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Europe et Union européenne - Page 615

  • Sortie prochaine (le 2 juin) d'un Bouquin de Synthèse nationale consacré à la Hongrie, son histoire et sa politique....

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    La Hongrie a toujours été rebelle par rapport aux diktats que l'on a voulu lui imposer. En 1956, elle se soulevait contre le régime communiste qui l'asservissait. Aujourd'hui, elle montre l'exemple à ceux qui veulent se dégager de la tutelle de la bureaucratie bruxelloise. 

    Mais la Hongrie, son peuple, son histoire et ses traditions sont trop souvent méconnus du reste de l'Europe. Un peu comme si on cherchait à l'isoler afin d'éviter que son "mauvais esprit" devienne contagieux.

    Voilà pourquoi il nous a semblé intéressant de publier cette étude que nous devons à Jean-Claude Rolinat, grand voyageur et fin connaisseur de ce pays courageux. Le lecteur pourra ainsi mieux comprendre la politique hongroise, là où la "droite musclée" est au pouvoir et où l'extrême droite est l'opposition...

    Ce livre est le premier de la collection "Notre belle identité européenne" créée par Synthèse nationale et destinée aux Européens non reniés.

    Avec un texte de Georges Feltin-Tracol

    La Hongrie, sentinelle de l'Europe, Jean-Claude Rolinat, Les Bouquins de Synthèse nationale, juin 2017, 192 pages, 20 €

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Theresa May part en guerre contre l’immigration

