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entretiens et videos - Page 795

  • Après la sortie cette semaine de son nouveau livre "LE GRAND REMBARQUEMENT", Emmanuel Albach s'explique :

    Le titre de votre livre, Le Grand rembarquement, semble faire écho au Grand Remplacement de Renaud Camus. Est-ce par hasard ?

    Non bien sûr. J’avoue humblement que Renaud Camus m’a inspiré. Mais mon titre ne fait pas seulement écho : il parle aussi d’une fin heureuse, alors que le principe du grand remplacement, et tout ce que l’on entend un peu partout sur le caractère inéluctable de notre fin proche en tant que nation, nous décrit un avenir noir. Or rien n’est inéluctable. Rien n’est irréversible, c’est ce que nous apprend l’histoire : le destin d’une nation dépend de la volonté de ses membres. Ils peuvent se laisser mourir, ou se dresser. "Aux armes, citoyens !", dit notre hymne, non ?

    Hola ! Votre roman appelle les Français aux armes ? Vous allez tomber dans l’incitation à la sédition !

    On ne peut plus citer notre hymne national ? Et puis c’est un roman. Et l’on n’y trouvera rien qui tombe sous le coup de la loi. Mais voyez dans quelle situation nous nous trouvons : on nous oblige à accepter des trucs dégueulasses qui deviennent des normes, et l’on nous interdit d’en parler. Ce carcan que personne n’aurait pu imaginer il y a encore trente ans, emprisonne notre nation autant que la loi martiale d’un occupant : on en est réduit à chuchoter dans son coin, entre gens proches. Même au travail – je dirai même surtout au travail - on ne peut plus rien dire : il y a toujours des mouchards prêts à vous dénoncer à "la kommandantur". On se tait, on attend le moment où l’on pourra parler à nouveau. Et l’on entend que les collabos… ou les soit-disants « grands cerveaux », les stratèges qui nous expliquent où l’Histoire nous guide. Mais l’Histoire n’existe pas : cette idée d’une direction qui s’imposerait à nous, est un concept de ce phraseur de Marx.

    L’Histoire n’existe pas ? Pourtant la France a une histoire, non ?

    Cela, c’est celle qu’on voit dans le rétroviseur, celle qui est passée. L’histoire pour Marx, c’est un futur tout écrit : celui de la disparition inéluctable de notre monde occidental. Il devait nous détester énormément ! Or la vérité c’est plutôt « Fortuna imperatrix mundi » : la (bonne ou mauvaise) fortune, impératrice du monde. Qu’est-ce que cela veut dire ? Sinon que le hasard, la bonne fortune – ou la volonté de Dieu, diront les chrétiens - est plus puissante que les rois, et que des renversements « de fortune » sont toujours possibles. Des « fortunes », des opportunités se présentent, et c’est alors le moment de les saisir pour renverser une situation qui semblait perdue. Le destin des hommes reste toujours entre leurs mains. Au fond, nous sommes libres. C’est la peur qui nous rend impuissants, la crainte qui habite chacun d’être repéré par le Système qui nous oppresse, et qu’il lui pourrisse la vie… Pourtant qu’est-ce qui pourrait nous arriver de pire que de laisser un occupant voler leur avenir à nos enfants ? A quoi aurait servi notre vie si nous trahissions notre patrie ? Pour elle, pour cette terre où reposent nos ancêtres, pour nos enfants, nous n’avons pas le droit d’avoir peur. Pour eux, il faut savoir répondre à l’appel de notre hymne.

    Rien n’est irréversible ? Quand même, arrivé à un certain stade, souvent on ne peut plus changer grand-chose.

