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élections - Page 568

  • La France que veut Sens Commun

    Sens Commun annonce le lancement des États Généraux de la droite et du centre-droit dans le cadre de la primaire UMP pour les élections présidentielles de 2017.

    Logo"À partir de juin et jusqu’à la fin de l’année, nous allons nous déployer sur tout le territoire français, à travers huit forums inter-régionaux dédiés aux grands thèmes régaliens et rassemblant le peuple de droite. Il s’agit d’établir ensemble un cap clair et un terreau programmatique incontournable pour la droite. Il s’agit de proposer à notre pays de vraies perspectives, une vraie ambition, une vision cohérente et ancrée dans le réel : « La France que nous voulons ». Un meeting national conclura l’ensemble début 2016."

    Sens Commun souhaite ainsi sortir du concert des polémiques superficielles et des tactiques afin de recentrer le débat politique sur le fond. Sébastien Pilard, président du mouvement, précise :

    «Parce que ce moment important pour notre pays ne peut se réduire à des questions de personnes, Sens Commun propose à l’ensemble des militants de la droite et du centre-droit de se retrouver pour définir la France que nous voulons pour l’alternance».

    Michel Janva

  • Hollande dixit : contre l’UMPS, le FNPC ?

    Malgré son passé complexe, George Marchais a toujours conservé la tripe française.

    Nicolas Gauthier est auteur avec Philippe Randa des Acteurs de la comédie politique. 29 € À commander en ligne sur francephi.com.

     

    Il s’agit évidemment d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, comme le chantait si bien Charles Aznavour. Soit l’époque où notre Parti communiste qui, prenant ses ordres en URSS tout en touchant l’argent de Moscou, était paradoxalement l’un des partis les plus patriotes de France. Étonnant, non, comme aurait dit Pierre Desproges ?

    Et pourtant, il en fut ainsi. Point de détail qui fait mal aujourd’hui, mais sur lequel François Hollande a mis le doigt, ce week-end dernier, volontairement ou pas, en affirmant sur Canal+ que « Marine Le Pen parle comme un tract communiste des années 70″. Certes, et ce dès 1974, le Front national est le premier à placarder des affiches dénonçant « l’immigration sauvage » ; mais qui écoute alors ce qui n’est que la voix d’un groupuscule, alors que le très puissant PCF tient globalement le même discours, mais avec un peu plus d’écho ?

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  • François Hollande lance sa campagne pour 2017 sur Canal+

    La France est ruinée, divisée, voire en état pré-insurrectionnel ? Aucune différence pour l’ancien maire de Tulle, ce n’est pas ça qui compte. Seule importe la conservation du poste suprême des institutions de la Ve République : la présidence.

    Le matin, en se rasant, François Hollande ne pense qu’à ça. Être réélu. La France est ruinée, divisée, voire en état pré-insurrectionnel ? Aucune différence pour l’ancien maire de Tulle, ce n’est pas ça qui compte. Seule importe la conservation du poste suprême des institutions de la Ve République : la présidence. Toute sa vie durant, l’homme s’est battu pour cet objectif, il y était destiné et ce ne sont pas quelques « couacs » qui vont entamer sa détermination.

    Quinze jours avant le troisième anniversaire de son élection, François Hollande a devancé les bookmakers de la vie politique nationale en lançant prématurément sa campagne pour 2017. François Hollande aimerait connaître le même destin que son maître, François Mitterrand. D’ailleurs, ses « communicants », bien mis et ambitieux, ne s’y sont pas trompés et ont choisi l’émission « Le Supplément » sur Canal+ pour améliorer son image ; à la manière de l’interview qu’avait donnée l’autre président socialiste à Yves Mourousi en 1985. Le but est simple : donner une image tendance et urbaine à François Hollande, « casser les codes » d’une communication présidentielle perçue comme rigide.