    Favorite des sondages, la Première ministre britannique présente son programme en vue des élections du 8 juin. Elle promet notamment de relever la taxe sur les entreprises qui emploient des non-Européens. 
    Theresa May réaffirme l'engagement pris par le Parti conservateur il y sept ans, et qu'il n'a jamais réussi à respecter jusqu'à présent. La Première ministre britannique promet de réduire l'immigration nette vers la Grande-Bretagne à moins de 100.000 personnes par an, presque trois fois moins que les flux migratoires constatés actuellement. Elle présentait jeudi son programme en vue des élections qu'elle a convoquées pour le 8 juin . « Il est difficile de construire une société unie lorsque l'immigration est trop élevée et augmente trop vite », a-t-elle lancé dans un discours à Halifax, au nord de l'Angleterre. 
    Pour la favorite des sondages , l'immigration exerce une pression à la baisse sur les salaires (ce qui est contesté par les économistes) et pose des problèmes de capacité pour les services publics comme la santé ou l'éducation. Le contrôle de l'immigration en provenance d'Europe, massive au Royaume-Uni, est l'une des principales raisons pour lesquelles les Britanniques ont choisi de quitter l'Union européenne. Mais Theresa May ne pourra rien faire tant que le Brexit ne sera pas effectif, soit au moins jusqu'en 2019. 
    En attendant, elle s'attaque à l'immigration en provenance du reste du monde, qui est presque aussi nombreuse. La taxe qui pèse sur les entreprises employant des étrangers non européens qualifiés sera doublée, passant de 1.000 à 2.000 livres par salarié et par an d'ici à 2022. Le gouvernement conservateur, s'il est reconduit, demandera aussi à tous les étrangers de contribuer davantage au financement du système de santé. La taxe dont ils s'acquittent pour bénéficier des soins gratuits sera triplée, passant de 200 à 600 livres par an. Enfin, les visas seront plus difficiles à obtenir pour le regroupement familial et pour les étudiants non européens. 
    Le gouvernement conservateur, s'il est reconduit à Downing Street, demandera aussi à tous les étrangers, qu'ils soient européens ou non, de contribuer davantage au financement du système de santé public. La taxe dont ils s'acquittent pour bénéficier des soins gratuits outre-Manche sera triplée, passant de 200 à 600 livres par an pour les travailleurs immigrés et de 150 à 450 livres pour les étudiants. Le Parti conservateur assure que ces prélèvements restent raisonnables par rapport à ce que paient les Britanniques résidant à l'étranger. 
    Le regroupement familial plus difficile 
    Enfin les visas seront plus difficiles à obtenir pour les non-Européens. Les seuils de revenus minimum requis pour les personnes qui veulent faire venir au Royaume-Uni des membres de leur famille seront relevés. Et les conditions d'attribution des visas pour les étudiants étrangers (non-Européens) seront « durcies ». 
    L'immigration nette vers la Grande-Bretagne a atteint 273.000 personnes au cours des douze mois compris entre octobre 2015 et septembre 2016 : 596.000 personnes se sont installées outre-Manche tandis que 323.000 ont quitté le pays. « Il est difficile de construire une société unie lorsque l'immigration est trop élevée et augmente trop vite », a estimé Theresa May. La Première ministre estime que « l'immigration incontrôlée » exerce une pression à la baisse sur les salaires (ce qui est contesté par certains économistes) et qu'elle pose des problèmes de capacité pour les services publics comme la santé ou l'éducation. 
    La réaction du patronat a été immédiate. Pour Carolyn Fairbairn, à la tête de l'organisation patronale CBI, les mesures anti-immigration présentées jeudi sont « le talon d'Achille » du programme des conservateurs. Ils risquent de pénaliser le Royaume-Uni dans la course internationale aux talents avec une approche trop « dure » de la question, a-t-elle jugé. Le maire travailliste de Londres, Sadiq Khan, a lui aussi critiqué la hausse de la taxe sur les employeurs, estimant qu'elle causerait « de gros dégâts » pour l'économie de la capitale. 
    L'austérité en pause 
    Avec ce discours musclé, Theresa May vise directement les électeurs de l'Ukip, le petit parti anti-immigration de droite, qui connaît un véritable effondrement dans les sondages depuis le référendum sur l'Europe. La Première ministre a aussi présenté des mesures sociales destinées à l'électorat traditionnel de la gauche, lançant un appel aux « travailleurs ordinaires » : amélioration de la prise en charge des personnes âgées dépendantes, prix plafond pour les factures de gaz et d'électricité, garantie des droits des salariés après le Brexit... Elle a aussi relâché un peu plus l'austérité, repoussant de trois ans, à 2025, le retour à l'équilibre budgétaire. 
    Les retraités seront mis à contribution pour financer certaines mesures. Leurs pensions ne progresseront plus aussi vite et seuls les moins aisés continueront à bénéficier d'une prime pour leur chauffage au fioul. Ces décisions marquent une relative rupture pour le Parti conservateur, traditionnellement attaché à cajoler les retraités, qui sont le coeur de son électorat. « Theresa May peut se le permettre car elle est certaine de gagner les élections. Les seniors conservateurs grogneront un peu, mais ils ne voteront pas pour autant pour d'autres partis », estime Jennifer Hudson, de l'université UCL. « La Première ministre profite de sa large avance pour présenter des mesures difficiles mais qui marqueront son bilan », ajoute Tim Bale, politologue à l'université Queen Mary. 

  • Avant qu’il ne soit trop tard Monsieur Kepel…

    Comme dans ce Proche-Orient profondément déstabilisé par les menées  d’un nouvel ordre Mondial qui s’acharne depuis la première  guerre du Golfe à éradiquer les régimes laïques rétifs aux oukases de l’axe du bien, le sang des civils, celui des femmes et des enfants, coulent désormais en Europe sous les coups du terrorisme islamique.   Faut-il rappeler la complaisance, le soutien financier, logistique dont a jouit celui-ci en Syrie, en Irak, en Libye de la part de certains pays occidentaux et des pétromonarchies ?  Fous Allah décrits comme faisant  «  du bon boulot »  lorsque ils contribuent à faire tomber les tyrans désignés à la vindicte médiatique et sont jugés  compatibles avec les intérêts financiers et les projets de remodelage de certains cénacles .

