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Europe et Union européenne - Page 482

  • Le Parlement européen se soucie des 800 arrestations au Soudan, mais pas des 5000 gilets jaunes français placés en garde-à-vue !

    Intervention de Marie-Christine Arnautu (RN) au Parlement européen, le 17 janvier 2018, sur le front de la répression au Soudan et en… France :

    « Un billet paru en 2012 dans la Règle du Jeu, revue du pseudo-philosophe va-t-en guerre bien connu des Français Bernard Henri-Lévy, affirmait sans honte que les idées du Front national étaient celles appliquées au Soudan. Eh bien, permettez-moi d’être un brun provocatrice. Comparons l’actualité.

    Selon la presse, les autorités soudanaises ont arrêté 800 personnes en marge des récentes manifestations anti-gouvernementales. C’est moins que les 5000 gilets jaunes placés en garde-à-vue en France depuis le début de la contestation contre l’arrogance du président Macron.

    On compte selon les bilans, entre 20 et 40 victimes décédées au Soudan. En France, les médias font état d’une centaine de blessés graves parmi les manifestants. La répression du ministre Castaner sait aussi être efficace…

    Pire. Si le Soudan applique la charia, en Europe, les islamistes ne cessent de gagner du terrain.

    Alors je m’étonne, chers collègues, de vos leçons de morale. Un conseil. Que le Parlement examine d’abord ce qui se passe sous son nez avant de s’occuper des droits de l’homme sur d’autres continents…”

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-parlement-europeen-se-soucie-des-800-arrestations-au-soudan-mais-pas-des-5000-gilets-jaunes-francais-places-en-garde-a-vue/103789/

  • Sondage: Marine Le Pen toujours en hausse

    marine-le-pen-candidate-fn-a-la-presidentielle-le-26-fevrier-2017-a-saint-herblain-pres-de-nantes_5807921.jpgLa crise des «gilets jaunes» profite à la présidente du RN qui engrange de bons scores dans un sondage Ifop-Fiducial.
    Bon début d'année pour Marine Le Pen. La crise des «gilets jaunes» lui profite: elle engrange de bons scores dans les sondages sans même prendre la parole.Après avoir gagné deux points début janvier, sa popularité progresse de cinq points supplémentaires dans l'enquête de l'Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud-Radio, pour atteindre 33% d'opinions favorables.
    La présidente du Rassemblement national gagne des points dans toutes les catégories socioprofessionnelles. Elle séduit les ouvriers en gagnant 12 points dans cette catégorie socioprofessionnelle (52%). Elle progresse dans les mêmes proportions chez les personnes sans diplômes (55%), gagne 6 points chez les employés (40%), 10 points chez les professions intermédiaires (27%) mais également auprès des électeurs de communes rurales (34%, +7) et les électeurs de François Fillon (25%, +11). Elle fait jeu égal en terme de popularité avec Jean-Luc Mélenchon (33%) et devance Laurent Wauquiez (31%, +2) et Emmanuel Macron (30%, +4). Elle sort gagnante de la séquence avec un gain de six points en deux mois contre zéro pour Jean-Luc Mélenchon et deux de perdus pour Laurent Wauquiez.
     
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  • Européennes : les vieux partis en mal de leader – Journal du jeudi 17 janvier 2019

     

    Politique / Européennes : les vieux partis en mal de leader

    Le monde d’après pique les yeux pour les partis historiques de l’échiquier politique français. Les Républicains et le Parti Socialiste cherchent désespérément des têtes de listes pour se refaire une santé…

    Économie / Renault : l’exécutif lâche Carlos Ghosn et place son homme

    Carlos Ghosn lâché par l’exécutif ! Le président de Renault a fait les frais du système judiciaire japonais… à Paris, le ministre de l’économie semble déjà lui avoir trouvé un successeur !

    International / Le territoire du Kosovo veut une armée

    Le territoire du Kosovo revendique la création d’une armée… une nouvelle provocation à l’égard de la Serbie qui pourrait provoquer des étincelles dans la poudrière balkanique.

