Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 318

  • Cap sur l'Elysée : La dernière marche - Journal du vendredi 5 mai 2017

  • Obama, Nietzsche et le « dernier électeur » du candidat Macron

    Bernard Plouvier

    On a parfaitement compris, et depuis plusieurs lustres, que la globalo-mondialisation, dans laquelle le gentil consommateur, de préférence endetté, est seul considéré comme un honnête citoyen, exige que le « grand villagemondial » ne soit plus peuplé que d’êtres interchangeables, stéréotypés, aussi peu imaginatifs que possible et parfaitement réceptifs à la propagande des media : un ensemble de non-individualités, si l’on préfère la reproduction à des milliards d’exemplaires de ce que Nietzsche appelait « le dernier homme », l’animal gamma du troupeau humain, l’être fongible, c’est-à-dire remplaçable par n’importe quel autre.

    Ceci illustre à la perfection la dernière surprise de la campagne démagogique (variante : ultra-libérale) de M. Macron : le soutien logique, mais inattendu, du clown Barack-Hussein Obama, ex-mahométan (durant son adolescence) et dont la politique extérieure fut celle d’un crypto-islamiste, au candidat de l’économie globale, de la mondialisation des vies politique et sous-culturelle et de l’intensification de l’immigration-invasion de l’Europe par des extra-Européens, en majorité mahométans.

    Obama, le fou furieux qui a bouté le feu à près d’une dizaine de pays musulmans et qui a « boosté » la Dette des USA, au point de faire passer Bill Clinton et George Bush Junior pour de bons gestionnaires, Obama, le pire Président de l’histoire des USA, pourtant riche en non-valeurs et en demi-fous, se permet d’intervenir dans l’élection présidentielle de France.

    Il faudrait peut-être lui apprendre la géographie : la France ne se situe pas dans la zone de Monroë (les Trois Amériques), pas plus que dans les pays de Charî’a.

    Mais il est possible que le roué politicien sache ce qu’il fait : il intervient dans une élection fondamentale pour le passage futur de la France du statut de Dâr al-Harb, la zone de guerre des djihadistes, à celui de Dâr al-Islam… ce qui sera réalisé dans 20 à 25 ans, pourvu que l’immigration africaine et proche-orientale se poursuive au même rythme que l’actuel et que les honorables immigrées continuent leur effort génésique, permettant aux mahométans de devenir démocratiquement les maîtres de la France avec les ventres féconds de leurs épouses.

    Après le soutien du Président Hollande et celui de quelques excellences européennes ultra-libérales, c’est maintenant l’ex-pion de l’économie globale, mais aussi le maître suprêmement sournois de la stratégie de l’islamo-pétro-dollar qui apporte son appui au candidat Macron. Il ne lui manque plus (sauf erreur) que le soutien de Soros-Schwartz et il aura réuni le plus beau florilège d’ennemis de la Nation française autochtone.

    En clair, lorsque l’on est un citoyen français de souche européenne, il faut être le « dernier des électeurs » - dans le sens nietzschéen signifié plus haut – pour élire Macron, le dévoué représentant de la mondialisation, de l’immigration-invasion, de l’économie globale, ce qui promet une belle quantité de délocalisations d’entreprises et la toute puissance du capitalisme de spéculation.

    Le 7 mai sera-t-il le jour de triomphe des idiots volontaires, des candidats à la déchéance ? Selon les sondages, c’est probable, à moins d’un sursaut d’orgueil national et d’un minimum de réflexion de la part de l’électeur « souchien » sur l’avenir de ses enfants et petits-enfants.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • I-Média#150 : Élection présidentielle, le vrai visage des journalistes

  • Les 14 mensonges de Macron

    Emploi

    « L’ouverture de lignes de transport par autocar pourrait créer plusieurs dizaines de milliers d’emplois »
    « Les ruptures conventionnelles sont la première cause de fin de CDI »
    « Nous sommes le seul grand pays de l’UE qui n’a pas gagné la bataille contre le chômage de masse »

    Société

    ⚠️ « Dans certains quartiers, deux élèves sur trois ne savent ni lire, ni écrire, ni compter »

    Environnement

    « L’Allemagne a rouvert des centrales à charbon, ça pollue encore plus »

    Politique

    « Je suis le seul à vouloir imposer un casier judiciaire vierge à ceux qui souhaitent se faire élire »
    « 32 000 personnes ont donné [à En marche, ndlr]. Le don moyen, c’est 50 euros »

    Fiscalité

    « La taxe d’habitation est plus faible dans les métropoles que dans les communes rurales »

    Justice

    « Les peines de moins de deux ans sont systématiquement non appliquées »
    « Pour 170 000 interpellations pour usages de stupéfiants, il n’y a eu que quelques centaines de peines de prison »
    « Je m’engage à créer 150 000 places de prison »

    Défense

    « Le service militaire concernera 600 000 jeunes et aura un coût de fonctionnement de 2 milliards d’euros maximum »

    International

    « La France n’a pas vendu tant d’armes que cela à l’Arabie Saoudite »
    « L’agroalimentaire est un poste à l’export qui est constamment depuis 10 ans dans les trois premiers »

    Factoscope

    http://www.fdesouche.com/849883-les-14-mensonges-de-macron

  • Marine Le Pen visite une grande entreprise française de Transport | Marine 2017

  • Marine Le Pen face à Bourdin: Des explications qui complètent avantageusement celles soulevées par le débat de l’entre-deux tours.

