Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 415

  • Primaire : les enseignements du scrutin

    A quand la fermeture des instituts de sondage ? C’est la question que les Français peuvent légitiment se poser après l’écrasante victoire de « l’eunuque » (surnom de Fillon) au premier tour des primaires. Alors que la caste médiatique catégorisait Fillon parmi les petits candidats jusqu’à la semaine dernière, Flamby 1er prophétisait il y a quelques mois : « Il n’y en aura que deux, Juppé et Sarkozy. Fillon n’a aucune chance ».

    Quelle analyse faire du 1er tour de cette primaire ?

    La forte participation indique que les Français « de droite » ne veulent pas en reprendre pour 5 ans d’un gouvernement socialiste.
    Ils se sont mobilisés pour désigner leur champion et éviter une nouvelle défaite en mai 2017.

    Les Français ne veulent plus de Sarkozy.
    Battu en 2012 et détesté à gauche comme dans son camp. Le programme de Fillon est sensiblement le même que celui de Sarkozy, le personnage en moins. L’élection a donc bien été remportée à droite, mais le rejet de Sarkozy a porté les électeurs sur le candidat Fillon.

    En dépit de la propagande médiatique, les électeurs ne veulent pas d’un vieux briscard du centre gauche.
    « Ali Juppé » est presque mathématiquement certain de perdre cette primaire de la droite. Ses soutiens médiatiques et communautaires (musulmans) ne suffiront pas à renverser la tendance.

    Les catholiques doivent cesser de croire en la démocratie
    J-F Poisson était présenté, à tort, comme le candidat catholique « anti-système ». Certaines organisations avaient même appelé à voter lors des primaires pour le candidat Poisson en espérant créer la surprise. Avec 1.5% de votes, c’est un échec total. Mathématiquement, les catholiques sont et resteront largement minoritaires en France. Ils n’ont rien à attendre d’un scrutin national.

    http://www.contre-info.com/primaire-les-enseignements-du-scrutin#more-42904

  • Journal du Lundi 21 novembre 2016 - Politique / Fillon écrase la concurrence

  • Preuve par l’image : des organisations musulmanes ont appelé discrètement à voter Juppé lors des primaires de la droite

    PRIMAIRE MAG

    Source

  • Primaire : le FN appelle les électeurs qui ont voté pour davantage d'identité, d'autorité et de sécurité

    Communiqué de Philippe Vardon, Conseiller régional de PACA et membre du Bureau départemental FN 06 :

    "A travers leur vote pour Nicolas Sarkozy, hier lors de la primaire du centre-droit, ce sont 35% d'électeurs [?] qui ont réclamé davantage d'identité, d'autorité et de sécurité.

    En effet, quoi qu'il en soit de la réalité du bilan de Nicolas Sarkozy ou de la sincérité de ses convictions, c'est bien ces thématiques que celui-ci avait placé au cœur de sa campagne.Et ces électeurs, comme de manière plus marginale ceux ayant voté pour Jean-François Copé ou Jean-Frédéric Poisson, se retrouvent aujourd'hui orphelins. Il semble en effet évident que – quels que soient les ralliements opportunistes ou les calculs – ni Alain Juppé, ni François Fillon ne peuvent répondre à leurs aspirations. Leurs atermoiements sur la question des migrants ou leur faiblesse face à l'islamisme radical les disqualifient clairement. François Fillon avait en effet déclaré qu'il accueillerait des migrants dans sa commune s'il était encore maire, et a notamment été le premier chef de gouvernement à inaugurer une mosquée (à Argenteuil).

    Identité, autorité, sécurité sont au cœur du projet pour la France porté par Marine Le Pen, et c'est autour de sa candidature de rassemblement du peuple français – au-delà des étiquettes partisanes et des parcours politiques – que doivent se mobiliser tous les patriotes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • PRIMAIRE DE LA DROITE : LE CANDIDAT DU SYSTÈME LOIN DERRIÈRE FILLON

    Un communiqué de Carl Lang, Président du Parti de la France :

    En choisissant massivement François Fillon lors du premier tour de la Primaire, les électeurs de droite ont d’abord sanctionné le candidat favori du système politico-médiatique, Alain Juppé présenté depuis des mois par tous les instituts de sondage et les politologues comme le vainqueur annoncé.

