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Europe et Union européenne - Page 71

  • Portugal : le parti de droite anti-immigration Chega (ça suffit) réalise un score record avec 17% des suffrages et va tripler son nombre d’élus au parlement. “Une nuit historique” pour sa tête de liste, Pedro Pinto (MàJ)

    10/03/24

    Le leader parlementaire de Chega, Pedro Pinto, a déclaré que les projections récemment révélées à la télévision, qui annoncent la victoire de l’Alliance démocratique (NDR : parti de centre droit) et un grand renforcement de son parti, constituent « une nuit historique ».

    “C’est un tournant pour Portugal, avec une victoire de la droite et un grand résultat pour Chega”, a déclaré Pedro Pinto, prédisant que ces élections législatives donneront lieu à “un grand groupe parlementaire ». Sur les 12 députés actuels, le parti dirigé par André Ventura pourrait tripler, voire quadrupler le nombre d’élus, si l’on en croit diverses projections.

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  • Valérie Hayer (Renaissance) : ” Hier Daladier et Chamberlain, aujourd’hui Le Pen et Orban (…) Nous sommes à Munich en 1938″. (Maj : Les historiens dénoncent une « comparaison stupide »)

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    Vu sur F de Souche

    10/03/2024

    À Lille, la tête de liste macroniste a cru bon de dresser un parallèle entre Marine Le Pen et Édouard Daladier, au mépris de toute cohérence historique.

    […] « Hier Daladier et Chamberlain, aujourd’hui Le Pen et Orban. Les mêmes mots, les mêmes arguments, les mêmes débats. Nous sommes à Munich, en 1938 », a lancé la candidate macroniste. Or, si on comprend bien que Valérie Hayer fait référence à ce que l’on appelle « l’esprit munichois » pour fustiger ceux qui appellent à tout céder à Vladimir Poutine dans l’objectif de « sauver la paix » entre Moscou et Kiev, le parallèle dressé entre les acteurs des accords de Munich (Édouard Daladier pour la France et Neville Chamberlain pour la Grande-Bretagne) et Marine Le Pen et Viktor Orban est plus qu’inadéquat.

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  • Economies de guerre

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    Andrea Marcigliano

    Source : https://electomagazine.it/economie-di-guerra/

    En Europe, ou plutôt en Europe occidentale, ce que nous appelons l'Union et qui est en fait l'OTAN - les malins l'appellent le Natostan - les décisions économiques des différents pays sont fortement conditionnées par la guerre.

    Des économies de guerre - normales, pourrait-on dire. Les exigences de la guerre conditionnent, et lourdement, les choix économiques. Les gouvernements belligérants doivent investir dans l'armement. Et, logiquement, trouver l'argent pour le faire. Donc, faire des coupes dans d'autres secteurs. Inévitablement au détriment des citoyens. Coupes dans l'État-providence, surtout. Ou ce qu'il en reste (et il en reste de moins en moins) après l'avènement de l'euro. Et les impositions de Bruxelles.

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  • Fronde de Bellamy, rivalité de Thierry Breton : von der Leyen contestée dans son propre camp

    La semaine dernière, François-Xavier Bellamy a expliqué à Gabrielle Cluzel comment la nomination de von der Leyen à la présidence de la Commission européenne, en 2019, avait constitué une entorse aux pratiques politiques européennes. La tradition voulait que la présidence revienne au candidat désigné avant les élections par le parti vainqueur : en 2019, le PPE (centre droit) était le groupe le plus nombreux, mais ce ne fut pas le Bavarois Manfred Weber qui fut désigné mais Ursula von der Leyen qui sortit du chapeau, sous l'influence d'un Macron désireux de former des majorités plus progressistes. Ce qui fut fait puisque, sur les sujets migratoires et agricoles notamment, c'est la gauche verte et le centre qui ont mené le bal durant cinq ans, Ursula von der Leyen faisant plus que suivre le mouvement. Aujourd'hui, celle qui aspire à un second mandat commence à payer le prix de sa trahison. Et les partis de centre droit sentent qu'ils pourraient eux aussi payer le fait d'avoir joué le jeu de ce « en même temps » bruxello-strasbourgeois.

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  • La macronie tente de truquer un vote. Les preuves en images

    La France est une république bananière.

    Voici comment fonctionne le système politique français aujourd’hui, c’est consternant. Vous allez voir dans la vidéo ci-dessous comment un responsable macroniste fait semblant de compter les votes en arrivant à un résultat qui lui convient. Heureusement qu’une députée LFI lui demande de recompter car l’assemblée comprend vite qu’il y a quelque chose de malsain qui vient de se passer.

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  • L’impératrice. Elle ne veut pas la paix. Accuse les autres de « haine ». Ursula Von der Leyen la folie européenne.

    Ces mots que j’écris ici sont importants. Ils sont hélas pas encore assez compris raison pour laquelle vous devez tous les partager un maximum et au plus grande nombre.

    Les pays, les nations, les empires ne se construisent jamais par la paix. L’histoire nous enseigne que tous les pays, les nations et les empires naissent de la violence et de la guerre. Tous. Cela ne souffre aucune exception.

    La président de la commission européenne se comporte comme une impératrice qui a besoin de la guerre, d’une grande guerre pour faire émerger son Empire et forcer la main à tous vers le grand saut fédéral.

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  • [Tribune] L’insoutenable soutien de Meloni à von der Leyen

    On avait loué la manière dont elle avait pris le pouvoir en Italie, après les dernières élections législatives. Son élection avait fait naître des espoirs chez certains responsables des droites européennes. La fermeté de Mme Meloni sur les sujets sociétaux et les questions migratoires, couplée à sa capacité d’accéder aux responsabilités, promettait des répliques ailleurs en Europe et des lendemains qui chantent pour les conservateurs.

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  • Des mégas-camions… qui ne passeront pas nos mini ronds-points !

    Vu sur Insolentiae

    L’Europe veut autoriser les méga-camions.

    Mais qui dit dit méga-camions, dit méga-infrastructures routières et quand je vois la taille des mini ronds-points que l’on construit partout en France où même les petits camions peinent à passer, nous risquons d’aller au devant de grandes déconvenues.

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  • Nous aurions besoin d’Europe ? Allons donc…

     7 mars 2024

    On se pince en écoutant Valérie Hayer, la tête de liste macroniste pour les prochaines élections européennes, « perroquette » de service, répétant inlassablement des éléments de langage vides de sens, en guise de campagne. 

    La voilà qui explique que l’Europe va garantir la paix face à Poutine, ennemi extérieur qui devrait nous envahir. 

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  • Trump, dernier espoir de l’Europe armée ?

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    La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

    Dans Le Figaro du 9 novembre 2016, Étienne de Montety rappelait à propos de l’élection – surprise à la Maison Blanche de Donald Trump que son patronyme vînt d’un substantif signifiant en anglais « atout ». Il ajoutait aussitôt que le verbe to trump se traduit par « éclipser, ridiculiser, battre, voire l’emporter sur … ». Force est de constater que l’étymologie du nom de famille du 45e président des États-Unis correspond parfaitement à la situation actuelle.

    En campagne pour des élections primaires qu’il survole largement, ayant déjà remporté les scrutins et caucus de l’Iowa, du New Hampshire, du Nevada, des Îles Vierges américaines, de la Caroline du Sud et du Michigan, Donald Trump rêve de battre – à la régulière ! - en novembre prochain un Joe Biden très mal en point. Il a cependant tétanisé les chancelleries occidentales par une sortie dont il est coutumier.

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