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élections - Page 679

  • Des jeunes de LMPT en politique

    Le Point dresse quelques portraits de jeunes engagés au sein de La Manif Pour Tous qui sont ensuite entrés en politique, dans différents partis :

    Sébastien Pilard, fondateur de Sens Commun, candidat en 22e position sur la liste UMP de Nantes :

    "Ces manifs m'ont fait prendre conscience que j'avais un rôle politique à jouer. Pourquoi laisser notre place à d'autres ? Si nous n'avons pas infléchi le processus législatif, c'est parce que nous avions de trop faibles relais au Parlement". "Sens Commun existe pour faire bouger les lignes de l'UMP, non pas pour accompagner le mouvement tel qu'il est aujourd'hui".

    Jean Roucher, président des jeunes du PCD, vient de prendre la tête de liste Force Vie dans la circonscription Massif central - centre aux élections européennes de mai :

    "Je suis contre le découragement ambiant. Non, la politique n'est pas qu'un monde de menteurs et de pourris".

    Pierre Nicolas, candidat sur la liste Rassemblement Bleu Marine pour l'élection municipale de Versailles, indique :

    "La position mi-chèvre mi-chou de Marine Le Pen m'avait désappointé, mais j'ai été séduit pas l'engagement de Marion, que j'ai croisée dans les manifs". "Les Manifs pour tous ont été un déclencheur. Après sept mois de réflexion, j'ai décidé de m'engager en politique sur mes idées. Je n'ai pas peur de les défendre".

    Isabelle Surply s'est engagée au FN suite au 24 mars 2013, lorsqu'elle s'est fait gazer avec ses deux jeunes enfants par des CRS avenue Carnot, en pleine manifestation. Elle est tête de liste FN dans le 2e arrondissement de Lyon :

    "Je me suis dit : nous sommes en pleine dictature socialiste ! Il faut que tu réagisses, que tu t'impliques."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Vénissieux, les « ex » du FN se rappellent au mauvais souvenir de Marine

    La présidente du Front national aurait sans doute eu davantage intérêt à ne pas porter la polémique sur la place publique…

    À chaque échéance électorale, ses grandes ambitions… et ses petits règlements de comptes. C’est la loi du genre humain, les médias en raffolent et guère de partis politiques ne s’y laissent piéger.

    À Vénissieux, dans la banlieue lyonnaise, deux anciens élus du Front national (Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac), décrétés persona non grata par la direction de ce parti pour des déclarations ou des passés militants par trop radicaux, voire trop nostalgiques, ont décidé d’y déposer une liste en vue des prochaines élections municipales.

    Marine Le Pen les a aussitôt qualifiés de « parasites » et a réclamé au préfet du Rhône de ne pas valider cette liste. En cause, son nom : « Vénissieux fait Front ».

    « Il est clair que la dénomination de cette liste constitue un acte de parasitisme du nom “Front national”, parasitisme autant juridique que politique », a-t-elle écrit au préfet du Rhône, Jean-François Carenco, ajoutant qu’« il est tout aussi clair que le Front national n’a rien de commun avec les parasites qui animent cette liste », et lui demandant « pour cette raison de [lui] refuser le matériel électoral ».

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  • NKM se déclare favorable à la privation de filiation pour les enfants

    L'association des familles homoparentales (ADFH) a envoyé un questionnaire aux candidats aux municipales, parmi lesquelles ces 2 questions :

    • "Considérez-vous que l'adoption d'enfants par les couples homosexuels soit un progrès social ?"
    • "Considérez-vous que l'adoption intraconjugale homoparentale (adoption de l'enfant du conjoint) soit un progrès social ?".

    A ces deux questions, Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) répond "oui".

    Par ailleurs, NM n'a pas signé la charte de La Manif Pour Tous, ce qui est cohérent avec son idéologie.

    Aux Parisiens d'être cohérents dans leur vote. C'est un mauvais calcul pour NKM qui se met à dos les défenseurs de la famille, mais ne gagne pas pour autant les électeurs LGBT, car elle reste opposée à la PMA, contrairement à Anne Hidalgo.

    Parmi les autres candidats à Paris, Wallerand de Saint-Just et Charles Beigbeder ont signé la charte de La Manif Pour Tous.