    Il reste à confirmer au deuxième tour le rejet d’Alain Juppé qui serait le pire des candidats de la droite et du centre pour la France française.

    Si certaines positions-en particulier dans le domaine des relations internationales- de François Fillon peuvent sembler aller dans le bon sens, le Parti de la France rappelle que, par son parcours, l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy reste cependant un homme de l'établissement politique co-responsable de la situation dramatique dans laquelle se trouve notre Pays.

    Le relèvement de la France ne peut venir que de la mise en place d'un État national fort, de la défense de notre identité française et de nos valeurs européennes de civilisation ainsi que du refus de la colonisation migratoire et de l’islamisation de la France.

    Pour mener cette bataille politique de résistance nationale, Le Parti de la France sera au rendez-vous des élections législatives de 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Nouvelle donne?

    Encore un résultat que les sondeurs n’ont pas vu venir, dont il n’ont pas su en tout cas mesurer l’ampleur. Avec plus de 44%  des voix au premier tour de la primaire de la droite et du centre, François Fillon écrase la concurrence, prend une solide option sur  le second tour devant un  Alain Juppé-candidat-chouchou-des-médias assommé (28,6%) et un Nicolas Sarkozy sèchement éliminé ( 20,6%), renvoyé à ses chères conférences au Qatar. Les autres candidats n’ont fait que de la figuration : environ 2,5% de suffrages pour Bruno Lemaire et NKM, 1,5% pour Jean-Frédéric Poisson, 0,3% pour Jean-François Copé. Les  gaullistes,  les politologues, les Français ayant un brin de mémoire le savent parfaitement, rien n’est plus étranger à notre régime présidentiel, un des rares en Europe, rien de moins conforme à   l’esprit de la Ve  République,  telle qu’elle a été souhaitée par De Gaulle adversaire du régime des partis,  que le principe même d’une primaire. Depuis  la première primaire ouverte  organisée par le PS , idée géniale de gauche reprise  comme souvent par la droite, l’élection présidentielle n’est plus  la rencontre entre un candidat  élu au suffrage universel et la nation. Avec la primaire  ou seule une partie de l’électorat se déplace,  nous assistons à un  court-circuitage du   premier tour de l’élection présidentielle qui avait  valeur de  primaire nationale.

    Environ 4 millions de nos compatriotes, sur les 44 millions d’électeurs français, se sont  déplacés  hier  pour choisir  le champion de la droite libérale.  Les enquêtes  indiquent aussi qu’à peu près 15% des votants à cette primaire - peu ou prou  600 000 électeurs - étaient des gens de gauche. Persuadés de l’élimination du candidat socialiste dés la premier tour de la présidentielle, ils sont venus principalement pour  éliminer Nicolas Sarkozy en votant très majoritairement pour Juppé, et choisir le candidat qui aurait à leurs yeux  le plus de chance de l’emporter contre Marine Le Pen au second.

    Soutenu par les nombreux adversaires de Nicolas Sarkozy, les adhérents-sympathisants  de droite les  plus européistes et immigrationnistes, le  ventre mou du centrisme, Ali Juppé comme le surnomme beaucoup de  ses adversaires sarkozystes sur les réseaux sociaux,  espérait bénéficier de ce rejet  anti-Sarko.  Le résultat de ce dimanche  fut aussi un référendum anti-Juppé pour le peuple de droite, ne se reconnaissant pas dans ce candidat des élites médiatiques et bien-pensantes.

