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Europe et Union européenne - Page 479

  • Lancement du « Front de la liberté », alliance électorale en vue des élections européennes

    Lancement du « Front de la liberté », alliance électorale en vue des élections européennes

    dpf0xhew0aiblvf-jpg-large.jpgD’Olivier Bault dans Présent :

    Marine Le Pen a rencontré Matteo Salvini lundi à Rome pour annoncer le lancement d’un « Front de la liberté », c’est-à-dire d’une alliance électorale en vue des prochaines élections européennes. Il s’agit, selon les mots de la présidente du Rassemblement national, de « rendre leur pouvoir aux peuples, ce qui est le fondement même de la démocratie ». Le ministre de l’Intérieur italien a résumé ainsi la convergence de vues entre la Ligue italienne et le Rassemblement national français : « Nous partageons la même idée de l’Europe, de l’agriculture, du travail, de la lutte contre l’immigration, et nous sommes contre les ennemis de l’Europe que sont Juncker et Moscovici, enfermés dans le bunker de Bruxelles. »

    La rencontre entre les deux leaders de la droite dite « populiste » s’est déroulée à l’occasion d’un forum sur le thème « Croissance économique et perspectives sociales dans une Europe des nations ». Le nom de « Front de la liberté » se justifie par le fait que, selon Marine Le Pen, les deux partis affiliés au groupe Europe des Nations et des Libertés au Parlement européen luttent « pour que les nations ne disparaissent pas au bénéfice de cet empire totalitaire qu’est devenue l’Union européenne ».

    Sur le thème de l’immigration, les deux dirigeants ont été d’accord pour dire qu’il fallait aider les pays d’origine des immigrants pour fixer les populations sur leur territoire. Marine Le Pen a dénoncé la volonté du patronat en Europe de laisser venir ces gens perçus comme source de main-d’œuvre à bon marché, alors que « les hommes veulent rester avec leur peuple dans leur pays, au sein de leur culture. Ils n’ont pas envie de partir de leur pays au risque de leur vie ». On se souvient que Salvini avait lui aussi dénoncé, lors d’un récent sommet européen à Salzbourg, la volonté des dirigeants européens de faire venir des « esclaves » pour remplacer les enfants que les Européens ne font plus. Lundi à Rome, Salvini a déclaré : « Marine Le Pen et moi sommes en train de rassembler l’héritage social de la gauche qui a trahi ses valeurs, nous défendons les précaires que la gauche a oubliés. » […]

    https://www.lesalonbeige.fr/lancement-du-front-de-la-liberte-alliance-electorale-en-vue-des-elections-europeennes/

  • Ils sont chez eux en Afrique, qui appartient aux Africains. Ils sont également chez eux en Europe, qui appartient à tout le monde

    Paysan Savoyard sur Facebook

    (septembre 2018)

    Info : le pseudo du moment, Hubert Defrasses, tient toujours sur FB (sauf sur Le Monde, Libération, France-culture, 20 minutes et Le Parisien, d’où je suis banni). Mon compte a cependant été bloqué pendant 3 jours, avertissement de l’administration de FB à la clé. 

    Sur l’invasion

    Lorsque les « réfugiés » auront fini d’envahir l’Europe, où les Européens iront-ils se réfugier ?

    Ils sont chez eux en Afrique, qui appartient aux Africains. Ils sont également chez eux en Europe, qui appartient à tout le monde

    Et Pogba en verlan ça donne quoi ?

    (deux militaires qui faisaient leur footing agressés à Castres) Dans la France envahie, même l’armée doit faire profil bas

    (militaires agressés à Castres) Qu’est-ce qu’ils faisaient en France aussi… ? Qu’ils aillent au Mali, en Syrie ou en Papouasie… Et qu’on laisse à nos hôtes quartier libre…

    Hapsatou c’est pas français ça ? Sy, Sy…

    Omar en pince pour Hapsatou… Nan ? Sy !

    Sy les Blancs sont pas contents, c’est pareil, et puis satou

    « Hapsatou » ! « A vos souhaits…

    (Blanquer veut promouvoir l’arabe à l’école) Il est inévitable que la langue de l’envahisseur envahisse aussi l’école…

    Commentaire bloqué par FB le 19/09/18 This post goes against our Community Standards Vous êtes la seule personne à pouvoir voir cette publication parce qu’elle va à l’encontre de nos standards sur les discours incitant à la haine. 

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  • Les autorités allemandes cachent-elles les chiffres réels des viols dans les centres de réfugiés ?

    Par peur de la réaction des populations locales, les autorités allemandes minimiseraient les cas d’agressions sexuelles et de viols commis au sein des centres d’hébergement. C’est ce que dénoncent les syndicats de police et plusieurs ONG.
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    Alors que l’arrivée des réfugiés en Allemagne se poursuit, le chef du syndicat de police allemand, Rainer Wendt, a affirmé récemment que les autorités en charge de l’accueil des migrants dans les Länder omettaient délibérément de signaler une grande partie des agressions dont les femmes sont victimes dans les centres d’hébergement.
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    Ce choix serait issu de la volonté de calmer les choses, «ce qui est compréhensible» selon Rainer Wendt, mais «totalement contre-productif» car cela revient à «se voiler la face et ignorer la réalité».
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    Alors que l’opinion publique allemande s’inquiète d’une arrivée si massive de réfugiés sur son sol, les autorités semblent vouloir tout faire pour éviter d’attiser davantage ce sentiment de méfiance en «édulcorant» certains chiffres, afin de ne pas inciter les groupes d’extrême droite à des actions musclées.
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    Car, comme tient à le souligner le ministre de l’Intérieur, Thomas De Maizière, des milliers de rumeurs circulent déjà sur Internet à propos de l’accueil des migrants et, même si «certains détails» sont discutables, il ne faut pas «se laisser aller aux amalgames» et à la «suspicion générale» envers les réfugiés.
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    Mais selon Rainer Wendt, la majorité des cas d’agression sexuelle ne figurent pas dans les rapports officiels car les victimes ne portent pas plainte par honte ou peur des représailles, «ce qui est caractéristique pour les cas de viols quelle que soit la communauté touchée».
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    Pour lui, les ministres de l’Intérieur des Länder «devraient se rendre sur le terrain» pour appréhender «la réalité de ce qui se passe la nuit dans les rues et les centres d’hébergement».
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    Dans cette optique, plusieurs associations caritatives ont adressé aux autorités une lettre ouverte dénonçant les crimes et les violences commises dans les gymnases sportifs et les immeubles de bureaux vides qui servent de centres d'hébergement. même.
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    Barbara Helfrich, membre d’une association caritative de défense du droit des femmes dans le Land de Hesse, a affirmé à Reuters être en possession, de même que «plusieurs ONG et groupes consultatifs», de rapports fiables sur les violences et agressions sexuelles, qui dans certains cas iraient même jusqu'à la prostitution forcée.
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    Alors que 70% des réfugiés sont des hommes, plusieurs ONG ont exigé que des centres réservés uniquement aux femmes soient ouverts ou, à défaut, qu'elles bénéficient de zones sécurisées.
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    Une porte-parole des Verts allemands en charge de la question des réfugiés a confié à Reuters que, même si ces rapports peuvent en effet «provoquer des sentiments anti-migrants», ce n'était pas une raison pour «se voiler la face en laissant les extrémistes faire la loi». 
    Source

  • Vous avez dit réchauffement ?

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    Le billet de Patrick Parment

    Le GIEC (Groupe d’experts sur l’évolution des climats) vient de publier un nouveau rapport qui nous promet, une fois de plus, bien des catastrophes naturelles. Cet organisme qui œuvre à l’ombre de l’ONU a été contesté par bien des scientifiques des plus sérieux. Toutefois, il est incontestable que la terre est entrée dans un nouveau cycle climatique, comme elle en a connu beaucoup tout au long de son histoire, et qui se manifeste sous nos yeux par la fonte des banquises, l’accumulation de violents cyclones, des modifications de température sous tous les climats. Et il est certain qu’une augmentation de la température de la terre de 1,5 à 2°C aurait des conséquences écologiques qu’il est difficile d’évaluer.

