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élections - Page 429

  • Les jeunes aspirent à prendre la place des soixante-huitards dans les sphères d’influence de la société

    Chaque année, 180 nouveaux auditeurs se rendent à l’Institut de Formation Politique pour y suivre un ou plusieurs séminaires. Alexandre Pesey répond aux questions de Louis Lorphelin dans Présent :

    "Quel constat vous a amené à fonder l’IFP ?

    Jean Martinez, Thomas Millon et moi-même sommes partis d’un constat simple : contrairement à la gauche, notre courant de pensée ne proposait pas de formation à la fois intellectuelle et pratique pour les militants que nous étions ! Pourtant, dans l’univers médiatique qui est le nôtre, il nous semblait logique de travailler sur ces deux aspects : les idées mal défendues n’ont pas d’avenir et les discours creux mènent à l’immobilisme.

    Comment expliquez-vous son succès ?

    Il est vrai que la forte demande nous empêche de répondre favorablement à toutes les demandes d’inscription. La nouvelle génération, particulièrement les jeunes catholiques, a compris la nécessité de se structurer et de se former à l’action. Notre ouverture d’esprit aux familles qui veulent sauver les spécificités françaises permet à cette jeunesse de se sentir bien accueillie, d’où qu’elle vienne. Nos formateurs, plus de 300, agissent d’ailleurs en ce sens : ils transmettent et délivrent un enseignement qui sort des sentiers battus, à rebours de celui inculqué par l’éducation nationale et les universités françaises. Cette liberté de ton est garantie par notre indépendance financière. J’en profite donc pour remercier ici nos généreux donateurs qui nous permettent d’accomplir cette mission.

    Quel est le fondement doctrinal de son enseignement ?

    Nous nous adressons à une jeunesse qui a la France chevillée au corps, refusant le prêt-à-penser ambiant : relativisme, interventionniste d’Etat, nomadisme, multiculturalisme. Les jeunes aspirent à prendre la place des soixante-huitards dans les sphères d’influence de la société : la presse, les arts, l’associatif et bien entendu la politique. Les résultats sont déjà palpables ! A titre d’exemple, citons trois auditeurs de l’IFP qui ont créé l’association « SOS Chrétiens d’Orient ». Je pense aussi à ces talentueux auditeurs qui ont créé la gazette-en-ligne catholique « Le Rouge et le Noir ». [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • En 2 mois, les ennemis d'Hillary Clinton sont tous morts naturellement

    Le 8 novembre 2016 les élections américaines vont se terminer avec le choix d’un nouveau président ou d’une nouvelle présidente. Comme tous les candidats précédents, Hillary Clinton et Donald Trump montrent au peuple un visage pacifique et ils promettent la paix mondiale. 
     Cela n’a rien à voir avec la réalité, et le passé de Hillary Clinton le montre clairement. Car c’est elle qui a soutenu la guerre en Irak avec beaucoup de zèle sous Georges Bush. De même quand elle était ministre des Affaires étrangères sous Barack Obama elle a joué un rôle clef dans les attaques de l’OTAN contre la Libye. Elle s’est aussi montrée ennemi juré de l’Iran. Elle a dit en 2008 : 
    « Si je deviens présidente, nous attaquerons l’Iran !! » 
    Il est sûr et certain que nous allons voir ce que Donald Trump et Hillary Clinton entendent par paix mondiale. En voici un petit aperçu : 
    Depuis juin 2016 les cas de décès se multiplient dans l’entourage de Hillary Clinton. Les 6 hommes dont les noms suivent sont morts parce qu’ils ont essayé de révéler les pratiques criminelles des Clinton : 
    – John Ashe, ancien président de l’Assemblée générale des Nations Unies entre 2013 et 2014, aurait dû être un témoin pour des transferts d’argent illégaux de l’homme d’affaire chinois Seng vers le Comité démocrate sous le président Bill Clinton. Il n’a jamais pu dénoncer tout cela devant la justice. Selon l’ONU il est mort le 22 juin d’un arrêt cardiaque, ce que les policiers locaux ont démenti. 
    – Mike Flynn, journaliste d’investigation, est mort le 23 juin de manière mystérieuse. Le jour de sa mort, son article sur la fondation des Clinton avec ses nombreuses succursales partout dans le monde y compris à Hong Kong, a été publié. En échange de cadeaux politiques la fondation des Clinton a été soutenue financièrement par des hommes d’affaires chinois et par le gouvernement chinois de Pékin. 
    – Seth Rich a fait des recherches sur le trucage des votes du Comité démocrate. D’après ses recherches, le Comité a manipulé les pré-élections avec des moyens criminels en faveur d’Hillary Clinton. Le 10 juillet il a été tué pour des raisons inconnues. 
    – Joe Montano, ancien dirigeant du Comité démocrate, est mort le 25 juillet à l’âge de 47 ans d’un arrêt cardiaque. Sa mort est survenue juste après que Wikileaks ait publié des informations sur les trucages des élections du Comité démocrate. Des membres de celui-ci disent que Joe Montano savait trop de choses sur le scandale du Comité. 
    – Victor Thorn a écrit des livres sur les abus sexuels de Bill Clinton et sur des preuves de plus en plus nombreuses des meurtres qui ont eu lieu dans l’entourage d’Hillary Clinton. Le 1er août, il se serait suicidé par balle. 
    – Shawn Lucas est mort le 2 août pour des raisons inconnues jusqu’à présent. Il prétendait que les élections étaient une escroquerie. 
    Chers téléspectateurs, d’un côté ces cas de morts sont tragiques, mais d’un autre côté, ce qui est aussi tragique, c’est que les grands médias occidentaux n’en parlent pas. Et pour cette raison la question se pose de savoir s’il s’agit seulement de coïncidences tragiques ou bien d’une conspiration qu’on ne peut plus nier ?