    Capitalisant sur le double rejet de MM.  Juppé et Sarkozy, M Fillon  a réussi  à apparaître comme un homme neuf, ce qui n’est pas le moindre des paradoxes pour un politicien  qui fut élu député pour  la première fois en 1981 et ministre  sous le gouvernement Balladur en 1993. Il n’est surtout  pas neutre  que ce soit le candidat de droite le plus libéral, le plus  transgressif sur le plan économique, qui soit le grand vainqueur de ce premier tour des primaires.

    François Fillon,  crédité d’avoir dit la vérité avec sa fameuse  sortie sur notre Etat en Faillite,  commença séguiniste, gaulliste social. Il  apparaît  plus circonspect sur les bienfaits de la mondialisation  qu’un Juppé, mais clame aujourd’hui  son admiration pour Margaret Thatcher… à un moment ou les peuples réclament  plus de protections face à la violence de l’ultra libéralisme mondialiste  - on  l’a vu avec le Brexit et l’élection  de M. Trump.   Mais il est  aussi  plus en phase avec les valeurs de la droite traditionnelle, majoritaires chez les électeurs, obtenant notamment, alors même qu’il ne remet pas en cause le mariage pour tous, le soutien de Sens commun. Son langage  de fermeté face à l’islamisme,  sa volonté d’un rapprochement avec la Russie de Poutine, son pragmatisme au sujet  du régime de Bachar el-Assad, bouclier des chrétiens  syriens, rempart contre le djihadisme,  ont aussi contribué à lui forger une image d’homme sensé et responsable chez les adhérents de son parti.

    Si Alain Juppé clamait ces derniers mois qu’il était le meilleur rempart contre un Nicolas Sarkozy accusé de complaisances coupables vis-à- vis du programme identitaire et sécuritaire du FN, M. Sarkozy lui répétait à qui voulait l’entendre qu’il était le meilleur rempart contre l’élection de Marine Le Pen. L’ex chef  de l’Etat a redit hier soir dans son allocution actant sa retraite de la vie politique (?) et son  soutien au second tour pour Fillon, son hostilité contre l’opposition nationale. Il a exhorté les électeurs à « ne pas emprunter la voix des extrêmes», «le chemin du pire». Même son de cloche d’un Juppé qui entend a-t-il dit, «rassembler contre le FN qui nous entraînerait vers la pire des aventures».

    François Fillon, constate Bruno Gollnisch, n’a jamais manifesté dans le passé  de fortes préoccupations sur l’atomisation communautaire de notre pays, ne s’est jamais vraiment opposé à l’immigration de peuplement, nos abandons de souveraineté à l’hydre bruxellois ou à l’Otan; il  reste lui aussi un adversaire résolu du FN. L’année dernière, comme c’est original, il  pronostiquait sur France Inter une guerre civile si les nationaux  et autres patriotes souverainistes arrivaient au pouvoir.  Il appelait  de ses vœux à une « offensive » contre « la montée régulière du FN dans l’opinion ». Il invitait ainsi à « ne pas jouer l’avenir de (nos) enfants et de (notre) pays à la roulette russe ». Il déclarait aussi en février 2015  qu’en cas de second tour PS-FN à la présidentielle, il voterait pour le candidat socialiste.

    Marine  le relevait hier, «la présidentielle, ce ne sont pas des partis politiques qui présentent un candidat (…), c’est un candidat qui se présente et qui est soutenu par un ou plusieurs partis»,  et c’est aussi un autre enseignement de ce scrutin,  «Jamais ils (les candidats à la primaire, NDLR) n’ont autant parlé que dans cette primaire de sécurité, jamais ils n’ont été aussi opposés à la mondialisation sauvage, jamais on a parlé autant de protectionnisme. C’est nous qui posons les termes du débat et ils tournent autour». 