    Michel Janva

  • Le gouvernement ? Du bla-bla, du pipeau, du vent, de l’air…

    gouvernement

    L’exercice du gouvernement engage l’image, le prestige et le destin de la France. Il devrait être interdit aux amateurs.

    Le ministre de l’Économie et des Finances en avait fixé et réaffirmé l’objectif à plusieurs reprises. Le déficit public de la France serait ramené au niveau symbolique de 3 % du PIB à l’horizon 2015. Très précisément, il serait encore de 3,6 % en 2014 pour s’établir à 2,8 % dès l’année suivante. L’alourdissement des impôts et la réduction de la dépense publique en étaient la garantie… Oui, mais les recettes attendues ne sont pas plus au rendez-vous que les économies annoncées. Des dépenses imprévues pourraient bien noircir encore le tableau. Bref, c’est plutôt aux alentours de 4 % (3,9 % au plus juste) que tournent les prévisions rendues publiques par la Commission de Bruxelles, et puisque nous sommes décidément de mauvais élèves, nos maîtres font planer sur notre pays la menace de sanctions.

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  • Aide pour une liste patriote à Asnières

    Un lecteur nous informe qu’il n’y a pas de liste patriotique prévue à Asnières-sur-Seine (92) pour les prochaines municipales, et qu’il essaie d’en monter une.
    Il a réussi l’exploit de trouver la presque totalité de la cinquantaine de participants à sa liste autonome d’union patriotique, mais il lui manque encore 2 ou 3 noms d’hommes (parité oblige…).

    Nous relayons volontiers sa demande et si votre carte d’électeur ou une facture vous relie à la ville d’Asnières, n’hésitez pas à le contacter très rapidement à h.massol@laposte.net

    http://www.contre-info.com/

  • Les malhonnêtes

    Le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé,  était hier à Paris pour épauler la sœur jumelle d’Anne Hidalgo, Nathalie Kosciusko-Morizet,  avec qui il partage la même aversion pour les idées nationales. Une  énième tentative  pour tenter de conjurer le gros naufrage électoral qui s’annonce pour la pauvre NKM,  éreintée jusque dans son propre camp. « J’ai pour Nathalie de l’estime et de l’affection. C’est une personne intelligente, et l’on se rend compte avec le temps que l’intelligence, ça compte» a-t-il  déclaré.  Ce n’est pas Jean-François Copé qui aurait droit à un  tel compliment de la part de l’ami de Jacques Chirac qui s’est livré à son jeu favori consistant à dégommer  le patron( ?) de l’UMP. Sur France 3 Aquitaine, M. Juppé s’est fait une joie de pointer perfidement la ligne politique tortueuse de l’ami du très sulfureux  Ziad Takieddine au sujet de  la candidature  à Pau du  traitre du Modem François Bayrou  :  «Je n’ai pas très bien compris la position de Jean-François Copé qui ne soutient pas vraiment François Bayrou. Alors ça veut dire qu’il le soutient quand même ? ». Que l’ex ministre de la Défense puis de Affaires étrangères de Sarkozy, qui tente de conjuguer son « gaullisme » revendiqué avec son européisme militant et sa soumission à l’atlantisme, donne des leçons de cohérence à Copé est déjà en soi assez drolatique. Mais ce  que ne  comprendraient  pas non plus les militants et sympathisants de l’UMP,  c’est d’avoir été roulé dans la farine par M. Copé, si l’on en croit les révélations  du Point, contestées aujourd’hui par l’intéressé.

     Selon Le Point, « Les militants UMP qui ont cotisé pour le Sarkothon ne diront pas merci à Bygmalion . Au moment où Copé leur demandait de renflouer les caisses du parti de 11 millions d’euros, l’agence de communication appartenant à deux de ses anciens collaborateurs venait d’empocher de l’UMP huit millions d’euros pour avoir organisé les meetings de la campagne 2012 ».

      « Entre 2010 et 2012, alors que les finances de l’UMP sombrent dans le rouge », « Event & cie, la filiale événementielle de Bygmalion », « connaît, elle, une santé florissante…  Dès la création de Bygmalion en 2008, Jean-François Copé, président du groupe UMP à l’Assemblée nationale puis secrétaire général du parti, multiplie les commandes auprès de l’agence de com de ses amis Bastien Millot et Guy Alves, qui ont travaillé plus de dix ans à ses côtés, d’abord à la mairie de Meaux, puis à son cabinet chaque fois où il a été ministre ».