  • Rappel : La cote d'avenir de Marine Le Pen s'envole

    Marine Le Pen devient la troisième personnalité que les Français souhaitent voir jouer un rôle important dans les mois à venir. Une première. Dans le même temps, François Hollande s'enfonce.
    Pour la première fois de l'histoire du baromètre TNS Sofres, Marine Le Pen se hisse sur la troisième marche du podium ex aequo. La présidente du Front national fait jeu égal avec François Fillon, Alain Juppé et Christine Lagarde. Sa cote d'avenir n'est plus qu'à quelques petites longueurs de celle de Nicolas Sarkozy. Pour elle, c'est un nouveau palier. Elle progresse partout: chez les sympathisants PS (+ 1) et chez ceux de l'UMP (+ 7). Le plus inquiétant pour ses adversaires, c'est que Marine Le Pen a fait une rentrée au petit trot, sans éclat, ni scandale. Elle bénéficie surtout de la faiblesse d'un pouvoir socialiste atone et d'une droite qui n'en finit plus de s'étriper sur des questions du passé. Tandis que Marine Le Pen voit sa cote d'avenir crever des plafonds jamais atteints, François Hollande bat son record d'impopularité. Les Français sanctionnent notamment son absence d'autorité. Ses ministres s'invectivent mutuellement. Mieux, pour Marine Le Pen, Manuel Valls se met à parler presque comme elle sur la question des Roms! Une aubaine. C'est l'heure des vendanges pour la présidente du Front national qui attend avec gourmandise les scrutins à venir: les Municipales en mars prochain, où le FN sera en position de provoquer nombre de triangulaires et d'augmenter considérablement le nombre de ses élus. Et surtout les Européennes ensuite où il y a de fortes chances que le parti de Marine Le Pen arrive en tête, devant les listes du PS et de l'UMP. Une séquence noire pour le gouvernement.
    Source

  • Nicolas Sarkozy voterait François Hollande plutôt que Marine Le Pen

    Le front "républicain" est de retour...Après avoir prôné le ni-ni et rompant ainsi avec les années Chirac/Juppé, Nicolas Sarkozy retourne une fois de plus sa veste avec ses déclaration ce matin sur RMC :

    Nicolas Sarkozy : Je ne voterai pas pour le FN

    Jean-Jacques Bourdin : Donc vous voterez pour M.Hollande ?

