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A la une de cette édition, la France sans gouvernement et en plein marasme économique. Le nouveau premier ministre prend son temps pour nommer ses équipes dans un contexte de grogne sociale et politique.
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A la une de cette édition, la France sans gouvernement et en plein marasme économique. Le nouveau premier ministre prend son temps pour nommer ses équipes dans un contexte de grogne sociale et politique.


«Armée russe ? On nous dit depuis 3 ans qu’elle est composée de nuls, d’ivrognes, de voleurs de machines à laver… et même de «sidaïques» dans les tranchées».
Et dans la phrase d’après : «ils seront à Paris demain matin».
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Au programme de cette édition, Donald Trump fait encore parler de lui. Mardi, le président américain s’est fendu d’un discours fleuve à la tribune des Nations Unies. Un discours caustique et accusateur qui s’est conjugué à une publication sur les réseaux pour parler de la guerre en Ukraine.

Ébahie, stupéfiée, admirative. Oui, j’admire la propension des gauchistes à parvenir à m’étonner encore et encore ! À sombrer toujours plus profondément dans la connerie. Dans la bêtise la plus crasse, sans complexe, sans gêne et avec même beaucoup de fierté. Plus ils sont violents, plus ils sont fermés à toute discussion, plus leur raisonnement est insensé, et plus ils semblent fiers… Comme s’ils étaient les purs d’entre les purs, les derniers irréductibles.
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A la une de cette édition, des avions russes survolant l’espace maritime attisent les inquiétudes à l’Est alors que les négociations sur la guerre en Ukraine semblent à l’arrêt.

« L’antifascisme militant sert à attiser la violence dans les rues pour accélérer la chute de l’Occident » Francesca Totolo.
Les mots "Bella Ciao" gravés sur une des balles destinées au militant conservateur Charlie Kirk ont remis sous les feux de la rampe les violences antifascistes. Un terme aussi galvaudé que celui de fascisme, puisque ce dernier est souvent attribué à quiconque ne partage pas la vision du monde progressiste. Et tendancieux : en se déclarant "antifasciste", l’extrême-gauche se place elle-même dans le "camp du bien". Prétendant combattre contre la résurgence du "fascisme", ses crimes sont excusés de fait quand ils ne sont pas carrément passés sous silence.