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élections - Page 650

  • Laurent Wauquiez, un sniper d’opérette ?

    Wauquiez n'est-il qu'un leurre de plus, lancé par la droite parlementaire comme avant chaque élection européenne depuis Maastricht ?   

    Dans l’armée mexicaine de l’UMP, Laurent Wauquiez est sniper de profession. Gueule de gendre idéal, cheveux gris et idées vertes, l’historien de formation est tout sauf une Morano au masculin.

    Sentant la bonne odeur des combats à venir, le député-maire du Puy-en-Velay commence à dégainer. Face à la guerre de bac à sable des « chefs » de son parti, Wauquiez a en effet compris qu’il y avait une faille dans le consensus mou. Dans la catégorie olympique « souverainisme light » – l’ancien champion du triple saut (en arrière) Henri Guaino demeurant confit dans sa sarkôlatrie douteuse –, notre gaillard a pris les devants. Et attention, c’est du lourd : monsieur veut ni plus ni moins sortir de l’espace Schengen ! Ça mérite la médaille d’or de l’audace, non ? Cette proposition martienne, il l’a encore réaffirmée droit dans ses bottes dans l’émission « Zemmour et Naulleau » de vendredi 18 avril.

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  • Le maire FN d'Hénin-Beaumont baisse les impôts locaux

    Steeve Briois a annoncé une baisse de 10% de la taxe d'habitation, avec effet immédiat. Un foyer sur deux sera concerné par cette mesure, qui va coûter 517.000 euros à la ville, toujours très endettée.

    Il faut rappeler, pour ceux qui n'ont pas suivi nos études sur la gestion économique des villes, que, sous l'ancienne équipe municipale, la taxe d’habitation est passée de 19,6% en 2007 à 24,8% en 2009, soit 26,5% d’augmentation. Les charges financières sont en moyenne 3 fois plus importantes à Hénin-Beaumont que dans les villes de même strate.

    Michel Janva

  • Le maire FN d'Hénin-Beaumont baisse les impôts locaux

    Steeve Briois a annoncé une baisse de 10% de la taxe d'habitation, avec effet immédiat. Un foyer sur deux sera concerné par cette mesure, qui va coûter 517.000 euros à la ville, toujours très endettée.

    Il faut rappeler, pour ceux qui n'ont pas suivi nos études sur la gestion économique des villes, que, sous l'ancienne équipe municipale, la taxe d’habitation est passée de 19,6% en 2007 à 24,8% en 2009, soit 26,5% d’augmentation. Les charges financières sont en moyenne 3 fois plus importantes à Hénin-Beaumont que dans les villes de même strate.

    Michel Janva

  • Laurent Ozon: « Le localisme est la pierre angulaire de la décolonisation économique, condition indispensable de la souveraineté politique »

    Laurent Ozon est président d’un mouvement français particulier:Maison Commune, un mouvement localiste basé sur des axes écologiques, économiques, sociaux et identitaires. L’objectif prioritaire est l’inversion des flux migratoires dans un cadre politique construit. Nous avons pu interroger Laurent Ozon pour en savoir plus.

    1)    Laurent Ozon, vous êtes président d’un mouvement localiste particulier Maison Commune. Pourriez-vous d’abord nous le présenter ? En quoi consiste le localisme ?

    Maison Commune est un mouvement qui s’est donné comme objectif de former la périphérie politique afin d’anticiper les évènements politiques des années à venir et d’y apporter des réponses efficaces. Nous avons reçu en formation plus de 400 cadres et futurs cadres de cette périphérie politique, issus de mouvements parfois opposés.

