Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 654

  • Droit européen

    Droit néolibéral dans son esprit et dans sa lettre 

    Nos perroquets de presse incultes ignorent absolument tout du droit européen, ce qui ne les empêche pas, dans une écrasante majorité, d’en être des défenseurs acharnés et béats. 

         Le droit européen naquit du traité de Rome (1957). L’objet de ce traité était la réalisation d’un marché commun. Les traités européens postérieurs ne dérogent pas à cette règle, seul change le fonctionnement des institutions européennes, non leur but. 

         Comment s’est créé juridiquement ce marché commun ? Par la consécration de ce qu’on appelle dans le jargon juridique les « quatre libertés », soit les libertés de circulation des marchandises, des capitaux, des personnes et des services. 

         Du traité de Rome jusqu’à l’Acte unique, seules furent appliquées la liberté de circulation des personnes, qui ne posait aucun problème de dumping social du fait de l’homogénéité des Etats membres d’origine, et la liberté de circulation des marchandises, en faveur de laquelle celle qu’on appelait autrefois la Cour de justice des communautés européennes (CJCE) joua un rôle fondamental par l’arrêt Cassis de Dijon (20 février 1979). Jusqu’ici, le droit européen ne posait aucun problème et avait même des effets positifs en matière d’échanges. 

         Ces effets positifs venaient de deux faits : d’une application incomplète du traité de Rome et de l’existence d’un tarif extérieur commun élevé, rendu possible par l’absence de l’Angleterre dans l’Union. 

         Ensuite les choses changèrent du tout au tout. L’Angleterre (enfin la City) rentra dans la CEE, suite à la trahison de Pompidou, et usa de son influence pour imposer le libre-échange en faisant diminuer le tarif extérieur commun. Puis Jacques Delors « socialiste » foudroya le peuple de France par un traité félon : l’Acte unique. 

         Ce traité était censé donner les armes juridiques à la Commission européenne pour définitivement mettre en place un marché commun encore trop piétinant. Pour ce faire, l’Acte unique mit en branle un puissant venin : la liberté de circulation des capitaux. Les capitaux du monde entier avaient dorénavant le droit de faire tout ce qu’ils désiraient en France. Résultat ? La moitié du CAC 40 est aujourd’hui possédée par des fonds de pensions anglo-saxons, et ce y compris dans les domaines stratégiques. De même, notre patrimoine public est bradé au premier investisseur venu. 

         Ce traité est catastrophique du point de vue de l’intérêt national, mais exceptionnel pour l’intérêt de l’oligarchie financière. 

         Le traité de Maastricht consacre la mise en esclavage bancaire des peuples d’Europe par son article 104. Et le traité de Nice précise que, dorénavant, la politique économique de l’UE sera conforme au principe d’une économie de marché « ouverte ». Traduction : le libre-échange est la règle. 

         Quelle que soit l’étiquette politique du Parlement européen ou de la Commission européenne, leur but, consacré par les traités, est d’appliquer... les traités européens, soit de maintenir l’emprise néolibérale sur les pays d’Europe. 

         Le droit européen, par la réalisation des « quatre libertés », est ce qui a permis de mettre juridiquement en place la mondialisation néolibérale et de donner les pleins pouvoirs à l’oligarchie financière. Question : pourquoi nos hommes politiques ont-ils laissé faire un tel sabordage ? Réponse : par indifférence pour les malheurs du peuple, par cupidité et par lâcheté.

    Adrien Abauzit, Né en 1984

    http://www.oragesdacier.info/2014/04/droit-europeen.html

  • Martine Aubry perd la métropole de Lille

    Damien Castelain a été élu aujourd'hui président de Lille Métropole. Le maire de Lille, Martine Aubry, qui occupait ce poste depuis 2008, ne s'est même pas présentée, mettant fin à près d'un demi-siècle de domination socialiste.

    Maire de la petite commune de Péronne-en-Mélentois (environ 900 habitants) il a devancé avec 108 voix sur 175 exprimées le candidat de la droite et du centre, l'UMP Bernard Gérard (62 voix), et Eric Dillies (FN, 5 voix).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/martine-aubry-perd-la-m%C3%A9tropole-de-lille.html

  • J-M Le Pen: "En 2002, nous n'étions pas prêts"

    Jean-Marie Le Pen, qui a accédé au second tour de la présidentielle en 2002, affirme dans un débat qui sera diffusé dimanche sur LCP que le FN n'était "pas prêt à prendre le pouvoir" à l'époque.
    Vous êtiez prêt à gouverner ? "Non, non, nous n'étions pas prêts à prendre le pouvoir. On peut être président de la République sans être prêt à prendre le pouvoir", nuance-t-il aussitôt, dans un débat avec une journaliste, le politologue Pascal Perrineau et le nouveau premier secrétaire du PSJean-Christophe Cambadélis.

    lire la suite

  • Dieudonné, Alain Soral et Laurent Louis en meeting à Bruxelles le 4 mai

    C’est un pari audacieux. Bruxelles devrait accueillir le 4 mai prochain le « 1er congrès de la Dissidence européenne ». Derrière cet intitulé nébuleux, on trouve des noms bien connus tels Dieudonné, Alain Soral, Pierre Hillard, Marion Sigaut,… Et le député Laurent Louis pour qui c’est une bonne opération en pleine campagne électorale en Belgique.