     « (…) En épluchant les statuts de la société, Le Point a découvert un montage financier particulièrement sophistiqué avec un actionnaire resté caché pendant trois ans : une SARL logée au Luxembourg… Derrière cette mystérieuse société se dissimule le holding familial d’Emmanuel Limido, un gestionnaire de fonds très lié au Qatar. Coïncidence : en 2006 et 2007, Jean-François Copé, alors ministre du Budget, avait donné son feu vert pour la vente au Qatar de deux joyaux immobiliers de l’État. Dans ces deux transactions, l’intermédiaire n’était autre que le fonds d’investissement dirigé par Emmanuel Limido. Ce dernier avait entre les deux transactions embauché le chef de cabinet de Jean-François Copé, Guy Alves, devenu depuis patron de Bygmalion ».

     Lesdites révélations –Le Point dit s’appuyer sur des « documents » solides-,   peuvent elles contribuer à affaiblir l’UMP à quelques semaines d’échéances électorales déterminantes ?  Elles  n’arrangeraient certes pas le climat au sein d’un parti déjà ébranlé   par ses divisions internes et  ses divergences tactiques. Pour ne rien dire du fossé  grandissant entre ses dirigeants et ses  électeurs, au moment ou de nombreux candidats juppéistes, copéistes, fillonistes ou sarkozystes affirment déjà qu’ils appelleront à voter PS contre le FN en cas de présence de l’opposition patriotique au second tour face à la gauche.

     Si l’UMP prend depuis trop longtemps le peuple de droite pour des chèvres, l’intermittent du spectacle   et euro député écolo-gauchiste  José Bové (EELV) confond lui aussi les Français avec  le troupeau de mouton dont il a paraît-il la charge à ses heures perdues.

     Le site de France Info relayait le 21 février la déclaration de  M.  Bové, l’homme qui tente, sans grande audience il est vrai,  de faire croire que l’on peut se faire le chantre du terroir sans défendre l’identité nationale, la souveraineté politique de la France et l’intégrité de notre peuple.« En gros, ça ne sert à rien de voter Front National (pour les Européennes), ils ne font rien. Moi quand je vois madame Le Pen, quand je vois monsieur Gollnisch ou monsieur Le Pen père, ils ne sont là, à Strasbourg, que pour venir chercher le chèque ! » a affirmé M.  Bové

     Pourtant et c’est à souligner, même  France Info,  décryptant  les propos de l’ami de Daniel Cohn-Bendit , modère très sensiblement cette accusation péremptoire : « A leur décharge (des députés FN, NDLR),  il est très compliqué de peser au Parlement sans être affilié à un grand groupe politique et c’est le cas des Le Pen ». Au-delà  des emplois du temps extrêmement  chargés des intéressés, indiquons encore que  cette  situation de marginalisation relative  n’empêche pas de  faire entendre dans l’hémicycle  la voix du bon sens, de   peser sur les débats.

      Nous l’avons vu cette semaine avec le débat sur le referendum suisse, et  encore dernièrement  avec le combat mené avec succès  par Bruno Gollnisch contre  le rapport Estrela. De plus le rapport de force devrait évoluer  en  toute hypothèse en juin prochain avec la vague populiste attendue au parlement, permettant la création d’un groupe conséquent  de députés attachés à l’Europe des patries.

     Mais surtout précise France Info,  « (Bové)  devrait se méfier de ce genre d’attaque sur l’assiduité au Parlement européen. D’abord parce que Bruno Gollnisch, le troisième eurodéputé frontiste, est beaucoup mieux classé que lui (en terme de présence effective, NDLR). Et puis, les deux députés européens français les moins bien notés font partis de son groupe des Verts. Il s’agit de Karim Zéribi et d’Yves Cochet, arrivés en cours de mandat… »

     Cette capacité des chantres (alter)mondialistes de la diversité et de l’Europe multiculturelle, de droite comme de gauche , à mentir, à  s’ériger en donneurs de leçons pour ensuite de prendre les pieds dans le tapis ne manquera jamais de nous étonner. La nouveauté venant peut être du fait que leur malhonnêteté  intellectuelle est désormais perçue par  un  grand nombre de Français.

    http://gollnisch.com/2014/02/27/les-malhonnetes/

  • Esprit de parti : le FN veut-il vraiment du RBM * ?