    Nicolas Sarkozy : Je ne le ferai pas de gaieté de cœur

    Nicolas Sarkozy ne devrait-il pas être exclu de la primaire de la droite et du centre car chaque participant doit adhérer à la la Charte de l’alternance qui est ainsi rédigée : « Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m’engage pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France » 

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Ouverture à gauche : Alain Juppé devrait être exclu de la primaire

    Sur Boulevard Voltaire, Benjamin Leduc rappelle une règle de la primaire LR :

    « Le candidat à la présidence de la République soutenu par le parti « Les Républicains » en vue de l’élection présidentielle de 2017 est désigné à l’occasion d’une primaire ouverte à l’ensemble des citoyens partageant les valeurs républicaines de la droite et du centre et s’engageant pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. »

    Et constate ensuite :

    "Or, le porte-parole d’Alain Juppé, Benoist Apparu, a ouvert la voie à une majorité d’ouverture en cas de victoire d’Alain Juppé contre le Front national à l’élection présidentielle. Comme dans tous les cas de figure, d’après les sondages, Marine Le Pen sera au deuxième tour, une élection d’Alain Juppé signifiera une majorité d’ouverture « en alliance avec le centre, et puis tous ceux qui veulent [les] rejoindre ». La position d’Alain Juppé n’étant pas celle de l’alternance, mais une ouverture à gauche, il enfreint la charte des primaires.

    [...] En toute logique, la candidature d’Alain Juppé à la primaire devrait être invalidée. On pourrait demander à tous ceux qui souhaiteraient aller voter pour lui à la primaire : n’avez-vous pas l’impression de commettre un faux serment en signant une charte s’engageant pour « l’alternance, afin de réussir le redressement de la France » tout en votant pour un candidat qui ne fera que continuer le travail de sape de la société française initié par la gauche ?

    Michel Janva

  • Gilbert Collard lance une plate forme pour accueillir les déçus du centrisme

    Le Front National, comme les autres partis, se met en ordre de bataille pour les élections à venir. Et pour cela s’apprête à récupérer les électeurs déçus d’autres partis et prêts à tenter l’aventure nationale. Gilbert Collard, secrétaire général du rassemblement Bleu Marine a créé à cet effet le parti des Racines républicaines.

    Selon l’avocat, il s’agirait d’une plate forme cherchant à agir comme un groupe d’influence au sein du Front National avec comme mot d’ordre, l’orthodoxie républicaine. Il a évoqué comme axes de travail la laïcité ou encore la mainmise des grandes fortunes françaises sur la quasi totalité de la presse. Ce lancement fait aussi suite à l’annonce de certains transfuges, nouveaux venus au FN.

    C’est le cas de Jean François Daraud, ex président départemental de l’Aude et ex UDI.


    Les désenchantés, cœur de cible du @FN_officiel, avec la déception comme ciment. Les centristes sont dans le viseur! http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/coulisses/2016/10/24/25006-20161024ARTFIG00239-gilbert-collard-lance-une-plateforme-pour-accueillir-les-decus-du-centrisme.php 

    Gilbert Collard lance une plateforme pour accueillir les déçus du centrisme

    LE SCAN POLITIQUE - Le truculent avocat, secrétaire général du Rassemblement Bleu Marine (RBM), va créer le Parti des racines républicaines pour multiplier les transfuges centristes, encore rares au...

    lefigaro.fr
    http://fr.novopress.info/
  • Pourquoi Alain Juppé devrait être exclu de la primaire

    La position d’Alain Juppé n’étant pas celle de l’alternance, mais une ouverture à gauche, il enfreint la charte des primaires.

    Les 20 et 27 novembre 2016 aura lieu l’élection primaire « de la droite et du centre » à laquelle sept candidats se disputeront l’investiture et le soutien du parti « Les Républicains ». Pour y participer, chaque adhérent doit signer une charte, d’une simplicité extrême qui ne stipule que :

    « Le candidat à la présidence de la République soutenu par le parti « Les Républicains » en vue de l’élection présidentielle de 2017 est désigné à l’occasion d’une primaire ouverte à l’ensemble des citoyens partageant les valeurs républicaines de la droite et du centre et s’engageant pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. »

    Un des rares points exprimés dans cette charte est donc l’alternance.

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  • Le Monde ne publiera aucune tribune de Marine Le Pen ou d’un hiérarque du Front national

    Au moins les choses sont claires et le parti pris assumé par le directeur du Monde, Jérôme Fénoglio :

    "Tout au long de la campagne présidentielle, Le Monde maintiendra le principe qu’il s’est fixé depuis de nombreuses années : aucune tribune de Marine Le Pen, ou d’un hiérarque du Front national, ne sera publiée dans ses colonnes ou ses publications numériques.

