Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 242

  • Turquie. La victoire d’Erdogan et le profil bas de l’Europe

    erdogan-turquie-michel-llhomme-588x330.jpg

    Par Michel Lhomme, philosophe, politologue  

    L’islamiste Recep Tayyip Erdogan continuera donc à diriger la République de Turquie. Cela a été décidé par 53 % des électeurs, qui sont allés voter lors d’élections anticipées mais décisives puisqu’elles étaient à la fois présidentielles et législatives. C’était tout de même la sixième fois en cinq ans que les Turcs se rendaient aux urnes.

    Cependant, cette fois, l’enregistrement de la participation (92 %) fut l’un des plus élevés de l’histoire du pays, manifestant clairement que les Turcs veulent être gouvernés et pas par n’importe qui, par Erdogan même si la censure de la presse, l’arrestation et l’intimidation contre de nombreux opposants au quotidien y sont aussi pour quelque chose. Ces élections à répétition ont aussi du bon puisque de nouveaux visages politiques sont apparus comme celui du nationaliste Meral Aksener. Pour sa part, le chef du parti gauchiste et pro-kurde, Selahatin Demirtas, a dû faire campagne derrière les barreaux, alors que le candidat kémaliste du vieux Parti populaire républicain, Muharrem İnce est devenu le nouveau visage de l’espoir des laïcs et des progressistes du pays devenant même le principal adversaire de l’islamiste Erdogan.

    Cependant, il faut bien reconnâitre l’exploit d’Erdogan car ni l’état d’urgence, qui a suivi le coup d’État raté de 2016, ni la crise pour ne pas dire la débâcle économique que traverse le pays – la livre turque a perdu en une année 20% de sa valeur par rapport à l’euro, les prix ont augmenté de 11% en avril ! – n’ont réussi à arrêter le candidat conservateur et nationaliste du Parti Justice et Développement, en coalition avec le Parti d’action nationaliste. Ils ont obtenu tous deux le contrôle du Parlement avec 348 députés sur un total de 600 sièges. Avec un tel soutien et sans même avoir besoin d’un second tour, Erdogan et son exécutif se dirigent vers un exercice totalitaire du pouvoir.

    Mais qui est donc Erdogan ?

    Un garçon qui vendait des beignets salés dans le quartier modeste de Kasimpasa d’Istanbul nous raconte-t-on, un adolescent qui aspirait à retrouver les racines islamiques et ottomanes de son pays et qui dirige le pays depuis 2002 sans interruption. Dans cette nouvelle étape, il assumera, comme le stipule la réforme approuvée en 2017, le contrôle total de l’État et du gouvernement, la figure du Premier ministre n’existant plus. En outre, par ce nouveau mandat, le président ne pourra être convoqué. On ne pourra plus en somme lui poser de questions. Il aura en outre le pouvoir de nommer une grande partie des juges c’est dire qu’Erdogan concentrera à la tête de l’État tous les fils et les ressorts pour gérer le pays à volonté et arriver à réaliser son rêve d’enfant : reconstituer au Proche-Orient l’Empire ottoman.

    L’Europe aura du souci à se faire du côté du Bosphore

    D’autant qu’Erdogan se rêve aussi en « Sultan de l’Europe », maître de la diaspora musulmane et de fait les Turcs de France, d’Allemagne et d’Autriche ont voté massivement pour lui. Élevé sur les rives de la mer Noire, dans la petite ville côtière de Rize, Erdogan n’était pas seulement un vendeur de beignets car fils d’une bonne famille de classe moyenne inférieure, il a grandi à Istanbul, où il a poursuivi ses études dans des écoles islamiques puis de commerce de l’Université de Marmara. Durant ses études, il a rejoint dans une Turquie délétère et vendue dans les années 80 aux affairistes, les jeunes nationalistes islamistes, écoutant avec attention les leçons de Necmettin Erbakan, le premier leader islamiste de la Turquie moderne et éphémère premier ministre de 1996 à 1997, poussé à démissionner par la direction militaire des Loups gris encore kémalistes et laïcs.

    Dans les années quatre-vingt, Erdogan fut élu maire d’Ankara, la capitale, et il était devenu le martyr de l’opposition islamiste turcs pour avoir récité publiquement un poème pan turque de l’idéologue Ziya Gökalp . «Les mosquées sont nos casernes / dômes nos casques / les minarets nos baïonnettes / et les croyants nos soldats ». Ces versets guerriers lui valurent quatre mois de prison. Après on connaît l’histoire, devenant chef de l’Akp, il sera Premier ministre de 2003 jusqu’en 2014, date où il assumera la présidence de la République, titre qu’il détient de nouveau depuis le 24 juin 2018.

    La victoire absolue d’Erdogan et de l’AKP marque un affaiblissement du système de freins et de contrepoids qui existait encore contre la dictature. Il est aussi le résultat de la mise au pas efficace et rude de la presse et des médias en faveur du pouvoir exécutif, qui conduisent finalement à une érosion des pouvoirs démocratiques de la Turquie. Mais les électeurs turcs furent motivés  par un autre argument, celui de la stabilité politique, avec une majorité parlementaire pleinement conforme à l’autorité présidentielle. On ne dira pas la même chose d’élections réalisées sous d’autres cieux avec un taux d’abstentions records alors oui, Erdogan : chapeau !