    Cependant, tenir une telle réunion à Bruxelles ne sera pas une mince affaire compte-tenu de l’attitude des autorités politiques de cette région, bien décidées à ne pas permettre au « politiquement incorrect » de s’exprimer.

    Le lieu de ce congrès ne sera donc communiqué que le jour même aux personnes ayant payé par avance leur entrée (15 euros). Ce qui n’exclut pas quelques péripéties. Le système sera à l’affut et fera tout pour empêcher un tel meeting.

    A suivre…

    http://medias-presse.info/dieudonne-alain-soral-et-laurent-louis-en-meeting-a-bruxelles-le-4-mai/8924

  • La gauche radicale et ses tabous

    A l’occasion de la sortie en décembre dernier du livre La gauche radicale et ses tabous (le Seuil), nous mettons à disposition ici, en libre circulation, une vidéo réalisée dans notre série des entretiens mutins (contre la pensée tiède).
    Dans cet entretien, Aurélien Bernier part d’un constat douloureux mais irréfutable : malgré le succès de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon en 2012, c’est bien le Front National qui réussit le mieux aujourd’hui à capter le mécontentement populaire. Comme dans la plupart des pays d’Europe, la crise du capitalisme profite moins à la gauche radicale qu’à une mouvance nationaliste favorable au capitalisme. C’est ce paradoxe qui est analysé par l’auteur.
    Paralysé par la peur de "dire la même chose que Le Pen", le Front de gauche s’enferme dans trois contradictions. Il veut restaurer la souveraineté populaire mais ne défend plus la Nation, seule espace possible pour une réelle démocratie. Il lutte pour "une autre Europe", sociale et solidaire, mais n’assume pas la nécessaire rupture avec l’ordre juridique et monétaire européen. Il est anticapitaliste mais renonce au protectionnisme contre le libre échange mondialisé qui brise toutes les résistances.
    Souveraineté populaire et nationale, désobéissance européenne et protectionnisme : tels sont les trois sujets tabous dont la gauche radicale doit se ressaisir, au lieu de les abandonner au Front National qui a beau jeu de se présenter comme le seul protecteur du peuple français. Ce même Front National qui, dans les années 80, chantaient les louanges de Ronald Reagan et de l’ultralibéralisme...
    Aurélien Bernier, ancien dirigeant d’Attac et proche du Front de Gauche, collabore régulièrement au Monde Diplomatique. Il a notamment publié Le Climat, otage de la finance (2008), Désobéissons à l’Union européenne ! (2011) et Comment la mondialisation a tué l’écologie (2012), aux éditions Mille et Une Nuits.

  • Européennes : la revanche de Maastricht ?

    Les élections européennes s’annoncent triomphales pour les partis souverainistes, UKIP et FN en tête.   

    Depuis quelques semaines, les salles des marchés ne parlent plus que de ça : la BCE serait sur le point de sortir son « bazooka » pour enfin faire plonger l’euro. Une première car, statutairement, le niveau de l’euro n’est pas de la compétence de la BCE qui, comme son modèle la Bundesbank, ne doit se préoccuper que du niveau de l’inflation. Ceci explique pourquoi Mario Draghi ne cesse de répéter que le trop bas niveau d’inflation est dû à un euro trop cher. Ce n’est pas exact – cause et conséquence sont inversées – mais c’est habile.

    L’euro est certainement trop cher pour la France, mais il n’est pas la monnaie de notre seul pays. Pour la zone euro prise dans son ensemble – et c’est tout le problème de cette construction européenne inachevée –, il est à son juste prix, quoi qu’en disent les politiciens friands de propos démagogiques et les commentateurs qui se prétendent experts. Les raisons sont multiples :

    Lire la suite 

  • [Édito 2884] Europe : des peuples de moins en moins dupes

    La question qui agitait au début de la Semaine sainte nos politiciens et politologues attitrés était d’une importance capitale, au vu de l’état du pays : Valls fait-il de l’ombre à Hollande ? Question récurrente, surtout dans une Ve république passée au quinquennat, où les fonctions propres de chef de l’Etat et de chef du gouvernement sont devenues plus floues, ce qui ne fait qu’attiser les appétits des petits vizirs.