    Mais, rendre responsable de ce réchauffement l’activité humaine, tant industrielle qu’agricole, relève en grande partie de la fantaisie.

    En revanche, ce qui est vrai c’est que l’accès aux ressource énergétiques non renouvelables (gaz, pétrole, charbon, uranium) pour satisfaire une société de consommation qui est en train de s’étendre à la terre entière, est un authentique fléau. Car, cet épuisement des ressources de la terre, modifie gravement nos écosystèmes et réduit de manière dramatique la faune et la flore, c’est-à-dire le vivant. Tout cela au nom d’un capitalisme effréné qui entraîne l’humanité sur la voie du suicide. Le réchauffement climatique comparé à la destruction de nos environnements n’est somme toute que marginal. Le vrai combat, ce n’est pas de vouloir s’en prendre au réchauffement climatique contre lequel l’homme est impuissant, mais bien de préserver et protéger nos environnements. En privilégiant par exemple les énergies renouvelables et surtout en limitant nos besoins en matière d’énergies non renouvelables. Ce qui revient à mettre en cause la société de consommation et son modèle frénétique, le capitalisme en général et financier en particulier. Ce qui reviendrait à penser que l’homme peut être un animal raisonnable. Ce dont nous doutons fortement. Nos sociétés se sont construites sur la rareté, elles risquent de disparaître sous l’abondance.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/09/vous-avez-dit-rechauffement-6095694.html 

     
  • Génération Identitaire met une nouvelle fois SOS Méditerranée face à ses contradictions – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

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    Vendredi 5 octobre, Génération Identitaire a occupé les locaux de l’association « SOS Méditerranée » à Marseille. En dénonçant la complicité de cette association avec les mafias de passeurs, les jeunes identitaires ont une nouvelle fois mis en lumière les contradictions de cette ONG. Alors qu’elle se revendique « humanitaire », elle est en réalité motivée par l’idéologie.

    Une idéologie qui l’aveugle au point qu’elle refuse de concéder que les seules politiques ayant permis de diminuer le nombre de décès en mer (en ramenant parfois son chiffre à zéro comme en Australie) ont été des politiques de fermeté. En Italie, les mesures prises par Matteo Salvini ont permis de diminuer le nombre de morts en mer de moitié en seulement quelques mois.

    Cette baisse a une explication très simple : les départs ont également diminué de moitié. Comme les identitaires le dénonçaient pendant l’opération Defend Europe en Méditerranée, l’action des ONG avait bien un effet de « pompe aspirante ». En s’approchant toujours plus des côtes libyennes, elles encourageaient de plus de plus d’Africains à tenter la traversée en prenant sans cesse plus de risques. Le nombre de morts ne faisait donc qu’augmenter. Aujourd’hui qu’elle n’y sont presque plus actives, le mot est passé chez les migrants et ils sont moins nombreux à vouloir prendre la mer.

    Par ailleurs, ces ONG n’aident pas l’Afrique car aider ce continent, ce n’est certainement pas encourager sa jeunesse à émigrer. Pour monter à bord de l’Aquarius, il faut auparavant avoir déboursé environ 3 000 euros auprès des passeurs (Renaud Girard, grand reporter au service étranger du Figaro, le 23/06/2018). Ceux qui quittent l’Afrique ne sont donc pas les pauvres, mais la classe moyenne ou aisée. Celle qui, au lieu d’investir ces sommes d’argent importantes dans l’économie locale, préfère essayer d’envoyer un des leurs en Europe vers un Eldorado qui n’existe pas.

    Ces ONG refusent de voir la vérité en face. En réalité, elles se rendent complices des mafias de passeurs qui réalisent des chiffres d’affaires de plusieurs milliards d’euros et qui financent parfois le terrorisme. Par l’effet attractif de leur présence au large de la Libye, elles sont responsables des milliers de migrants qui sont morts en mer pour avoir tenté de les rejoindre.

    L’action de ce vendredi avait pour but de rappeler encore une fois que les intentions mises en avant par SOS Méditerranée ne correspondent pas aux effets catastrophiques de leur action. Au vu de ces faits accablants, la France ne doit en aucun cas accorder un pavillon à l’Aquarius (navire de SOS Méditerranée), elle doit au contraire le saisir !

