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Europe et Union européenne - Page 890

  • Pourquoi les jeunes Européens sont souvent plus « fragiles » dans une société comme la nôtre et comment y remédier

    Il faudrait probablement un livre pour analyser la situation sociale des jeunes hommes européens et plus particulièrement la question de la fragilité d’une partie d’entre eux dans l’environnement violent de la société multiculturelle. Certes, il faut le rappeler, ce phénomène est encore minoritaire mais pourtant bien visible et suscite des réactions agacées, indignées mais, osons le dire, « impuissantes » ou incantatoires. (On pourra lire à ce sujet l'article de Julien Rochedy, président du FNJ, à ce sujet : http://www.bvoltaire.fr/julienrochedy/connaissez-babtou-fragile,35986). 
    Il n’est donc peut-être pas inutile de tenter d’analyser rapidement ce phénomène et d’y apporter des réponses. Un article plutôt inhabituel pour moi mais qui m’est dicté par l’impression de n’avoir rien lu de clair et de pratique sur ce sujet. 
    Une fragilité physique et mentale en environnement multiethnique 
    Tout d’abord, comment se manifeste cette fragilité ? Elle est à la fois physique mais aussi mentale (difficultés à faire face au conflit ou au recours à la force). Elle s’exprime justement dans les situations conflictuelles où l’affrontement physique avec des jeunes issus d’autres « populations » est imminent. « Adversaires » d’autant plus belliqueux que les jeunes hommes européens ne savent pas l’être assez. Au-delà des réactions de moquerie que ce comportement peut engendrer, elle est problématique pour l’idée qu’un jeune Européen se fera de lui-même (complexes et refoulements) et néfaste à sa construction, comme homme, puis, ultérieurement, comme père ou comme membre d’une communauté de destin. Il y aurait des livres à écrire pour analyser les impacts « idéologiques » de ces frustrations. 
    Peut-être n’est-il pas inutile de rappeler que cette fragilité est toute relative et se perçoit principalement en environnement multiethnique. En clair, du fait des causes de ce problème de « fragilité », nous verrons qu’il est perceptible surtout dans la confrontation relationnelle avec d’autres groupes de population et pas n’importe lesquels. Ce paramètre n’est pas, lui non plus, sans impact sur la façon quasi pathologique dont les questions d’immigration sont traitées dans l’espace social et politique lorsqu’il s’agit de certaines populations. 
    Pour faire simple, je pense qu’il existe quatre grands facteurs qui peuvent expliquer la « fragilité » de nombreux jeunes Européens et leur « vulnérabilité » dans les environnements multi-agressifs dans lesquels ils sont plongés : 
    1. Le premier facteur relève de mauvaises pratiques dans la construction identitaire de l’enfant ; 
    2. Le deuxième d’une influence trop incapacitante (castratrice même) des pratiques pédagogiques qui dévalorisent le conflit, la bagarre ou prétendent obliger l’enfant à s’en remettre toujours à quelqu’un d’autre (les institutions notamment) pour le protéger ; 
    3. Le troisième point relève d’un choix d’hygiène de vie (sport, alimentation et bonnes pratiques qui sont importantes à l’heure des pollutions agro-chimiques systématiques) ; 
    4. Et enfin, le dernier facteur est une qualité que les spécialistes nomment « néoténie » ou persistance juvénile, qui est liée à notre biologie. Elle présente de nombreux inconvénients dans un contexte social multiethnique et multiculturel, mais est, à tout prendre, une qualité dont nous pouvons nous féliciter et dont il faut compenser les effets par les trois catégories de solutions précédentes. Mais reprenons. 
    1. Une mauvaise construction identitaire 
    Première cause de fragilité : l’isolement. Même lorsqu’il ne pèse pas dans le cas d’un conflit entre deux individus, la crainte de devoir faire face au grand frère, aux copains, à la famille, etc. de son adversaire pèse dans le rapport de forces. Les jeunes Européens sont fréquemment isolés et l’isolement est la première des faiblesses. Les enfants privés de construction identitaire saine sont et resteront seuls. Isolés de tout groupe, famille, etc., quand survient le conflit, ils sont souvent en position de faiblesse face à de petits groupes soudés par toutes les formes d’appartenance (origine, famille, couleur de peau, cultures, religions, marques, etc.) et parfois par des groupes soudés par plusieurs de ces catégories simultanément (africains ET musulmans ET fans de RnB par exemple). Cet isolement est principalement lié à un déficit d’identité. 
    La construction identitaire d’un jeune garçon repose sur trois étapes principales. Ces trois étapes sont essentielles à sa formation. 
    Le sexe : Dans la construction de l’identité d’un enfant, le premier étage est se reconnaître comme garçon. Vous avez tous entendu ces phrases infantiles mais qui font partie de ce processus de construction : « Les filles, elles sont tartes » ou« Les garçons contre les filles ». Il faut respecter toutes les phases qui permettent à un jeune garçon de se reconnaître comme mâle dans un monde à deux catégories. Cette première phase est indispensable aux deux étapes suivantes. A rebours des théories du genre, permettez ses manifestations d’affirmations enfantines et renforcez-les si vous le jugez utile, sans tomber dans l’excès et l’obsession. Permettez-lui de bien marquer son appartenance de mâle en lui proposant des activités spécifiques, des devoirs spécifiques, des droits spécifiques (couleurs, rites, tâches, équipes, vocabulaire, etc.). 