    Et Le Figaro de noter encore cette analyse faite dans l’entourage de Marine Le Pen : «C’est une droite perdue, déboussolée, qui ne veut ni de Sarkzoy, ni  d’un Juppé  balladurisé plus vite que prévu, qui (s’est  donné)  à un homme tellement courageux qu’il a été incapable de s’élever contre Sarkozy pendant cinq ans». A charge pour l’opposition nationale de savoir fédérer un électorat sarkozyste pour partie  désormais en déshérence,   qui ne retrouve pas chez M. Fillon la fermeté affichée par l’ex président de la République sur les questions migratoires et sécuritaires  au cours de cette campagne. 

    http://gollnisch.com/2016/11/21/nouvelle-donne-2/

  • Primaire de la droite : Fillon écrase tout, Sarkozy c’est fini !

    Grand vainqueur du premier tour de la primaire de la droite et du centre, François Fillon a déjoué les pronostics et rafle la première place (44%) loin devant Alain Juppé, deuxième (28,3%).
    C’est un échec cuisant pour Nicolas Sarkozy (20%), qui a été éliminé dès le premier tour. Henri Vernet, rédacteur en chef adjoint et responsable du service politique au Parisien – Aujourd’hui en France, décrypte cette soirée historique.

    http://fr.novopress.info/

  • Sur la longue durée, Donald Trump n’est pas une surprise*

    Georges Feltin-Tracol

    Contrairement aux idées reçues, finance et politique forment un excellent duo. Aux temps de la Rome antique, les patriciens de la République se dédiaient aux affaires publiques tandis que leurs esclaves les plus dévoués en hommes de paille avisés faisaient du négoce. Au Moyen Âge et à la Renaissance, les cités italiennes ou de la Ligue Hanséatique dans le Saint-Empire romain germanique étaient le théâtre de vives confrontation entre de vieilles lignées terriennes de l’aristocratie et les jeunes bourgeoisies enrichies par le commerce et la banque (les Médicis à Florence).

    Si l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis est une grande surprise pour le XXIe siècle, sa réussite repose sur quelques précédents. Il y a 25 ans, le milliardaire texan indépendant Ross Perot que Trump soutint un moment, recueillait 18,9 % des suffrages, empêchait la réélection de George Bush père et favorisait indirectement l’élection de Bill Clinton. Quatre ans plus tard, toujours candidat sur des thèmes protectionnistes et hostiles au libre-échange, Perot n’obtenait que 8,4 %, dépassé par un Clinton, grand séducteur d’électeurs, véritables Monica Lewinski politiques.

    Sur cette terre par excellence du progressisme, de la modernité et de l’individualisme que sont les États-Unis, Donald Trump représente aux yeux de ses compatriotes le « rêve américain », le self made man, dur au travail, qui s’est bâti une vie prospère grâce à l’alchimie délicate d’une farouche volonté, d’un toupet extraordinaire et d’une chance inouïe. Longtemps, des généraux victorieux, George Washington (1789 – 1797), Andrew Jackson (1829 – 1837), vainqueur des Britanniques à La Nouvelle-Orléans en 1815, Zachary Taylor (1849 – 1850), Ulysses Grant (1869 – 1877) qui triompha de la Guerre de Sécession ou Dwight Eisenhower (1953 – 1961), occupèrent le Bureau oval. Aujourd’hui, la guerre ayant pris une tournure économique, c’est au tour des hommes d’affaires, surtout si leur notoriété s’alimente d’articles de presse people et d’une intégration – ancienne et remarquable – au « médiacosme ».

    Homme d’argent, Donald Trump est aussi un homme d’images. Avant d’être une vedette de la télé-réalité, il figura dans des épisodes de feuilletons télévisés (Le Prince de Bel-Air, Spin City, Sex and the City, etc.) ou fut cité dans certains films tels Retour vers le futur 2 sous les traits du méchant Biff Tannen ou dans Gremlins 2. La nouvelle génération en tant que Daniel Clamp, voire en jouant son propre rôle truculent (Maman, j’ai encore raté l’avion, Zoolander ou L’Amour sans préavis). S’affranchissant de tous les codes, Donald Trump rejoint le pécore Mister Smith, cet idéaliste novice en politique, à la différence toutefois que le président élu connaît fort bien le marigot politicien. Le 7 novembre dernier, Arte diffusait d’ailleurs en soirée Monsieur Smith au Sénat, la satire féroce des mœurs politiques de Washington réalisée par Frank Capra en 1939. À l’insu de son plein gré, la chaîne franco-allemande annonçait le séisme planétaire du lendemain.

