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Europe et Union européenne - Page 616

  • Autriche : la droite se réorganise pour les élections législatives du 15 octobre

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    8866-20170523.jpgLes élites politico-médiatiques européennes pensaient peut-être pouvoir reprendre un peu leur souffle après la défaite de Marine Le Pen aux élections présidentielles françaises, mais il n’en sera pas ainsi.

    Après la démission du vice-chancelier et leader du parti ÖVP Reinhold Mitterlehner, le parti de centre-droit s’est choisi il y a une semaine, comme nouveau leader, le jeune ministre des Affaires étrangères Sebastian Kurz, 30 ans, et a décidé de mettre fin à sa coalition avec les sociaux-démocrates (SPÖ) dirigée par le chancelier socialiste Christian Kern.

    Avant d’accepter de prendre la tête de son parti, le jeune ministre, comparé au Français Emmanuel Macron et qualifié comme lui par certains médias de « gendre idéal », a exigé qu’il lui soit donné carte blanche pour définir la stratégie électorale et désigner les candidats. Aux élections présidentielles de 2016, qui avaient vu le candidat du parti national-conservateur FPÖ échouer de peu au deuxième tour, les deux partis de gouvernement avaient été éliminés dès le premier tour. Pour aborder ces élections législatives convoquées pour le15 octobre prochain, Sebastian Kurz a imposé la marque « Sebastian Kurz – le Nouveau parti populaire ». Le nom du parti, ÖVP, ne figurera même pas sur les bulletins de vote, et c’est encore une chose qui le rapproche du nouveau président français aux yeux des médias.

    Mais à la différence d’Emmanuel Macron, Sebastian Kurz a bâti sa popularité en critiquant la politique d’ouverture aux immigrés d’Angela Merkel, et les élections de l’automne prochain pourraient bien déboucher sur une coalition entre son parti et le FPÖ qualifié « d’extrême droite » par l’establishment.

    Le FPÖ, allié du FN au Parlement européen, est en tête dans les sondages, et une majorité ÖVP-FPÖ au parlement semble tout à fait probable. Une telle coalition a déjà gouverné l’Autriche de 2000 à 2005, ce qui avait provoqué des sanctions de la part de l’Union européenne. Ces sanctions n’avaient aucun fondement légal et avaient conduit à prévoir un mécanisme de sanction formalisé dans le traité de Lisbonne. Mais ce mécanisme nécessitant l’unanimité des Etats membres hormis le pays mis en accusation, il sera difficilement applicable alors que le Parlement européen a déjà appelé mercredi à ce qu’il y soit recouru contre la Hongrie et alors que la Commission européenne envisage aussi de l’utiliser contre la Pologne.

    En arrière-plan dans les trois cas (Autriche, Hongrie et Pologne), il y a le refus de la politique immigrationniste de Bruxelles, Berlin, Paris et Rome.

    Olivier Bault

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 23 mai 2017
    (titre originel : « Elections anticipées en Autriche »)

    https://fr.novopress.info/205911/autriche-la-droite-se-reorganise-pour-les-elections-legislatives-du-15-octobre/

  • Combat pour la vie : à l’Est, il y a du nouveau !

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    Après la Roumanie, la Pologne et la Moldavie c’est en Croatie que des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue contre l’avortement.

    Après la Roumanie, la Pologne et la Moldavie en mars, samedi dernier, c’est en Croatie que des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue pour manifester contre l’avortement. Derrière des banderoles : « Pour la vie, la famille et la Croatie », les manifestants pro-vie ont voulu réaliser une démonstration de force à la veille des élections municipales et rappeler que la vie doit être « respectée de son commencement jusqu’à sa fin ». Les pro-vie sont très bien organisés en Croatie : sur Internet, dans la rue et parmi les intellectuels. Même Sanja Orešković, la femme de l’ex-Premier ministre, a accompagné les marcheurs et rappelé son attachement à la défense de la vie. Pour elle, « toute personne raisonnable doit soutenir la Marche pour la vie ».