    Le localisme est l’un des fondamentaux de notre démarche. Le localisme, c’est donner à chaque peuple la possibilité de subvenir à la part la plus importante possible de ses besoins par ses propres moyens. Le localisme, c’est une volonté de favoriser les circuits économiques courts, et ainsi d’assurer une autosubsistance relative capable de permettre aux populations de garder la maîtrise de leur destin. Prenons un exemple, si chaque jour 1000 comptables quittent les Hauts-de-Seine pour aller travailler en Val-d’Oise et que simultanément 1000 autres quittent le Val-d’Oise pour travailler dans les Haut-des Seine, c’est parce que rien n’incite les entreprise à embaucher selon des critères de proximité. Résultat, vous avez 2000 comptables sur les routes, qui brûlent de l’essence, stagnent dans les embouteillages, dégradent l’air et les infrastructures, pour se croiser. C’est un petit exemple mais il en existe des milliers comme celui-ci.  C’est valable aussi pour les achats et approvisionnement des ménages comme des collectivités. Des solutions comme la détaxation de la proximité en direct ou par crédit d’impôts peuvent permettre d’engager la priorisation locale. Il y a de nombreuses solutions pour sortir de la situation actuelle et elles ne nécessitent pas un grand-soir politique. Elles peuvent être appliquées progressivement, concentriquement, d’abord dans des secteurs dits de subsistance. Le localisme est la pierre angulaire de la décolonisation économique, condition indispensable de la souveraineté politique. Le localisme est une sorte de protectionnisme 2.0. Il est le moyen de favoriser l’embauche locale et les circuits économiques courts, d’accompagner heureusement des objectifs de qualité écologique, de protection sanitaire, de réhabilitation de la vie démocratique, de protection et de rééquilibrage social, d’inversion concertée des flux migratoires et de pacification rapide des relations internationale. Une politique localiste permettra aussi d’anticiper les déstabilisations sociales, économiques à venir.

    2)    On considère souvent Europe-Écologie-les Verts comme le parti écologique de France. Vous présentez l’écologie comme un des axes de votre mouvement. En quoi consiste-t-elle pour vous ?

    L’écologie est une science devenue un mouvement social puis une nébuleuse politique. L’écologie politique est un fourre-tout dans lequel vous pourrez trouver des personnes très différentes. Disons que le point commun de toutes ces personnes est théoriquement une sensibilité accrue aux questions environnementales, à la destruction de la nature. Je dis « théoriquement » car EELV est aujourd’hui une structure gauchiste qui se mobilise plus pour les combats sociétaux de la bourgeoisie interlope occidentale et contre les murs porteurs de la culture populaire que contre les transnationales. Il y reste quelques personnes sincères, je pense à Sandrine Bellier et à quelques autres. On trouve des écologistes sincères, comme elle ou Corinne Lepage, Antoine Waechter dans tout le champ politique. Mais EELV est aujourd’hui anti-écologiste de mon point de vue. Son bilan politique est catastrophique sur à peu près tous les sujets clés. Je pourrais énumérer les fiascos d’EELV en matière d’écologie durant une heure. EELV est un faux-nez du gauchisme utopique dont la faible crédibilité ne repose que sur le soutien que lui apportent les médias.

    3)    Votre objectif prioritaire est d’inverser les flux migratoires dans un cadre politique construit. Serait-ce vraiment réalisable ou bien est-ce un doux rêve ? Dans l’idéal, comment procéderiez-vous pour y arriver ?

    Nous savons une chose : cette société n’est pas viable. Elle va donc se trouver dans les 20 années à venir en face de ses contradictions. A ce moment-là, les temps seront mûrs pour préparer la suite. Les peuples seront attentifs à des solutions qui permettront de résoudre les tensions extrêmes devenues insupportables.  Il faudra des cadres politiques aux idées claires, aux capacités opérationnelles réelles et qui auront des perspectives sur la voie à suivre. Étape par étape, nous devrons accompagner le processus de dislocation et proposer, au milieu de la grande confusion qui régnera, des solutions progressives et réalistes pour résoudre les problèmes causés par la colonisation de peuplement de l’Europe de l’Ouest. Je n’ai pas la place en quelques lignes de vous exposer dans le détail les solutions à mettre en œuvre mais ces solutions existent. Il y a de nombreux précédents historiques. Dans l’attente de ce moment, la meilleure des choses à faire c’est de convaincre toujours plus de Français de l’inéluctabilité de ce moment et du fait que nous devrons bientôt y faire face. Territoires, ressources, reproduction… voici venir le temps du retour des grands stress historiques. Il faudra pour gérer ces temps difficiles moins des idéologues que des hommes d’autorité, intelligents et pragmatiques. Nous en formons.