    Marine Le Pen au matin de l’entre-deux tours répond aux questions de Jean-Jacques Bourdin. Des explications qui complètent avantageusement celles soulevées par le débat de l’entre-deux tours. Les thèmes: le programme économique ainsi que leur financement très détaillé: « Si la France retrouve sa monnaie nationale tous les pays la retrouveront, c’est bien pourquoi le Système est si féroce! » « L’UE non seulement ne nous protège pas, mais elle nous interdit de nous protéger ». « L’UE ouvre les frontières à tous les vents ». « On ouvrira des postes-frontières partout où ils existaient avant. »

  • Le Grand Soir

    Il faudrait des heures pour dénoncer l’accumulation quotidienne, prenant la forme d’une avalanche depuis le second tour, des prédictions apocalyptiques, des mensonges, des approximations spécieuses, des diffamations, des d’exégèses délirantes, foireuses, que ce soit sur l’histoire du FN, la présentation de ses vœux, de ses valeurs, de son programme, du projet présidentiel de Marine Le Pen… Un psittacisme haineux repris, colportés avec un grégarisme, une absence de recul qui en dit long sur le conditionnement proprement totalitaire auquel sont soumis les Français;  mais aussi sur l’ inquiétante tournure d’esprit de ceux, médias ou idiots utiles, qui prétendent combattre le fascisme (???)  avec de tels procédés…

    Cela ne doit rien au hasard mais tout à l’enrobage subliminal constate Bruno Gollnisch, il n’aura échappé non plus à personne qu’Emmanuel Macron est désormais désigné comme étant le candidat centriste par les médias. Quant aux visuels utilisés par les chaînes de télévision ils sont tout aussi révélateurs. Les initiales du parti  En Marche! apparaissent dans un bloc d’une douce couleur violette là où la couleur noire, associée à la mort, au deuil, au déclin, aux heures les plus sombres est attribuée au FN et à Marine Le Pen. 

    Tout, même le fait le plus anecdotique ou le plus anodin, est soumis à une grille de lecture partiale. Parfois aussi, les contempteurs du FN tombent dans le panneau. Ce fut le cas avec l’affaire (sic)  de la reprise par Marine lors de son discours du 1er mai à Villepinte, d’un court passage, célébrant la singularité géographique de la France, d’une allocution de François Fillon prononcée mi avril au Puy-en-Velay sur la vocation universelle de la France.

    Un plagiat dénoncé dans les médias, mais un plagiat bien évidemment assumé comme tel, comme un «clin d’œil », qui a été savouré par l’auteur du discours de l’ex candidat de LR, à savoir le souverainiste Paul-Marie Coûteaux. Dans le JDD cet «ancien député européen, féru d’histoire de France, assure qu’il n’a pas eu de contacts avec l’équipe de Marine Le Pen pour ce discours. Pour autant, il se réjouit de cet emprunt. Je soutiens Marine Le Pen et il n’est pas mauvais que les deux candidats s’expriment dans les mêmes termes, explique-t-il, rappelant son long combat pour un rapprochement de toutes les droites. Il est prometteur (et significatif) que (Marine Le Pen et François Fillon) s’exprimant sur la vocation universelle de la France le fassent dans les mêmes termes» a t-il écrit sut Twitter.

    Bref un clin d’œil pertinent à cet électorat filloniste attaché lui aussi à une définition charnelle de notre patrie, aux valeurs traditionnelles, et qui est instinctivement très hostile à tout ce que représente la candidature de l’héritier de François Hollande. En ce sens la nomination par le bureau de LR du très antinational François Baroin, militant actif  dans son camp pour la victoire de M. Macron le 7 mai, comme chef de file de la campagne de la droite aux législatives,  incarne assez bien l’impasse dans laquelle se trouve ce parti. Comment l’édifice LR peut-il encore prétendre à la cohérence alors que les plus excités, les juppéistes, NKM, les centristes de l’UDI de Jean-Christophe Lagarde réclament la tête de tous ceux qui comme MM. Guaino, Poisson, Wauquiez, les dirigeants de Sens Commun etc, refusent de voter pour le champion de Pierre Bergé et de Christiane Taubira? Toute maison divisée contre elle -même périra…