    D’après l’OMS, il y avait 701 avortements pour 1.000 naissances en Croatie en 1980, mais grâce au combat des militants pro-vie, le chiffre est descendu à 76 en 2014. C’est le taux le plus bas des Balkans par rapport à 416 en Bulgarie, 401 en Roumanie ou 259 en Serbie.

    Pour ces militants, le combat n’est pas encore terminé : en début d’année, la Cour constitutionnelle croate avait rejeté une demande de révision de la loi autorisant l’avortement mais avait néanmoins demandé au Parlement de préparer sous deux ans une nouvelle loi sur l’avortement. En Croatie, l’objection de conscience est légale et la moitié, seulement, des médecins qui peuvent faire des avortements acceptent de le faire.

    Alors qu’en France nos dirigeants veulent nous empêcher de tout simplement réfléchir aux alternatives à l’avortement par le « délit d’entrave à l’IVG », à l’Est, c’est le contraire et le débat est remis sur la place publique, où les peuples se demandent en toute conscience ce que l’avortement peut bien leur apporter de positif. Cette vague profonde n’est pas limitée à la Croatie et on voit de nombreuses initiatives fleurir de l’autre côté de l’ex-rideau de fer en Slovénie, en Pologne ou en Russie, où l’avortement est de plus en combattu, au point que certains ne sont pas loin de vouloir l’interdire formellement. C’est précisément ce qu’a demandé le représentant du patriarche Cyrille de Moscou, qui a récemment exhorté la commission parlementaire pour la protection des valeurs chrétiennes à défendre la famille chrétienne et à purement et simplement interdire l’avortement et à commencer tout de suite par son déremboursement de la Sécurité sociale. Pour ces pays c’est une question de cohérence avec le renouveau spirituel chrétien qui touche toute la société, mais c’est également une question de survie. Les taux de fécondité des peuples de l’Est sont parmi les plus bas du monde (1,27 en Bosnie-Herzégovine ou 1,43 en Serbie, par rapport à 5,33 en Afghanistan ou 6,76 au Niger). Si les familles ne s’étoffent pas très rapidement, ces peuples sont voués à tout simplement… disparaître.

    http://www.bvoltaire.fr/combat-vie-a-lest-y-a-nouveau/

  • Attentat au concert d’Ariana Grande à Manchester : 19 morts et 59 blessés

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    Il était 22 h 30 hier soir à Manchester (23 h 30, heure de Paris) quand une explosion s’est produite à la Manchester Arena à l’issue du concert de la chanteuse américaine Ariana Grande qui avait réuni 20 000 personnes. Selon le dernier bilan, l’attentat – car le caractère terroriste ne fait aucun doute – a fait 19 morts et au moins 59 blessés. Si l’identité des victimes n’a pas été communiquée, il est à craindre qu’il s’agisse principalement de très jeunes gens, adolescents voire enfants, qui constituent l’essentiel du public d’Ariana Grande.

    Selon les premières constatations, l’attentat a été commis au moyen d’un sac empli de TATP (triacetone triperoxide), l’explosif préféré des salopards de l’Etat islamique, auquel avait été adjoint des vis et boulons. « Des témoins ont raconté que des visages d’enfants se déchiraient lorsque l’explosion a eu lieu. »

    MAJ 8 h 10 : Le bilan provisoire vient d’être porté à 22 morts et plus de 60 blessés.

    https://fr.novopress.info/205902/attentat-au-concert-dariana-grande-a-manchester-19-morts-et-59-blesses/

  • Accueil des clandestins en Europe et condition de la femme : une équation impossible

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Le Parisien du 18 mai nous livre un témoignage glaçant sur le quotidien cauchemardesque des femmes du XVIIIe arrondissement de Paris depuis l’installation des clandestins

    Le constat est sévère, tranchant, et figure le quotidien d’une France occupée par l’islam radical et les clandestins : insultes, harcèlement, viols, vols, trafics, bagarres, alcoolisme. En France, en plein cœur de Paris, dans le XVIIIe arrondissement, les femmes sont abandonnées à l’obscurantisme islamique et privées de leurs droits les plus élémentaires.