    En Syrie, la Turquie d’Erdogan s’est en tout cas imposé comme un acteur majeur en se rapprochant, fait étonnant pour un pays membre de l’Otan, de Moscou. Si la Turquie s’est attaqué aux Kurdes d’Afrin, c’était en effet paradoxalement avec le feu vert de la Russie. Après l’avion russe abattu par l’armée turque à la frontière syrienne en novembre 2015, les deux pays se sont réconciliés, se sont rapprochés, et la Turquie entend continuer à être considérée malgré tout comme un interlocuteur incontournable sur la Syrie alors que le conflit syrien semble reprendre en ce début d’été 2018. Lors des discussions sur la mise en place de zones de désescalade en Syrie, la Turquie s’était faite le porte-voix des rebelles. Aussi n’oublions qu’Erdogan doit aussi sa victoire au massacre des civils d’Afrin.

    Une Turquie, néo-ottomane ?

    Ce que révèlent ces événements, c’est que la politique extérieure turque aura été marquée par des revirements et des renversements d’alliances, certains la présentant comme « néo-ottomane », concept pour le moins anachronique et sans consistance car n’aidant pas à comprendre à notre avis le pragmatisme machiavélien du pouvoir. Après les mouvements contestataires du printemps arabe, Ankara avait certes caressé ce rêve de devenir le leader régional, brandissant la carte du sunnisme politique pour installer partout des régimes proches du mouvement des Frères musulmans et la diplomatie turque avait opéré ici un premier aggiornamento conservateur en délaissant sa politique pro-occidentale traditionnelle pour une rhétorique à la fois anti-occidentale, antisémite et pro-islamiste même si ce rêve heurtait de plein fouet la modernité culturelle effective du pays, l’écart immense entre le discours petit bourgeois de province du pouvoir en place et les élites médiatiques du pays, les LGBT turcs d’Istanbul par exemple.

    Erdogan a alors utilisé les ressorts machiavéliens de la dictature, déjoué le coup d’état ”commandité” de son principal adversaire Fethullah Guhlen pour imposer par la force et la censure son modèle islamique autoritaire mais ce fut en même temps l’aveu d’un pathétique échec, celui d’un islam politique turc qui s’était promis de réconcilier après le 11 septembre la religion et les valeurs libérales. En ce sens la victoire d’Erdogan nous concerne aussi.

    Demain soumise selon les prémonitions de Houellebecq, il n’y a aura pas d’Islam du vingt-et-unième modéré si on l’entend comme islam libéralisé. Les gouvernements successifs du Parti de la justice et du développement (AKP) se sont peu à peu éloignés de la promesse salutaire d’un Islam des Lumières en optant pour une ligne musulmane conflictuelle et plus clivante, à la fois pour des raisons électorales — le discours belliqueux et viril vaut bien plus en Turquie que le discours pacifiste — et idéologiques l’objectif d’un islam politique, ottoman dirigé par la Turquie. À travers la sur-« turquisation » et la sur-islamisation de l’histoire ottomane, le pouvoir en place a déclaré en tout cas l’ensemble du Proche-Orient puis, à défaut et a minima la Syrie, comme un hinterland mérité et légitime, s’écartant de fait de l’axe européen.

    Indéniablement, la politique étrangère en dents de scie d’Ankara au Proche-Orient est un facteur supplémentaire de déstabilisation, par la diaspora de l’immigration, la menace de « lâcher » les plus de trois millions de déplacés syriens présents dans son territoire avec celle des djihadistes qui pourraient mettre en péril les villes européennes, et puis aussi par l’ennemi éternel, la Grèce. D’ailleurs, le chantage marche puisque ni l’UE ni même le Conseil de l’Europe dont la Turquie est membre depuis 1949 n’osent élever des protestations sérieuses au sujet de la politique étrangère turque ou des violations constantes des droits humains à l’intérieur de la Turquie.

    Michel Lhomme 06/08/2018

    Source : Metamag

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/turquie-victoire-erdogan-profil-bas-europe/

  • Redoine au petit-dèj, Benalla à midi, Mbappé en soirée… Et l’on s’endort ensuite sur de beaux rêves d’avenir… partie 2

    Sur les politiciens, la sphère politico administrative, la gauche, la droite, la classe dominante

    INFAUX EXCLUSIVE : Reconnaissant être « seul responsable » de cette situation qui a donné lieu à de nombreuses et graves irrégularités, M. Macron a demandé à être mis en examen, au même titre que les fonctionnaires impliqués

    (« Benalla était exécrable« …) Rien de plus normal : ils nous envahissent et nous ne réagissons pas : il est logique qu’ils nous méprisent…

    Avec l’affaire Benalla, Macron-Rothschild montre qu’il se fout ouvertement des institutions et organes constitués : parlement, juges, partis politiques, fonction publique… Il les méprise et les ridiculise… La question est de savoir ce qu’en pensera l’opinion…

    Bah on ne voit pas pourquoi on en fait tout un plat : un maghrébin qui agresse un blanc, c’est finalement très banal

    Il avait de toute façon décidé de larguer Benalla pour Mbappé

    INFAUX EXCLUSIVE Benalla a pété les plombs parce qu’il lui avait annoncé qu’il le quittait pour M’Bappé

    Soumis à Rothschild la journée et à Benalla la nuit

    (France Bleu sur l’affaire Benalla : « après avoir contredit l’Elysée le directeur de l’ordre public rétropédale ») Le mot pédale, même s’il est un peu rétro, est en effet probablement de circonstance

    Les préfets, carpettes galonnées de profession, ont le profil type du fusible

    Collomb a une bonne tête de fusible. Mais le problème pour Macron est qu’il en sait long sur le financement de sa campagne…

    Pour protéger Macron, le pouvoir va chercher à dériver le débat sur les fautes des fonctionnaires qui ont laissé agir Benalla. Alors que les questions importantes sont ailleurs

    1/ Quelle est la nature des liens entre ce Benalla et Macron ? 2/ Macron respecte-t-il la loi, ou s’en affranchit-il dans l’ivresse du pouvoir ? 3/ Ce Benalla binational a-t-il des liens avec les islamistes ?

