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entretiens et videos - Page 429

  • Réponse à Omar SY : violences policières, racisme et tout le tintouin

  • Alexandre del Valle : « En fait, il n’y a que des islamistes et des racistes autour de Mme Traoré »

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    Alexandre del Valle décrypte, pour Boulevard Voltaire, les événements de ces derniers jours : manifestations antiracistes autour de l’affaire Traoré mais aussi violences inter-communautaires à Dijon. Il estime que l’État a cédé devant une véritable offensive insurrectionnelle et porte des accusations graves quant aux personnes qui entourent, dans les manifestations, Assa Traoré, sœur d’Adama.

    Ce week-end, à Dijon, des bandes armées se sont livrées à des affrontements. Visiblement, il s’agirait de gangs d’Afrique du Nord contre des gangs tchétchènes. Que révèle cette actualité ?

    Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Il y a une quinzaine d’années, un de mes amis qui était à la tête de la police de Nice m’avait relaté une vengeance extrêmement violente de Tchétchènes qui avaient été agressés. Les Tchétchènes ont souvent des types européens. Une personne d’une bande algérienne avait agressé un Tchétchène blond ou roux en pensant que c’était un petit Français qu’on pouvait se permettre d’humilier. La vengeance avait été terrible. Le corps avait été traîné sur la route par une voiture. C’était un véritable carnage. Cela remonte à plus de dix ans. Ce n’est donc pas la première fois que des heurts se produisent entre Tchétchènes et Algériens ou entre Tchétchènes et Albanais. Ce sont des peuples très durs avec des mafias très organisées qui font en général très peur. Les Albanais ou les Tchétchènes de ces gangs mafieux ont souvent des types européens. Les milieux du banditisme maghrébin craignent énormément ces deux milieux. Parfois, ils les prennent pour des Français de souche qu’ils jugent beaucoup moins violents.

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  • Michel Onfray : "Mon péché mortel ? Être resté aux côtés du peuple".

    Michel Onfray, chez lui à Chambois, dans l'Orne, en 2019. Photo12 via AFP

    Source : https://www.lexpress.fr/

    Souverainisme, Le Pen, Raoult, BHL, De Villiers... Dans un grand entretien musclé, le philosophe s'explique sur sa revue Front Populaire et fustige les médias.

    Il est l'intellectuel qui entend réunir les souverainistes de tous bords à travers sa nouvelle revue Front populaire, où l'on retrouve Jean-Pierre Chevènement comme Philippe de Villiers. Il est aussi celui qui concentre les critiques violentes sur sa supposée dérive idéologique qui l'aurait vu passer de la gauche libertaire de Proudhon à l'extrême-droite d'Eric Zemmour.

    Au coeur des polémiques, Michel Onfray publie également l'ultime volume de sa monumentale Contre-histoire de la philosophie (Grasset). Dans La résistance au nihilisme, on retrouve ce que le philosophe Onfray a de meilleur et, parfois, de plus caricatural : d'un côté, un populisme au sens noble du terme qui en fait un formidable pédagogue sur la pensée d'après mai-68 (avec des belles pages sur Pierre Hadot ou Robert Misrahi) comme un critique impitoyable d'une gauche intellectuelle qui a souvent préféré les jargons obscurs aux masses populaires ; de l'autre le pamphlétaire manichéen et antilibéral à qui l'outrance fait perdre le sens des nuances... 

    Dans un long entretien accordé à l'Express dans lequel il ne nous épargne pas, le philosophe s'explique sur cette nouvelle revue, mais aussi sur l'évolution de ses positions sur l'immigration, Didier Raoult, BHL, ses soutiens dans la droite radicale et son parcours personnel. 

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  • Thaïs d’Escufon (Génération identitaire): « Nous recevons beaucoup d’insultes, mais bien plus encore de remerciements ! »

    Thaïs, vous avez 21 ans, vous êtes étudiante et, samedi, vous faisiez partie de ces jeunes qui ont déployé une banderole sur les toits de Paris au passage de la manif « contre le racisme et les violence policières ». Pouvez-vous nous expliquer l’objet de cette action ?

    Le gouvernement s’est incliné devant le gang Traoré. L’essentiel de la classe politique s’est soumis activement ou passivement depuis des semaines. Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », nous sommes la Génération identitaire, alors nous avons décidé d’agir.

    Constatant le silence et l’inaction de ceux qui nous gouvernent, nous avons décidé d’agir symboliquement en déployant une immense banderole portant ces inscriptions : « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc #WhiteLivesMatter » à partir du toit d’un immeuble parisien situé place de la République.

    Sitôt que la banderole a été déroulée – l’un d’entre nous a dû descendre en rappel pour l’étendre car le balcon du dessous l’avait bloquée -, nous avons vu l’ensemble du cortège se tourner brusquement vers nous, nous insulter, nous adresser des signes obscènes et, enfin, nous viser avec des pétards et des tirs de mortier. C’était assez dangereux, car même si le toit n’était pas très pentu, nous avons bien failli être déséquilibrés par ces tirs et aurions pu glisser. Il est vrai que cela n’aurait sans doute ému aucun « people »…

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  • Julien Odoul : « Si Adama Traoré n’avait pas été une racaille, il n’aurait pas fait l’objet d’une interpellation ! »

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    Julien Odoul a provoqué la polémique sur le plateau de Jean-Marc Morandini en affirmant qu’ était une « racaille ». Au micro de Boulevard Voltaire, il persiste et signe.

    Les auditeurs viennent de voir les propos que vous avez tenus chez Morandini. Ces propos agitent la toile et Twitter. On vous accuse de dire qu’Adama Traoré méritait de mourir parce que c’était une racaille.
    Qu’avez-vous voulu dire ?

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