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  • Quatre Français sur dix ont «une bonne opinion» de Marion Maréchal-Le Pen

    Marion Maréchal-Le Pen fait son chemin auprès de l'opinion. Selon un sondage Odoxa pour le Parisien publié dimanche, la nièce de Marine Le Pen bénéficie de 40% d'opinions favorables (et 59% de mauvaises opinions), contre 33% en novembre dernier.

    Interrogés pour savoir si la nièce de Marine Le Pen -nommée vendredi par son parti tête de liste de la région Provence Alpes Côte d'Azur pour les élections de décembre prochain- était la meilleure candidate possible du FN, 55% des sondés répondent oui, 45% non et 5% ne se prononcent pas.

    «D'extrême-droite», «courageuse» et «raciste»

    Parmi les qualificatifs cités pour la décrire, 71% estiment que «d'extrême-droite» s'applique bien, tout comme «courageuse» (60%) et «raciste» (51%). 68% considèrent aussi qu'elle ni plus ni moins à droite que Marine Le Pen. 20% la trouvent «plus à droite» que sa tante» et 11% «moins à droite» (1% ne se prononcent pas).

    Interrogé par le Parisien, le président d'Odoxa, Gaël Sliman, relève que «comme pour sa tante Marine, c’est en réalité l’évolution spectaculaire des jugements positifs à son égard -auprès des Français, et plus encore auprès des sympathisants de droite- qui interpelle».

    Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EukAukZZEZvdrnPLGc.shtml

  • « À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a plus en France de chef de parti digne de ce nom »

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autrefois, les partis politiques étaient synonymes d’espoir, de changement, voire de grand chambardement. Aujourd’hui, plus personne ne semble croire à leur capacité à changer le cours des choses. Comment expliquer ce désamour ?