    C’est la question qu’on est en droit de se poser à la lecture de l’excellente Lettre du SIEL de février 2014, dans laquelle Paul-Marie Coûteaux, après avoir retracé les interventions au colloque du 25 février, qui avait pour thème l’ "Universel déni des réalités", et auquel participait Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française, écrit :...

    ...« ...le fait que le RBM n’ait toujours pas de vie propre, et reste encore largement une coquille vide ; le fait qu’il ne soit pas toujours en phase avec le nouveau mouvement social, pourtant si prometteur ; le fait qu’il soit encore récusé par une part notable de membres et même de quelques dirigeants du Front national, équivoque qui est à l’origine de nombreux incidents révélés par les municipales ; le fait aussi que le FN qui détient notre dotation publique depuis juillet dernier sans la rétrocéder entièrement, tous ces éléments dessinent certes quelques nuages à l’horizon. Pour ma part, je veillerai à ce que notre mouvement et son rôle propre soient respectés, ne serait-ce que pour déjouer les nombreux commentaires qui voudraient ne voir dans le RBM que le « rassemblement du FN avec lui-même ».

    La suite ici

    * pour les non-initiés, le RBM est le Rassemblement Bleu Marine auquel le SIEL appartient.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Esprit-de-parti-le-FN-veut-il

  • Polémiques et diversions

    Les journalistes en ont été étonnés (désappointés), Marine Le Pen a reçu hier un accueil particulièrement  chaleureux au Salon de l’Agriculture. Une visite effectuée en compagnie de  Marion Maréchal Le Pen,  du candidat   à la Mairie de Paris Wallerand de Saint-Just, du vice-président Louis Aliot,  du conseiller  de la présidente du FN sur les questions agricoles Leif Blanc…Lors de la conférence de presse qu’elle a tenu le même jour sur le stand de la Brasserie française, Marine a largement évoqué « la guerre » qui sera menée par le FN contre l’inique « grand marché transatlantique » qui va « organiser un dumping systématique » de notre production agricole pour le grand profit des Etats-Unis –voir les articles publiés, les réactions de Bruno Gollnisch à ce sujet sur ce blog. Un  « traité de libre-échange transatlantique » qui est  combattu résolument par les députés frontistes au parlement européen et qui le sera encore plus demain a assuré Marine,  avec l’arrivée probable  en juin prochain d’élus  patriotes encore plus nombreux. Une question ô combien essentielle, d’une toute autre importance  que la passe d’arme qui  opposé hier à l’Assemblée Manuel Valls et le député maire UMP du XVIème arrondissement, Claude Goasguen.

     Titillé par M. Goasguen sur la quasi impunité dont ont bénéficié les milices d’extrême gauche  antifas  qui ont ravagé le centre-ville de Nantes  –coût estimé du saccage du mobilier urbain, un million d’euros…-  M. Valls a renvoyé le député UMP  à son passé de militant au sein du Mouvement Occident.

     « Je n’ai jamais été membre d’Occident, contrairement à des proches comme Alain Madelin, Gérard Longuet, Patrick Devedjian, mais président de la corpo d’Assas. (…) Etant alors partisan de l’Algérie française, j’ai soutenu Jean-Louis Tixier-Vignancourt (lors de la présidentielle de 1965, NDLR). Mais tous ceux qui défendaient l’Algérie française n’avaient pas une démarche d’extrême droite. M. Valls perd les pédales » s’est défendu Claude Goasguen qui a tenu aussi à préciser qu’il « n’a jamais pactisé (sic) avec le FN ».

     Dans son  livre plutôt étayé et sérieux consacré à cette défunte formation d’extrême droite,    Génération Occident  paru en 2005,  Frédéric Charpier  indiquait que Claude Goasguen était bien « l’un des hommes qui comptent à Occident », affirmation qui à notre connaissance n’avait pas  été alors réfutée par l’intéressé…ni par ses « proches ». La colère (feinte ?) d’un Christian Jacob (président du groupe UMP à l’Assemblée)  fustigeant « les propos ignobles » (sic) du ministre de l’Intérieur n’en en est que plus grotesque…