    L’Etat islamique (EI) a revendiqué officiellement l’attentat de Manchester qui a conduit à l’interruption des élections législatives outre-Manche, créée une onde de choc maximale en visant délibérément des enfants. Les  nôtres, ceux de notre continent, après ceux des autres, des pays arabes notamment. Ceux-là ne sont guère épargnés par le chaos que, nolens volens, nous avons puissamment contribué à déclencher. Il y a plus de vingt ans déjà, et de cela aussi il faut se souvenir, l’embargo imposé à l’Irak de Saddam Hussein se solda par la mort de plusieurs  centaines  de milliers d’enfants. Les petites victimes syriennes, irakiennes, libyennes, afghanes des interventions de l’Otan, de frappes aériennes malencontreuses, des couteaux, des bombes des bouchers islamistes se comptent aussi par milliers…

    Selon la police britannique, l’auteur de l’attentat suicide de Manchester, se nomme Salman Abedi, né en 1994, fils de réfugiés libyens opposés à Kadhafi, installés d’abord à Londres puis dans la banlieue plurielle  de Fallowfield, au sud de Manchester. Selon Abdalla Yousef, un porte-parole de la mosquée de Didsbury, à Manchester, le  père du terroriste  est retourné en Libye après la chute de Mouammar Kadhafi en 2011. Il est probable que Salman Abedi et son frère aient  fait des allers-retours entre les deux pays ces derrières années . Une Libye plongée dans la guerre civile, où les milices islamistes -et notamment l’EI-, sont fortement implantées  depuis l’intervention militaire, voulue notamment par le trio Sarkozy-Juppé-BHL, pour éliminer le régime kadhafiste.

    C’est de cette même Libye constate Bruno Gollnisch, que partent désormais quotidiennement vers l’Europe des milliers d’immigrés recueillis par les Italiens, avant de gagner le reste de l’Europe sans frontières… Une Europe où, dans de nombreux pays comme l’Angleterre, la France, la Belgique, les Pays-Bas, l’Allemagne, les nations scandinaves, les quartiers communautarisés, en proie au prosélytisme fondamentaliste, le terroriste se trouve comme un poisson dans l’eau. Une Europe frappée par des vagues migratoires qui ne vont qu’en augmentant, immigration-invasion qui empêche mécaniquement toute assimilation.

    Invité sur les chaînes d’information pour commenter cet attentat, le spécialiste de l’Islam Gilles Kepel, est venue hier soir délivrer ses analyses qui, à  défaut d’être originales sont souvent factuelles et parfois de bon sens. Une autorité suffisamment reconnue pour avoir été invitée, comme Emmanuel Macron avant lui, par le club Bilderberg en 2015. Mais si M. Kepel jouit d’un accès médiatique privilégié c’est aussi pour son petit crachat rituel sur le FN, qui,  dans les circonstances actuelles, prend un caractère particulièrement répugnant.

    Il a de nouveau martelé un discours consistant à affirmer que le vote FN ferait les affaires, favoriserait les plans des djihadistes, antienne reprise sans ciller par M. Macron.  M. Képel le (ré) affirmait pareillement dans Marianne le 2 mai dernier, « le projet explicite des djihadistes (…)  consiste à favoriser la victoire de l’extrême droite, afin de convaincre les musulmans que la France est un pays raciste, que l’intégration est une impasse et qu’il leur faut se rassembler derrière les plus radicaux d’entre eux. L’intention est clairement indiquée dès 2005 dans le manifeste d’Abou Moussab al Souri, Appel à la Résistance Islamique Globale. On peut y trouver l’inspiration des attentats de Montauban et Toulouse, jusqu’à Paris et Nice, qui prévoit plusieurs étapes dans la montée d’une guerre civile sur une base politico-religieuse, dont celle de faire croître exponentiellement le vote d’extrême droite par des attentats de masse conçus comme des provocations destinées à fracturer la société. Dans cette perspective, les élections présidentielle et législatives de 2017 apparaissaient pour l’Etat islamique comme l’occasion de prendre le débat politique en otage ».

    Loin de cette analyse partiale, grossière et biaisée là, il serait certainement plus légitime de penser que le débat politique est pris en otage par une caste politico-médiatique qui diabolise toutes celles et ceux qui, prenant en compte  les bouleversements géopolitiques, l’assomption d’un totalitarisme islamiste conquérant s’appuyant sur l’explosion démographique des pays du sud, alertent des dangers de immigration non contrôlée, remettent en cause l’angélisme progressiste, la viabilité du  modèle des sociétés  béatement ouvertes et  multiculturalistes.