    Sous la Révolution, les partis politiques, assimilés à des « factions », étaient regardés comme un « mal temporaire » (Robespierre). Au sens moderne, ils n’apparaissent qu’au XIXe siècle, voire au début du XXe (en France, le premier parti est le Parti radical, né en 1901). L’article 4 de la Constitution de 1958 dispose que « les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage », ce qui ne veut pas dire grand-chose. À la fois par dégoût de la politique en général et en raison du constat que, dans la démocratie parlementaire, les représentants ne représentent plus rien, les citoyens ont massivement déserté les partis (dont le financement dépend désormais des subventions publiques), tout comme ils ont déserté les églises et les syndicats. Les partis sont en outre discrédités : il n’y a plus aujourd’hui que 9 % des Français pour leur faire confiance (sondage CEVIPOF, janvier 2015).
    La politique était autrefois à la fois un métier et une vocation (« ein Beruf », disait Max Weber). Aujourd’hui, la médiocrité de la classe politique tient au fait qu’elle n’attire plus un personnel de qualité : les individus doués se tournent vers d’autres professions, socialement plus gratifiantes et financièrement mieux payées. Même s’ils restent la voie d’accès privilégiée aux fonctions politiques et continuent de monopoliser l’accès aux responsabilités électives (on fait carrière en politique en échangeant des services avec un parti), les partis ont également évolué, et dans la pire direction.
    Les partis veulent rassembler, tandis que les idées divisent. C’est pour cette raison qu’aucun intellectuel digne de ce nom ne peut se sentir à l’aise dans un parti. C’est aussi pourquoi, dans tous les partis, l’idéologique a très tôt cédé la place au programmatique, qui a ensuite été remplacé par le communicationnel : effets d’annonce, petites phrases, commentaires des sondages, pression des réseaux sociaux, agenda dicté par des exigences médiatiques qui se succèdent en « temps zéro », entretenant ainsi le culte de l’instant. Nous n’avons plus maintenant que des partis à l’américaine, c’est-à-dire des écuries présidentielles qui n’existent vraiment qu’à l’approche des échéances électorales. Comme l’a écrit Marcel Gauchet, « le parti ayant vocation, à la fois à dégager une représentation politique, à définir un corpus idéologique et à encadrer les forces sociales, est une figure du passé ». Il en va de même des engagements politiques de type « sacerdotal ».
    Peut-on sérieusement imaginer qu’un parti politique, quel qu’il soit, puisse aujourd’hui faire changer démocratiquement la société ? En ce domaine, les lobbies et autres groupes financiers ne sont-ils pas finalement plus performants ?
    On sait depuis longtemps qu’aucun parti politique ne peut être vraiment démocratique, en raison de la « loi d’airain des oligarchies » si bien décrite par Roberto Michels, qui a pour effet de diviser tout parti en une minorité dirigeante et une majorité dirigée, créant ainsi une bureaucratie de dirigeants professionnels coupés du peuple : « L’organisation est la source d’où naît la domination des élus sur les électeurs, des mandataires sur les mandants, des délégués sur ceux qui les délèguent » (Les partis politiques. Essai sur les tendances oligarchiques des démocraties, 1911). Cette bureaucratisation des partis explique la surreprésentation en leur sein de certaines catégories sociales, qui se recrutent par copinage et par cooptation : fonctionnaires, anciens élèves de l’ENA, anciens attachés ministériels et parlementaires, qui n’ont jamais vraiment connu la vie réelle (nombre de candidats socialistes issus de la classe ouvrière aux dernières élections : zéro).
    À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a d’ailleurs plus en France de chef de parti digne de ce nom : Harlem Désir ou Cambadélis n’ont évidemment pas remplacé Jean Jaurès, Pierre Laurent n’est pas vraiment Georges Marchais, Nicolas Sarkozy n’est qu’un caractériel, comme Manuel Valls (l’un dans le genre ludion, l’autre dans le style ténébreux). François Hollande reste, lui, un personnage inintelligible.
    La grande Simone Weil avait publié en 1940 une Note sur la suppression générale des partis politiques . Son jugement était-il prémonitoire ? Conserve-t-il une quelconque pertinence ?
    Dans ce texte, réédité en 2006 aux Éditions Climats, Simone Weil décrivait les partis politiques comme des « machines à fabriquer de la passion collective » et des organisations « totalitaires en germe et en aspiration », et prônait en effet leur suppression. Mais elle ne disait pas par quoi l’on pourrait les remplacer. Ni comment on pourrait empêcher les gens de se regrouper au sein d’une quelconque association pour faire de la politique ensemble.
    Son propos n’en reste pas moins très actuel quand elle écrivait que « l’unique fin de tout parti politique est sa propre croissance, et cela sans aucune limite », observait qu’il n’y a pas grande différence entre l’attachement à un parti ou l’attachement à une Église, l’un et l’autre nourrissant une même attitude partisane (« l’opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s’est substituée à l’obligation de la pensée »), ou exprimait le vœu que « le peuple ait à exprimer son vouloir à l’égard des problèmes de la vie publique, et non pas à faire seulement un choix de personnes ». Mais qui lit encore Simone Weil ?

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukAukAklFLdUtXgTz.shtml

  • EELV: Emmanuelle Cosse demande aux écolos pro-gouvernement de "cesser leur comportement nuisible"

    A EELV, l'union n'est pas pour tout de suite. Le bureau exécutif d'Europe Ecologie-les Verts a demandé aux parlementaires écologistes, dont certains ont des initiatives "qui altèrent" le mouvement écologiste, de "cesser leur comportement nuisible", dans un texte voté cette semaine. Ce texte, adopté par 10 voix contre 3 mardi, a été envoyé par la secrétaire nationale du parti Emmanuelle Cosse aux députés, sénateurs et eurodéputés.

    Si personne n'est nommément cité, cette prise de position intervient alors que le parti est en désaccord sur la participation au gouvernement en cas d'éventuel remaniement, et que des parlementaires écologistes pro-gouvernement comme François de Rugy, Denis Baupin, Jean-Vincent Placé ont tenu les deux week-end derniers, rencontres et rapprochements avec des formations comme le Front démocrate, qui souhaite une maison des forces progressistes avec le PS, le PRG, Cap 21...