    Si vous aviez demandé en 1950 aux Français s’ils croyaient qu’un jour un million de leurs compatriotes d’Algérie devraient quitter les lieux en quelques mois, en laissant tout derrière eux, et abandonnés par l’Etat, personne n’y aurait cru. Personne. Cela semblait impossible. Les Français d’Algérie, qui y avaient construit un pays moderne, pensaient que leur œuvre les rendait définitivement légitimes sur cette terre. Ils étaient sûrs que les musulmans étaient conscients de ce qui avait été accompli et dont ils profitaient : l’eau courante, l’électricité, les hôpitaux, l’instruction, une alimentation saine… Cet acquis semblait donner un droit irréversible aux Français d’Algérie. Un « droit acquis ». Et pourtant, ils sont tous repartis en quelques mois… Un million de personnes, à une époque où le transport aérien était embryonnaire et le transport maritime minuscule au regarde de ce qu’il est devenu aujourd’hui… Alors, l’irréversibilité, moi je n’y crois pas. Il suffit de circonstances, et l’impossible devient d’un seul coup la seule solution possible…

    C’est cela le Grand Rembarquement ? Un exode massif ? Une re-migration ? Le drame des pieds noirs inversé ?

    Je ne peux pas vous raconter toute l’histoire. Il s’agit d’un roman, d’un « thriller », avec des rebondissements et une fin inattendue. Je ne peux pas trop déflorer l’intrigue… Cela raconte surtout comment des politiciens, qui n’entendent rien – c’est normal les Français en sont réduits à chuchoter, ils deviennent inaudibles ! - sinon les « communautés » qui obtiennent tous d’eux et qui ne savent donc plus rien de la France réelle, mais qui se prennent néanmoins pour de grands stratèges historiques, peuvent se croire tout permis avec notre nation, au point de la cabrer et qu’elle rejette toute autorité étatique ! Une erreur de trop, celle que l’on ne peut pardonner, c’est la fameuse « fortuna » que j’évoquais au début de cet entretien. Celle qui permet un renversement de fortune, et à un peuple de reprendre son destin en mains.

    C’est donc l’histoire d’une révolution ?

    Je suis convaincu que quelque chose va se passer et que la France, révulsée par ce qu’on lui fait avaler, va se mettre à vomir et que partout des gens vont entrer sans retenue en colère contre l’ennemi qui veut l’asservir. Il suffira d’abord qu’ici et là, la colère surpasse la peur. Et que quelques-uns osent… Et alors s’enclenchera quelque chose que plus rien n’arrêtera.

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    Emmanuel Albach à Beyrouth en 1976

    Ce qui est étonnant dans votre histoire c’est que cette révolte n’est pas organisée, elle est spontanée. N’est-ce pas un peu illusoire ?

    N’allez pas chercher les guides qui démarreraient une libération dans la classe politicienne. Cette dernière n’a trop souvent dans la tête qu’orgueil ou cupidité. Mais certains ont senti depuis longtemps ce qui se préparait alors que d’autres ne verront jamais rien. Alors je vois bien ceux qui ont pressenti les événements encadrer tout cela à un moment donné, ou se servir de ce qui se passe. Mais ils ne lanceront jamais cette révolte qui seule peut renverser la situation, et ils n’auront jamais l’audace de faire ce que la situation impose. C’est Du Guesclin qui a libéré la France de Charles V, un bouseux de Breton, un petit noble guère plus riche qu’un fermier de l’époque, entré en guerre avec une cinquantaine de copains et dont l’exemple a galvanisé les soldats de France. Pourtant, en son temps, la victoire anglaise semblait irréversible, tout comme au temps de jeanne d’Arc. Un bouseux illettré (il savait juste signer) et une gamine un peu folle, ont décidé que rien n’était irréversible. Pas des stratèges, je vous dis ; pas des gens comme il faut ; pas de grands bourgeois érudits. Une fille et un gars au grand cœur, qui n’avaient peur de rien, et qui n’avaient rien à perdre, sauf l’honneur de leur patrie !

    Votre précédent ouvrage relatait votre engagement au Liban, en 1976, aux côtés des phalangistes libanais. Quel rapport avec ce roman ?

    Le carcan du Liban s’appelait la Ligue Arabe, l’ONU, la diplomatie américaine, etc… Il était interdit aux Libanais de se rebeller, et de toutes les façons le destin inéluctable, irréversible, des chrétiens d’Orient c’était « naturellement » d’être chassés du Moyen Orient, « terre d’islam ». Mais contre tous, contre toute attente, et contre toute « raison » ils ont décidé de se battre. Ils se sont battus avec un tel courage, avec une telle colère qu’ils ont fini par convaincre le monde entier que les choses n’allaient pas se passer comme « l’histoire » était censée l’écrire. Et finalement, après quelques péripéties, ceux qui se sont embarqués, ce ne sont pas eux… J’ai appris une grande leçon d’histoire auprès de mes camarades libanais : il n’y a pas de liberté pour celui qui refuse de combattre.

    Le Grand rembarquement, Emmanuel Albach, Editions Dualphacliquez là, 332 pages, 26 €, diffusé par Synthèse éditions cliquez ici

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    BQ SN 2015 Liban.jpgLe précédent livre d'Emmanuel Albach Beyrouth 1976 des Français aux côtés des Phalangistes, édité par les Bouquins de Synthèse nationalecliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
  • Un entretien entre Franck Abed et Francis Bergeron sur Léon Degrelle

    Franck ABED : Bonjour. Pourriez-vous prendre la peine de vous présenter en quelques mots pour ceux qui croient vous connaître et pour ceux qui ne vous connaissent pas encore ?

    2149157856.jpgFrancis BERGERON : Adolescent, j’ai milité dans quelques groupuscules anticommunistes, à une époque où le philocommunisme était la chose la mieux partagée du monde, alors même qu’au Vietnam, au Cambodge, au Laos, au Mozambique, en Angola, en Afghanistan, la poussée bolchevique semblait irrésistible. Cela m’a conduit ensuite à des engagements plus « musclés, avec à la clé les geôles soviétiques, et la guerre au Liban. Mais c’était il y a longtemps… Aujourd’hui j’écris des livres. Et sur le plan professionnel je participe à la direction d’un groupe international.

    Pour quelles raisons avez-vous décidé d’écrire une biographie sur Léon DEGRELLE ?

    J’ai écrit une biographie de Hergé et un essai sur la géopolitique dans l’oeuvre de Hergé. Or Hergé, dans sa jeunesse, a été très lié à Léon Degrelle. Cette amitié, et l’idée que Degrelle ait pu servir de modèle au personnage de Tintin m’ont donné envie de me plonger dans la vie de cet homme politique belge.

    Comment définiriez-vous la doctrine défendue par Léon DEGRELLE ? Comprenez-vous qu’on puisse la classer à gauche ?

    Il y a plusieurs rexismes. Le rexisme d’origine se situe plutôt du côté de Maurras et des catholiques sociaux. Degrelle éprouve une profonde admiration pour l’Action française, et en particulier pour Léon Daudet. Par la suite, il va s’éloigner de la hiérarchie catholique ; et l’organisation qu’il a créée va ressembler de plus en plus à ces groupes fascistes que l’on trouve à l’époque, dans la plupart des pays européens. A partir de 1937, une partie des militants catholiques s’éloignent de REX, tandis que ce parti attire d’anciens communistes, et va ressembler un peu au PPF de Doriot. Il y a comme toujours, dans les partis de ce type, un mélange de nationalisme et de socialisme, à des degrés divers. Mais REX, c’est vrai, fait partie des rares mouvements fascistes imprégnés de christianisme. On pense à la Garde de Fer roumaine ou à la Milice de Darnand. Alors qu’en règle générale, les ligues fascisantes ou authentiquement fascistes développaient une idéologie plutôt matérialiste et en tout cas antichrétienne.

    Mais ce qui est intéressant dans le rexisme, ce qui lui est propre, c’est cette aspiration à la grandeur, à la croisade, à la construction d’une « grande Bourgogne », sorte d’empire wallon renouant avec un passé très lointain. Venant d’un si petit pays, cette incongruité est assez fascinante. La toute petite ville de Bouillon, dans les Ardennes belges, est la ville de Godefroy de Bouillon et de Léon Degrelle. Ces deux soldats se ressemblent, au fond. L’appétence pour un destin hors du commun, venue de là où on ne l’attend pas du tout.

    Léon DEGRELLE a soutenu le nazisme. Toutefois il se considérait comme catholique. Or le nazisme, en tant qu’idéologie et doctrine, a clairement été condamné – à l’instar du communisme et du libéralisme – par Notre Sainte Mère l’Eglise avec l’encyclique Mit brennender Sorge de Pie XI.