    C’est justement le refus des mesures préconisés par ce que Gilles  Kepel appelle comme les islamistes l’extrême droite, qui conduira demain à la fracturation irréversible de notre société, à la victoire des islamistes, possiblement rendue possible, si rien n’est fait, par le désarmement moral, intellectuel, législatif des peuples européens. 

    https://gollnisch.com/2017/05/24/avant-quil-ne-soit-trop-tard-monsieur-kepel/

  • Fracture Est/Ouest dans l’Union européenne sur l’immigration

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    8868-20170526.jpgPour Viktor Orbán, il est clair que la résolution votée le 17 mai par le Parlement européen (393 voix pour, 221 contre et 64 abstentions) pour demander le déclenchement de l’article 7 contre son pays est principalement motivée par son refus des quotas d’immigrants clandestins. L’article 7, qui peut priver un pays membre de ses droits en cas de violation des principes fondamentaux de l’UE, nécessitera toutefois l’unanimité de tous les autres gouvernements. La Pologne a déjà promis qu’elle s’y opposerait.

    Le 16, c’était le commissaire européen chargé des Affaires intérieures, le Grec Dimitris Avramopoulos, qui menaçait de sanctions la Pologne, la Hongrie et l’Autriche pour n’avoir encore accueilli aucun immigrant clandestin dans le cadre du fameux système de relocalisation. Le 18, les députés au Parlement européen demandaient l’accélération de la relocalisation des immigrants clandestins. Hormis Nadine Morano, tous les députés LR français ont voté pour, démontrant ainsi qu’en dépit du programme de François Fillon pour la présidentielle, ils continuent de soutenir l’immigration de masse.

    Dans leur résolution de mercredi contre la Hongrie, les députés européens demandaient d’ailleurs entre autres choses « l’abrogation, par le gouvernement hongrois, des lois restreignant les règles pour les demandeurs d’asile et les organisations non gouvernementales ». Ces lois, alliées à la double clôture frontalière édifiée à grands frais par la Hongrie, permettent justement à Budapest de lutter efficacement, pour le plus grand bien de tous les Européens, contre l’immigration illégale, ce qu’Athènes et Rome refusent de faire.

    On le sait, la tâche des pays chargés de surveiller les frontières extérieures de l’UE a été rendue particulièrement ardue par la chancelière allemande Angela Merkel qui a ouvert en grand les portes de l’Allemagne en 2015. C’est justement la raison pour laquelle le Polonais Jarosław Kaczyński a répondu lundi aux eurocrates que c’est l’Allemagne, et non la Pologne, qui doit en supporter les conséquences aujourd’hui.

    A l’opposé de la Pologne, de la Hongrie et de la plupart des pays d’Europe centrale et orientale, Autriche comprise, qui demandent une politique à l’australienne pour stopper l’immigration illégale, le nouveau président français a promis ce week-end au Premier ministre italien Paolo Gentiloni que Paris allait désormais faire preuve d’une plus grande solidarité avec Rome dans l’accueil des « migrants ». Une solidarité qui ne peut qu’inciter toujours plus de « migrants » à tenter leur chance.

    Olivier Bault

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 24 mai 2017

    https://fr.novopress.info/205920/fracture-estouest-dans-union-europeenne-sur-immigration/

     

  • L’Europe en guerre contre l’islamisme

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    Saffie Rose Roussos, 8 ans, victime du terrorisme à Manchester

    Que pouvons-donc nous faire ? D’abord, commencer par arrêter l’immigration massive provenant de pays à majorité musulmane.

    L’islamisme livre une guerre au monde, à l’Europe et à la France. Pas une semaine sans qu’il ne frappe, semant sur son passage des cortèges de morts innocents, de blessés et de familles brisées. Ses séides visent volontairement les foules confinées dans des endroits de faible superficie, pour tuer le plus possible. Ils n’hésitent pas à viser des adolescents, et même des enfants, comme en témoigne le dernier attentat en Angleterre. À 22 h 23, le lundi 22 mai, une bombe a explosé lors d’un concert de la chanteuse Ariana Grande à la Manchester Arena, l’une des plus grandes salles de concerts du continent.