     Pas de quoi en tout état de cause en faire un fromage ou en tirer des conclusions définitives, notamment eu égard aux trajectoires bien policées de la plupart de ses anciens membres qui ont fait une carrière politique sous les couleurs de la droite courbe. Comme l’a relevé  aussi Bruno Gollnisch dans un tweet, « Et alors ? » Cette petite diversion  de M. Valls, aidée en cela par l’attitude ridicule du groupe UMP quittant l’hémicycle,  ne doit pas faire oublier  «  tous les députés socialistes ou écolos venant de l’extrême-gauche » …Elus socialo-écolo-gauchistes ralliés eux aussi très massivement à l’ultra libre échangiste d’essence euromondialiste, projet  il est vrai qui poursuit le vieux rêve internationaliste de destruction des Etats- nations et des peuples enracinés…

     Ne nous y trompons pas, les polémiques stériles montées en épingle pour faire accroire au Français que fondamentalement  « le PS  et l’UMP  c’est pas pareil » bénéficient en fait au Front National. Journaliste politique au Point, Charlotte Chaffanjon indique  aujourd’hui sur le site de cet hebdomadaire que « le pouvoir est impopulaire comme jamais. Contrairement à ce qu’avait dit François Hollande, les résultats de sa politique ne se font toujours pas sentir dans la vie quotidienne. Quant à l’UMP, elle est empêtrée dans sa guéguerre interne, dans ses contradictions de fond. Le bilan de tout ça, c’est que l’électorat de gauche est déçu et que l’électorat de droite est perdu ».

     Elle note que  la dernière polémique (lancée par Jean-François Copé)  sur le livre Tous à poil ! (confidentiel,  pas diffusé dans les classes et qui a  l’insigne avantage de détourner l’attention  sur le  ralliement de M Coppé  et d’une très large fraction des dirigeants de l’UMP au mariage et à l’adoption pour les couples homos NDLR),  rappelle la précédente sur les pains au chocolat arrachés à l’école ». Là aussi un petit prurit médiatique qui occultait le fait que l’UMP n’a jamais souhaité revenir franchement sur le catastrophique   regroupement familial, le droit du sol  et plus  largement remettre en cause   les pompes aspirantes de l’immigration.

     Cette hypocrisie de  l’UMP est flagrante chez un Claude Goasguen affirme même le  patron du groupe communiste au Conseil de Paris,   Ian Brossat, rallié à la candidature d’Anne Hidalgo. Le Parisien, rappelait   début févier qu’ en octobre 2013,  « l’élu communiste a soumis au vote du Conseil de Paris un vœu proposant la création d’un village d’insertion des Roms dans le XVIe arrondissement de Paris ». Et « en juin 2010 il  avait accusé (M. Goasguen)  de s’opposer systématiquement au logement social, dénonçant sa méfiance vis-à-vis de l’autre et son égoïsme social. Le principal intéressé avait (…)  provoqué un tollé en lançant : Vous n’avez qu’à nous mettre une étoile jaune et marquer XVIe arrondissement dessus!». Un tacle visant l’histoire familiale de M. Brossat  « petit-fils du physicien israélien Marcus Klingberg, condamné à 20 ans de prison par la justice israélienne pour espionnage au profit de l’Union soviétique » (Faits & Documents, septembre 2013).

      Ces dernières semaines Ian Brossat   a attaqué  M. Goasguen  sur son attribution de  2000 €  « à l’association Porte d’Auteuil Environnement montée, selon le communiste, «de toutes pièces pour empêcher la construction de logements sociaux dans le XVIe».« C’est une association qui ne se bat pas contre les logements sociaux mais contre un programme mixte à la gare d’Auteuil lequel prévoit des immeubles de dix étages en face de chez eux», avait  répliqué   M.  Goasguen, déclarant « (être)  bien plus choqué quand (il voit)  certains députés financer des syndicats étudiants comme l’Unef, en référence aux 70 000 € versés au syndicat par le député-maire PS du XIVe, Pascal Cherki ».

     Vu sous cet angle la réponse de M Goasguen fait mouche mais l’accusation sous-jacente portée par M Brossat est  bien évidemment  que le député-maire UMP  craindrait  l’arrivée d’un électorat non  acquis à son parti  et/ou immigré…

     Les bourgeois de gauche et de droite préfèrent il est vrai généralement  l’entre soi sur leur lieu de résidence  et scolariser leurs enfants dans des  écoles « homogènes ». Car pour tous ces gens là,   l’immigration de peuplement  c’est bon et bénéfique uniquement pour les Français « d’en bas ».  Alors oui, cette hypocrisie là, écœurante, révoltante même, elle sera, devra être résolument  sanctionnée affirme Bruno Gollnisch,   par nos compatriotes en mars et juin prochains !

    http://gollnisch.com/2014/02/26/polemiques-diversions/

  • Pourrait mieux faire !

