
Comme nous l’avons déjà évoqué, le wokisme ne fait pas vendre et certaines entreprises américaines en sont revenues. Ce compte X dresse un état des lieux.
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Comme nous l’avons déjà évoqué, le wokisme ne fait pas vendre et certaines entreprises américaines en sont revenues. Ce compte X dresse un état des lieux.
Je vous invite, là encore à écouter la chaîne LCI… qui nous ne nous avait pas habitué à autant de “recul” sur les évènements depuis quelques années maintenant !
En gros les sanctions ne marchent pas.
Pire, nous en sommes les principales victimes.
Tout cela, je vous le disais déjà il y a … deux ans !
Que de temps perdu.
Que de richesses envolées.
Que de dettes qu’il nous faudra payer.
Chronique de Paysan Savoyard (n° 329 – Octobre 2024)
Nous l’avons dit à plusieurs reprises : le Système au pouvoir est de nature totalitaire (voir cette chronique, celle-ci, celle-ci). La recension des événements intervenus depuis notre chronique précédente sur ce thème le démontre une fois encore.
Les politiques conduites par le Système sont entièrement guidées par son idéologie, l’humanisme, héritée des Lumières et de la révolution française et composée des principaux axiomes suivants : primat de l’individu, libre et égal aux autres, placé au centre de la société ; universalisme ; matérialisme ; progressisme (voir cette chronique). Animé de ces principes, le Système entend mettre en œuvre une « ingénierie sociale » pour fabriquer une société nouvelle et un homme nouveau. Le Système considère que son idéologie représente le Bien : il est donc pour lui légitime de l’imposer à tous, même lorsque les politiques qui en découlent ne correspondent manifestement pas aux vœux de la population et qu’elles bouleversent en profondeur les conceptions communes et la vie de chacun. Pour imposer son idéologie, le Système veut persuader et s’emparer des esprits, par la propagande omniprésente, le mensonge et la manipulation, le contrôle des médias, l’usage permanent du deux poids deux mesures, l’utilisation d’une novlangue et la réécriture de l’Histoire. L’imposition de l’idéologie du Système et des politiques qui en découlent passent également par la contrainte : limitation de la liberté d’expression, harcèlement des opposants, volonté d’installer un climat de crainte pour s’assurer de la docilité de la population. La toute puissance de l’idéologie, la volonté de remodeler la société et l’homme lui-même, la volonté d’imposer à tous l’idéologie officielle par la persuasion et par la contrainte sont les marques nettes, nous semble-t-il, de ce que nous sommes en présence d’un régime de nature totalitaire.
Michel Festivi
L’Espagne socialo-communiste n’est plus gouvernée, sauf pour réprimer les opposants. Les terribles inondations qui ont ravagé notamment le Levant espagnol l’ont malheureusement démontré, et c’est le peuple, la population qui en a subi les conséquences mortifères, avec près de 250 morts, sans compter les milliers de sans-abris au moment où j’écris ces lignes, et les disparus par dizaines.
Le « roi » des hôtels pour migrants de Grande-Bretagne engrange 4,8 millions de livres sterling par jour et pourrait devenir milliardaire grâce à l’argent gagné en hébergeant des immigrants au Royaume-Uni .
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La Commission Européenne souhaite améliorer la résilience et donc l’état de préparation de l’Europe en termes civils et de défense. C’est dans le cadre de cette préparation aux risques majeurs qu’il va être demandé aux Européens de constituer un stock d’autosuffisance de 72 heures par exemple, faisant entrer la prévoyance dans la culture populaire… et c’est en cela une bonne nouvelle.
Vous savez que je pense la même chose que pensait mon pépé.
Un homme averti en vaut deux, mais un homme préparé en vaut 4.
Selon l’organisation Oxfam, on n’a pas retrouvé la trace de 41 milliards de dollars de financements Climat, dans les bilans de la Banque mondiale. L’audit des financements Climat du portefeuille de la Banque mondiale pour la période allant de 2017 à 2023, montre que 24 à 41 milliards de dollars disparaissent des bilans entre le moment où ils sont alloués et le moment où les projets en question sont clos. Pas une écriture publique claire n’indique l’utilisation réelle de ces sommes et empêche toute forme de bilan comptable concernant ces sommes directement prélevées dans les poches des contribuables des pays riches, particulièrement les Européens. On ne sait même pas si ces milliards ont réellement servis à des aides, ou des projets en rapport avec le changement climatique.
Dans une récente interview accordée à la chaîne autrichienne ServusTV, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a décrit la Hongrie comme une « île conservatrice dans l’océan libéral » de l’Europe, soulignant la position unique du pays en matière de migration, de politique familiale et d’orientations économiques. Ces propos traduisent l’engagement de la Hongrie envers des valeurs conservatrices face à ce qu’Orbán considère comme une domination libérale croissante en Europe.
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
On trouve en Europe orientale un État qui ne devrait pas exister et qui existe pourtant, suite aux facéties tragiques de l’histoire. Naguère désigné comme la Bessarabie du Moyen Âge à 1944, car situé sur la rive occidentale du Dniestr, ce territoire convoité tour à tour par la Russie, l’Empire ottoman et, plus tard, la Roumanie s’appelle aujourd’hui la Moldavie qu’il ne faut surtout pas confondre avec une région historique éponyme, l’une des matrices de la nation roumaine qui s’étendait des Carpates orientales aux berges du Prout. D’une superficie de 33.700 km², cette ancienne république soviétique, la plus pauvre d’Europe, d’où une très forte émigration, partage 450 km de frontières avec la Roumanie, et une frontière commune longue de 940 km avec l’Ukraine.
Les élections législatives se sont achevées en Géorgie. Selon les résultats officiels, c'est le parti au pouvoir Rêve géorgien qui a remporté la victoire. D'après la Commission électorale centrale, après le dépouillement de 99,6% des bulletins, il a obtenu 54,2% des voix, contre 37% pour l'opposition.
L'opposition et la présidente Salomé Zourabichvili ont qualifié les résultats du vote de falsifiés et ont appelé leurs partisans à manifester. Pour les forces soutenues par les États-Unis et l'UE, c'est une réaction attendue et désormais traditionnelle lorsque les résultats des élections ne leur conviennent pas. Reste à savoir quelle politique adoptera la Géorgie.