    L’État islamique a, depuis, revendiqué l’attaque, qui a causé la mort de plus d’une vingtaine de personnes, souvent très jeunes, et blessé plusieurs dizaines d’autres. Il s’agit de l’attentat le plus meurtrier commis sur le sol britannique depuis les attentats du métro de Londres du 7 juillet 2005. Le terroriste aurait utilisé un engin explosif improvisé et n’aurait pas eu de complices pendant le déroulement de l’opération. A-t-il bénéficié d’un réseau ou est-il un « loup solitaire » ? Actuel Premier ministre, Theresa May a indiqué que l’enquête pourrait prendre du temps. Pour l’heure, nous savons qu’il s’appelle Salman Abedi, qu’il est de nationalité britannique et originaire de Libye.

    Il faut bien mesurer les difficultés techniques que posent les terroristes islamistes. Le risque zéro absolu n’existe pas. 

    Nos services de renseignement, en France comme au Royaume-Uni, sont particulièrement performants mais ne peuvent pas surveiller l’intégralité des profils inquiétants, tant ils sont aujourd’hui nombreux. Dès qu’une communauté musulmane importante se trouve dans un pays majoritairement chrétien, bouddhiste ou bien encore hindouiste, elle enfante une marge violente. On le constate partout, y compris dans des pays dont les législations sont considérées comme bien plus dures que les nôtres, à l’image de la Chine ou de la Russie qui ne parviennent pas non plus à juguler le phénomène.

    Que pouvons-donc nous faire ? D’abord, commencer par arrêter l’immigration massive provenant de pays à majorité musulmane. Ensuite, s’attaquer aux prédicateurs musulmans qui propagent une vision guerrière, revancharde ou arriérée de cette religion. Les salafistes ne sont pas tous terroristes, mais leur idéologie religieuse est souvent un sas d’entrée pour les jeunes musulmans occidentaux, convertis ou reconvertis, vers un islam de haine, rigoriste et excluant. Nous avons l’impératif collectif de dire la vérité. Les terroristes ne sont pas des « kamikazes » mais des mudjahidins, des assassins. Enfin, donner encore plus de moyens à ceux qui s’activent sur le terrain, en France comme à l’étranger : nos soldats au Mali, nos forces spéciales en Libye et en Syrie, la DGSE, la DGSI, les Renseignements généraux, les gendarmes et les policiers. Ce combat se joue autant ici qu’au Moyen-Orient et en Afrique.

    Theresa May a promis de s’attaquer aux racines du mal, souhaitant notamment relever la taxe sur les entreprises qui emploient des non-Européens. De la sorte, elle supprimera une pompe aspirante. Elle est sur la bonne voie : celle que nous devrions suivre le plus rapidement possible.

    http://www.bvoltaire.fr/leurope-guerre-contre-lislamisme/

  • Manchester pleure ses enfants - Journal du mercredi mai 2017

  • La rançon de la décadence

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    Bernard Plouvier

    Depuis 2012, les attentats des fous furieux du dénommé allah se sont multipliés à rythme accéléré, devenant de plus en plus meurtriers. Avec des explosifs artisanaux ou volés dans les dépôts militaires (grâce à des complicités internes), avec des armes automatiques dont tous les voyous sont pourvus, ou par des moyens aussi rudimentaires, mais très efficaces, qu’un camion-bélier, les terroristes pulvérisent les records annuels de victimes.

    Le trafic d’armes alimente le fanatisme politico-religieux et se nourrit du trafic de stupéfiants. Chacun sait ou devrait savoir que les preux chevaliers du sieur allah sont de gros négociants de haschich et d’héroïne (appelée « larme d’allah » en Afghanistan).

    Les complicités intérieures ne peuvent que se multiplier en Europe occidentale et scandinave où l’on accepte des islamiques dans les forces armées, la police, la gendarmerie ou le gardiennage de prison… et tout le monde se souvient (ou devrait le faire) d’une gendarmette française de souche permettant à son amant candidat terroriste d’accéder à un QG de la Gendarmerie nationale.