    Cette ligne éditoriale ne signifie pas qu’il faille minimiser, voire passer sous silence, la parole lepéniste. Nous couvrirons le FN avec la même rigueur [sic], les mêmes règles [re-sic], la même exigence que les autres partis politiques. Nous en rendrons compte avec tous les outils dont nous disposons : l’entretien, l’enquête, le reportage ou le portrait.

    Cette volonté de ne pas accorder à la direction du parti ce qu’elle espère – un signe supplémentaire de son institutionnalisation – ne doit pas, non plus, nous exonérer de remplir une mission cruciale en ces temps de trouble dans notre démocratie. Etre intransigeant avec le FN oblige à se montrer intransigeant avec les causes, réelles et non fantasmées, de sa popularité. Prendre Marine Le Pen à ses propres mots n’a de sens que si l’on décrit inlassablement ce qui, aujourd’hui, la rend audible. C’est l’engagement que prend la rédaction du Monde à l’orée de ces mois de campagne électorale."

    Philippe Carhon

  • La droite qui défile et la droite qui se défile

    6a00d83451619c69e201bb09494397970d-250wi.jpgLe sous-titre de l'ouvrage de Patrick Buisson, L'Histoire interdite de la présidence Sarkozy, est très réductrice de la portée de cette oeuvre politique. La Cause du peuple est en effet bien plus qu'un récit politique voire politicien de la présidence Sarkozy. Il s'agit plutôt d'une analyse minutieuse de la crise qui traverse la France, crise civilisationnelle, identitaire, sociale, morale, économique et politique. Lucide sur la personnalité qu'il a servie durant son mandat, le politologue décrypte d'une part la personnalité de l'ancien président de la République, acquis aux idées de gauche comme la plupart des ténors de son parti, et d'autre part l'échec de cette droite qui n'a de droite que le nom. Il met en évidence la fracture entre la droite qui a manifesté contre la loi Taubira et la droite qui détient les rênes du parti qui se trouve à droite de l'échiquier politique :

    "Force était de constater, pour qui voulait bien regarder d'un peu près la chronique du dernier demi-siècle, que les foules de droite, lorsqu'elles étaient descendues dans la rue, ne l'avaient jamais fait au nom d'intérêts catégoriels. Pas un de ces grands rassemblements populaires qui ne fût impulsé par un autre motif que la défense de principes et de valeurs non mercantiles. L'honneur de ce peuple voulait qu'il ne mobilisât que pour de grandes causes. Ce fut le cas le 30 mai 1968, lorsque l'autorité de l'Etat, l'ordre public, la cohésion nationale lui parurent menacés. Ce fut le cas également le 23 juin 1984, lors du soulèvement  contre le projet Savary d'instaurer un "grand service public de l'éducation" qui signifiait la mise à mort de l'école libre. Les manifestations des 13 janvier et 24 mars 2013 ne dérogèrent pas à la règle. Elles mirent en évidence une fracture profonde entre une droite conservatrice et une droite libérale, une droite qui défilait et une droite qui se défilait.

    La droite qui défila dénonçait, à travers la loi Taubira, une entreprise de déstabilisation du socle anthropologique des valeurs traditionnelles. Elle pourfendait, par-delà leur apparente opposition inlassablement mise en scène, la complémentarité dialectique du capitalisme consumériste et du progressisme hédoniste qui visait à éradiquer, au nom de l'émancipation individuelle, les appartenances forgées par le temps et par l'histoire. Elle s'insurgeait contre la tyrannie de ce nouveau Mammon libéral-libertaire et proclamait en définitive le primat du sacré sur le marché.

    La droite qui se défila s'enfonçait, quant à elle, dans le relativisme moral, ne voyant aucun inconvénient à sous-traiter à la gauche le volet sociétal du libéralisme et ses implications les plus insensées, comme la théorie des genres intégrée dans les programmes scolaires par Luc Chatel, le ministre de l'Education nationale de Sarkozy.  Elle psalmodiait les sourates de l'économisme pour mieux se dissimuler et dissimuler aux Français que la crise financière n'était en fait que l'émanation de la crise morale, fruit amer d'une malsociété, excroissance maligne de l'incomplétude d'une société exclusivement matérialiste et marchande.