    Cela a commencé il y a plus d’un an, au moment où l’Union européenne, Angela Merkel en tête, décide de l’accueil des premiers flux d’envahisseurs africains

    Désormais, les femmes ne sont plus libres d’aller dans les cafés, les restaurants, les parcs, de se vêtir, de circuler dans les rues, ni même d’emprunter les trottoirs… Certaines ont même renoncé à sortir de chez elles suite à des viols. Les femmes le savent, porter plainte ne sert à rien et même si la présence policière a été renforcée, elle est trop peu efficace pour assainir le quartier.

    La faute à la lâcheté de nos politiques, qui sont à genoux devant l’islam pour des raisons électoralistes

    On observe une absence de réaction des élus, trop soumis à Bruxelles et tétanisés par le politiquement correct. On constate également que ces clandestins, qui véhiculent un soubassement culturel et cultuel ont des mœurs incompatibles avec les nôtres. Pour eux la femme est un être inférieur, propriété d’un homme.

    Cependant, parce qu’ils sont riches et puissants, les oligarques mondiaux qui commandent cette invasion depuis leur tour d’ivoire, sont eux protégés de ce marasme. En 2017, l’Europe compte accueillir encore 3 millions d’immigrants économiques. Cela se fera au détriment de notre liberté, de notre culture, de notre civilisation. La situation du XVIIIe arrondissement de Paris pourrait bien être une projection de ce que sera la France dans les années à venir.

    https://fr.novopress.info/205894/accueil-des-clandestins-en-europe-et-condition-de-la-femme-une-equation-impossible/

  • Marine Le Pen et un possible départ de Florian Philippot

    La question de la monnaie unique divise le Front National. La déclaration, il y a quelques jours, de Florian Philippot de quitter le parti si la sortie de l’Euro était abandonnée suscite des remous au sein du mouvement frontiste.

    Tandis que le numéro trois du parti, Nicolas Bay, parle de « chantage », Marine Le Pen, interrogée ce matin dans l’émission de 8 h 30 de France Info, estime quant à elle que son bras droit «exprime une conviction qui est une conviction forte et après tout, il ira au bout de ses convictions ». « Si, demain, les adhérents du FN décidaient qu’on doit abandonner cette partie-là, il ne se sentirait plus en accord avec ses convictions, je trouve que c’est tout à son honneur », a déclaré la dirigeante frontiste qui a renvoyé le débat au prochain congrès du FN.

    Marine Le Pen refuse de parler à l’antenne de ce sujet qui sème la discorde entre les cadres et les élus du FN.

    « C’est un chantier que nous ouvrirons après les législatives car ce n’est pas un sujet législatif, c’est un sujet présidentiel », a répété l’eurodéputée aux journalistes qui insistaient pour qu’elle se prononce sur la sortie ou non de l’Euro. Le congrès du FN, prévu fin 2017 début 2018, a-t-elle ajouté « est le moment où on discute de tout cela. (…) Il n’y a pas de tabou au FN, tout le monde pourra s’exprimer, dire ce qu’il a à dire, et ce sont les adhérents du FN qui effectuent les grands choix politiques et stratégiques dans notre pays » concernant le programme frontiste. « Il faut faire de la pédagogie et expliquer aux Français en quoi la souveraineté de la France est un élément essentiel à la maîtrise de notre économie », selon Marine Le Pen.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/marine-le-pen-et-un-possible-depart-de-florian-philippot/74349/

  • Thomas Wauquier « 1995 2015 savoir tirer les leçons des guerres balkaniques »

  • Les frontières fermées aux migrants ? Oui, mais seulement quand le G7 est concerné !