    Actu en bref

    https://www.tvlibertes.com/europeennes-les-vieux-partis-en-mal-de-leader-journal-du-jeudi-17-janvier-2019

  • Le krach dès 2019 plutôt que l’effondrement ultérieur du Système

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    Marc Rousset

    La France vit le Mai 68 des classes moyennes qui souffrent et ne veulent pas mourir en raison de la trahison, de l’irréalisme et de l’incompétence des élites. Un krach pourrait bien déclencher un processus politique révolutionnaire en Europe. La crise de 2008 n’a pas été réglée d’une façon économique structurelle interne dans chaque pays, mais par la fuite en avant sous forme de l’hyperendettement des États et de création monétaire non conventionnelle par les banques centrales.

    L’Union européenne n’a fait que reporter la date de faillite inéluctable de la Grèce de dix ans en reportant ses créances, et Tsípras est passé du « Go Back Merkel » à « Willkommen Angela » car le taux d’emprunt de l’État grec reste au-dessus de 4 %. La Grèce est bien sortie des programmes de tutelle budgétaire de l’Union européenne depuis le 20 août 2018, mais elle ne parvient pas à emprunter de l’argent sur les places financières.

    La ruineuse réforme démagogique du « revenu citoyen » en Italie est très difficile à mettre en place, suite aux conditions strictes et trop nombreuses. Le président de la « Cofindustria » craint surtout que ce revenu favorise le travail au noir et dissuade les chômeurs de rechercher un emploi. Le pays se dirige, de plus, vers la nationalisation de la banque Carige. Le président du Conseil Giuseppe Conte vient de signer, en urgence, un décret permettant de mobiliser jusqu’à quatre miliards d’euros d’argent public pour la sauver.

    Les « stress tests » des ratios des banques européennes ne résisteraient pas en cas de crise. En France, le Fonds de garantie des dépôts et de résolution ne dispose que de trois milliards d’euros pour garantir des centaines de milliards d’euros de dépôts jusqu’à 100.000 euros par déposant en cas de faillite bancaire. L’État français en faillite serait tout aussi incapable de garantir ces dépôts.

    Selon le professeur Omar Issing, économiste en chef de la BCE, « un jour, le château de cartes va s’effondrer ». La BCE ne va pas avoir d’autre choix que la reprise de la fuite en avant de la non-augmentation des taux d’intérêt et la création monétaire non conventionnelle si les taux d’intérêt devaient s’élever à leur niveau historique de 3 % au-dessus des taux actuels afin d’éviter, au deuxième semestre 2019, le « défaut » à la Grèce, à l’Italie avec ses 500 milliards d’euros de dette TARGET2. La zone euro et la BCE se retrouveront alors dans la situation actuelle complètement bloquée du Japon.

    Le Système se prépare à reculer pour mieux sauter jusqu’à l’impossibilité de sauter et à l’effondrement total, en 2020-2021, avec hyperinflation, perte de confiance dans la monnaie, arrêt du paiement ou paiement en monnaie de singe, pour les retraites, les salaires des fonctionnaires, les loyers. Mario Draghi n’aura pas été le sauveur mais le fossoyeur de l’Europe en n’obligeant pas les gouvernements européens à se réformer d’une façon viable par la réduction structurelle des dépenses.

    En octobre 2018, le bilan en augmentation constante de la BCE se montait à 4.632 milliards d’euros, soit 41 % du PIB de la zone euro. Aux États-Unis, le bilan de la Fed, qui totalise 4.000 milliards de dollars, en constante diminution depuis peu de temps de 50 milliards de dollars par mois, représente 22 % du PIB. Mais avant la crise financière de 2007-2009, le bilan de la Fed ne s’élevait qu’à 900 milliards de dollars. Powell, le président de la Fed, parle de nouveau de souplesse des taux, voire de freiner la réduction mensuelle du bilan de la Fed. Le même ratio est de 101 % au Japon, le pays étant sauvé jusqu’à ce jour de la faillite par les détenteurs de la dette, car japonais et patriotes !