    "Contradiction totale"

    "La dernière période a vu se multiplier des prises de position publiques à propos de l’avenir et de la stratégie d’Europe Ecologie–Les Verts. Certaines de ces déclarations sont effectuées en contradiction totale avec les positions arrêtées par les instances de notre mouvement", stipule le texte, que l''AFP s'est procuré et publié dans Le Monde (article abonnés) daté du dimanche 19 avril. 

    "Les positions collectives de notre mouvement indiquent la nécessité d’un changement de cap dans les politiques menées par le gouvernement compatible avec nos valeurs écologistes, pour envisager un nouveau contrat de majorité incluant la participation gouvernementale de EELV", poursuit-il.

    Le bureau exécutif (BE) rappelle en aussi qu'il a "la responsabilité de veiller à réguler les initiatives individuelles qui altèrent l'image de notre mouvement" et fixe une "ligne claire". Condamnant des "interventions publiques" récentes, il demande "à l’ensemble des personnes concernées de cesser immédiatement leur comportement nuisible pour l’ensemble de notre mouvement".

    Il invite également "l’ensemble des membres d’EELV à récuser les tentatives de déstabilisation du Parti, d’où qu’elles viennent et tout particulièrement à ne pas participer à des réunions dont les organisateurs affirment leurs intentions en la matière". Alors que se profilent, en décembre, les régionales, le BE "rappelle que les régions sont les seules à pouvoir décider de leur stratégie" pour ce scrutin et que selon le règlement intérieur, le BE peut "suspendre en urgence des adhérent-es". Un séminaire est proposé entre le BE et les parlementaires.

    Le HuffPost avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukAuklpuEhxHvNLOK.shtml

  • Marion Maréchal-Le Pen est “la seule et unique solution” pour le FN en PACA

    Le bureau politique du Front national a officialisé, vendredi 17 avril, l’investiture de Marion Maréchal-Le Pen comme tête de liste du parti pour les élections régionales de décembre en Provence-Alpes-Côte d’Azur.

    Pour Dominique Tenza, journaliste au service politique de RTL, Marion Maréchal-Le Pen est “la seule et unique solution” pour le FN dans cette région.

    En cas d’élection, elle deviendrait la plus jeune présidente de région. Elle pulvériserait de loin tous les records.

    http://fr.novopress.info/

  • Sondage : l’action de François Hollande mécontente 79% des Français

    L’action de François Hollande mécontente 79% des Français, près de trois ans après son accession à l’Élysée, selon un sondage Opinionway pour LCI et Le Figaro publié vendredi.

    Selon ce sondage, 3% des personnes interrogées se disent «très satisfaites» de l’action du chef de l’Etat, 17% «assez satisfaites», 37% «assez mécontentes» et 42% «très mécontentes».

    52% des électeurs de François Hollande au premier tour en 2012 se disent « mécontents », comme 82% de ceux de Jean-Luc Mélenchon, 88% de ceux de François Bayrou, 92% de ceux de Nicolas Sarkozy et 92% de ceux de Marine Le Pen.

    http://fr.novopress.info/

  • Ni droite, ni gauche, le FN va tout droit !

    À son époque déjà, Jeanne d'Arc fut celle qui mit fin à la terrible alternance des Armagnacs et des Bourguignons...

    D’aucuns critiquent, ces derniers temps, le slogan du Front national « Ni droite, ni gauche », reprochant à ce parti d’entendre par là en réalité « Ni droite, ni droite », ce qui viendrait du fait que la tendance « chevènementiste » et jacobine aurait pris le dessus sur la ligne idéologique traditionnelle, plus libérale et/ou plus identitaire. Mais, au-delà de sa charge polémique, ce slogan renferme une sagesse politique qui permettrait au débat de gagner en hauteur de vue. Ainsi, quel sens profond pouvons-nous tirer de ce mot d’ordre, outre l’opposition évidente au système « UMPS » ?