    La droite qui défila alignait les gros bataillons de la piétaille électorale, mais la prohibition du mandat impératif dans notre démocratie parlementaire la rendait politiquement impuissante. La droite qui se défila était minoritaire, mais contrôlait, par le biais des appareils partisans, le processus de sélection du personnel politique censé représenter les électeurs. La droite qui défila avait pour elle un spectaculaire regain du militantisme tel qu'aucun parti n'en avait connu ces dernières décennies, les accents d'une révolte portée par une jeunesse aux antipodes d'un repli passéiste, la maîtrise des codes innovants du langage médiatique qui les faisaient se regrouper sous des oriflammes bleus et roses au couleurs de layette. La droite qui se défila se débattait dans les convulsions d'une crise de leadership sans précédent qui vidait l'UMP de ses militants et la rendait exsangue.

    Certes, le divorce remontait à loin, mais jamais, sans doute, n'avait-il revêtu une telle consistance et une telle évidence au regard des observateurs. Ni Sarkozy ni Fillon et aucun des ministres en vue des derniers gouvernements de droite, hormis Laurent Wauquiez, ne vinrent témoigner de leur solidarité avec les foules pacifiques de La Manif Pour Tous. Soucieux de récupérer au plus vite leur marge de manoeuvre politique, ils s'empressèrent au contraire, sitôt la loi Taubira adoptée, de la déclarer intangible, impossible à abroger selon l'"effet cliquet" qui couvrait de sa dialectique toutes les lâchetés et toutes les abdications de la droite depuis un demi-siècle."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Contre Juppé !

    Où la France passe après la République. Pas pour nous !  

    Bien-sûr, il y a toutes sortes de sérieuses raisons politiques de fond de s'opposer à Juppé ; notamment - ce qui les résume - qu'il s'apparente, comme naguère son mentor Chirac, avec tout ce que cela implique, aux radicaux-socialistes de jadis. Tel le père Queuille, celui qui osait dire « Il n'est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. » Ce grain de sel pointe des motifs très actuels, voire ponctuels, de dire Non à Juppé. Il en va de l'intérêt de la France.  LFAR

    1. D'abord, et c'est une question de principe, parce que il a été condamné ; et qu'élire comme Chef de l'Etat un condamné, comme on le dit aux comptoirs des bistrots, « ça la fout mal...»

    1bis. Et aussi, dans la ligne de ce qui précède, pour son parcours personnel indigne : Alain Juppé - déjà quarante ans de vie politique derrière lui ! - a pris sa retraite d'Inspecteur des Finances à l'âge de 57 ans, en ayant cotisé 38 ans et 3 mois, lui qui propose - pour ne prendre qu'un exemple... -  que les Français prennent leur retraite à... 65 ans ! 

    2. Ensuite, parce qu'il est le faux nez de l'Islam, avec son cher Tarik Oubbrou et ses « accommodements raisonnables » à la Justin Trudeau (lequel sévit au Canada, où il ouvre toutes les portes à un Islam qui aura tôt fait de s'y engouffrer, dévorant tout ce qui est tiède, pâle, falot et sans consistance sur son passage). Or, « Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée », dit Musset. Pour l'Islam, il est certes bien plus prudent qu'elle reste fermée ! - Juppé a contourné la fameuse loi de 1905 si chère aux laïcards, haineusement anti catholiques et « anti racines chrétiennes de la France » pour offrir à son cher imam de quoi construire sa grande mosquée : cela permet d'imaginer ce que serait son quinquennat ! Et, rien que d'y penser, c'est NON !

    2.bis. Et surtout parce que, comme Robespierre, il croit ce qu'il dit : Juppé a fait sienne vis-à-vis de l'Islam la vision qui fut celle de tant d'intellectuels vis-à-vis du marxisme dans la seconde moitié du XXème siècle. Le triomphe final du marxisme est inéluctable, le marxisme est l’horizon philosophique indépassable de notre temps, « l'accommodement raisonnable » avec lui (revoilà notre Trudeau !) est de se préparer à vivre avec lui, dans « son » monde et sous « sa » loi. On sait ce qu'il est advenu de cet horizon indépassable !

    La même erreur est commise aujourd'hui avec l'Islam : les défaitistes, traîtres et collabos par anticipation le déclarent vainqueur d'avance, et ne songent qu'à trouver avec lui un « accommodement raisonnable » : Juppé est de ceux-là.

    Voilà, très rapidement, pourquoi, si d'aventure il venait à remporter l'élection, dès le résultat annoncé, l'ennemi s'appellerait : Juppé !

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/