    Il est vrai que, si on en croit les sondages, entre les quelque 18% de popularité du président de la république et les presque 60% du nouveau premier ministre, il n’y a pas photo ! Mais qu’y a-t-il de plus volatile que la popularité en démocratie, surtout en démocratie sondagière ? Il n’est pas sûr que la confiance des Français envers le nouveau locataire de Matignon se confirme semaine après semaine. Ses viriles engagements risquent fort de n’apparaître que pour ce qu’ils sont : des coups de menton inopérants sur une réalité qu’on maîtrise d’autant moins qu’on refuse de changer les règles du jeu. Comment en effet lutter contre l’atonie d’un quelconque retour à la croissance, l’augmentation du chômage et ...des déficits, la désindustrialisation aggravée du pays lorsqu’on continue de s’inscrire dans la logique mondialiste ...et « austéritaire » (comme dirait l’autre, dont les coups de menton sont tout aussi inopérants sur la pérennité des entreprises françaises) imposée par Bruxelles ? En ce sens, clamer haut et fort, comme l’a fait la gauche de la gauche, qui a réuni à Paris pour les Rameaux quelques dizaines de milliers de manifestants — quand aux Rameaux de 2013 les défenseurs de la famille en rassemblaient des centaines de milliers —, qu’avec Valls, Hollande a fait le choix de l’ancrage dans le social-libéralisme, est quelque peu naïf. M. Tsipras, candidat grec de la gauche radicale à la présidence de la Commission européenne, s’était étonné la veille, lors du lancement des européennes du Front de gauche, que « M. Hollande, qui a été puni pour une politique de droite puisse faire une politique encore plus à droite ». C’est aller un peu vite en besogne. Hollande a été tout simplement puni d’avoir mené une politique inefficace et laissé s’enfoncer un peu plus les Français dans la précarité : Valls fera autrement la même politique qu’Ayrault, puisque cette politique n’est décidée ni par le gouvernement ni même par la majorité socialiste — pas plus qu’elle n’était décidée par le gouvernement ou la majorité Ump, ou ne le serait de nouveau — mais par Bruxelles, quand ce n’est pas par Berlin, que Valls est allé docilement rassurer ce 14 avril, sur les intentions de la France à tenir ses engagements en matière de déficit, en allant rendre visite au SPD, désormais allié de Merkel. La Commission européenne nous tance pour nos déficits ? Entre Paris et Bruxelles, seul le rythme des réformes fait l’objet d’une différence d’appréciation, mais la mise en coupe réglée de la France et de son peuple, elle, relève du consensus. Nous serons sacrifiés sur l’autel de l’euro, Veau d’or de l’oligarchie européenne.

    Non, du reste, que l’Europe institutionnelle ne commence à prendre peur, à quelques semaines des élections européennes. Un fort vent populiste soufflerait sur une Union dont les peuples semblent lassés d’attendre la réalisation des promesses. Aussi ne doit-on pas s’étonner de voir tout l’établissement, de Mario Draghi, président de la BCE, à Michel Sapin, le très europhile ministre des finances français, découvrir subitement le frein pour la croissance que représente un euro « trop fort ». Montebourg doit jubiler. Toutefois, les Européens, notamment les Français, victimes de la politique monétaire de Francfort — qui arrange les Allemands —, seront-ils dupes de cet enfumage ? Ils seraient bien naïfs !

    D’autant que l’euroscepticisme ne touche pas que les pays membres de la zone euro. Et l’aveu — hypocrite — de Draghi ne poussera certainement pas les peuples qui n’en font pas partie à y entrer, à moins d’y être contraints et forcés par leur gouvernants, comme en janvier dernier les Lettons. C’est l’Europe en tant que telle, son arrogance et son projet totalitaire qui est de plus en plus rejeté non pas tant par des « citoyens européens » qui n’existent pas que par des citoyens de pays européens qui veulent recouvrer leur liberté face au Moloch bruxellois. Ainsi le peuple hongrois, qui a reconduit triomphalement Viktor Orban à la tête du gouvernement en plébiscitant de nouveau son parti, le Fidesz, qui conserve la majorité des deux tiers au parlement de Budapest. Ce peuple décidément incurable a même poussé l’arrogance jusqu’à amplifier le score du Jobbik, parti ultra-nationaliste, comme pour signifier à Orban son souhait de ne pas le voir dévier de sa ligne eurosceptique. Quant au Royaume-Uni, le très « europhobe » UKIP — United Kingdom Independence Party —, dirigé par le charismatique Nigel Farage, a le vent en poupe dans un pays dont la majorité des habitants souhaite, au grand dam du gouvernement comme de l’opposition de Sa gracieuse Majesté, l’organisation d’un référendum sur le maintien ou non du pays dans l’Union européenne. Alors qu’il revendique une moyenne de 28% et entend disputer la première place au Labour, l’UKIP pourrait envoyer un nombre très important d’eurodéputés à Strasbourg. « Ce qu’a fait Nigel Farage en Angleterre est une formidable leçon pour nous tous », a assuré Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, formation eurosceptique qui présente des listes dans les huit régions françaises, et auquel Farage a apporté son soutien.