    Jérôme Barbet

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/212208/generation-identitaire-met-une-nouvelle-fois-sos-mediterranee-face-a-ses-contradictions-jerome-barbet-les-identitaires/

  • Rencontre stratégique entre Marine Le Pen et Matteo Salvini

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     EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Marine Le Pen rend visite à Matteo Salvini pour lancer la campagne des européennes.

    Après une rentrée en demi-teinte de la présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen traverse les Alpes pour rencontrer son allié Matteo Salvini. L’homme fort transalpin est un des meneurs de la droite populiste européenne, et Marine Le Pen espère se servir de sa popularité pour lancer sa campagne européenne.

    Quelles annonces ont été faites ?

    Premièrement Marine Le Pen a émis une fin de non-recevoir à la proposition de Steve Bannon de rejoindre la fondation de l’ancien dirigeant de Breitbart « le Mouvement ». Cela intervient juste après l’ouverture pourtant engagée par Louis Alliot, compagnon de Marine Le Pen. Cela fait d’ailleurs beaucoup de refus pour l’ancien conseiller de Donald Trump après Viktor Orban, les Finlandais et le FPÖ autrichien. Par ailleurs Matteo Salvini a déclaré, en parlant des élections européennes, « le rendez-vous de mai sera une révolution du bon sens ».

    Quelles sont les projections concernant cette élection ?

    Pour Matteo Salvini, sa croisade contre « le bunker de Bruxelles » se déroule à merveille. Il caracole en tête avec près de 30% des intentions de vote. Pour Marine Le Pen, c’est plus complexe. En effet même si les sondages lui sont plutôt favorables la plaçant en tête au coude à coude avec La République en Marche, Nicolas Dupont-Aignan et Les Républicains pourraient venir perturber la fête.

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  • Pour un Front de la liberté… réaliste!

    europe-des-nations-276x300.jpgLes gros médias, c’est le moins que l’on puisse dire,   n’ont pas beaucoup fait état de la rencontre qui s’est déroulée hier entre Marine Le Pen et Matteo Salvini à Rome.  La présidente du RN répondait à l’invitation de l’Union générale du travail (UGT), syndicat (à ne pas confondre avec son homonyme espagnol) proche de la Ligue, pour intervenir sur le thème de « la croissance économique et les perspectives sociales dans une Europe des nations. » Une réunion qui fut donc boudée par la grosse presse française  - couverte en revanche de manière très exhaustive par RT –  mais pourtant hautement symbolique  en ce qu’elle permettait de lier, sous l’égide d’un syndicat très en pointe dans la défense des intérêts des travailleurs, questions économico-sociales et problèmes migratoires.   Elle matérialise, à quelques mois des élections européennes dont Marine a rappelé le caractère décisif,  la lutte des nationaux, des populistes/souverainistes contre une idéologie mondialiste qui est le ciment de cette Europe technocratique. UE dont les dérives totalitaires s’accélèrent. On le constate notamment avec les persécutions qui ne se démentent pas contre les eurosceptiques,  discriminations dénoncées de nouveau par Bruno Gollnisch dans l’affaire dite des assistants parlementaires lors de sa conférence de presse du 2 octobre.

    Marine et Matteo ne se  sont pas contentés d’afficher leur identité de  vue «contre les ennemis de l’Europe que sont Juncker et Moscovici, fermés dans le bunker de Bruxelles»;  leurs constats communs sur «l’Europe, l’agriculture, le travail, la lutte contre l’immigration», la nécessité de «construire (une autre Europe) avec d’autres Européens »,  sur la base du  triptyque «sécurité, identité, prospérité»,  «pour remplacer ce qu’est devenu au fil des ans l’Union européenne. »

    Cette conférence a aussi été le lieu d’une annonce importante, au moment ou les nationaux cherchent à mener à bien le rassemblement le plus large et le plus efficace possible pour mener la lutte contre le système bruxellois à tuer les peuples. La présidente du RN,  le dirigeant  de laLigue et  vice-président du conseil des ministres italien ont ainsi annoncé le lancement  du  Front de la liberté, une alliance électorale dans la perspectives des élections de mai prochain.