    4)    Votre mouvement n’a pas de structure particulière, ce qui peut paraître bizarre. Vos membres se rencontrent lors de séminaires ou sont mis en lien lorsqu’ils recherchent de l’aide. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi avoir fait ce choix ? Cela n’affaiblit-il pas votre message ? Comment peut-on rejoindre votre mouvement ?

    Nous sommes très sélectifs dans le choix de nos séminaristes, c’est de notoriété publique. Nous assurons la confidentialité des travaux et nous ne cherchons pas à fabriquer des sociologies artificielles dans un mouvement de plus. Nous prenons les meilleurs, les faisons travailler et les laissons ensuite rayonner dans leurs zones d’influence naturelles (partis, organisations, etc.).  Nous les maillons lorsque c’est nécessaire, pour répondre à des besoins pratiques des uns ou des autres. Pas de contrôle, pas de réunions inutiles, pas d’impératifs catégoriques. Nous laissons libres nos séminaristes sans aucune envie de chercher à résoudre les divergences qui résultent des subjectivités d’engagement, des histoires personnelles etc. Ils savent tous à quelle civilisation ils appartiennent, de quels peuples ils procèdent et en gros, à quoi ils seront confrontés. Nous les outillons pour être capables de faire l’histoire un jour proche. Nous ne recrutons pas. Nous recevons des CV puis recevons les individus, les formons et les aidons à prendre conscience de leurs potentialités et à ne plus perdre leur temps. Après trois années de travail. Il nous reste beaucoup à faire et nos moyens sont limités. Les bonnes volontés sont les bienvenues.

    5)    On constate de plus en plus un écart qui se creuse entre les politiques et les électeurs, comme le montre l’abstention toujours plus forte. Quel portrait brosseriez-vous de la classe politique française aujourd’hui ?

    L’infrastructure sociale, politique et économique dans laquelle nous vivons est le produit d’une bulle reposant sur la dette. Cette généralisation de la dette a alimenté des choix économiques et sociaux irrationnels et non viables sur le long terme, choix qui ne se seraient donc pas généralisés si la dette n’était pas venue les supporter. Ces modèles sociaux irrationnels ont fabriqué et maintenu en vie des idéologies déréalisantes qui se seraient effondrées si elles avaient dû être validées par l’expérience et la raison. Sans le soutien de ce « réel utopique » dans lequel nous vivons encore, le bon sens aurait fait un tri et les décisions aberrantes dont nous subissons les conséquences n’auraient pas été prises. Nous ne serions pas contraints d’emprunter sur les marchés de l’économie-casino et n’aurions pas remboursé plus de 1200 milliards d’intérêts de dettes sur 30 ans. Nous n’aurions pas laissé s’implanter dix millions d’extra-européens en France et plus de 40 millions en Europe occidentale, dans des pays en crise économique, sociale et identitaire. Nous n’aurions pas accepté la transformation du beau projet d’une Europe unie dans sa diversité en un diplodocus technocratique nuisible. Nous n’aurions pas autorisé la mise en vente et en consommation de centaines de substances toxiques dans notre chaîne alimentaire qui ont de lourds impacts sur la santé publique, mais bien plus encore, sur la vitalité même de nos peuples. Nous n’aurions pas laissé les médias, sans contrôle, aux mains des puissances de l’argent, et j’en passe…