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    EUROPE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Fermer les portes de l’Europe n’est pas impossible ! En effet, les clandestins seront interdits de débarquement sur tout le territoire de la Sicile pendant le G7. Quelque 8 000 policiers et militaires en assureront la sécurité.

    Depuis le 10 mai, l’Italie a même suspendu l’application de Schengen, comme le prévoit l’accord européen lors d’événements importants requérant une sécurité renforcée et la possibilité d’opérer des contrôles aux frontières.

    Les autorités redouteraient elles que des islamistes se mêlent au flux des réfugiés ? C’est pourtant ce qu’elles réfutent depuis quelques années…

    https://fr.novopress.info/

  • Lancement de l’ONG « Defend Europe » pour bloquer les bateaux de migrants

    Chaque semaine, chaque jour, chaque heure, une invasion se déroule sous nos yeux.
    Des bateaux remplis de clandestins affluent sans cesse en direction de l’Europe.
    Cette immigration massive change le visage de notre continent. Notre futur est en jeu.

    Tout commence ici, aux frontières de l’Europe. C’est ici que les clandestins arrivent. C’est ici que les ONG et autres trafiquants d’êtres humains font leurs affaires sur le dos des clandestins. C’est ici que nos gouvernements ont échoué et nous ont trahi par leur laxisme et parfois leur complicité. Et puisque tout a commencé ici, c’est également ici que cela doit prendre fin.
    Venant de toute le continent, nous nous sommes rassemblés en Sicile et notre mission est simple : Défendre l’Europe.
    Nous voulons démasquer l’imposture des ONG : elles agissent à l’unisson avec les trafiquants humains qui vivent de la misère des hommes.
    Nous voulons protéger nos pays de l’immigration illégale et si besoin tenir tête en mer aux bateaux des ONG tel que l’Aquarius.
    Nous préparons une grande mission de sauvetage en Méditerranée, une mission pour sauver l’Europe de l’immigration clandestine. Nous voulons rassembler une équipe de professionnels, affréter un grand bateau et naviguer sur la mer Méditerranée pour contrecarrer les bateaux de ces contrebandiers humains. Si nous rencontrions des clandestins en détresse, nous leur viendrions bien évidemment en aide en les raccompagnant jusqu’aux côtes africaines. Pour commencer notre mission, nous avons besoin de votre aide. Les ONG bénéficient de beaucoup d’argent de la part les gouvernements et organismes pro-immigration. Nous ne dépendons que de vous pour financer cette mission et participer à la sauvegarde de notre civilisation.

    Defend Europe

    http://www.fdesouche.com/853485-lancement-de-long-defend-europe-pour-bloquer-les-bateaux-de-migrants

  • Vers des élections législatives anticipées en Autriche

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Dimanche dernier, Sebastian Kurz (photo), a été désigné à la tête du Parti populaire (ÖVP), au positionnement chrétien-conservateur. Agé de 30 ans, le ministre autrichien des Affaires étrangères a annoncé dans la foulée qu’il mettrait un terme à l’actuel gouvernement de coalition avec les sociaux‑démocrates (SPÖ), ce qui va entraîner la tenue d’élections législatives anticipées à l’automne prochain.

    L’an dernier, l’élection présidentielle avait permis au Parti de la Liberté (FPÖ) de réaliser un score historique de près de 50 % des voix en mai, ramenés à 46 % en octobre.

    Mais Sebastian Kurz veut aller vite et profiter de sa grande popularité. Les sondages lui prêtent chez les électeurs une confiance supérieure à celle de l’actuel chef du gouvernement ou à celle du dirigeant du FPÖ. D’après le chercheur du CNRS Patrick Moreau, Kurz « veut casser le système en profitant de sa jeunesse » : « Il n’a pas d’offre idéologique précise et reste très mobile pour dépasser les clivages traditionnels ».