    Un électorat de droite qui une des clés de ce scrutin dont le résultat final le 7 mai sera certainement plus serré que veulent bien le croire tous ceux qui survendent aux Français le chouchou de la banque Rothschild, d‘Angela Mekel et de  la Commission européenne. Le sondage Elabe pour BFMTV et L’Express publié hier, que nous évoquions sur notre blogue,  enregistre la dynamique en faveur de Marine (41%, + 5 points) là ou Emmanuel Macron (59%) en perd cinq, mais aussi une fragmentation des choix des électeurs fillonistes du premier tour. 24% d’entre eux n’expriment pas leur intention de vote (+1 point), 46% (-3) choisissent M. Macron et 30% (+2) Marine Le Pen.

    Du côté de Jean-Luc Mélenchon, la consultation à laquelle ont pris part 240 000 insoumis indique que seulement 34% d’entre voteront Macron, ce qui  a déclenché la fureur de Pierre Laurent,  secrétaire national du PC, qui a appelé à voter pour le candidat du Medef dés le 23 avril au soir…  Une consultation très cadenassée par M. Mélenchon et ses amis, ne donnant pas la possibilité du vote Le Pen mais uniquement le choix entre le vote pour l’ex ministre de l’Economie, l’abstention ou le vote blanc. Le sondage Elabe apporte un éclairage très différent puisque les consignes antipatriotiques pour le second tour de l’Etat-major trotskyste de la France Insoumise ont été assez largement désavouées  par les électeurs mélenchonistes du premier tour. 33% de ces derniers seraient encore indécis (+2),  44% se résoudraient à glisser un bulletin Macron (-9 points) et prés d’un mélenchoniste sur quatre ( 23%, + 7 points!) voterait Marine Le Pen.

    Autant dire que le débat de ce soir opposant la candidate national à celui de la finance et des lobbies mondialistes sera une  étape très importante, décisive peut-être,  de cette campagne. M. Macron est un homme intelligent, entouré d’une batterie de communicants,  de professionnels du marketing, et ce duel projet contre projet,  cette confrontation - qu’il redoute selon les bruits qui ont filtré - ne sera pas aussi facile pour Marine que le disent certains de nos amis. Notre candidate y est préparée, portée par les espoirs de millions de Français, de gauche, de droite, ou d’ailleurs,  qui n’acceptent pas la submersion, le déclin de la France, l’euthanasie européiste qui lui est promise comme un remède ultime à nos souffrances… Un grand moment en perspective. 

    https://gollnisch.com/2017/05/03/le-grand-soir/

  • Débat Marine/ Macron : On n’abandonne pas son capitaine avant un assaut final

    marine-le-pen.jpg

    Marine Le Pen s’est trompée de stratégie. Dont acte. Faut-il pour autant joindre ses voix à tous les Cassandres qui se couchent avant même d’avoir combattu ?

    Alors que les médias se déchainent dans une incroyable unanimité pour faire l’éloge de Macron – Le Figaro (journal des exilés fiscaux) en tête – suite au débat qui l’a opposé à Marine Le Pen hier soir, certaines voix y compris dans le camp des patriotes  se laissent aller au découragement et à un défaitisme, ce qui démontre une inconstance et une immaturité à l’image de notre époque consumériste. Époque où l’on subit, l’on consomme sans se donner ni se prendre en main.
     
    Je n’évoquerai même pas ici une partie de la prétendue droite, qui a déjà fait une croix sur ce second tour, pour chercher de misérables investitures qu’ils n’auront peut-être pas, dans l’espérance d’un gouvernement de cohabitation.

    Ni ceux qui se réfugient dans un confortable ni-ni qu’ils ont l’incroyable indécence de faire passer pour un acte de courage lorsqu’il n’est que l’apanage de leur propre veulerie.
     
    Tous ces barons me font penser à cette noblesse que l’on voit dans Braveheart abandonner au dernier moment William Wallace et ses gueux face aux troupes de la perfide Albion.
     
    Marine Le Pen s’est peut être trompée de stratégie en tentant de faire sortir le candidat du néant de ses retranchements afin qu’il découvre le vide abyssal de sa pensée. Elle n’y est pas parvenue. Dont acte.
     
    Faut-il pour autant joindre ses voix à tous les Cassandres qui se couchent avant même d’avoir combattu, comme le fit François Fillon au bout de deux minutes au soir du premier tour, après avoir auparavant fustigé les manœuvres du cabinet noir et s’être livré à un incroyable chantage au vote utile ?
     