    Nous sommes sans doute nombreux à nous être dit qu’il n’était pas croyable que des décisions si stupides soient prises par des hommes qui semblaient pourtant intelligents. Des hommes à ce point hors de tout sens commun pour ne pas voir l’évidente stupidité de leurs choix, de leurs actes, de leurs décisions depuis plus de 40 ans. C’est pourtant bien ce qui a eu lieu. Nous sommes sortis du réel et nos processus de sélection d’élites sont eux-aussi devenus irréalistes, contre-sélectifs. Notre classe politique est le résultat sidérant de plus de quarante années de contre-sélection. Les meilleurs, c’est-à-dire ceux qui pouvaient êtres capable de traiter nos problèmes ont étés éjectés année après année. Malgré quelques exceptions notables, notre classe politique est un ramassis d’opportunistes sans colonne vertébrale, de rusés nuisibles et incompétents. Ils appartiennent à une sociologie en formation, une oligarchie de gestion de notre effondrement. Les plus intelligents sont membres d’une super-classe mondialisée mentalement qui ne sent plus de communauté de destin avec le peuple et les moins intelligents sont les pantins d’intérêts qui les dépassent malgré quelques agitations positives, quelques personnalités courageuses ici et là. Pour conclure, notre classe politique présente des caractéristiques reconnaissables des élites à quelques années de leur renversement. Comme à d’autres époques charnières de notre histoire, la circulation des élites va reprendre.

    http://medias-presse.info/laurent-ozon-le-localisme-est-la-pierre-angulaire-de-la-decolonisation-economiquecondition-indispensable-de-la-souverainete-politique/9032

  • Le courage d’affronter la réalité

    Le social-libéral Hollande, rallié de longue date  à l’ultra libre échangisme bruxellois, porteur du pacte dit destabilité, machine de guerre contre les catégories populaires et les classes moyennes,  héritier de Jean Jaurès?  Poser la question relève déjà de la plaisanterie, voire de la provocation.  C’est ce que le peuple de gauche, socialistes déçus et communistes, ont signifié hier au chef de l’Etat qui a été copieusement sifflé  lors de son déplacement à Carmaux (Tarn),  petite ville symbole de la révolte   des mineurs de 1892,  dans laquelle le fondateur  de l’Humanité fut élu député pour la première fois. Un climat houleux, contrastant  avec l’ambiance chaleureuse qui régnait dans cette commune le 6 avril 2012 lors du précédent passage de M. Hollande, alors candidat  socialiste  à la présidentielle. Il y  avait  prononcé un discours charriant les grands mythes  socialistes, lyrique,  plein de promesses pour la « France d’en bas ».  Un texte certainement  écrit par sa « plume » de l’époque, le « petit marquis » Aquilino Morelle, finalement  débarqué de l’Elysée suite au scandale que nous évoquions vendredi dernier, l’homme qui   se définissait comme « plus à gauche » (caviar)  que M. Hollande…

     Jean Jaurès,  pour le  PS désormais, c’est surtout  le nom d’une Fondation éponyme , cercle de réflexions qui d’études en études, se désole du ralliement  des catégories populaires au FN.  Les causes en  sont pourtant très simples à comprendre et  tiennent en quelques lignes :  les reniements d’un PS qui a trahi le  noble idéal de justice sociale au profit du CAC 40, celui  de la solidarité nationale sacrifiée sur l’autel du cosmopolitisme, de l’immigration-invasion,  le refus de doter notre pays des mesures de protections sociales, économiques, identitaires.

     Jean Jaurès a dit un jour : « Le courage c’est de chercher la vérité et de la dire, c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant.» Une volonté d’affronter le réel, à tout le moins de ne pas le taire,   qui fait peur désormais aux quelques jeunes  militants résiduels du PS, à un  pseudopode de la rue de Solferino, la coquille vide  SOS racisme, au Parti communiste,  auParti de gauche de Jean-Luc Mélenchon.  Une évidence  si l’on en juge, exemple parmi d’autres,  par les condamnations  virulentes émanant de  ces partis et groupuscules,  du dossier publié par le quotidien Lyonnais  Le Progrès.

     Le crime du Progrès ? Une enquête  intitulée « Délinquance, criminalité organisée : qui fait quoi dans le Rhône », sous forme d’une   double page, d’une infographie traitant des nationalités ou des « catégories de population »  impliquées dans l’explosion de la  délinquance et de  la criminalité dans ce département, par secteur et type  d’activités.

     SOS racisme   a annoncé mardi  qu’elle déposait plainte contre X pour des faits de fichage ethno-racial, diffamation raciale ou provocation à la haine raciale et à la discrimination, et  indique également qu’elle va saisir la Commission nationale informatique et liberté (CNIL) et le défenseur des droits « pour faire la lumière sur cette affaire ».