    Ce type de 25 ans au profil douteux bénéficiait de prérogatives aussi floues qu’étendues et de privilèges matériels et symboliques considérables. Qu’est-ce-qui a conduit Macron à le placer dans cette position aussi manifestement anormale ?

    Résumons. Ce type de 25 ans a intégré le premier cercle de l’Elysée, dans la proximité immédiate du président et de sa « famille ». Il bénéficiait de prérogatives aussi floues qu’étendues et de privilèges matériels et symboliques considérables et tout à fait hors normes. Il a pourtant le profil d’une parfaite racaille (le délit de fuite ; sa condamnation pour violences sur une femme ; sa violence le 1er mai). En outre il a fait recruter dans les cercles du pouvoir des copains aussi douteux que lui, voisinant avec l’islamisme (Makao le garde du corps, proche de Bendaoud, le logeur ; ses liens avec Achoui…). Pourquoi une situation aussi incroyable ? Et plus précisément, quels sont les liens exacts qui lient ce Benalla et Macron ?

    (Benalla était franc-maçon) Franc-maçon = la preuve par neuf de l’arrivisme

    L’un des aspects de cette affaire d’Etat : il participait aux réunions consacrées à la sécurité et à la défense… alors qu’il est binational…

    Macron a mis un peu de temps à réagir : il attendait les instructions de Rothschild, qui ont un peu tardé

    (Pourtant mis à pied Benalla est allé deux fois à l’assemblée) Où est le problème ? Comme il était mis à pied il n’y est pas allé en voiture

    Macron-Rothschild renouvelle les méthodes. Il y a celle qui tweete (Sibête). Celle qui mord (Avia). Celui qui casque (El Guerab). Celui qui cogne (Benalla)… Cette diversité, quel enrichissement…

    Affaire Benalla : et dire qu’il y a des millions de gens pour croire encore à la démocratie

    Le macronisme ? Bouger tout pour que rien ne change…

    (Macron réunit le Congrès à Versailles) Versailles est en principe destiné aux rois, pas aux employés de Rothschild

    Le bilan de Macron-Rothschild ? Comme prévu : enrichissement des riches et augmentation de l’immigration

    (évaluation des ministres) Les moins actifs sont ceux qui nuisent le moins

    (un français sur 6 ne sait pas nager)  Mais 100 % des politiciens savent nager en eaux troubles

    La décentralisation à la Française : gâchis, opacité, mille-feuilles administratif, équipements inutiles, dépenses somptuaires, clientélisme, corruption, népotisme, recrutement de fonctionnaires inutiles… Et j’en oublie probablement…

    Oui, il faudrait mettre fin à la centralisation, qui détruit les identités et rogne les libertés. Mais nous aurions besoin d’un fédéralisme véritable, comme partout ailleurs en Europe, et pas de la pseudo décentralisation à la française, source de gâchis, de clientélisme et de corruption.

    (démissions nombreuses de maires) Il ne s’agit que de maires de petites communes… Les politiciens professionnels, eux, s’accrochent au gâteau…

    (Fabius ancien ministre des affaires étrangères entendu sur l’affaire Lafarge) Les affaires en question lui étaient restées tout à fait étrangères

    (Fabius ancien ministre des affaires étrangères entendu sur l’affaire Lafarge) Ministre des affaires serait plus juste (Lafarge, sang contaminé…)

    (Placé jugé) Dans le marigot politicien, les « écologistes » sont les pires

    (mort de Lanzman) 92 ans, pas mal pour une victime du nazisme

    Lanzman ? Les victimes du nazisme lui ont procuré un grand succès

    (Selon l’économiste William N. Goetzmann, la finance a fait la civilisation) C’est parce qu’il leur était interdit d’être agriculteurs…

    (suicide d’une des fondatrices des Femen) Les Femen ? Moitié des prostituées rétribuées, moitié des dingues manipulées…

    (suicide d’une des fondatrices des Femen) Elle trouvait ses seins trop petits

    (Kouchner stupéfait des résistances face à la consommation de cannabis) Toute une vie passée à détruire la civilisation européenne….

    Cantat est de gauche et a une bonne droite

    Le bilan de Mme Le Pen… Le passage au second plan de la question de l’immigration était une erreur. Les positions perçues comme anti-européennes étaient une erreur. Le choix de M. Phillipot était une erreur. Avoir cru que Mme Le Pen est présidentiable était une erreur

    Sur la délinquance, la police, la justice

    (Meurtre de Maelys) Un crime de Français de souche… Il convient pour le Système de saisir l’aubaine et d’occuper le terrain pendant des mois

    Lelandais, Daval… Pour le Système, les crimes de Français de souche sont pain-bénit

    En ce moment le Système nous fait manger du Mbappé et du Lelandais

    (suicide d’un policier) Les policiers ont instruction de laisser filer les racailles, de détourner les yeux au passage des caïds et de ne pas répliquer aux émeutes des « quartiers »… Tout cela crée un contexte propice aux frustrations et à la dépression…

    On demande à la police de ne pas provoquer les racailles et de harceler plutôt les Français moyens de souche en excès de vitesse : on comprend qu’ils dépriment

    (Les 80 km/h) Matraquer les Français moyens de souche et laisser filer les caïds

    (5 mort à Pau)  Eh oui, voilà ce qui arrive quand on aime la diversité…

    (Jeune tué par la police à Nantes) Il est mort… Macron, ne pourra pas, comme Hollande, se rendre à son chevet

    (jeune tué à Nantes) Au lieu de se mêler de ce qui ne les regarde pas, les policiers devraient se concentrer sur la répression des excès de vitesse commis par les Français moyens

    (Jeune tué à Nantes. Belloubet affirme que l’Etat de droit sera respecté) Que doit-on comprendre ? Qu’elle a l’intention de s’attaquer à la délinquance ?

    (Nantes le policier qui a tiré en garde à vue) Quant au délinquant décédé il a été décoré à titre posthume

    (jeune tué à Nantes) Comme les autres journaux du Système, le Figaro oublie de préciser que ce « jeune » en question était un délinquant (NB : commentaire supprimé par les modérateurs du Figaro)

    Deux France, en guerre civile larvée désormais : ceux pour qui l’homme tué à Nantes était un « jeune » ; ceux pour qui c’était un délinquant…

    Eh oui, l’ouest à son tour touché… Mais où vont pouvoir se réfugier les bisounours immigrationnists ?

    Dans la France envahie, les racailles pavoisent, les flics vont en tôle et les Français de souche rasent les murs

    (Brouillage des portables en prison) Mesurette destinée à amuser la galerie… Pas d’issue sans fermeture des frontières…

    Sévérité démesurée envers les uns (fumeurs, automobilistes…). Laxisme absolu envers les autres (immigrés, islamistes, racailles…)

    (évasion Faïd)  Qu’il s’agisse de ses frontières ou des murs de ses prisons, la France est une passoire…

    (évasion Faïd) Bah, le séjour des délinquants est de toute façon de courte durée (peines pour partie avec sursis ; aménagement des peines ; remises de peine automatiques…)

    (Commerçant tué lors d’un braquage à Aubervilliers) Heureusement que ce commerçant n’a pas tiré pour se défendre : sinon il risquait la prison…

    Eh oui, la peine de mort n’a été supprimée que pour les coupables

    (Policiers caillassés près d’Avignon) Mais aussi que faisaient-ils là , à provoquer la population… ?

    Les prisons sont pleines et pourtant la plupart des délinquants sont… en liberté (80 000 personnes entrent en incarcération chaque année pour un séjour moyen de quelques mois ; à comparer aux 3,5 millions de crimes et délits officiellement enregistrés).

    (une enquête ouverte après le caillassage d’une voiture de police) Plutôt que d’ouvrir une enquête ils feraient mieux de fermer les frontières

     À suivre

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2018/08/06/redoine-au-petit-dej-benalla-a-midi-mbappe-en-soiree-et-lon-sendort-ensuite-sur-de-beaux-reves-davenir/

     

  • La cote d’Emmanuel Macron en chute en juillet, 27% seulement lui gardent une opinion positive.

    Macron-la-chute.jpg

    Selon un sondage Yougov (demandé par Huffpost & Cnews) du 26 juillet, 62% des Français ont une opinion négative de l’action du chef de l’État contre 27% positive. Il a  perdu 18 points en un mois du côté des partisans des Républicains, qui étrangement soutenaient plutôt, jusque-là, son action.

    Ce sondage ayant eu lieu le 26 juillet, les révélations sur l’ancien collaborateur de l’Élysée Alexandre Benalla étaient encore loin d’avoir été toutes dévoilées, puisque chaque jour apporte son lot au scandale. A cette date seulement 41% des Français interrogés reconnaissaient que l’affaire avait changé leur perception d’Emmanuel Macron (3% en bien, 38% en mal), mais 48% affirmaient qu’elle ne l’avait «pas changé du tout.»

  • Allemagne : l’irrésistible montée de l’AfD en Bavièr

    Katrin Ebner-Steiner n’est pas seulement « confiante ». Elle est « très confiante ». Vice-présidente de la fédération bavaroise du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), cette experte-comptable qui fête cette année ses 40 ans et aime répéter dans la même conversation qu’elle est « catholique » et « mère de quatre enfants », n’en revient pas: « Franchement, comment pouvions-nous espérer nous trouver aujourd’hui dans une situation aussi favorable ? Avec ce qui s’est passé ces derniers temps, nous pouvons faire un carton cet automne ! », s’enthousiasme-t-elle depuis la terrasse d’un bistrot de Deggendorf, opulente cité des bords du Danube où elle défendra les couleurs de l’AfD lors des élections régionales bavaroises du 14 octobre.

    Pourquoi un tel optimisme, outre la dynamique du parti depuis les élections de septembre 2017 qui lui ont permis de compter 92 députés au Bundestag ? Pour Mme Ebner-Steiner, la réponse tient en deux noms : « Merkel et Seehofer ». A ses yeux, la chancelière fédérale, présidente de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), et son ministre de l’intérieur, patron de l’Union chrétienne-sociale (CSU) bavaroise, sont « les meilleurs alliés objectifs » de l’AfD. « Avec leurs gesticulations, ils ont fini par perdre le peu de crédibilité qu’il leur restait », estime Mme Ebner-Steiner, pour qui la fermeté affichée de M. Seehofer en matière de politique migratoire « n’est que du bla-bla ». […]

    Le Monde

    http://www.fdesouche.com/1051483-allemagne-lirresistible-montee-de-lafd-en-baviere

  • François Hollande : une vraie attente des gens ! Elle est sérieuse, là, Julie ?

    452px-François_Hollande_-_2017_39617330342_cropped-452x475.jpg

    Ca y est, on a tout compris. Si les Français n’en ont rien à cirer, de l’affaire Benalla, comme l’affirmait la secrétaire d’État Marlène Schiappa envoyée à BFM TV, c’est parce qu’ils réclament l’ancien Président, affirme Julie Gayet, envoyée au Parisien.

    En tout cas, ce n’est pas Julie qui fera mentir l’adage : « Femme qui rit est à moitié dans ton lit. » François est « très très drôle », c’est « très important » pour elle. Ben, disons que c’est du bol, pour lui, d’être le roi en blagounettes… On les imagine, les quatre fers en l’air, à se frapper la panse et rire comme des bossus : tordant !

    Donc, François, depuis plusieurs années, ne cesse de la combler, on est ravi pour Julie ! En outre, elle le voit bien quand ils sortent, « il y a une vraie attente, beaucoup de gens espèrent son retour »! Les gens piaffer d’impatience pour le retour de François Hollande en Président, on aura tout entendu ! Et puis, c’est qui, d’abord, « beaucoup de gens » ? Peu importe, l’ex-président de la République qui se rendait à la sauvette rue du Cirque leur manque. Il paraît.

    Sans blague, elle les verrait vraiment rempiler pour cinq ans, la Julie ? Oubliée, la « violence folle »de la seconde partie du quinquennat de son chéri ? Plus d’actualité, son dégoût pour la « fonction sexiste » et « sans salaire » de première dame ? Aux oubliettes, le fait d’être « sortis exangues » de la seconde moitié du quinquennat, elle qui s’en était plaint à Paris Match pas plus tard qu’en mars ? Mémoire courte, ambition folle, les deux, le couple Hollande-Gayet semble lorgner un retour à l’Élysée. Peut-être bien que Hollande finit par s’ennuyer ferme.

    C’est sûr qu’écrire des bouquins, signer des autographes, donner des conférences, pontifier de temps à autre à la télé, donner des leçons à droite et à gauche, à la longue, c’est moins grisant que la fonction de communicant élyséen. Alors, quelle aubaine, cette affaire Macron-Benalla, et quelle chance d’avoir sous la main une belle actrice pour aller semer une petite graine dans l’esprit des Français. Sûrement que ça lui trotte dans la tête depuis un bout de temps, à François Hollande, l’idée de reposer son derrière dans le moelleux fauteuil de Président. Il fait toujours rire Julie, mais pour combien de temps ? En fait, il dort mal, il digère mal, il regrette tellement de ne pas s’être représenté…

    « Le plus grand regret des Français qui viennent vers moi, c’est que je n’aie pas été leur candidat en 2017 », préférait-il cependant affirmer benoîtement sur LCP, en mai 2017. « Des » Français ? S’il s’agit des 10 % des interrogés, en septembre 2016, à avoir répondu vouloir voter pour lui en 2017… En 2022, ce n’est pas gagné !

    Très très drôle, en effet, François Hollande ! Macron ? Macron trop audacieux, dans la séduction, Macron qui gouverne par ordonnances, ce n’est pas lui qui se comporterait ainsi, n’est-ce pas ! Sacré Hollande, fin prêt à nous faire le coup du père François ! Peut-être se dit-il à nouveau, comme le lisait dans ses yeux, en 2014, un de ses conseillers, que « sur un malentendu, ça peut marcher » ? Julie rit ? Nous aussi !

    Caroline Artus

    http://www.bvoltaire.fr/francois-hollande-une-vraie-attente-des-gens-elle-est-serieuse-la-julie/

  • Le Zoom avec Gérard Bedel : La droite, victime historique du gaullisme

    Professeur de lettres, Gérard Bedel est l’auteur d’un ouvrage volontairement provocateur :”Le gaullisme, maladie sénile de la droite”. Il s’agit d’un travail plus politique qu’historique et reconnaissons le, plus une diatribe qu’un panégyrique. Cependant, Gérard Bedel, textes et faits à l’appui, démonte ce qu’il appelle le “mythe gaulliste”, un mythe qui continue de ronger la droite française.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/25/24512/zoom-gerard-bedel-droite-victime-historique-gaullisme

  • Steve Bannon va créer une fondation en Europe afin de mener une révolte populiste de droite contre Soros

    6a00d83451619c69e2022ad3a34e2a200b-800wi.jpgSteve Bannon, ex-conseiller du président américain Donald Trump, va créer une fondation en Europe afin de mener une révolte populiste de droite sur le continent, écrit le site américain Daily Beast. Steve Bannon a confié au site ses ambitions, avec comme première étape les élections européennes de 2019. Le quartier général de son organisation baptisée "Le Mouvement" devrait être implanté à Bruxelles. L'objectif de Steve Bannon est de rivaliser avec la fondation du milliardaire américain George Soros, Open Society.

    L'ancien patron du site Breitbart était à Londres au moment de la visite de Donald Trump en Europe, recevant des représentants des mouvements de droite en Europe, notamment Nigel Farage ainsi que Louis Aliot. Il a également eu des contacts avec Viktor Orban. Steve Bannon, qui a prédit un «grand avenir» à Marion Maréchal Le Pen, et Raheem Kassam, ex-conseiller de Nigel Farage, l'un des artisans du Brexit, a annoncé que cette organisation était déjà opérationnelle. Raheem Kassam explique :

    "Le Mouvement sera notre bureau central pour un mouvement populiste et nationaliste en Europe. Nous allons concentrer notre attention sur les individus et les groupes de soutien intéressés par les questions de souveraineté, de contrôle des frontières et d'emploi entre autres choses». «Nous avons décidé de nous installer à Bruxelles parce que c'est le cœur de l'Union européenne, la force la plus pernicieuse contre la démocratie de l'État nation en Occident aujourd'hui».

    «L'organisation est déjà une fondation structurée avec un budget annuel significatif et nous avons commencé le recrutement».

    «Les élections européennes seront l'an prochain un test majeur à la fois pour les eurosceptiques et pour les réformateurs et le Mouvement sera l'endroit où ces deux causes vont se rejoindre». «La classe dirigeante politique a travaillé avec l'aide d'innombrables ONG pendant des décennies, main dans la main. Nous pensons qu'il est temps qu'il y ait une organisation qui soit du côté des gens ordinaires à la place des lobbies défendant les intérêts des grandes entreprises en Europe».

    La fondation de Bannon offrirait des conseils et des services de sondages, de publipostage en ligne (e-mailing) ou d'exploitation de données numériques à un réseau de partis d'extrême droite.

    L'ancien conseiller de Trump espère parvenir à mobiliser les opposants à l'Union européenne afin que soit élu un groupe de députés suffisamment important pour provoquer une paralysie voire une fermeture du Parlement européen et de la Commission européenne.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/07/steve-bannon-va-cr%C3%A9er-une-fondation-en-europe-afin-de-mener-une-r%C3%A9volte-populiste-de-droite-contre-s.html

  • À l’écoute du peuple, pas des médias

    vote-ligne-droite.jpg

    Ligne Droite cliquez ici

    La droite de gouvernement a perdu la confiance de son électorat car elle s’est soumise à la dictature politiquement correcte de la médiacratie. Une médiacratie coupée du peuple qui n’informe plus mais qui sert le Système. La droite nouvelle ne doit donc pas tomber dans cette erreur et Ligne droite estime en conséquence qu’il lui faut ignorer les injonctions journalistiques et dénoncer le rôle malsain des médias pour se mettre à l’écoute des Français et s’appuyer sur le peuple.

    Les médias ne servent pas l’information mais le Système

    Les médias mainstream ne sont en effet pas neutres politiquement, ils assurent la promotion et la défense de la pensée unique au service du Système qui dirige notre pays. Ils ne cherchent donc pas à informer objectivement les Français car ils font campagne en permanence pour les idées de l’oligarchie, le libre-échangisme, l’européisme, l’immigrationnisme, le féminisme et d’une façon générale tous les crédos politiquement corrects.

    Ils agissent en ce sens avec d’autant plus d’efficacité qu’ils ont acquis un pouvoir considérable qui leur permet de dominer l’exécutif et le législatif. Ils font et défont les réputations politiques. L’adoubement médiatique précède désormais l’adoubement électoral, comme on l’a vu avec l’incroyable promotion médiatique dont a bénéficié le candidat Macron.

    À l’inverse, ils censurent, déstabilisent et diabolisent les opposants au Système. Les journalistes de la médiacratie sont impitoyables à l’égard des dissidents, alors qu’ils se montrent toujours bienveillants vis-à-vis des représentants du Système.

    La médiacratie n’est pas l’expression du peuple mais de la Nouvelle Gauche

    Ce faisant, les médias sont totalement coupés du peuple et ne sont nullement représentatifs de ce qu’il est. De nombreux sondages prouvent en effet que l’écrasante majorité de la classe journalistique revendique son appartenance à la gauche et cela dans presque tous les pays occidentaux. Pour cette raison, les médias mainstream prennent partout des positions contraires à l’opinion de la majorité de la population. Ils ne reflètent plus en effet les attentes de leur public, mais seulement celles de leurs commanditaires, à savoir les sociétés qui les possèdent ou qui leur achètent des espaces publicitaires et qui constituent le cœur financier du Système au pouvoir.

    Mais, dès lors que les médias sont déconnectés de la population, les politiques ont un choix important à effectuer. S’ils sont en osmose avec le peuple, leurs positions seront nécessairement jugées non conformes par les médias et rejetées par eux. Si, en revanche, ils recherchent l’appui de la classe journalistique, ils seront mécaniquement amenés à prendre des positions qui les éloigneront de la majorité des Français. Obtenir l’approbation médiatique revient pour cette raison à accepter de se soumettre au politiquement correct et donc à consentir à sa propre normalisation. Telle est d’ailleurs la voie empruntée par la droite dite républicaine et qui lui a été fatale.

    Ignorer et dénoncer les injonctions de la médiacratie

    Aussi la droite nouvelle doit-elle faire le choix inverse et comprendre que la médiacratie, qui appartient au Système et soutient la Nouvelle Gauche, constitue pour elle un adversaire politique redoutable. Elle ne doit donc pas, comme le fait la droite de gouvernement, courtiser la médiacratie pour tenter d’obtenir son approbation et son soutien. Ligne droite estime qu’elle doit au contraire adopter un positionnement diamétralement opposé : être à l’écoute des Français et non des médias.

    Mais la droite nouvelle ne doit pas seulement refuser de se soumettre au lobby journalistique, elle doit aussi le mettre en cause et expliquer aux Français le rôle néfaste qui est le sien. Elle doit montrer le pouvoir illégitime mais considérable dont il dispose et l’usage partisan qu’il en fait.

    Elle ne doit par ailleurs pas se priver d’encourager l’émergence de nouveaux moyens d’information et de communication à travers l’Internet et les réseaux sociaux. Il faut en effet introduire la concurrence si l’on veut briser le monopole de la médiacratie et rétablir un peu de liberté dans le monde de l’information. Le général De Gaulle disait que « la politique de la France ne se fait pas à la corbeille ». De même, pour Ligne droite, la politique de la France ne doit pas se faire dans les salles de rédaction !

    Écouter notre peuple et s’appuyer sur lui

    Les peuples doivent ainsi reprendre le pouvoir sur les castes oligarchiques. Il en va de l’avenir de la France et de l’Europe car, aujourd’hui les peuples européens sont beaucoup moins décadents et beaucoup plus lucides que les élites dirigeantes. Toutes les études montrent en effet que l’opinion majoritaire en France comme ailleurs en Europe adopte des positions à rebours du politiquement correct.

    Aussi la droite nouvelle doit-elle clairement s’appuyer sur le peuple, non seulement parce que c’est l’esprit même de la démocratie et que seul le peuple peut la porter au pouvoir, mais aussi et surtout parce que les convictions qu’elle incarne répondent pleinement aux aspirations des Français. La droite nouvelle doit donc être populaire, non de façon démagogique mais en incarnant pleinement la volonté de notre peuple de rester lui-même et de se projeter dans l’histoire.

    C’est en misant sur le peuple que la droite nouvelle pourra par ailleurs rétablir la primauté du politique. Ainsi, par exemple, pour mettre fin au « gouvernement des juges » faut-il faire du peuple le seul juge constitutionnel en dernier ressort. C’est pourquoi aussi, la droite nouvelle veut lui rendre la parole en restaurant le recours au référendum, un instrument que l’oligarchie a voulu faire tomber en désuétude car il menaçait son totalitarisme.

    Pour Ligne droite, il est temps de mettre en cause la domination partisane de la médiacratie sur la vie politique. Aussi la droite nouvelle doit-elle se positionner clairement du côté du peuple, contre le pouvoir médiatique.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Incarner l’alternative au Système

    Aiguillage-ligne-droite.jpg

    Ligne Droite cliquez ici

    Le Système incarne aujourd’hui à travers la Nouvelle Gauche, les médias, la justice et le grand patronat, le pouvoir réel dans notre pays. Informel et invisible, il entraîne la France sur la voie tracée par son idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste. La droite nouvelle, qui représente la seule véritable opposition à cette entreprise politique délétère, doit donc, selon Ligne droite, se positionner clairement comme l’alternative au Système.

    Un double dispositif de gouvernement

    Aujourd’hui, notre pays connaît en effet un double niveau de gouvernement. En apparence, il est régi par les institutions officielles telles que définies par la Constitution. Dans ce monde-là, le pouvoir politique est censé avoir la prééminence. Le président de la République domine, soutenu par sa majorité parlementaire. Face à lui, l’opposition est supposée incarner une autre vision de l’avenir du pays. Et, à côté du pouvoir, la justice fait respecter les lois, les médias informent les citoyens et les entreprises leur fournissent des biens et des services.

    Le Système derrière la façade institutionnelle

    Mais ce monde est à bien des égards factice ou en tout cas il ne fonctionne pas comme on pourrait le croire au premier abord car, derrière la façade institutionnelle, c’est une autre réalité qui s’impose. Une réalité qu’on peut qualifier de Système puisque, dans la pratique, les différents pouvoirs ne sont pas indépendants mais corrélés les uns aux autres à travers les hommes qui en ont la charge. Même l’opposition procède de ce Système, comme la France insoumise qui n’est qu’une fausse opposition tout aussi immigrationniste que le parti de Macron et donc bien utile pour empêcher l’attention de se porter vers une véritable alternative. Et comme tous les acteurs du Système communient dans la même idéologie politiquement correcte, toutes les entités qu’ils dirigent œuvrent, non pas indépendamment, mais de concert et selon un ordre hiérarchique qui n’est pas celui des apparences. Les médias comme la justice dominent le pouvoir politique et le grand patronat domine les médias, de telle sorte que le monde économique et financier exerce sur le Système un pouvoir aussi absolu que discret.

    L’idéologie politiquement correcte comme moteur du Système

    Une discrétion qui est de règle et qui est d’ailleurs d’autant mieux respectée que le Système fonctionne en pilotage automatique. D’abord parce que tous les acteurs du Système se tiennent et que ceux qui en sortiraient seraient aussitôt diabolisés et marginalisés. Ensuite parce que tous ceux qui y occupent des postes de responsabilité connaissent la direction à suivre. Aussi n’y a-t-il aucun chef secret qui en dirige les ramifications. Aucune organisation parallèle ne structure le réseau. Sans doute existe-t-il des personnalités plus influentes que d’autres, peut-être y a-t-il des cénacles qui comptent plus que d’autres, mais le Système s’autorégule car tous ses membres ont la même feuille de route, celle de la pensée unique, une idéologie qui repose sur trois piliers. L’ultralibéralisme international qui prône la dérégulation totale des échanges économiques et financiers à l’échelle de la planète. Le mondialisme qui pousse à la fusion des peuples et des nations et donc à l’immigration sans limite. Et la déconstruction des valeurs sociétales, cette espèce de relativisme militant qui cherche à abattre les valeurs et à gommer toutes les différences. Au résultat le Système œuvre dans le sens du libre-échangisme, de l’internationalisme, de l’européisme, de l’atlantisme, de l’immigrationnisme, de l’écologisme et du libertarisme.

    Telle est la raison pour laquelle on ne peut pas, sans risquer la diabolisation ou l’ostracisme, défendre le protectionnisme économique, contester l’Europe bruxelloise, réclamer l’arrêt de toute immigration, ou même s’interroger sur la validité de la parité homme femme généralisée. Ces questions sont taboues parce que contraires aux options du Système, lequel impose ses vues sans contestation possible.

