Europe et Union européenne - Page 155
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Défendre la France et les Français face à l’UE : du port du voile, à notre souveraineté alimentaire
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Marine Le Pen et la critique de la “construction européenne”
Un lecteur du Salon beige nous adresse cet article à propos du discours de Marine Le Pen à Beaucaire:
La campagne des élections européennes de juin 2024 relance les réflexions sur ce qui est convenu d’appeler la « construction européenne ». Lors des estivales du Rassemblement National, Marine Le Pen a prononcé un discours qui, à la fois, marque sa rentrée politique et nous donne sa vision de l’Union européenne aujourd’hui.
Ce discours de Beaucaire a marqué les esprits puisqu’il a même été repris par certains medias “mainstream” comme BFM-TV car il montre une inflexion dans l’analyse. En un peu moins d’une demi-heure, on peut saisir la pensée de Marine Le Pen et du Rassemblement National (on peut le lire ici).
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L’idéologie de la Commission européenne a un nom : le libéral-socialisme
Polémia
Le titre de cet article peut surprendre tant le libéralisme et le socialisme semblent s’opposer.
Le « socialisme libéral » a d’abord été imaginé il y a un siècle, et théorisé en Italie (notamment dans les années 1930 face à la montée du fascisme), comme une forme de socialisme privé de ses excès collectivistes : une façon de maintenir les objectifs de répartition des richesses et d’égalité républicaine, mais en permettant aux initiatives privées d’éclore plutôt que par une planification centrale. -
Ukraine. Des soldats allemands surpris en train d'attaquer la Russie
Il se confirme que la Troisième Guerre mondiale a officiellement commencé. Samedi matin, l'armée russe a détruit un char Léopard fourni par l'Allemagne et opérant pour l'armée ukrainienne à Zaporozhye. Les Russes ont frappé le char avec un missile guidé antichar. Le char a explosé. L'équipage du char a été évacué et a été capturé. L'équipage s'est identifié comme étant des TROUPES DE L'ARMÉE ALLEMANDE EN SERVICE ACTIF.Ainsi, l’armée allemande est désormais surprise en train de mener une véritable guerre contre la Russie sur le territoire officiel russe, Zaporozhye. L'image ci-dessus représente le char réel impliqué dans l'incident de ce matin, le 23 septembre 2023.
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Nagorny-Karabakh : l’Union Europeenne fait le service minimum
« Pour l’Azerbaïdjan, le Kabarakh est un problème d’amour-propre, pour les Arméniens, c’est une question de vie ou de mort ».
( Andrei Sakharov, en 1989.)
Jean-Claude Rolinat
Depuis la chute de l’URSS en décembre 1991, et les mauvais partages territoriaux issus de la défunte Union soviétique, toutes les Républiques au début de la période post-communiste, ont connu des tentatives sécessionnistes plus ou moins réussies. En Fédération de Russie même, c’est le Tatarstan et surtout la Tchétchénie qui « ont bougé les oreilles ». Si la première est rentrée dans le rang pacifiquement, il aura fallu deux guerres pour « normaliser » la seconde. Et encore, Poutine a-t-il dû concéder une très grande autonomie au « roitelet » local, Ramzan Kadyrov, que l’on dit au plus mal.
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Lampedusa : « Ils arrivent ! »… encore et encore…
Philippe Randa
L’île de Lampedusa a été submergée par plus de 10 000 migrants en moins d’une semaine ; quelle est votre réaction ?
Et donc, Lampedusa, saison combien ? 4 ? 5 ? Non, saison… 31 ! Cela fait 31 ans qu’« ils arrivent ! » et que l’Union européenne « prend le migrant » par milliers chaque année : l’incontournable encyclopédie Wikipédia indique à ce propos : « 31 700 migrants sans papiers sont arrivés sur l’île en 2007 – 23 000 en 2005, 13 000 en 2004 et 8 000 en 2003 »… et encore, et encore par milliers chaque année : 127 000 sont ainsi arrivés en Italie depuis le début de l’année 2023, soit « près du double par rapport à la même période en 2022 », rapporte L’Express…
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Lampedusa : où sont les femmes ?
Les vidéos qui tournent en bouclent permettent de documenter l'arrivée massive de migrants sur les plages de Lampedusa, ces derniers jours. On associait, jadis, ce nom chantant, presque exotique, à Giuseppe Tomasi, prince de Lampedusa, auteur du Guépard, qui prêta les traits de son oncle au prince Fabrizio Salina - le nom d'une autre île sicilienne. On a oublié tout cela, désormais : Lampedusa, pour tout le monde, est devenue le nom de la déferlante migratoire, soigneusement incontrôlée par les pouvoirs publics européens, qui s'abat sur une Europe vieille et fatiguée, qui a perdu sa pulsion vitale, n'a plus d'enfants et semble attendre l'annihilation (désormais tout à fait possible) comme une délivrance.
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Miklós Szánthó : « La Hongrie est un exemple de promotion réussie des valeurs telles que Dieu, la patrie et la famille » [Interview]
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Les idéologues au pouvoir, complices des invasions migratoires
Pour les migrants, la voie est libre. L’Europe « humaniste » n’engagera pas l’épreuve de force contre les invasions organisées. Elles ont pris pour cible, cette fois, la petite île italienne de Lampedusa (6000 habitants). Ces derniers jours, plus de 10.000 Africains, embarqués depuis Sfax (Tunisie) sur près de 400 embarcations, ont pris d’assaut cette entrée occidentale laissée sans défense depuis trente ans. Le gouvernement français feint de s’émouvoir de ces jeunes hommes qui disent, devant les caméras, vouloir rejoindre la France et ses aides sociales. En réalité, le gouvernement s’en tiendra, comme l’Union européenne, à des postures dissimulant leur acquiescement idéologique. Ainsi, Gérald Darmanin a-t-il promis ce lundi matin sur Europe 1, d’ « être ferme ».
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Immigration ? Trente ans d’irresponsabilité en France comme en Europe
Dominique Reynié est le directeur général de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol), un think tank libéral et européen issu de l’ex-UMP et aujourd’hui proche des Républicains. Dominique Reynié a rédigé une note sur l’immigration en mars dernier. Il répond ici à Marie-Amélie Lombard-Latune pour L’Opinion (19/9/23)