    Les aspirations des peuples européens à plus de libertés, de protections, d’identité sont non seulement légitimes, mais elles peuvent être satisfaites et Marine a d’ailleurs loué les résultats obtenus par le nouveau gouvernement italien sur le front de la lutte contre la submersion migratoire. Beaucoup ont été frappés dans ce domaine par les propos de Gérard Collomb,  lors de son discours  de passation de pouvoir le 3 octobre . Le ministre démissionnaire a avoué ses échecs et ceux de ses prédécesseurs, malgré les milliards déversés dans les quartiers pluriels, par une  gauche et une droite pareillement immigrationnistes,   pour favoriser le vivre-ensemble.  « Je suis allé dans tous ces quartiers » a déclaré M. Collomb,  «la situation est très dégradée. On ne peut plus continuer à travailler commune par commune, il faut une vision d’ensemble pour recréer de la mixité sociale. » « Aujourd’hui, on vit côte à côte. Moi, je le dis toujours : je crains que demain on vive face à face. »

    La seule vision d’ensemble qui tienne  est celle développée et défendue  par l’opposition  nationale, et M. Collomb  le sait peut-être  dans son for intérieur,  mais aura-t-il le courage de le dire, de confesser clairement  que les politiques des partis du Système peuvent conduire la France à la guerre civile,  si un changement radical n’est pas  amorcé?  Valéry Giscard d’Estaing  lui au moins, a  fait son  mea culpa en  se confiant à son biographe, dans un livre à paraître dont Le Point publie quelques extraits (repris sur le site fdesouche).

    «Son grand regret» , est-il écrit, « le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…) L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit.»

    « Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing regrette cette initiative : L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…).  Dans son essai, Le sens de la République, l’historien (de gauche, spécialiste de l’immigration et  favorable à sa poursuite, NDLR)  Patrick Weil a aussi révélé que (VGE) avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500 000 Algériens en cinq ans.»

    A l’évidence, les lignes bougent et nous verrons certainement dans les mois et les années à venir certaines personnalités contraintes, ne serait-ce que par honnêteté intellectuelle, à certaines révisions déchirantes, même s’il  n’est jamais facile – ego quand tu nous tiens ! - d’avouer ses erreurs ou de faire le deuil de ses illusions. Michel Onfray lui ne varie pas dans ses convictions d’homme de gauche réaliste comme il se décrit;  l’homme par qui le scandale arrive en endossant dernièrement le costume du pamphlétaire attaquant la cour. Il a créé l’émoi avec sa seconde lettre  publique adressée  au président de la République  dans laquelle il pourfend  avec ironie, mais non sans une assez grande violence verbale,   l’épisode de  Macron et du  selfie-doigt d’honneur lors  du déplacement de ce dernier  à Saint-Martin  (voir ici et ici)

    Accusé d‘homophobie et accessoirement d’atteinte à la dignité du chef de l’Etat, M. Onfray affirme que son ton voltairien et son insoumission expliquent que son passage prévu sur France 5 pour parler de son dernier livre en date,  ait été déprogammé.  Bref, l’essayiste libertaire et  philosophe athée subirait à peu de chose près le sort d’un Eric Zemmour aujourd’hui banni du service public. Michel Onfray  a rappelé aussi les attaques dont il a été l’objet par le candidat Macron au cours de la campagne présidentielle, du fait de ses critiques virulentes contre l’Europe bruxelloise et  de la soumission à celle-ci  de la classe politique.