    On sait qu'en Suisse, quatre fois par an, a lieu un certain nombre de votations à l'initiative du peuple souverain, sans réelle limitation des sujets abordés. Le 9 février 2014, le peuple s'est ainsi prononcé sur trois thèmes.

    — Sur l'avortement.

    Remarquons au passage que ce sujet n'est pas tabou en Suisse. L'initiative demandait la fin du remboursement de l'avortement par l'assurance-maladie obligatoire. Les initiants avançaient l'argument logique que la grossesse n'étant pas une maladie, qu'il n'était donc pas correct d'exiger une participation de tous pour son financement. L'exemple de l'Autriche, où pareille mesure existe depuis des années sans la moindre conséquence particulière, n'a pas suffit. Avec 69,2 % de Non, le rejet est unanime.

    — Le plan de financement et d'aménagement de l'infrastructure ferroviaire.

    Cette mesure a franchi l'obstacle du référendum sans coup férir, le Oui l'emportant à 62,02 %. Là, encore, le résultat était des plus prévisibles au vu de l'excellente image des transports ferroviaires dans la culture historique de la Suisse. Mais en ouvrant les vannes à hauteur de 6,4 milliards pour des infrastructures ferroviaires, les citoyens viennent d'autoriser l'État à piocher 6,4 milliards dans leurs poches : hausse de la TVA, des impôts et des taxes sur le carburant.

    Étrange approbation venue d'un corps électoral qui refusait à 60,5 %, la hausse de la vignette autoroutière à 100 francs trois mois plus tôt, et qui s'expose aujourd'hui à subir un surcoût d'une demi-vignette à chaque plein d'essence !

    — L'initiative contre l'immigration.

    C'était bien entendu le point d'orgue de ce dimanche 9 février, qualifiée par certains de votation de l'année, voire de la législature. Elle fut adoptée par 50,3 % avec une participation de 58 %… Depuis dimanche soir, la Constitution fédérale est agrémentée d'un nouvel article sur l'immigration demandant l'établissement d'une limite supérieure annuelle au nombre des nouveaux venus, et comme condition à l'octroi d'un permis d'établissement « la demande d'un employeur, la capacité d'intégration et une source de revenus suffisante et autonome ».

    Ainsi, l'exemple suisse, l'immigration de masse non contrôlée, est encore mis en avant par deux députés de l'opposition parlementaire républicaine dite de droite. MM. Gilbert Collard et Jacques Bompard, respectivement apparenté au Front dit national et président de la Ligue du Sud et maire d'Orange, à travers une proposition de loi constitutionnelle prônant l'instauration d'un référendum d'initiative populaire.

    Cette proposition de loi constitutionnelle avance qu'il est « peu probable, au regard de l’historique des consultations helvétiques que ni un vote parlementaire ni une consultation référendaire n’auraient été possibles s’ils avaient dépendu du bon vouloir de l’exécutif ou du Parlement de la Confédération helvétique ». Et de ce fait, il conviendrait, après de nombreux textes proposés antérieurement en France, « qu’une telle initiative populaire et démocratique puisse être rendue possible dans le cadre de notre Constitution du 4 octobre 1958 ».

    Les deux députés s'appuient sur quatre éléments qui rendent leur proposition particulière.

    1. Elle ne limite pas le champ « des lois d’initiative référendaire aux seuls domaines prévus actuellement par l’article 11 de notre Constitution. La loi référendaire d’initiative citoyenne, expression doublement directe du peuple souverain, ne saurait voir son champ borné a priori. Elle doit pouvoir englober désormais toutes les questions institutionnelles et sociétales, hormis le champ des révisions constitutionnelles prohibées par l’article 89 de notre Constitution ».

    On sait que cet article 89 n'autorise pas la mise en cause du régime républicain et qu'une ré-instauration monarchique devrait pour exister passer outre ou abroger cet article.