    On n’abandonne pas son poste avant la bataille finale même si les chances de victoire sont infimes. Et ce n’est pas simplement un ressort purement romantique qui m’inspire à livrer cette bataille et encore moins un aveuglement fanatique ayant critiqué en interne lorsque j’ai été élu membre du comité central en 2014, l’abandon des fondamentaux identitaires et civilisationnels au profit d’une logorrhée  anxiogène sur l’euro.
     
    Simplement la conscience d’un enjeu crucial pour l’avenir de notre pays, de nos enfants – je viens d’être père au moment où j’écris ces lignes – face au raz de marée nihiliste, libéral libertaire et remplaciste que nous préparent Monsieur Macron et ses commanditaires.
     
    Marine Le Pen n’est ni Saint Louis ni Jeanne d’Arc certes, mais c’est une fille de France qui combat courageusement comme une lionne dans une arène face à des fauves affamés de haine et de sang.
     
    Il est vraisemblable qu’au soir du second tour, le visage d’Emmanuel Macron apparaisse comme celui du grand vainqueur et que nous verrons des drapeaux algériens flotter sur les champs Elysées sous les youyous des femmes voilées.
     
    Mais je ne voudrais pas si un jour notre pays est amené à disparaître que mon petit garçon ait le souvenir d’un père qui soit devenu un esclave sans avoir combattu.

    http://www.bvoltaire.fr/debat-marine-macron-on-nabandonne-capitaine-assaut-final/

  • Débat : Marine Le Pen a-t-elle voulu faire comme Donald Trump ?

    5121867_6_c7c5_marine-le-pen-et-emmanuel-macron-mercredi-3_93448381a29b020895a2486ca3b34c9f.jpg

    A propos du débat présidentiel d'hier soir, David Desgouilles déclare au Figaro :

    "Marine Le Pen a en effet raté complètement son débat, ce qui tranchait avec la bonne campagne de second tour entamée dès le lundi 24 avril. En fait, c'est davantage son comportement qui est en cause. Ces derniers mois, on avait pu constater que Marine Le Pen pouvait se montrer convaincante en matière économique devant des journalistes. Mais elle le faisait avec le ton adéquat. Ces sujets pointus nécessitent précisément du calme et de la pédagogie."

    Mais d'adressait-elle aux journalistes, ou même, à son adversaire ? Il faut en effet prendre en compte le fait que bon nombre de Français ne comprennent rien en économie, sinon que la vie devient plus dure au quotidien, notamment au sein de ce que Christophe Guilluy appelle la France périphérique, et ces Français ne jugent pas un candidat sur l'équilibre du budget décrit dans le programme (et d'ailleurs ce n'est pas le sujet : on juge surtout sur la capacité d'un chef à prendre la bonne décision au bon moment).

    Les médias, qu'ils soient français ou américains, fustigaient l'an passé les écarts de langage de Donald Trump face à Hillary Clinton, la candidate -là aussi- du système. Or, il s'agissait d'une véritable stratégie, gagnante aux Etats-Unis : Donald Trump n'a pas cherché à convaincre les businessmen de Wall Street, mais il a réussi à mobiliser des électeurs qui avaient voté pour le candidat d'extrême-gauche Bernie Sanders lors de la primaire démocrate perdue face à Clinton, ainsi que les abstentionnistes qui avaient perdu depuis longtemps le goût de la chose politique, chose réservée aux élites, aux gens qui comprennent les subtilités de la finance ou des relations internationales...

    Ainsi, Marine Le Pen a-t-elle cherché, elle aussi, par son attitude, plutôt que par des arguments, à rallier les électeurs de Jean-Luc Mélenchon (et bon nombre à droite s'indignent de ses mesures économiques de gauche) ainsi que les électeurs qui ne se sont pas déplacés le 23 avril, ce populo qui en a "raz la casquette" de ne plus vivre en paix chez lui ou qui ne parvient pas à boucler ses fins de mois ? 

    A quoi servait-il à Marine Le Pen de dérouler des arguments précis et chiffrés dans la France de la téléréalité... Nous avons les élites que nous méritons. Avait-elle vraiment une chance de convaincre les catégories CSP+, qui préfèrent surveiller le cours de leurs actions en bourse plutôt que la réalité des quartiers perdus de la République ?

    Elle a certainement échoué à faire craquer celui qui avait laissé entendre qu'il pourrait quitter le débat s'il servait de punching ball (était-ce même calculé afin de forcer Marine Le Pen à être sur le mode agressif ?). Il a très bien résisté et a su créer des écrans de fumée quand il le fallait (il a même su mentir). Elle a sans doute voulu montrer qu'elle est capable d'aller au charbon, ce qui fait que, unanimement, le débat a été perçu comme brutal et dur. Elle a voulu dissuader les indécis de voter pour l'héritier de François Hollande, le jouet de la haute finance et des puissants. C'est une stratégie et l'on verra très bientôt si elle aura été gagnante.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html