    On retrouve, partout dans le monde, la problématique de l’irresponsabilité en matière économique et politique aboutissant à la révolte des peuples. En fait, on peut légitimement se poser la question s’il n’est pas déjà trop tard pour la France et la zone euro, si l’effondrement du Système n’est pas d’ores et déjà inéluctable ? L’or est la seule valeur refuge qui se moque de la folie humaine, ce que vient de reconnaître Russ Koesterich, gestionnaire du gigantesque fonds américain d’investissement BlackRock.

    Article aussi paru sur Boulevard Voltaire cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Traité d’Aix-la-Chapelle : un ministre allemand siègera au Conseil des ministres français au moins une fois par trimestre

    Ces derniers jours, un nouveau sujet politique embrase les débats : le traité d’Aix-la-Chapelle qu’Emmanuel Macron signera le 22 janvier. L’eurodéputé Bernard Monot (ex-FN, ayant rejoint Dupont-Aignan) avait mis en ligne une vidéo mettant en garde contre ce traité. La vidéo, abondamment reprise sur les réseaux sociaux, a fait l’objet d’un contre-feu : tous les médias du système ont décidé de s’emparer du sujet pour affirmer d’une voix unanime que les arguments avancés étaient faux. Et Bernard Monot a fini par retirer sa vidéo.
    Alors, qu’en est-il vraiment ? Comment se faire une opinion sans se faire berner par les médias du système ni tomber dans les pièges de propos excessifs qui circulent pour mieux discréditer toute critique intelligente de ce traité ?
    Essayons d’y voir plus clair au sujet de ce traité qui contient 28 articles.
    Ce traité a pour objectif de renforcer la convergence entre la France et l’Allemagne dans les domaines les plus variés : politique étrangère, défense, sécurité extérieure et intérieure, économie, industrie, commerce, politique sociale, fiscalité, usage et apprentissage des langues, exportation d’armement, diplomatie, lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée, judiciaire, juridique, environnemental, climat, santé, politique énergétique, intelligence artificielle, transports, activités de renseignements, services de police, culture, enseignement, recherche et mobilité. 
    Le traité fait mention de la “création d’un Conseil franco-allemand de défense et de sécurité”, d’un “comité de coopération transfrontalière”, d’un “Forum pour l’avenir franco-allemand”, du “Conseil franco-allemand d’experts économiques” et d’une “unité commune en vue d’opérations de stabilisation dans des pays tiers”.
    Le traité évoque également la création d’un “Conseil des ministres franco-allemand” avec des “secrétaires généraux pour la coopération franco-allemande”. Le traité stipule à ce sujet :
    « Un membre du gouvernement d’un des deux États prend part, une fois par trimestre au moins et en alternance, au conseil des ministres de l’autre État. »
    En signant ce traité, le président Emmanuel Macron confirme vouloir aligner la France sur le modèle social allemand. Mais Emmanuel Macron et Angela Merkel, tous deux lauréats du Prix Charlemagne (qui comme son nom ne n’indique pas est un prix mondialiste) confirment surtout avancer ainsi vers le Nouvel Ordre Mondial.
    Voici le texte du traité :

    Traité entre la République française et la République fédérale d’Allemagne sur la coopération et l’intégration franco-allemandes 

    La République française et la République fédérale d’Allemagne,

    Reconnaissant le succès historique de la réconciliation entre les peuples français et allemand à laquelle le Traité du 22 janvier 1963 entre la République française et la République fédérale d’Allemagne sur la coopération franco-allemande a apporté une contribution exceptionnelle et dont est né un réseau sans précédent de relations bilatérales entre leurs sociétés civiles et leurs pouvoirs publics à tous les niveaux,

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  • Européennes 2019 : « Les peuples sont de retour ! »

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    Le Rassemblement national a tenu le 13 janvier sa grande convention de lancement des européennes, avec Jordan Bardella comme tête de liste.

    Ce dimanche midi, les CRS postés aux abords de la Mutualité s’attirent des regards sans sympathie de la part de militants RN pourtant bien disposés à l’égard de la police et qui l’ont toujours soutenue face à la racaille. Conséquence de la violente répression des manifestations des Gilets jaunes, qui laissera des traces durablement. La Mutualité s’emplit rapidement, 2 000 personnes, les militants retardataires ne pourront entrer. A l’intérieur, la bonne humeur règne. Un entrain compréhensible : le dernier sondage donne 24 % des intentions de vote au RN, 18 % à LREM (Ifop).

    Sébastien Chenu, député et porte-parole du parti, est le monsieur Loyal de la convention. Au micro se succèdent :

    — Steeve Briois, qui évoque « ces Français qui ne sont rien pour Macron parce qu’ils sont des Gilets jaunes et non pas des racailles, parce qu’ils sont des Français et non pas des migrants ».

    — Jean-Paul Garraud, qui a annoncé la semaine dernière son ralliement (voir notre édition du 11 janvier). Il s’en prend au gouvernement qui traite les Gilets jaunes comme il n’a jamais traité les islamistes et les fichés S. Petit renvoi chiraquien lorsqu’il affirme « le primat de la loi républicaine sur tous les préceptes religieux ».

    — Hervé Juvin qui pose le constat que « l’écologie commence par la fin des individus hors-sol ».

    — Christiane Delannay-Clara, originaire de Guadeloupe et qui a vécu en Polynésie, en Nouvelle-Calédonie, à La Réunion : « Je représente cette France si lointaine mais tellement chère. »

    — Thierry Mariani, enfin, autre rallié de fraîche date « sans réserves et avec enthousiasme » (voir encore notre édition du 11 janvier). Les journalistes relèveront surtout qu’il a qualifié Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, d’« ivrogne notoire » – ce que semblent confirmer bien des vidéos où on le voit titubant, éméché.

    « On arrive », « On est chez nous ! »

    Vient le tour de Marine Le Pen de prendre la parole. « Dans le contexte de la saine révolte populaire des Gilets jaunes, ces élections européennes offrent l’occasion de dénouer la crise politique née de l’aveuglement, de l’intransigeance, du mépris de classe, de la spoliation fiscale et de la déconnexion humaine du président. » Ces mots, « déconnexion humaine », font écho au débat, le fameux débat de l’entre-deux-tours de la présidentielle, lorsqu’elle reprochait à Macron « la froideur du banquier d’affaires que vous n’avez jamais cessé d’être ». Les européennes s’annoncent comme le match retour de la présidentielle.

    Galvanisée, l’assistance scande le slogan de la campagne, « On arrive », mais aussi, spontanément, le « On est chez nous », autre écho de la campagne présidentielle. Marine enchaîne : « Puisqu’on est chez nous, c’est à nous de décider. C’est à nous de décider qui rentre chez nous, qui y reste et, si nécessaire, qui est invité à repartir ! C’est à nous de décider où va notre argent et même de décider que nos compatriotes et que nos entreprises sont prioritaires chez nous. »

    Puis Marine Le Pen appelle les douze premiers candidats de la liste aux européennes – il faudra une liste de 79 noms, le nombre de députés alloués à la France dans la prochaine représentation au Parlement européen : Jordan Bardella, Hélène Laporte, Thierry Mariani, Dominique Bilde, Hervé Juvin, Joëlle Melin, Nicolas Bay (particulièrement ovationné), Virginie Joron, Jean-Paul Garraud, Catherine Griset, Gilles Lebreton, Christiane Delannay-Clara.