     Dans un communiqué, l’officine immigrationniste  affirme qu’elle « ne saurait rester muette face à de telles dérives », jugeant l’article du quotidien « nauséabond », véhiculant une  «lecture stigmatisante, ultra violente et inadmissible pour les populations visées ».  SOS racisme justifie son action par le fait que  le fichage ethno-racial est interdit en France par la loi du 6 janvier 1978. « Dans ces conditions, ajoute l’association, les policiers, gendarmes et douaniers qui seraient à la source de cette cartographie réalisée par les journalistes du quotidien Le Progrès, n’ont pas pu créer des catégories ethniques sans enfreindre la loi»!

     Policiers, gendarmes et douaniers, responsables du racisme et de l’intolérance selon ses histrions de  gauche,  du seul fait qu’ils oseraient  nommer  la réalité sans fard ?  Et ce sontles mêmes Torquemada hypocrites  qui gardent un silence  assourdissant  quand une jeune « gauloise »  se fait violer à Evry  par des « jeunes » racistes au prétexte que  « toutes les Françaises sont des putes »… -voir notre article publié hier.

     Devant le tollé des garde-chiourmes de l’immigrationnisme militant, horizon indépassable de notre avenir radieux,  des excuses ont été présentées par le journal  sur son site et dans sa version papier. Mea culpa jugé insuffisant par la section du Syndicat national des journalistes (SNJ) du Progrès. Convoquant le souvenir de  l’agité du bocal Jean-Paul Sartre,ces derniers ont   pondu un communiqué intitulé «La nausée et les mains sales» pour se désolidariser de  «ce dérapage  (qui)  consacre la faillite d’une politique éditoriale basée sur le tout faits divers, la sempiternelle course aux clics sur le Web, la recherche de l’audience à court terme.»

     Xavier Antoyé, rédacteur en chef du Progrès, a tenté d’éteindre la polémique en évoquant  « une maladresse rédactionnelle dans l’encadré », tout en soulignant que l’enquête du quotidien, était un travail « sérieux, fouillé et documenté.»  «En décembre dernier, le ministère de l’intérieur a publié une enquête du même type sur laquelle tous les médias ont fait leur une ». « On ne peut pas laisser accroire que Le Progrès a des intentions stigmatisantes ou malveillantes, ce n’est pas dans l’ADN de notre journal » (sic), a-t-il  encore précisé.

     Notre ami Charles Perrot, président du groupe FN de la région Rhône-Alpes, s’est  félicité du  «courage du quotidien régional qui a osé briser les tabous du politiquement correct». «Ces deux pages sont un scandale pour la dictature de la pensée. Elles ne sont qu’évidence pour les Rhônalpins et les Français d’une manière générale». Qui peut en effet affirmer le contraire ?

     Un peuple qui  refuse d’affronter la réalité ou qui confie sa destinée à des gouvernements qui n’osent pas l’affronter,  par lâcheté ou  idéologie, se condamne à un avenir bien sombre. Nous y sommesOui, la France n’est pas une page blanche affirmeBruno Gollnisch, ni un hôtel comme le souhaite M. Attali. Les Français ont des traditions, une identité une culture qui sont aujourd’hui menacées  par la doxa mondialiste dont l’immigration de peuplement est un des aspects les plus graves. Une submersion migratoire, dont le lien avec l’explosion de la délinquance est évident, qui se développe et prospère sur le laxisme,   par la suppression des frontières ,  des protections et  des préférences  nationales.

     Les Français qui selon un récent sondage sont 76% à penser qu’il y a trop d’immigrés en France,  doivent avoir le courage de remettre en  cause l’ordre mondialiste établi en votant dés le 25 mai  pour le seul Mouvement d’envergure qui entend les défendre. « Ne pas subir la loi du mensonge triomphant » disait Jaurès que nous citions plus haut. Et pour ne pas faire mentir le grand  Charles Péguy et son message d’espoir : « Il ne se peut pas que les Français soient lâches, mais ils ont oublié qu’ils étaient courageux ! ». Le Front National  saura leur rappeler.

    http://gollnisch.com/2014/04/24/courage-daffronter-realite/

  • Qu'est-ce que le Pacte républicain ?