    Surnommé le Wunderkind, c’est‑à‑dire l’enfant prodige, Kurz est encensé par la presse et apprécié de la population. Il a eu une ascension spectaculaire. Bien qu’il n’ait pas terminé ses études de droit, il était nommé à tout juste 24 ans secrétaire d’État à l’Intégration. Il se sera fait remarquer en travaillant, avec les pays des Balkans, à la fermeture de la frontière aux migrants entre la Macédoine et la Grèce. Il aura été le seul ministre des Affaires étrangères de l’UE à refuser l’adhésion de la Turquie. Enfin, il soutient fermement le chef du gouvernement hongrois Viktor Orban.

    Sebastian Kurz, déjà qualifié par certains de « Macron de droite », pourrait‑il redessiner le paysage politique autrichien ? Sa stratégie sera de séduire les citadins et les musulmans, peu acquis à son parti, afin d’en renouveler les réserves de voix. Malgré tout, avec le système électoral à la proportionnelle intégrale, il devra former des alliances, notamment avec le Parti populiste de droite qui trouve ici l’occasion de revenir au pouvoir. Les derniers sondages donnent les trois principales formations, ÖVP, SPÖ et FPÖ, dans un mouchoir de poche, entre 26 et 28 % des suffrages chacune.

    https://fr.novopress.info/

  • Accueil de migrants : l’Union européenne menace la Hongrie et la Pologne

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    Les autorités hongroises, peu impressionnées, ont déclaré que le pays conservera sa législation stricte en matière migratoire et sa clôture frontalière.

    La Hongrie et la Pologne sont, une nouvelle fois, dans le collimateur des instances de l’Union européenne pour leur refus d’accueillir des migrants.

    Alors que l’Union européenne tente d’imposer à ses États membres la prise en charge de « réfugiés » arrivés en Grèce et en Italie, des pays d’Europe de l’Est refusent depuis des mois de se soumettre à ses injonctions.

    Le commissaire européen aux Migrations Dimítris Avramópoulos a réitéré, ce mardi 16 mai 2017, les demandes de l’Union européenne en fixant, cette fois, une date butoir : si la situation perdure en juin 2017, la Commission n’hésitera pas à ouvrir des procédures d’infraction qui pourraient conduire à des sanctions financières contre les récalcitrants.

    La Pologne, dirigée par le Premier ministre conservateur madame Beata Szydło, et la Hongrie, du Premier ministre démocrate-chrétien Viktor Orbán, sont particulièrement visées car elles n’ont pas, jusqu’à présent, accepté la moindre relocalisation de migrants depuis la Grèce ou l’Italie.

    Le mercredi 17 mai 2017, le Parlement européen a accepté, à une courte majorité, une motion visant à ce que la Hongrie fasse l’objet de l’activation d’une procédure prévue au sein de l’article 7 du traité de l’Union européenne visant à vérifier le respect de l’État de droit dans ce pays et pouvant éventuellement déboucher, en fin de course, sur le fait que ce dernier soit privé de droit de vote. Bien que la probabilité de voir cette requête aboutir soit extrêmement faible, celle-ci constitue le franchissement d’un nouveau cap, car une telle demande n’a jamais été réalisée auparavant par les élus européens. Elle montre l’exaspération d’une partie d’entre eux face aux mesures mises en place en Hongrie afin de protéger la population des effets néfastes de l’immigration de masse et des attaques de l’oligarchie mondialiste : construction d’un mur sur la frontière sud, projet de loi visant à renforcer le contrôle sur les organisations non gouvernementales bénéficiant de financements étrangers, loi sur les universités étrangères visant à la fermeture de l’université du milliardaire George Soros, placement en centre fermé de demandeurs d’asile…

    Les autorités hongroises, peu impressionnées, ont déclaré, ce jeudi 18 mai 2017, que le pays conservera sa législation stricte en matière migratoire et sa clôture frontalière.

    Écrivain et journaliste belge francophone Son blog