    Comment expliquez-vous cette incohérence philosophique et intellectuelle manifeste (incohérence qui persiste encore dans certains cénacles nationaux) ?

    Oui c’est exact, il y a incompatibilité. Je ne connais pas les milieux nationaux qui, aujourd’hui, tenteraient ce grand écart idéologique. Je n’ai jamais rencontré d’adeptes du nazisme et encore moins d’adeptes d’un syncrétisme entre le catholicisme et le nazisme. Ce que l’on sait aujourd’hui du nazisme et aussi l’échec politique et militaire engendré par ce totalitarisme, la ruine de l’Europe, et son affaiblissement durable, générés par la seconde guerre mondiale, ne prêtent guère à séduction.

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  • Le trio indispensable pour faire gagner les entreprises - Programme économique du FN #11

  • HOMMAGE DU VICE À LA VERTU : LE MAGAZINE VICE INTERROGE YVAN BENEDETTI, DIRECTEUR DE JEUNE NATION

    Yvan Benedetti, directeur de Jeune Nation et militant du PNF, répondait au magazine Vice.  Extraits de l’article :

    Hey les gens de l’extrême droite : qu’est-ce que vous haïssez, au juste ?

    Depuis que Marine Le Pen et Florian Philippot occupent le devant de la scène médiatique au FN, on n’entend plus parler des autres mouvances de la droite nationaliste hardcore – que d’aucuns qualifient « d’ultra-droite ». Surtout depuis le décès de Clément Méric, le militant d’extrême gauche tué le 5 juin 2013 lors d’une rixe contre des skins d’extrême droite. Celle-ci a abouti sur l’interdiction pure et simple de Troisième voie et des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) coachés par le vétéran Serge Ayoub, ainsi que de l’Œuvre française et des Jeunesses nationalistes, menées par le militant nationaliste Yvan Benedetti.

    De fait, le FN et la répression politique avaient-ils eu raison de la mouvance d’ultra-droite ? Pas vraiment. L’espace laissé vacant à la droite du FN s’est rapidement comblé, avec les mêmes têtes d’affiches, leaders de nouveaux groupuscules formés pour l’occasion. […]  Quoique les objectifs demeurent souvent les mêmes : « remigration » des populations immigrées, souverainisme ou interdiction de l’Islam en France.

    […] ont accepté de répondre à mes questions. Il s’agit […] d’un nationaliste hardline en la personned’Yves Beneditti des JNR (sic). J’ai demandé à ces divers profils s’ils avaient des ennemis communs. Plus qu’il n’en faut, manifestement.

    1. LE FRONT NATIONAL VERSION 2016

    Paradoxalement, le FN cristallise désormais la haine ou la suspicion de nombre de mes interlocuteurs. Pour des raisons diverses : certains en ont été éjectés et nourrissent de la rancune, d’autres déplorent l’évolution idéologique du FN dirigé par Marine Le Pen et Florian Philippot.

    Yvan Benedetti, Parti nationaliste français

    « Ce qui nous différencie du FN, c’est que nous ne sommes pas un rassemblement autour d’un homme ou d’une femme qui aurait des velléités présidentielles. Ça, c’est la première chose. Ensuite le néo-FN est dans le système. Il veut modifier le système de l’intérieur. Nous, nous rejetons catégoriquement le système. »

    –––––

    1. L’IMMIGRATION

    Grand marronnier de l’extrême droite, le consensus est ici quasi absolu. Avec des nuances, tout de même. Pierre Cassen, républicain, ne considère pas la France comme la « patrie des Blancs ». Pour autant, il déplore, à l’instar de Benedetti, les ravages de l’immigration massive, et le « grand remplacement » de la population de souche par des immigrés, cher à l’écrivain Renaud Camus. Les arguments défendus sont ici tout à fait embarrassants.