    Jacques Bompard interroge le garde des sceaux, ministre de la justice, sur cette étrange notion de "pacte républicain" :

    "En effet, de nombreux responsables politiques utilisent cette expression sans en donner la moindre définition. On se souvient des déclarations de la ministre du logement au ministre de l'intérieur en septembre 2013 quand elle accusait ce dernier d'être allé "au-delà du pacte républicain" au sujet des roms. Le 22 octobre 2013 au sein de l'hémicycle de l'Assemblée nationale, le Premier ministre affirmait quant à lui que "la règle commune c'est la base du pacte républicain et que le pacte républicain, c'est aussi l'égalité". Quelques jours auparavant, le ministre de l'agriculture allait dans le même sens. Selon lui il existe "un pacte républicain qu'il faut soutenir". Lors de ses voeux pour l'année 2014, l'actuel premier secrétaire du parti socialiste déclarait pour sa part qu'il souhaitait "une année plus apaisée, qui ne voit pas les mêmes dérapages, les mêmes débordements, les mêmes attaques contre notre pacte républicain que celles qui ont assombri 2013", faisant en particulier allusion aux manifestations contre l'ouverture du mariage aux personnes de même sexe : continuer de manifester après qu'une loi a été votée par les parlementaires mettraient en danger ce fameux « pacte ». À ce propos, le rapporteur socialiste à l'Assemblée nationale de la loi sur le mariage pour tous n'expliquait-il pas récemment que cette "loi est en application depuis huit mois maintenant, [et qu']elle est entrée dans les habitudes et fait partie du pacte républicain" (février 2014).

    Ces quelques exemples montrent clairement que le "pacte républicain" n'est qu'une expression vague, sans contenu précis,servant uniquement à parer le discours d'une légitimité et d'une haute valeur morale qui ne souffriraient d'aucune critique. Il est donc très surpris qu'au nom de cette notion aux contours flous on puisse dire tout et son contraire, augmenter les impôts, constituer des "fronts républicains", exclure certaines opinions du débat public car jugées "nauséabondes" par les grands média et les responsables politiques...

    On ne trouve en effet aucune trace d'un quelconque "pacte républicain" dans les grands textes qui régissent les institutions françaises. Et pour cause, personne ne l'a jamais vu ni signé.Ce "pacte" incessamment brandi pour menacer ceux qui auraient le tort de ne pas s'y conformer n'a pas aucune existence juridique, législative ou constitutionnelle, pas plus qu'il ne désigne une réalité concrète. C'est un fait qui n'empêche pas certains politiques d'en appeler au "pacte républicain", comme s'il s'agissait d'un contrat dûment signé et accepté par la majorité des Français. Ces derniers seraient certainement curieux d'apprendre à quoi ce "pacte" les engage et d'en connaître l'utilité. Mais à en croire certains, le "pacte républicain", où chacun y met un peu ce qu'il veut, c'est sacré et il n'est donc pas question de mettre en doute son bien-fondé et encore moins la réalité de son existence.

    Il est également préoccupé par la façon dont les expressions "République", "valeurs républicaines", "pacte républicain" tendent à très largement remplacer les mots "France", "Patrie", "Nation".La conséquence d'un tel glissement sémantique est la mise de côté, voire le reniement, de tout l'héritage multiséculaire du christianisme et de la monarchie comme si la France n'existait que depuis 1789.Il estime en outre abusif de circonscrire la France à un régime qui s'est plusieurs fois illustré par la férocité et la brutalité de ses répressions comme en témoigne le génocide vendéen.Le "pacte républicain" n'existe donc que dans l'esprit de ceux qui en font profession et dérive d'une conception abstraite et étroite de la France. Celle-ci est totalement déconnectée des réalités historiques, culturelles et territoriales du pays, ce qui entraîne une profonde méconnaissance des aspirations du peuple français en ces temps de crises morale, politique et sociale.

