du Travail du président Bill Clinton, le capitalisme du milieu du XXe siècle s'est transformé en « capitalisme global », qui a lui-même évolué en « supercapitalisme ». Dans un environnement devenu fortement concurrentiel, à la fois vis-à-vis des clients et des investisseurs, les entreprises ont perdu leur pouvoir de fixer leurs prix. Elles doivent s'engager en permanence dans une chasse aux coûts – notamment salariaux – et dans une maximation du profit par tous les moyens. Non pas pour obtenir plus de concurrence mais pour s'en protéger le plus possible ! Mais alors que ce supercapitalisme permet d'agrandir encore le gâteau économique, la démocratie, entendue comme celle qui se soucie de l'ensemble des citoyens, est de moins en moins effective.
    Cet ouvrage explique clairement comment les écarts grandissants de richesse entre les individus, le poids de l'insécurité du travail, l'accélération du réchauffement climatique, sont les conséquences logiques du supercapitalisme. Il démontre comment les entreprises sont de plus en plus tenues, pour conserver leurs positions concurrentielles, d'exercer très fortement leur influence sur les décisions politiques par la voie du lobbying ; comment l'individu est écartelé entre ses exigences et ses valeurs de citoyen, et ses impératifs de consommateur et d'investisseur. Ce livre montre aussi comment les outils traditionnellement utilisés par les démocraties pour réguler les problèmes de société (redistribution, services publics efficaces…) sont en déroute.
    Offrant une série de recommandations, avec in fine la suppression de l'impôt sur les sociétés, pour que les citoyens puissent de nouveau pleinement participer au processus démocratique, l'auteur met en avant la responsabilité de l'individu et réclame la fin du mythe de l'entreprise « citoyenne et socialement responsable » en soutenant que les deux sphères du business et de la politique doivent rester distinctes. Une analyse limpide et dérangeante qui en appelle à la responsabilité de tous. Regrettons que l'auteur limite son analyse à la démocratie, comme alpha et omega de la vie politique.
    Georges Lenormand, 23/05/08
    Robert Reich, « Supercapitalisme : Le choc entre le système économique émergent et la démocratie », Vuibert, 2008, 288 p., 29 €

    http://archives.polemia.com/article.php?id=1675

  • A quand la CSG pour les nains de jardin?

    Aujourd'hui les abris de jardin, et demain ? La niche de Médor, la cabane de Jeannot, l'abri de la tortue ?
    Elle a été créée en 2012, elle a depuis donné lieu à des situations complètement loufoques, mais Bercy n’en a cure puisqu’il aurait l’intention de maintenir cette imposition dans la prochaine loi des Finances. Il s’agit de la taxation des abris de jardin.
    Il habite l’Isle-Jourdain, dans le Gers, et, pour ranger convenablement tondeuse, débroussailleuse, bêches et râteaux, il achète 1.690 euros un abri de 19 m2. Apprenant l’obligation de déclaration son cabanon, le brave homme s’en va donc déclarer ses quatre planches à monsieur le maire de son village. Sacrément utile, la cabane dressée à côté de son carré de laitues ! Un an passe quand il reçoit une lettre du fisc qui le somme de régler 894 euros, tarif de la « taxe d ‘aménagement » de son abri de jardin. Assommé, l’honnête homme se tourne alors vers l’Association des contribuables lislois.

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  • 50 millions d'euros libyens pour Sarkozy ?

    Lu ici :

    "Un expert reconnu dans le monde entier pour ses compétences vient de conclure à l'authenticité d'un document explosif révélé en avril 2012 par nos confrères de Mediapart. Quelques semaines avant l'élection présidentielle, le site d'information en ligne avait publié une note issue des archives libyennes, signée de la main de Moussa Koussa, l'ancien chef des services secrets extérieurs libyens. Daté de 2006, ce document "évoquait le déblocage par le régime de Tripoli d'une somme de 50 millions d'euros en faveur de Nicolas Sarkozy à l'occasion de la campagne présidentielle de 2007", explique Mediapart. La missive était adressée à Bachir Saleh, le directeur de cabinet du général Kadhafi, qui vit aujourd'hui en Afrique-du-sud.

    Un "faux grossier", avait rétorqué Nicolas Sarkozy, avant de déposer plainte pour "faux et usage de faux". Deux ans et demi plus tard, il semblerait que l'information judiciaire confiée aux juges d'instruction René Cros et Emmanuelle Legrand ait fait un grand pas. Dans un document de 66 pages une nouvelle fois publié par Mediapart, Roger Cozien, expert en informatique, écrit ainsi : "L'ensemble de ces résultats milite très fortement en faveur d'un document physique ayant réellement existé et qui aurait été numérisé, afin de produire une image numérique primaire." Le spécialiste ajoute : "La très grande cohérence entre l'examen et l'intuition visuelle et sémiotique, d'un côté, et les résultats de l'analyse multi-spectrale, de l'autre, nous incite à privilégier l'option d'un document authentique ayant existé sur support physique."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Colère en Grèce: grève générale, manifestation, cocktails molotov, gaz lacrymogènes

    Alexis Tsipras avait promis la fin de l’austérité, mais rien n’arrive. Les employés du public comme du privé se sont mis en grève ce jeudi, paralysant toutes les activités du pays. Fermant les écoles, les hôpitaux, les banques, les transports pour 24 heures en signe de protestation contre les nouvelles coupes budgétaires et hausse d’impôts introduites par le gouvernement à la demande des créanciers de l’Union.