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Depuis plusieurs jours, suite au meurtre effroyable au couteau, de trois fillettes et d’une dizaine de blessés, certains gravement, par le fait d’un individu de 17 ans d’origine rwandaise dans un club de danse dans la ville de Southport, une vaste colère populaire s’est emparée du pays et des émeutes ont éclaté dans de nombreuses villes, notamment des cités pauvres comme Liverpool et Bristol, mais aussi dans des quartiers de Londres.
Une montée en puissance de l’AfD jusqu’à 25 % – 30 % des voix ferait basculer l’Allemagne vers une Europe des nations pro-russe.
La France ne peut que se désespérer d’une Allemagne droit de l’hommiste SPD et CDU, totalement aliénée à l’Amérique et à l’OTAN. Dans l’ancienne RDA, l’AfD catalyse les colères anti-immigration : 61 % des Allemands contre 40 % des Français considèrent, selon un sondage DFI que l’immigration présente plus d’inconvénients que d’avantages. L’Allemagne souffre aussi de ses erreurs énergétiques. Le colosse allemand est en train de trébucher et sa prospérité est en danger.
Vous connaissez la phrase de Benjamin Franklin selon laquelle ceux qui sont prêts à acheter une sécurité temporaire au prix de libertés essentielles ne méritent ni l’une ni l’autre.
Bien que cette phrase soit généralement citée pour défendre la liberté, elle présente toujours les deux valeurs en question, à savoir la liberté et la sécurité, comme un compromis délicat.
C’est moins vrai aujourd’hui. Peut-on douter que les actions irréfléchies et la négligence gratuite des classes politiques des pays occidentaux constituent une menace bien plus grande pour la sécurité publique que même leurs critiques les plus impulsifs et irrévérencieux ? Après le massacre de jeunes filles à Southport par un immigré rwandais de la deuxième génération, les élites britanniques ont suivi le schéma habituel, se concentrant sur les aspects les plus exacerbés de la réaction à cette atrocité, tout en accusant de “faire de la politique” et d'”attiser les divisions” quiconque met en évidence les racines de cette atrocité dans des décisions politiques désastreuses et évitables.
Polémia prend ses quartiers d’été, tout en gardant un œil attentif sur l’actualité. En attendant la rentrée, en plus des articles inédits que nous continuons à publier, retour sur les articles les plus consultés et les plus appréciés sur Polémia.
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples, La Nouvelle guerre des mondes et Bienvenue dans le meilleur des mondes ♦ La parution, aux éditions de La Nouvelle Librairie[1] de Comprendre la stratégie hongroise, livre de Balázs Orbán[2], juriste, politologue et directeur politique du Premier ministre hongrois Viktor Orbán, tombe à point nommé au moment où, une nouvelle fois, les médias mainstream font le procès de la Hongrie et maintenant de la Slovaquie accusée de suivre son exemple. L’ouvrage, préfacé par Viktor Orbán lui-même, constitue en effet une analyse positive et documentée des réalisations du gouvernement actuel de la Hongrie. Il comporte d’ailleurs un appareil bibliographique et des références très développées[3], à vrai dire aussi intéressantes que le texte lui-même.
Le gouvernement britannique s’apprête à libérer, en avance, plus de 500 places dans les prisons et à mobiliser 6000 policiers spécialisés au lendemain d’une nouvelle soirée émaillée de violences.
L’UE a créé une équipe pour préparer le retour potentiel au pouvoir de l’ancien président américain Donald Trump. Le Financial Times a obtenu des informations sur des plans de Bruxelles pour assurer la continuité de sa politique si l’ex-président des États-Unis revenait à la Maison Blanche. Cette task force craint l’annonce du retrait de l’OTAN des États-Unis tout comme le stop au soutien militaire et financier de l’Ukraine et une guerre économique US contre l’UE avec le candidat républicain.
La Cour constitutionnelle italienne a refusé de reconnaître légalement une identité sexuelle “non binaire”, au motif que cela perturberait l’ensemble du système social et juridique italien.
La France n’est plus le seul paradis des traîtres et des collabos. Après les assassinats d’enfants au couteau, et les innombrables crimes de sang commis par les islamistes, le gouvernement socialo-pourri des Brittons, loin de partager la colère et l’indignation de son peuple, tape dessus pour protéger les nouveaux maîtres du pays.
L’Angleterre est en train de devenir le laboratoire de la souffrance des populations européennes, confrontées à la progression des populations de confession musulmane en leur sein. L’étincelle aura été le meurtre de trois fillettes en début de semaine, par, très probablement, un jeune issu de l’immigration. Ce pays on se souvient, a déjà fait face à de très nombreux actes sordides perpétrés par des hommes issus de l’immigration et de confession musulmane, comme, il y a quelques années, le gang des pakistanais qui avait réduit en esclavage sexuel des dizaines de jeunes femmes. Egalement, de très nombreuses grandes villes sont dirigées par des maires musulmans et statistiquement, la population d’origine est en minorité numérique dans plusieurs endroits du territoire désormais et, au niveau global, la religion musulmane est devenue la première en nombre de fidèles, devant la religion chrétienne de la population d’origine. Le tout sur fond de délinquance galopante : coups de couteaux, attaques à l’acide, violences sur la voie publique, cambriolages, qui rendent la vie des Anglais insupportable. S’en est suivi un phénomène de migration interne appelé White-Flight, qui a consisté en une fuite de la population blanche depuis certains quartiers de Londres devenus investis majoritairement par des populations rapportées. Ces phénomènes devancent en intensité, en Angleterre, des phénomènes de moindre ampleur, mais tout aussi comparables en France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas et plus globalement dans l’ensemble des pays européens.