    C'est pourquoi il l'interroge sur la signification concrète de l'expression "pacte républicain" et lui demande d'en préciser le contenu pour que les Français soient au courant et sachent pourquoi et de quel droit, en son nom, des ministres et des responsables politiques se croient permis de décerner des labels de bonne ou mauvaise conduite à leurs adversaires politiques."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/quest-ce-que-le-pacte-r%C3%A9publicain-.html

  • L'UMP face à la "ligne Buisson"

    Selon Guillaume Bernard, l'avenir de l'UMP passe par cette ligne :

    "[...] En fait, la ligne Buisson est attaquée pour des raisons idéologiques: pour tous ceux qui ont adopté (consciemment ou non) l'idéologie de gauche, elle est une anomalie, presqu'une hérésie, face au sens inéluctable de l'histoire qui voudrait que les idées de droite disparaissent totalement. La ligne Buisson a conduit une partie de la droite qui, pendant deux siècles avait été colonisée par les idées de gauche, à penser de nouveau avec certains des concepts de droite. Elle est une des manifestations de ce que j'ai proposé d'appeler, notamment dans vos colonnes, le «mouvement dextrogyre». Les attaques contre la ligne Buisson viennent surtout de ceux qui sont électoralement positionnés à droite mais qui ne sont pas (ou peu) doctrinalement de droite.

    La principale ligne de démarcation politique (sur des thèmes comme l'identité nationale, la construction européenne ou encore les mœurs et la bioéthique) passe au sein de la droite et non entre elle et la gauche. La fracture peut être résumée en une opposition entre une droite classique et une droite moderne: la première considère que les corps sociaux sont inscrits et que les valeurs sociales sont données par un ordre cosmologique des choses ; la seconde pense qu'il n'existe pas d'entité sociale ni de valeurs en dehors de la manifestation et de la rencontre de volontés. Ainsi, la manif pour tous (LMPT) a-t-elle révélé la décalage, parfois abyssal, entre le peuple de droite (de tendance classique) et la plupart de ceux (d'option moderne) qui le représentent. S'il est politiquement aléatoire, le recentrage de Nicolas Sarkozy pourrait au moins favoriser, mais sans doute à son détriment, la recomposition de la droite sur des lignes idéologiques clairement identifiables. [...]"

    Michel Janva

  • Roumanie – Un prêtre orthodoxe candidat aux élections européennes pour défendre la Famille contre la culture homosexuelle et mortifère

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    Roumanie – Iulian Capsali est un prêtre orthodoxe roumain qui sera candidat indépendant aux élections européennes pour défendre la Famille. Il a obtenu suffisamment de signatures pour se présenter. Il se présente comme « le candidat de la famille roumaine » et va faire campagne contre l’avortement, l’idéologie du genre et « la culture homosexuelle ».

    Le père Iulian Capsali est parvenu à rassembler plus de 120 000 signatures afin de pouvoir se présenter aux élections européennes de mai 2014. L’Église orthodoxe a largement contribué à cette récolte de signatures. La Roumanie fait partie des sept États membres ( Bulgarie, Chypre, l’Estonie, l’Irlande, Malte et le Royaume-Uni) où des candidats indépendants peuvent se présenter pour les européennes.

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  • Européennes 2014: comment le FN espère remporter l'élection

    Le Front national a déjà eu des députés à l'Assemblée nationale, il est déjà parvenu au second tour de la présidentielle, et il a déjà remporté plusieurs mairies lors des élections municipales. Prochaine étape pour le parti de Marine Le Pen: arriver en tête à un scrutin à l'échelle national.

    C'est justement l'objectif que la dirigeante frontiste s'est donné pour les élections européennes du 25 mai. La présidente du FN l'a affirmé le 19 avril lors d'un meeting de soutien à Bernard Monot, tête de liste dans la région Centre-Massif central. Elle le répètera à tous ses candidats, qu'elle réunit ce mardi 22 avril à Paris pour un séminaire de travail qui lancera officiellement la campagne du parti d'extrême-droite.

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