    Pourquoi les terroristes se gêneraient-ils ? Ceux qui meurent en tuant de « l’infidèle » se croient assurés d’aller immédiatement au paradis de leur sanguinaire divinité. Ceux qui s’échappent sont assurés de n’être pas exécutés, puisque les mols Européens ont partout aboli la peine de mort.

    Quant aux services de renseignements, on entend systématiquement leurs patrons se glorifier, lors d’un nouvel attentat, prétendant en avoir déjoué « plus d’une dizaine d’autres », ce qui fait une maigre consolation aux victimes estropiées à vie et aux familles des morts.

    En supposant même que les porte-parole des barbouzes soient honnêtes, tout nouvel attentat témoigne d’une faute grave, voire d’une chaîne d’incompétences… un médecin a beau soigner parfaitement 999 malades curables, il n’en sera pas moins condamné si un millième patient atteint de maladie curable meurt prématurément, faute de diagnostic précoce et de mesure thérapeutique adéquate, et c’est justice.

    Vivre hors des frontières de l’Europe permissive – celle où l’on accueille sans tri réel tous les immigrants venus de terres islamiques – ne met pas à l’abri des tueurs d’allah. Brexit ou pas, les Britanniques viennent d’en recevoir la preuve, sanglante autant qu’évidente.

    En outre, la honteuse Collaboration avec le nouvel Occupant n’est pas non plus un gage de sûreté. Avoir élu maire de Londres un mahométan à la femme voilée ne réduit nullement le risque… et c’est logique puisque le calife Abou Bakr II a changé les règles du Djihâd : un tueur d’allah peut faire disparaître des mahométans du monde des vivants, puisque la divinité est censée reconnaître les siens.

    Stimulé par le pétrodollar, l’islam authentique - c’est-à-dire la religion violente où le Djihâd est exigé de tout mahométan en bonne santé - connaît une vigueur accrue et porte la guerre là où ne règne pas la charî’a, soit dans le Dâr al-Harb où précisément nous autres, Européens, vivons.

    Dans une guerre, l’alternative est simple : ou l’on se bat, ou l’on se couche et on lèche les pieds de son maître. Depuis les années 1980, les Européens se vautrent dans la grotesque repentance coloniale, alimentent en devises les pays exportateurs de tueurs par un tourisme absurde autant que dangereux, accordent les droits civiques à une foule d’immigrants dont on ne sait rien, engagent une énorme 5eColonne mahométane dans leurs soi-disant forces de l’ordre et de la prévention, tolèrent viols, assassinats, vols et vandalisme, tout en finançant la consommation parasite d’immigrés-chômeurs.

    On imagine facilement ce qu’aurait pu être la réaction de l’ultranationaliste Charles De Gaulle ou celle de l’égoïsme britannique incarné Winston-Spencer Churchill face à ce genre de situation récurrente.

    L’on ne sait que trop ce qu’est la réaction des mollassons d’Europe occidentale et scandinave, de nos jours : pleurs & gémissements, crises d’hystérie devant les caméras et dépôts d’une quantité impressionnante de fleurs… en plus des mensonges grotesques des « autorités musulmanes » implantées en Europe.

    Face à la plus immonde barbarie et à l’obscurantisme religieux, les Européens réagissent en veaux et en vaches. Nous ne sommes que les descendants dégénérés, mous et aveulis des hommes de 14-18 et de 39-45.

    Les terroristes, lâches et immondes, ne sont nullement des surhommes. Ce sont intellectuellement des sous-doués, qui vivent en plein Moyen-Âge. Mais, en face d’eux, ils ne trouvent que les détritus de la décadence : nous !

  • Manchester… Qui sont les stratèges de la terreur globale ? Réponse à Michel Drac.

  • Manchester : théâtre de l’horreur - Journal du mardi 23 mai 2017

  • Notre peuple est en face de menaces définitives : Remplacement culturel, destruction territoriale.