    Yvan Benedetti, Parti nationaliste français

    « La nation est menacée dans tous ses éléments par l’immigration. Je parle d’immigration extra-européenne et de l’Islam, qui n’a aucune légitimité en Occident. Nous ne sommes pas des ennemis de l’Islam. Nous considérons que l’Islam est la conséquence de l’immigration et nous luttons contre l’immigration. Autre danger : le métissage, qui casse les structures traditionnelles et nous coupe de nos traditions, des repères et des forces dans une communauté nationale. Un peu comme dans un cancer, l’islamisme serait l’équivalent des cellules malades, mais il faut éradiquer la tumeur, l’immigration, qui dispense son poison dans le corps social. »

    –––––

    1. LA RÉPUBLIQUE

    Si les nationalistes révolutionnaires appellent à revisiter les fondements de la République française universaliste de 1789, Riposte Laïque en revanche s’avoue, elle, farouchement républicaine.

    Yvan Benedetti, parti nationaliste français

    « Le Parti nationaliste français est contre les institutions actuelles. Nous sommes contre la République universelle qui se situe au-dessus des nations. Nous ne sommes pas fanatiques d’une forme particulière d’institution : ce qui est important, c’est que les institutions soient au-dessous de la France, au service de la pérennité de la nation, et de la communauté nationale. »

    –––––

    1. LE MARIAGE POUR TOUS

    Alain Escada, Civitas

    Yvan Benedetti, Parti nationaliste français

    « Ce gouvernement a une politique anti-naturelle et nous impose la théorie du genre, la PMA, la GPA, la commercialisation du ventre des femmes. Il détruit la famille constituée selon le droit de l’enfant, pour pérenniser la vie et la communauté nationale. Nous sommes pour la défense de la famille qui est le pilier de toute communauté humaine, au regard du droit de l’enfant. La famille, c’est un papa et une maman ; rien d’autre. »

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    1. L’IDÉE DE « LAÏCITÉ »

    Yvan Benedetti, Parti nationaliste français

    « Nous ne sommes pas laïcs car la France n’est pas laïque. La France, depuis le baptême de Clovis, est catholique. Nous sommes politiquement catholiques. Nous sommes pour la liberté de conscience, on ne peut obliger personne à croire. Mais politiquement, il suffit de regarder nos villages, nos fêtes, notre calendrier, les coutumes et les traditions : nous sommes catholiques. »

    –––––

    1. LE PAPE FRANÇOIS

    Si la plupart des nationalistes français se présentent comme des catholiques fervents, ils ont, paradoxalement, fait du pape François leur bête noire. Évidemment, à cause de ses positions considérées trop à gauche. Il était en revanche difficile de prévoir cette histoire de « mondialisation des épidémies ».

    Yvan Benedetti, parti nationaliste français

    « Nous dénonçons toutes les politiques mondialistes, à commencer par celle du pape : elle est plus annonciatrice d’enfer que de rédemption. Quand il revient avec des migrants tirés au sort, c’est un appel d’air pour ces populations, c’est un encouragement à la traite des êtres humains, au déracinement de populations pour traverser des océans, s’entasser dans des camps, se retrouver sous les ponts de Paris… Tout ça en facilitant le retour des épidémies ! C’est le grand chaos qui s’installe : c’est la mondialisation des maladies, des dangers, des épidémies. »

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    1. LE MONDIALISME

    Une notion floue que le mondialisme, surtout brandie par Yvan Benedetti, et qui l’associe de manière totalement arbitraire au « judaïsme politique ». Selon eux, le mondialisme doit être assimilé à tout ce qui mine la nation française, pour faire simple.

    Yvan Benedetti, Parti nationaliste français

    «Nous ne combattons non pas un peuple, non pas une communauté, mais une idéologie qui est celle d’une minorité du peuple juif, qui voudrait imposer un gouvernement mondial, en détruisant toute forme d’enracinement. Nous combattons le judaïsme politique qui est le cœur nucléaire du mondialisme, dont la Ve République est le représentant en France. C’est un gouvernement hors-sol, transgénétique. Nous nous battons contre ces institutions au service de l’oligarchie mondiale, de cette finance internationale qui permet à cette classe politique de se faire réélire, de jouir de tous les avantages alors que nous voulons un gouvernement au service du peuple et de la communauté nationale. »

     
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