    Bonjour chez vous !

    * « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 9, diffusée sur Radio-Libertés, le 18 novembre 2016.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • De Hollande à Juppé : un rappel de la nullité française

    Je n’ai aucune envie de dénoncer le futur succès de ce bon Juppé. Il est comme Hollande, mais pire. Le Français dont je me moquais déjà il y a dix ans, asticot, métro, homo, hétéro, techno, socialo, réglo, rococo, catho, se reconnaîtra dans Bordeaux. On aura les impôts et l’OTAN aux commandos.

    Un gentil lecteur du site gauchiste Agoravox résume la situation. Il écrit le 27 octobre, mieux et surtout plus lucidement que les contributeurs moyens de nos sites anti-système :

    « Les sondages montrent l’état de l’opinion française à quelques nuances près qui font les différences d’un institut à l’autre.

    En les pointant du doigt, on se fait plaisir et l’on se rassure en tentant de se persuader que les dés sont pipés par ceux – le NOM, le Bilderberg, l’Oligarchie, etc. – qui ont intérêt à voir la même politique pérennisée par le prochain locataire de l’Elysée.

    Pourquoi ne pas admettre tout simplement la réalité : à savoir que la majorité des Français, tout en râlant et en vilipendant les élus depuis des décennies, se satisfait grosso modo de la gouvernance pratiquée par les partis de gouvernement ? Si tel n’était pas le cas, c’est vers un 2e tour Le Pen-Mélenchon que l’on irait, ce qui ne sera évidemment pas le cas. 

    Et que l’on ne vienne pas me dire que les Français sont formatés par la télévision comme on l’affirme trop souvent – là aussi pour trouver une explication commode – : l’audience cumulée des grands journaux ne dépasse pas le tiers de la population en âge ou en capacité d’aller voter, et on compte dans cette audience une part importante d’abstentionnistes ou de votants alternatifs, quoi qu’on en dise ! »

    Voilà qui est bien envoyé, et j’avais déjà relevé un lecteur courageux du site les-crises-fr, qui soulignait que les Français s’habitueraient aux attentats. Je concluais dans un édito retentissant (il est même sur wikipédia !) que les Français se laissent tuer parce qu’ils sont déjà morts. Pour ceux qui ne comprennent pas je conseillerai le film Zombi, et pour ceux qui carburent encore à l’anti-américanisme, je rappelle qu’on a une grande rébellion Trump aux USA, à laquelle j’ai rendu hommage dans un livre récent (lien) ; et quand nos sites font dix commentaires, Zerohedge en fait mille, Breitbart dix mille ! Cherchez où est la résistance au système, elle n’est pas en France. Ici les peuples sont anesthésiés fait remarquer l’historien US Payne. N’est pas russe ou américain qui veut !

    Le Français nullissime, on retrouve ce trait chez Rabelais, Molière, Taine, Vallès, Céline. Le Français braille puis collabore. C’est sa nature. C’est un péquenot, un démago, le Français, c’est un bobo, c’est un bourgeois catho. Alors qu’on arrête de le plaindre ou de le pousser à la révolte ce bougre.

    Quant à Juppé, il déplaira avant trois ans, et on revotera socialiste, peut-être même pour Valls revenu de vacances.

    Ma conclusion ? Lisez Virgile, Tolkien, redécouvrez le grec.

    Nicolas Bonnal

    http://www.voxnr.com/6360/de-hollande-a-juppe-un-rappel-de-la-nullite-francaise