    Un désaveu manifeste pour le Front national, à la recherche d’alliances européennes, qui se verrait récusé en raison d’un programme économique situé trop « à gauche », pour le leader britannique, ouvertement mondialiste, alors que, dans ses grandes lignes, le FN recouvre simplement la tradition d’intervention de l’Etat propre à la monarchie capétienne comme aux débuts de la Ve république ? Or Dupont-Aignan n’est guère plus mondialiste. Le FN paie là surtout sa politique partisane de repli sur soi et son refus d’être l’initiateur d’un grand rassemblement national qui l’aurait définitivement sorti d’une logique protestataire. Et ses succès probables aux européennes ne seront pas nécessairement le signe d’un victoire future à des élections nationales. Il aura en tout cas du mal à convaincre que s’allier avec des partis sécessionnistes, dans le seul but d’obtenir un plat de lentilles au parlement européen — en l’occurrence les facilités offertes par la constitution d’un groupe —, tels que la Ligue du Nord italienne, le Vlaams Belang belge, voire avec Geert Wilders, chef du Parti pour la liberté (PVV) néerlandais, qui s’est prononcé il y a quelques années pour la scission de la ...Belgique, n’est pas propre à brouiller son message d’unité nationale.

    L’Action française se prononcera le moment voulu sur les élections européennes, conformément à son habitude, en dehors de tout esprit partisan, ne choisissant que la voie la plus conforme à l’intérêt national, sans exclusive aucune.

    D’ici là, elle invite tous les patriotes à retenir les dates des 10 et 11 mai prochains pour une grande réunion publique sur le thème du peuple — mis à mal tant de l’extérieur qu’à l’intérieur —, avant le défilé en l’honneur de Jeanne. Et à bientôt, dans le cadre d’une nouvelle formule ! 

    François Marcilhac - L’AF 2884

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Europe-des-peuples-de-moins-en

  • Européennes : LMPT va interroger les candidats

    La Manif Pour Tous va envoyer un questionnaire aux candidats, intitulé "Principes européens pour la famille", sous le label "Europe for family". Issus du Grenelle de la famille, mais adaptés au contexte européen, les principes sont soumis aux candidats pour qu'ils s'engagent à promouvoir ces principes au sein du Parlement européen.

    Il est aussi demandé aux candidats s'ils sont prêts à faire partie d'un groupe parlementaire pro-famille.

    Ces principes sont les suivants :

    • le mariage est homme/femme ;
    • tout enfant est né d'un H et d'une F et a droit d'être élevé par ses parents ;
    • l'enfant n'étant la propriété de personne, il ne peut être l'objet d'aucun commerce ni d'aucun don...;
    • les parents sont libres de déterminer l'éducation de leur enfant ;
    • les membres de la famille se doivent respect et assistance, l'Etat doit soutenir ce principe et l'Europe doit le respecter ;
    • l'Europe doit respecter la subsidiarité dans le domaine de la politique familiale ;
    • l'identité de genre n'a pas être promue par l'UE sous couvert d'égalité.

    Les réponses seront publiés en ligne, permettant aux électeurs de connaître les positions et de voter en conséquence. Un bilan sera publié le 15 mai, Journée internationale de la famille.

    Michel Janva

  • D’un 21 avril à l’autre

    Le Parti socialiste semble mal parti pour 2017, mais il est assuré d’une claque monumentale s’il est représenté par le président sortant.   

    Tous ceux qui l’ont vécue se rappellent l’indescriptible et grotesque panique qui déferla sur la France lorsque le 21 avril 2002, contre toute attente – à commencer par la sienne –, Jean-Marie Le Pen se qualifia pour le second tour de l’élection présidentielle. Celui qui était alors le président en exercice du Front national n’avait nullement envisagé une éventualité à laquelle il ne s’était donc pas préparé, et ce résultat inattendu l’embarrassait encore plus qu’il ne le réjouissait.

    Encore avait-il assez de sang-froid, de connaissance du pays et d’expérience politique pour savoir qu’il n’avait aucune chance de transformer l’essai en victoire. À l’inverse, les uns par calcul feignaient de croire, les autres, pris d’un accès de folie collective et de déraison moutonnière, crurent vraiment que la bête immonde était de retour et qu’à son score de 16 %, sans bénéficier d’aucun désistement, d’aucune réserve, et sans faire campagne, le challenger pouvait ajouter la bagatelle de 34 points et l’emporter.

    Lire la suite