    Par mesure de rétorsion contre sa liberté de ton,  l’Elysée aurait aussi fait pression  pour que France Culture renonce à diffuser  les cours qu’il donne  à l’Université populaire de Caen (UPC)  dont il est le créateur. Il a annoncé le  27 septembre sur le site de l’UPC que dans ces conditions  il arrêtait ses activités. Il concluait son propos  par l’avertissement suivant: «La lutte contre les idées du FN qui avait motivé la création de l’Université Populaire en 2002, doit désormais être élargie à tous ceux qui mettent en péril la liberté de conscience, de pensée et d’expression. Ils sont bien plus nombreux qu’à l’époque. Plus nombreux et d’autant plus dangereux qu’ils sont désormais au pouvoir. »

    Ni Marine, ni Macron nous dit M. Onfray,  c’est son choix et c’est son droit ! Mais rassurons-le, il gardera sa liberté de ton et de parole si les Français nous confient les destinées de notre pays. Certes, et cela ne date pas d’aujourd’hui,  la liberté de conscience, de pensée et d’expression est en effet menacée, mais  par ceux qui sont les adversaires les plus acharnés des idées défendues par  l’opposition nationale. Ce ne sont  pas des groupes de pression émanant de notre famille de pensée qui concoctent des lois liberticides, communautaristes,  entendent  interdire la libre expression de M Onfray ou d’autres, quand bien même nous ne la partageons pas.  Quant principe de réalisme dont il se targue, il devrait  le conduire à mieux jauger et juger de l’action politique menée par notre courant politique qui en est épris. Et pour citer un philosophe qu’il apprécie, Nietzsche,  disons que le RN, la Ligue, tous les nationaux lucides se veulent    comme «l’Helléne ( qui ) n’est ni optimiste, ni pessimiste. Il est  essentiellement viril; il voit les choses terribles telles qu’elles sont et ne se les dissimule pas. » C’est bien au fond le reproche principal qui nous est fait par nos adversaires…

    https://gollnisch.com/2018/10/09/pour-un-front-de-la-liberte-realiste/

  • L’Italie prépare-t-elle sa sortie de l’euro ?

    Que se passe t-il depuis que les eurosceptiques sont arrivés au pouvoir en Italie ? Que préparent-ils ? Quelle est la stratégie de Salvini ? Est-ce que l’Italie va vraiment sortir de l’euro ? Italexit ou pas ?

    https://www.lesalonbeige.fr/litalie-prepare-t-elle-sa-sortie-de-leuro/

  • George Soros influence la Cour européenne des droits de l’homme

    George Soros influence la Cour européenne des droits de l’homme

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) s’apprête à élire, mardi 9 octobre, trois nouveaux juges à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), au titre de la Norvège, de la Turquie et de l’Albanie. Chaque pays concerné par le vote doit désigner trois candidats (dont au moins une femme) et les soumettre à l’appréciation préalable d’un « panel d’experts » chargé de conseiller à l’Assemblée de voter pour l’un plutôt que pour l’autre. Un tel filtre, utile pour éviter que des juges peu qualifiés puissent de nouveau être élus, peut aussi donner lieu à un phénomène d’uniformisation culturelle ou idéologique des juges, recrutés selon les mêmes profils, fournis par les mêmes « experts ».

    Cette année, deux des trois candidats proposés par l’Albanie, Sokol Berberi et Darian Pavli se trouvent ainsi avoir occupé de hautes fonctions à l’Open society, le réseau de fondations créé par le financier et philanthrope américain George Soros. Comme l’explique un bon connaisseur des arcanes strasbourgeoises, « George Soros investit particulièrement dans les petits pays parce que leur voix compte autant que celles de la France ou de l’Allemagne et qu’il est plus facile d’y exercer une influence, eu égard à la corruption qui y sévit encore. » L’objectif étant de multiplier le nombre de juges, dont le mandat, non renouvelable, court sur neuf ans, sensibles à la vision du monde développée et soutenue par George Soros. En vingt-cinq ans, Open Society a investi 130 millions d’euros en Albanie, où elle dispose de bureaux. « L’Open society contrôle et finance de nombreuses filiales et organisations – Human Rights Watch ou Amnesty International pour les plus connues – qui, au-delà de leur action propre, œuvrent toutes à l’établissement d’une société toujours plus libérale et individualiste », poursuit l’expert. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/george-soros-influence-la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme/

  • « Islamophobie », négation du racisme anti-Blanc : une dérive aux conséquences redoutables

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    C’est entendu : comme le disait Camus, il faut être solidaire plutôt que solitaire, et, comme le propose la morale judéo-chrétienne, « aimer son prochain comme soi-même », selon le précepte inscrit dans le Lévitique. C’est dans le même livre qu’il est encore dit qu’il faut traiter l’étranger qui vient s’installer dans le pays comme s’il était un compatriote, et l’aimer, lui-aussi, comme soi-même.