    Tout d’abord, « Ni droite, ni gauche », c’est le refus de la division de la société entre ces deux directions opposées depuis 1789. Car la Révolution française n’invente pas les partis mais le déchirement de la cité pour des motifs idéologiques. Ainsi, ceux qui voudraient que le FN se proclame de droite par pureté doctrinale devraient se rappeler que cette posture est en elle-même une acceptation du jeu révolutionnaire qui circonscrit le débat public dans les limites qu’il veut bien tracer, c’est-à-dire, sans jamais pouvoir remettre fondamentalement en cause le système idéologique.

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  • Marion Maréchal Le Pen sera tête de liste FN en Paca

    Et de sept. Le Front national a dévoilé ce vendredi sept têtes de listes pour les élections régionales de décembre 2015. Les candidatures étaient discutées lors d’un bureau politique extraordinaire du parti, notamment celle de Marion Maréchal-Le Pen en Paca, quelques jours après le retrait de son grand-père Jean-Marie Le Pen. Une tête de liste d’autant plus attendue que le député européen Bruno Gollnisch, qui s'était lui aussi déclaré candidat en Paca, a retiré sa candidature ce vendredi matin.

    Marine Le Pen se lancera-t-elle en région Nord-Pas de Calais-Picardie? Rien n’est moins sûr, la présidente du FN réserve toujours sa réponse concernant sa propre candidature. Son compagnon Louis Aliot, vice-président du parti, s’oppose à celle-ci, au motif que «la candidature à la magistrature suprême [la présidentielle 2017] nécessite un engagement total», a-t-il confié ce vendredi sur RMC. Dans le cas où Marine Le Pen n’irait pas, Steeve Briois, le maire d'Hénin-Beaumont, pourrait être nommé.

    Des eurodéputés nommés

    Le numéro 2 du parti Louis Aliot a nommé tête de liste Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées. L’eurodéputé et conseiller régional de Languedoc-Roussillon a récemment pris position contre Jean-Marie Le Pen dans la violente brouille qui l’oppose à sa fille. Il a estimé avoir le 8 avril que «les désaccords politiques» avec Jean-Marie Le Pen sont «désormais irréconciliables», après l’entretien du patriarche à l’hebdo d’extrême droite Rivarol.

    En Bourgogne Franche-Comté, Sophie Montel a été investie. L’eurodéputée, membre du FN depuis sa majorité, a été médiatisée en février 2015 lors de la législative partielle dans la quatrième circonscription du Doubs. Arrivée en tête au premier tour du scrutin, elle s’est inclinée face au successeur socialiste de Pierre Moscovici, nommé à la Commission européenne à Bruxelles.

    Treize têtes de listes au total

    La liste FN en Ile-de-France est emmenée par le trésorier du parti, Wallerand de Saint-Just. Vieux routier du FN en Picardie, cet «anti-bobo» assumé a été nommé à la tête de fédération parisienne du FN, avant d’être le chef de file FN aux municipales 2014 dans la capitale. Sa candidature a été préférée à celle de Philippe Chevrier, secrétaire départemental dans les Yvelines et compagnon de la frontiste historique Marie-Christine Arnautu.

    Le secrétaire général du parti, Nicolas Bay, a été quant à lui investi pour la Normandie. L’ancien mégrétiste est député européen. Avec Marine Le Pen et David Rachline, Nicolas Bay est visé dans l'enquête sur la société de communication Riwal qui porte, entre autres, sur le financement les campagnes présidentielle et législative FN en 2012.

    L'hypothèse Gollnisch

    Peu connu du grand public, Gilles Penelle a été investi en Bretagne, et Pascal Gannat en Pays-de-la-Loire. Le premier a failli devenir député européen à la suite de l’épisode «démission-non démission» de l’eurodéputée FN Joëlle Bergeron.

    Le prochain bureau politique prévu début mai apportera son nouveau lot de têtes de listes. Florian Philippot, vice-président du parti, pourrait être nommé en Alsace-Champagne-Ardennes-Lorraine, tout comme Bruno Gollnisch en Auvergne-Rhône-Alpes.

    20 minutes :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukAFuppuknJOmVWEO.shtml