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Europe et Union européenne - Page 617

  • Assez de tartufferie migratoire

    Numéro deux du gouvernement libyen, Ahmed Miitig, après tant d'autres, rappelait récemment un aspect fondamental du fait migratoire : "Cette immigration illégale,souligne-t-il, est une tragédie humanitaire." (1)

    Toute action, et pour commencer toute réflexion sur le problème de l'immigration, – tel qu'il se pose désormais, c'est-à-dire d'une manière différente de celle des années 1960, où il n'était question que d'une immigration de main-d’œuvre, ou d'autres époques, – devrait partir de ce constat : l'immigration massive, donc illégale au départ, est contraire aux aspirations humaines les plus fondamentales.

    Tout mécanisme tendant à perpétuer les scandaleux trafics d'êtres humains est donc une tartufferie qui joue sur les mots.

    On joue sur les mots, par exemple, quand on parle de l'immigration comme d'un droit, ce qui supposerait que les migrants peuvent se rendre dans n'importe quel pays sans demander l'avis des habitants, en la confondant avec l'émigration qui, elle, effectivement peut être considérée comme une liberté fondamentale.

    Tous les concepts dans ce débat se trouvent ainsi faussés.

    Ministre français de l'Intérieur par la grâce de Jupiter, Gérard Collomb s'efforce dès lors de colmater la brèche conceptuelle dans un entretien publié par le Journal du Dimanche du 5 août, "en sélectionnant davantage ceux qui réclament le droit d'asile. Si l’on ne fait pas la distinction entre le droit d’asile et les autres motifs de migrations,observe-t-il, ce sera le droit d’asile qui sera remis en cause."

    Or depuis le fameux "wir schaffen das" de la chancelière allemande en 2015, le débat s'est aggravé. Mme Merkel prétendait alors forcer la main à une coalition conservatrice très peu encline à encourager l'immigration, très réticente vis-à-vis de l'islam et de la Turquie d'Erdogan, etc. en particulier la composante bavaroise de l'union conservatrice. Elle intervenait après un an de débat, en 2014, sur l'intégration des étrangers au système social allemand, et au milieu d'une crise migratoire en Méditerranée accélérée pendant l'été. On joue désormais délibérément sur les mots entre réfugiés et immigrés. En gros, nos dirigeants font mine d'accepter les réfugiés, pour des raisons humanitaires, et de s'opposer aux autres immigrés.

    Or, on doit bien réfléchir à ceci : tout immigré peut, d'une manière ou d'une autre, se prévaloir d'une qualité de réfugié, réfugié juridique quand il vient d'un pays homologué en occident comme dictatorial, réfugié économique puisque venant d'un pays plus pauvre, réfugiée féminine venant d'un pays où les femmes ne sont pas bien traitées, on a même entendu parler, pour le futur, de réfugiés climatiques.

    Pour ne pas pouvoir être considéré comme réfugié potentiel un immigrant devrait alors manifester l'ingénuité de dire qu'il vient chez nous sans raison ou simplement pour être affilié au régime général de la sécurité sociale.

    Plus grave encore le président de la république est venu, en déplacement à Orléans le 27 juillet, parmi les mille choses qu'il annonce et promet, parler d'installer en Libye des bureaux officiellement chargés d'entériner le caractère de "réfugié" des Étrangers désireux d'immigrer, en la vérité.

    "L’idée est de créer en Libye des hotspots - des centres d'examen pour les candidats à l'asile - afin d’éviter aux gens de prendre des risques fous alors qu’ils ne sont pas tous éligibles à l’asile. Les gens, on va aller les chercher. Je compte le faire dès cet été".

    "L'idée" dit-il : mais l'idée de qui ?

    On a pourtant pu voir le résultat désastreux de cette politique avec la Turquie, laquelle peut exercer son chantage et ne manque pas de la faire.

    "L'idée" n'est, d'ailleurs, manifestement pas partagée par les autorités italiennes.

    Le public est invité à croire que ceux auxquels ne sera pas reconnu immédiatement le droit d'entrer ne se débrouilleront pas quand même, avec l'aide des associations spécialisées, pour contourner l'obstacle.

    Est-il encore permis de se demander qui sera assez naïf pour tomber dans le panneau ? 

    JG Malliarakis 

    Apostilles :

    1. cf. son entretien publié par Le Monde le 3 août 

    http://www.insolent.fr/

  • Bernard MONOT tire la sonnette d'alarme sur la situation économique française et la politique MACRON

  • Stratégie des "migrants" : après les hommes fuyant soi-disant leur pays en guerre, les femmes exigent le regroupement familial

     : Elles exigent le regroupement familial en Allemagne 
    Effet Kiss cool de la deuxième vague

    Lahire

  • Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !

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    Quelles que soient les objurgations morales, les prétentions éthiques, qui surabondent, il était prévisible que face à ce qui est bien une invasion migratoire massive de l'Europe, l'emploi de la force - donc de la force armée - finirait, un jour ou l'autre, par s'imposer.

    Bien entendu, on ne tirerait pas sur les migrants mais l'on chargerait les militaires et les marins de détruire les embarcations destinées à les transporter, de neutraliser les passeurs ; et même de se confronter aux associations de bonnes âmes qui n'ayant de charité que pour l'étranger quel qu'il soit et point du tout pour les populations européennes malheureuses de ne plus se sentir chez elles, d'y perdre leur identité, prêtent assistance à la transhumance migratoire et à ceux qui se sont organisés pour en faire un très lucratif commerce.

    Il devait donc arriver un jour où les choses seraient devenues si graves, si massives et si intenables que l'on devrait y mettre un terme par la force. Il est possible que ce jour soit arrivé. Ou très prêt d'être arrivé.

    C'est ce dont témoigne la réaction italienne en Méditerranée où c'est par la force que les marins italiens refoulent les embarcations des migrants quittant les côtes libyennes; par la force aussi qu'ils bloquent les navires des ONG qui sont en mer pour - en fait - sécuriser et favoriser les passages. Tel le sulfureux Aquarius français ou le l'allemand Juventa. Quant à lui, Médecins Sans Frontières n'est pas seulement en action  pour soigner des malades parmi des populations lointaines mais, en l'occurrence, par idéologie, pour prêter la main aux migrations africaines et orientales vers l'Europe.

    Seulement, l'Italie est à bout. Migrants et ONG sont désormais considérés et traités pour ce qu'ils sont. Des adversaires, des envahisseurs et leurs complices.

    Il y a tout lieu de penser que cette évolution de l'attitude des Européens face à cette invasion tendra graduellement à s'amplifier.

    L'Italie montre la voie parce qu'elle est en première ligne, qu'il y a plusieurs années maintenant qu'elle est saturée d'arrivées massives de migrants, et qu'elle n'en veut plus.

    Le dernier recours, en pareille extrémité, est toujours la force; la force armée. L'Italie s'est décidée à y recourir. Elle ne fait que montrer la voie à l'Europe et l'on ne peut que l'en féliciter. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • L'Italie ose montrer la vérité sur l'arrivée des "migrants"

  • La Wallonie enfin débarrassée du Parti socialiste

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    En février 1988, après un intermède libéral–chrétien démocrate de trois petites années, le Parti socialiste revient au pouvoir en Wallonie. Il ne le lâchera plus pendant vingt-neuf ans, soit le temps d’une génération sacrifiée, au cours de laquelle les rouges ont patiemment tissé leur toile.

    Dans le sud de la Belgique autrefois prospère, tout s’est coloré de rouge et rien, absolument rien, n’a échappé à l’emprise du PS, à commencer par des médias inféodés aux empereurs successifs : hier, Guy Spitaels ; aujourd’hui, un Elio Di Rupo politiquement finissant ; et demain, pensait-on, Paul Magnette.

    Forcément, selon la formule de Lord Acton trop ressassée pour encore surprendre, si « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument ». Bien des affaires plus tard – dont la plus médiatisée fut le scandale de corruption Agusta-Dassault dans les années nonante -, le Parti socialiste est aujourd’hui évincé.

    Par crainte de subir un revers électoral majeur à la suite de nouvelles affaires de malgouvernance (rémunérations astronomiques pour prestations inexistantes ou faibles chez Publifin et scandale au Samusocial de Bruxelles), le Centre démocrate humaniste, partenaire de majorité préféré de l’ogre socialiste, a décidé de « retirer la prise ». 

    Le renvoi du Parti socialiste dans l’opposition en Wallonie est un séisme majeur, tant la formation politique et la région ont semblé indissociables dans l’inconscient collectif, tant la politisation de l’administration est devenue une image d’Épinal, tant les discours pontifiants sur un prétendu redressement ont fini par endormir l’électorat.

    C’est pourtant aujourd’hui que commence le travail de redressement. Les chantiers sont multiples : il faudra à la fois redonner le goût d’entreprendre, en finir avec l’assistanat, supprimer les trucs, bidules et machins (ou unités d’administration publique) créés pour caser et recaser les camarades, mettre fin aux gaspillages (des compétences comme l’immigration ou la lutte contre le terrorisme ressortissant au niveau fédéral, où le PS avait déjà été évincé en 2014).

    Il serait pourtant illusoire de se réjouir trop vite. Non seulement le Mouvement réformateur qui a pris place dans l’embarcation gouvernementale n’a (presque) plus rien d’un parti de droite, mais, surtout, le Parti du travail de Belgique (qui ferait presque passer Mélenchon pour un sympathique centriste) est devenu le premier parti dans les sondages et pourrait confirmer sa bonne forme en 2019.

     Conseiller politique Son blog
  • Norvège: quand la presse française se prend les pieds dans la burqa

    Depuis quelques jours, on ne compte plus le nombre de médias qui se gaussent devant le canular d’un journaliste norvégien « piégeant » les internautes avec une photo de sièges de bus que certains ont pris pour des femmes en burqa.

    Où est le ridicule?

    « Des identitaires norvégiens confondent des sièges de bus… avec des femmes en burqa… » titre Francetv info en prenant bien soin de mettre à deux reprises des points de suspension pour souligner le ridicule d’une telle méprise. « Des identitaires norvégiens se ridiculisent en confondant des sièges d’un bus vide avec des femmes en burqa » titre de son côté Slate.

    Selon la plupart de ces journalistes, ce qui est ridicule, ce n’est donc pas de continuer à défendre le port d’un vêtement qui objectifie la femme au point qu’on peut la confondre avec des sièges de bus. Non, ce qui est ridicule, c’est de les avoir confondus effectivement. Pour eux, cela relèverait nécessairement d’une obsession. Mais quid du journaliste qui a eu cette idée ? N’a-t-il pas été le premier à observer une ressemblance entre les deux pour envisager que les gens allaient les confondre ?

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  • Dans toute l’Italie, des bombes contre les migrants : à quand la guerre civile ?

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    J’ai souvent exposé ici ma vision : notre pays et l’Europe tout entière se dirigent inexorablement vers une guerre civile. En effet, la situation non maîtrisée de l’immigration devient de plus en plus explosive. Aujourd’hui la majorité des autochtones sont passés de la méfiance au rejet. Demain, la situation perdurant, des tensions apparaîtront qui aboutiront, si rien n’est fait, à un embrasement national puis européen.

    L’Italie est le meilleur exemple d’un tel processus. Les incursions des sans-papiers sur les côtes italiennes ont progressé de 67 % en un an. Ce sont entre 200.000 et 250.000 clandestins qui débarqueront avant fin 2017. Face à ce flux, le gouvernement transalpin va jusqu’à réquisitionner des propriétés privées pour loger les migrants, attisant ainsi le mécontentement.

    Ilgiornale.it a recensé toutes les actions entreprises ces derniers mois contre des centres d’accueil et des hôtels où logent les migrants. Du nord au sud de la péninsule en passant par les îles, les troubles contre le business de l’accueil des clandestins se généralisent. Des citoyens en révolte, pour stopper l’arrivée des allochtones dans leurs villages, n’hésitent pas à utiliser bombes, cocktails Molotov et violences physiques.

    Le cas le plus récent et le plus marquant s’est passé la semaine dernière en Sardaigne, où une bombe a explosé devant le centre de premier accueil de Dorgali, dans la province de Nuoro. Par chance, les 64 occupants ne furent pas blessés, même si la déflagration a provoqué un grand trou à l’extérieur du bâtiment. Ce n’est pas le premier incident dans l’île. Précédemment, trois actions du même style avaient déjà eu lieu. Le 11 octobre 2016, l’ex-caserne de Monastir, dans la province de Cagliari, avait subi un attentat incendiaire suite à la décision du préfet de transformer ce bâtiment en centre d’accueil. Même chose à Burcei, également dans la province de Cagliari, en septembre 2016 : une maison privée qui devait accueillir 25 migrants avait été dévastée. En novembre, c’est à Buddusò, village de 4.000 habitants, qu’un complexe de tourisme rural, dans l’obligation d’héberger des réfugiés, était pris pour cible et dévasté par une bombe artisanale. Les Sardes considèrent que le seuil de tolérance a été dépassé. Dans une région qui a un des plus important taux de chômage d’Italie, ces arrivées sont perçues comme une invasion. 

    Le 26 juillet, à l’occasion d’un vote régional sur le tourisme, un amendement, proposé par Forza Italia, a été adopté. Cet amendement refuse que des fonds régionaux aillent aux hôtels accueillant des migrants en lieu et place de touristes.

    Mais la Sardaigne n’est pas un cas isolé. Le 25 juillet, à Rocca di Papa, aux portes de Rome, une bombe a été lancée contre le mur d’enceinte d’une structure d’accueil destinée à héberger 500 Nord-Africains. En mai 2015, toujours dans la province de Rome, des habitants de Marino, avaient fait irruption dans un immeuble qui, sur décision de la préfecture, avait été choisi pour loger 78 réfugiés.

    Des faits similaires ont eu lieu dans le nord, en Vénétie, dans la province de Vérone et dans le Frioul. Plus récemment, d’autres se sont produits en Lombardie et au Piémont. Même La « rouge Émilie » est touchée par la colère contre les nouveaux arrivants.

    Enfin le sud, avec la Calabre et les Pouilles, n’est pas épargné, des actions analogues ont été entreprises contre les réfugiés venant des côtes libyennes.

    Cette rage, qui va en s’amplifiant, est l’illustration parfaite de ce qui se passera dans le reste de l’Europe si l’on persiste à faire de la mer Méditerranée un vaste réceptacle à migrants.

    http://www.bvoltaire.fr/toute-litalie-bombes-contre-migrants-a-guerre-civile/

  • Selon l'UNHCR, les migrants ne viennent pas de pays en guerre

    Pas d'idéologie, pas d'idées reçues : juste les chiffres officiels d'un organisme reconnu.

    Migr

    Lahire

    http://aucoeurdunationalisme.blogspot.fr/

  • 16 août à Carnac : le Brexit

    16-08 Yves Bot

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html