    Le monde qu’ils ont construit

    Tête de liste, Jordan Bardella n’a que 23 ans. Pas de maturité politicienne, mais politique, oui. Né à Drancy en Seine-Saint-Denis, il n’a jamais quitté le 93, s’engageant au FN à 16 ans, et devenant quatre ans plus tard responsable départemental du parti. « Je peux vous assurer que, quand vous grandissez en Seine-Saint-Denis, vous êtes exactement au bon endroit pour voir, observer, vivre et subir toutes les dérives du pays : délinquance, ravages de l’immigration de masse, clientélisme, terrorisme… » Le FN a par deux fois fait élire « le plus jeune député de France » (Marion Maréchal puis Ludovic Pajot). Jeunisme ? Non. Démonstration de l’engagement d’une certaine jeunesse qui ne veut pas de la France telle que l’ont faite 40 années de politique antinationale : « Oui, je le redis à toutes ces belles âmes, c’est le monde qu’ils ont construit : j’appartiens à une génération qui peut mourir pour une cigarette ou un mauvais regard, qui peut mourir sur un trottoir, à un concert, sur un parking de discothèque ! »

    Et Jordan Bardella de conclure : « Le soir du dimanche 26 mai, je veux que Castaner ait les larmes aux yeux en voyant les résultats arriver, que Griveaux cherche ses mots sur les plateaux, que Macron, Juncker et Merkel comprennent que c’est fini et que les peuples sont de retour ! » D’ici là, c’est un marathon électoral que vont courir dans tout le pays Jordan Bardella et Marine Le Pen, et leurs équipes, pour convaincre les électeurs qu’on peut agir efficacement pour la France et l’Europe… en étant nombreux au Parlement européen.

    Samuel Martin

    Article paru dans Présent daté du 14 janvier 2019

    https://fr.novopress.info/

  • LES DINDONS LIBÉRAUX QUI ONT COULÉ LA FRANCE

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  • 3 députés européens britanniques rallient le groupe du Rassemblement National

    3 députés européens britanniques rallient le groupe du Rassemblement National

    Trois eurodéputés britanniques du parti eurosceptique Ukip ont rejoint au Parlement européen le groupe politique emmené par le Rassemblement national :

    • Gerard Batten, président de l’Ukip,
    • Stuart Agnew
    • Jane Collins

    Le député européen Nicolas Bay, membre du RN et coprésident du groupe ENL, se félicite :

    “A quatre mois des élections européennes, ce ralliement confirme la dynamique et l’attractivité de notre groupe et de notre projet visant à modifier en profondeur tant le fonctionnement que les orientations politiques de l’Union européenne pour défendre enfin les intérêts de nos peuples et la souveraineté de nos nations”.

    Outre des élus du RN, le groupe ENL compte des eurodéputés du parti autrichien FPÖ, de la Ligue italienne, du PVV néerlandais, du Vlaams Belang flamand et du KNP polonais.

  • Brexit : le casse-tête se poursuit – Journal du mercredi 16 janvier 2019

     

    Brexit : le casse-tête se poursuit

    Mardi, le Parlement Britannique a massivement rejeté l’accord sur le Brexit. Theresa May essuie donc un nouvel échec et une motion de censure. Un fiasco attendu mais plus violent que prévu.

    Grand Bourgtheroulde : entre opération séduction et rendez-vous manqué

    C’était un véritable marathon. Pour lancer le grand débat national, Emmanuel Macron s’est exprimé près de 7 heures devant les maires de la région venus pour l’occasion… Un dialogue fleuve qui n’a rien éteint de la colère des gilets jaunes, qui avaient préparé un comité d’accueil au président de la république.

    Amazon : la surproduction décadente

    Alors que la crise sociale et écologique touche tous les français, la multinationale Amazon détruit trois millions de produits neufs par an.
    L’exécutif tente de réagir mais au-delà d’un simple texte de loi mais semble une fois de plus dépassé par un problème qui implique des réformes structurelles.

    L’actualité en bref

  • Le RN n’a pas besoin de «ralliés», mais d’alliés

    Le RN n’a pas besoin de «ralliés», mais d’alliés

    Lu dans Les 4 Vérités :