    Évidemment, ces deux formules, resituées dans l’ensemble du Lévitique, doivent être relativisées. D’abord, parce que l’amour de l’étranger y suppose deux conditions : la réciprocité (les Hébreux ont été des étrangers en Égypte) et le respect des obligations religieuses juives, comme celle de ne pas consommer de sang, sous peine d’être expulsé. Ensuite, parce qu’il s’agit d’étrangers qui s’installent, non d’envahisseurs. Enfin, et surtout, parce que ce livre est l’un des plus sanguinaires de la Bible : une bonne partie est consacrée aux sacrifices des animaux et la peine de mort y est édictée pour de nombreux interdits sexuels, notamment l’homosexualité. Autrement dit, et avec logique, le prochain est l’autre qui est proche, qui fait partie du groupe ou qui vient vivre en son sein en se conformant à ses règles. Ce n’est pas le lointain, l’autre en tant qu’autre qu’on aime, non malgré mais en raison de sa différence. Car cet attrait pour l’altérité risque bien de cacher une détestation de soi et de l’identité issue de la tradition du groupe auquel on appartient parce qu’on lui doit sa culture.

    Or, l’amour de l’autre laisse, aujourd’hui, la place dans le débat public français et, plus généralement, occidental à un renversement systématique. L’antiracisme ne vise que le racisme supposé des « Blancs » à l’encontre des autres et suscite, à force, un racisme anti-Blanc qui se croit tout permis. C’est ainsi qu’un rappeur noir s’est cru autorisé à appeler à pendre les Blancs sous prétexte d’inverser les images, comme s’il était habituel, en France, de pendre les Noirs, même dans des fictions. Les médias lui donnent, d’ailleurs, la parole pour expliquer le sens de sa créativité. On imagine mal la réciproque. De même, le concept d’« islamophobie » a prospéré en venant s’ajouter à toutes les phobies qui expédient, l’air de rien, toute idée conservatrice en psychiatrie. Mais qui oserait méconnaître le droit d’un Français chrétien à devenir musulman, alors que la conversion inverse est interdite dans la majorité des pays obéissant à l’islam, et qu’elle peut être punie de mort ? On tolère, aujourd’hui, que l’on continue à caricaturer le pape tandis qu’on s’abstient de blasphémer le prophète musulman pour ne pas céder à la tentation de s’en prendre à « l’autre ». Lui ne se gêne pourtant pas de le faire payer très cher.

    Il s’en est fallu de peu qu’un autre rappeur, du nom de Médine, auteur de Jihad, ne se produise au Bataclan. L’idée que ces références à l’islamisme belliqueux soient une offense aux morts du 13 novembre 2015 n’a fini par s’imposer que parce que quelques parents des victimes ont clamé leur douleur. Ils n’étaient pas la majorité qui, elle, s’interdisait l’amalgame, la généralisation, la désignation du coupable lorsqu’il est un « autre », par essence innocent face à notre culpabilité.

    La désignation, même évidente, des coupables peut même transformer en coupable, en abominable délateur raciste, celui qui désigne. Zemmour, qui connaît un succès de librairie parce qu’il ose écrire ce que beaucoup pensent à mots couverts, se voit interdire d’antenne de plus en plus souvent, et traîner devant les tribunaux dans la même proportion. Lier la délinquance à l’immigration, dénoncer l’incompatibilité de l’islamisme avec l’assimilation au sein de la République française sont devenus des péchés contre l’amour de l’autre qui, lui, peut nous haïr à loisir, car il en a le droit, en tant que victime par nature. La colonisation, les crimes de la France coloniale, comme dirait Macron, le chômage et les conditions de vie dans les quartiers sensibles, toutes choses dont nous portons le poids inexcusable, expliquent les statistiques et justifient qu’on ne donne pas les noms ou qu’on passe sous silence les origines des auteurs des rixes entre bandes qui se propagent dans de nombreuses villes à la population remplacée.

    Christian Vanneste

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/