    2. La proposition de réforme « tend à éviter toute mesure dilatoire visant à retarder ou à empêcher la libre expression du peuple souverain par le biais d’une vacance durable de la fonction présidentielle ».

    3. La proposition de réforme « abroge les modifications apportées à l’article 11 de la Constitution par la loi constitutionnelle n° 2008-724 du 23 juillet 2008. En effet, cette réforme envisageait, concernant l’article 11, une procédure complexe, improbable et très éloignée du référendum d’initiative parlementaire qui était initialement envisagé ».

    Pour rappel, cette loi constitutionnelle de 2008 instituant le référendum d'initiative populaire ne peut avoir lieu que si le Conseil constitutionnel, un tiers des parlementaires et 10 % du corps électoral se prononcent en sa faveur… 

    4. « Le droit de signer une pétition référendaire est réservé aux seuls citoyens français inscrits sur une liste électorale. En effet, il existe d’ores et déjà des listes électorales complémentaires permettant aux ressortissants de l’Union européenne résidant en France de participer à l’élection des conseillers municipaux ou des représentants de la France au Parlement européen. Il est évident qu’ils ne peuvent pas participer à une consultation référendaire qui reste l’expression la plus directe de notre souveraineté nationale. » Les deux députés font suivre leur proposition du texte de la nouvelle loi précisant les changements à apporter à l'existant en quatre articles.

    1. « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants, et par la voie du référendum, soit à l’initiative du président de la République ou du Parlement, soit par une pétition référendaire d’initiative citoyenne à la demande de 500 000 citoyens français inscrits sur les listes électorales. » Amélioration nette. Malgré le fait que les représentants de la souveraineté nationale ne sont pas réellement représentatifs du Peuple par le jeu permanent des partis politiques représentatifs de l'oligarchie au pouvoir.

    2. « Le président de la République, sur proposition du Gouvernement pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux Assemblées, publiées au Journal officiel, peut soumettre au référendum tout projet de loi portant sur l’organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la Nation et aux services publics qui y concourent, ou tendant à autoriser la ratification d’un traité qui, sans être contraire à la Constitution, aurait des incidences sur le fonctionnement des institutions… » La proposition reste très respectueuse des usages, sans doute pour ne pas effaroucher qui que ce soit et démontrer que nos deux députés sont des républicains orthodoxes… 

    3. « Une pétition référendaire doit être signée par au moins 500 000 électeurs français inscrits sur une liste électorale. » « Le Conseil constitutionnel vérifie que la condition requise à l’alinéa ci-dessus est bien vérifiée. » « Il en avise le président de la République qui convoque le corps électoral dans le délai de trois mois. En cas de vacance de la présidence de la République ou d’empêchement, le décret de convocation est signé par le président du Sénat, et si celui-ci est à son tour empêché d’exercer ses fonctions, par le Gouvernement. » « Si le référendum a conclu à l’adoption de la proposition référendaire d’initiative populaire, le président de la République promulgue la loi dans les quinze jours qui suivent la proclamation des résultats de la consultation. » « Aucune pétition référendaire ne peut porter atteinte à l’intégrité du territoire ni à la forme républicaine de Gouvernement. » Le dernier alinéa limite quand même l'initiative du peuple si celui-ci voulait décider un changement de régime et renvoie à l'article 89 préservant ainsi toute tentative de réinstauration monarchique.

    Au moins légalement. Et même illégalement puisque l'on sait que le coup de force est de plus en plus impossible.

    La souveraineté des Français reste soumise aux bons soins de l'oligarchie en place.

    Gérard de Villèle

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/europe-international/715-pourrait-mieux-faire

  • Procès de Renaud Camus: conférence de presse de Philippe Martel (FN/RBM) ce mercredi à Barbès

    PARIS (NOVOPress)
    Suite au procès de Renaud Camus, qui a eu lieu vendredi 21 février, Philippe Martel, chef de cabinet de Marine Le Pen et tête de liste FN/RBM pour le 18ème arrondissement de Paris, tiendra une conférence ce mercredi 26 février dans le quartier multiethnique de Barbès (photo). Lors de cette conférence de presse Philippe Martel traitera  de cette audience et des questions soulevées par l’immigration dans le 18ème arrondissement à 18h00 au bar “Le rendez-vous des taxis” 14,rue Labat Métro Barbès.

    http://fr.novopress.info/