    La droite nouvelle, cible principale du Système

    La droite nouvelle, dont les choix idéologiques sont presque tous contraires à ceux du Système, se situe donc dans l’opposition, non seulement à la Nouvelle Gauche de M. Macron actuellement au pouvoir, mais aussi au Système dans son ensemble. C’est pourquoi elle ne peut qu’être combattue par les médias et maltraitée par la justice. Le Système est en effet bien conscient qu’une victoire politique de la droite nouvelle pourrait signifier son démantèlement puis sa disparition. Il mettra donc tout en œuvre pour s’opposer à elle, pour freiner son émergence et empêcher sa victoire.

    La droite nouvelle en alternative au Système

    C’est pourquoi la droite nouvelle doit, selon Ligne droite, se positionner clairement en alternative au Système. Une alternative qui apparaît comme une nécessité impérieuse pour la survie même de notre nation et de notre civilisation aujourd’hui gravement menacées. Toutes les actions du Système détruisent en effet les valeurs qui ordonnent notre société et conduisent au chaos. Le chaos migratoire, qui déracine notre peuple et l’expose au risque d’être remplacé par des populations venues d’ailleurs. Le chaos économique, qui appauvrit les Français, crée le chômage de masse et dépossède la France de ses outils de production. Le chaos sociétal, qui détruit les valeurs traditionnelles, effacent les repères et génère la médiocrité. Pis, ce Système provoque la guerre de tous contre tous, il fragmente la France, dresse les minorités contre la majorité et laisse émerger des communautés qui s’opposent les unes aux autres.

    Pour mettre un terme à ces funestes entreprises, il est donc essentiel de s’opposer au Système et de réussir à le démanteler. C’est à cette tâche que la droite nouvelle doit s’atteler en se positionnant clairement comme l’alternative au Système.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/07/21/incarner-l-alternative-au-systeme-6067643.html

  • Victoire des Bleus : Macron bidonné, sondages bidons !

    Capture-19.png

    Naguère, le défunt Philippe Seguin, gaulliste social tonitruant, souverainiste ombrageux qui finit bellement sa carrière comme gardien des comptes publics, rue Cambon, avait coutume de dire à propos des sondages, qu’ils sont à la démocratie, ce que l’amour vénal est à la romance.

    Il voulait exprimer, par là, sa circonspection face à cet « indicateur d’opinion », thermomètre sociologique mais véritable outil marketing qui prétend sonder les cœurs et les reins de la population française censée livrer tout de go ses avis plus ou moins intimes, à l’anonymat méthodologique d’organismes ad hoc se substituant, entre deux élections, au secret de l’isoloir.
    Le doute reste d’autant plus permis quand on sait, d’une part, l’usage parfois immodéré qu’en fait le pouvoir à des fins communicationnelles, d’autre part, les effets pervers induits jetant le trouble, sinon la suspicion, sur l’outil sondagier lui-même.

    C’est ainsi qu’un sondage, tout en donnant une image parfaitement faussée ou déformée de la réalité (le fameux échantillonnage « représentatif » ne l’étant, in fine, que de lui-même, les réponses et les questions pouvant être mal comprises ou mal interprétées de part et d’autres), parce que bénéficiant de la force de frappe médiatique « mainstream » comme de son effet de prisme, en arrive fréquemment à se parer des atours virginaux de la vérité fraîchement sortie des urnes.

    Le dernier sondage Odoxa Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info publié ce jour, ne fait pas exception à la règle, voire même paraît détrôner ses devanciers pour le caractère surréaliste de ses conclusions.
    On y apprend, tout à trac, qu’« un jeune sur deux et un quart de la population française (24 %), soit probablement entre 12 et 16 millions de personnes (en comptant les enfants les moins petits), est sortie dans les rues pour fêter la victoire des Bleus ». Ce faisant, ce sondage occulte soigneusement la réalité des actes de déprédations et des avaries multiples perpétrés dans les centres urbains, débordés par des banlieues allogénisées surchauffées.

    Et l’on ne parlera pas des agressions sexuelles en série dont furent victimes des femmes bien mal inspirées d’aller se joindre à la liesse…
    On y apprend encore que « 8 Français sur 10 (82 %) pensent que cette victoire aura un impact positif sur le sentiment de fierté des Français ». A l’heure où nombreux, là encore, ne cessent, non plus de célébrer, comme il y a vingt ans, la France métissée « Black-Blanc-Beur », mais la victoire de « l’Afrique », l’on s’interroge sur la validité d’un tel résultat…

    L’institut relève en outre que « la victoire des Bleus , en revanche, n’a pas permis à la popularité du Président, de rebondir : six Français sur dix (61 %) pensent toujours qu’Emmanuel Macron n’est pas un ‘‘bon Président’’ », pour ajouter aussitôt que « pourtant, même s’il ne gagne rien (ou pas grand-chose) en termes de popularité immédiate, ne nous y trompons pas, cette victoire constitue bien, incontestablement, une très bonne nouvelle pour le Chef de l’État ». Ou, comment soutenir, simultanément, deux propositions parfaitement contradictoires !

    Pris au pied de la lettre et dégagé de sa gangue politiquement correcte, ce sondage laisse surtout entrevoir l’image peu flatteuse de nos concitoyens (62 % se déclarant optimistes en l’avenir, depuis la victoire) croqués en moutons abrutis, bêlant en masse des slogans débiles et horripilants, dirigés par un chef de l’État sans tenue, immature et incompétent.
    Il y a cent ans, en Champagne, Allemands et Alliés jetaient leurs derniers feux fratricides dans les tranchées fumantes et sanglantes. Quel écart… Quelle chute !

    Aristide Leucate

    http://www.bvoltaire.fr/victoire-des-bleus-macron-bidonne-sondages-bidons/