    La famille : Le deuxième étage de la construction de son identité sera la famille. Là aussi, cultiver le respect de la famille et, de fait, de l’ascendance, par le respect des aînés et mémoire des ancêtres, sans idolâtrie, mais sérieusement (ne pas rire de tout) et lui apprendre à la respecter (sans avoir à se justifier : « c’est ainsi et pas autrement ») dans son comportement en famille comme dans la vie sociale à l’extérieur (défendre sa petite sœur bec et ongles face à une agression extérieure, ne jamais accepter les insultes sur sa famille ou sur lui-même, défendre son nom de famille, etc.). Lui apprendre dès 5 ans qu’il y a la famille et le monde autour, pas moins. C’est par cet étage de la construction identitaire familiale que l’enfant intègre des notions indispensables à sa formation : respect des anciens, valeur de l’expérience, communauté et filiation, solidarité et protection des siens envers et contre tout. 
    Si en complément, vous lui apprenez à partir de 9/10 ans à mieux comprendre comment fonctionnent les groupes, vous lui permettrez de mieux s’y adapter (le groupe se forme dans la construction de l’adversaire, le groupe est un espace de partage et de solidarité, le groupe a besoin de marqueurs visibles, le groupe a souvent un chef, etc.). 
    Le peuple : Enfin, le troisième étage de la construction de soi sera, plus tard, la reconnaissance de son identité de substance et de culture, en clair, son appartenance à un peuple. Cette partie de votre éducation le rendra fier d’être l’héritier de populations qui ont pris une part sans égale à la construction de la civilisation, de l’art, de la pensée, des sciences et de toutes les formes du génie humain. Si vous lui apprenez, il voudra, lui aussi, être un Européen, un Français, le défendre et surtout, plus important encore, l’incarner dans sa vie. Non pas dans la simple répétition ou le fétichisme de l’ancien mais dans l’innovation, la créativité, la maîtrise. Mais c’est là une autre histoire… 
    Cette dernière phase sera la plus longue et un jeune garçon élevé dans la fierté de son peuple et de sa lignée, par l’exemple des héros et l’histoire des souffrances et des grandeurs de son peuple, poursuivra par lui-même ce travail et l’enseignera à ses propres enfants. 
    C’est en respectant et en instruisant correctement ces trois phases de développement de l’identité du jeune garçon qu’une construction identitaire saine pourra s’effectuer. 
    2. La culture de la négociation et de la norme 
    On apprend tôt aux enfants à « aller voir la maîtresse » lorsqu’ils sont victimes de coups ou d’agressions, pas assez à se défendre eux-mêmes ou, au minimum, à faire face à une situation de conflit. Pas intellectuellement, mais physiquement, avec leurs instincts. Le courage n’est pas une construction intellectuelle et ne se forge pas avec des mots mais avec l’expérience directe, physique, instinctive de la vie, des difficultés et de la souffrance physique. La culture des normes et de la résolution pacifique du conflit, voire du conflit comme « échec », est une tendance lourde et particulièrement pernicieuse dans nos sociétés, en particulier pour les instincts virils. Ce travail de formatage des institutions publiques, qui invite les enfants et les citoyens à s’en remettre à l’institution dans la gestion des conflits tout en sachant parfaitement que ces institutions ne remplissent pas ce rôle et ne le pourront jamais, est une catastrophe sur le plan éducatif et ses impacts sur la population autochtone particulièrement lourds. La prépondérance des valeurs maternelles qui doivent savoir progressivement se placer en retrait à partir de quatre ou cinq ans dans l’éducation du jeune garçon et le manque de présence des valeurs de pères viennent renforcer à chaque instant ces tendances. 
    La culture de l’honneur individuel et familial doit précéder la culture de la norme sociale de la collectivité politique. Les instincts de défense ne doivent pas être inhibés par un matraquage moral maternant ou par une culture de la légitimité supposée des corps de l’État dans l’exercice de la violence légitime. Et ce pour une raison simple : il n’assurent pas correctement cette mission et ne l’assureront jamais. Le respect des règles deviendra plus tard un prétexte à son manque d’esprit de défense, d’initiative, de révolte. Loin de toute culture suprémaciste (« nous sommes les meilleurs ») aux effets accablants lorsqu’on ne domine pas un rapport de forces, apprenez-lui aussi à perdre et donnez-lui l’envie de recommencer et de gagner. Faites comprendre à votre garçon que ce qui est honteux ce n’est pas de perdre une bataille, un moment de conflit, mais de s’y dérober par lâcheté. Que perdre c’est parfois triste mais c’est honorable, en tout cas plus que de se soumettre. Revaloriser et soutenir son enfant, y compris dans ses manifestations d’agressivité (parfois inadéquates), c’est légitimer son agressivité naturelle et l’aider à gérer le conflit par ses propres moyens. Ne pas lui apprendre à chercher le soutien des adultes et de l’institution, qui dans l’immense majorité des cas ne le protégera pas lorsqu’il en aura besoin. Cet aspect de l’éducation des jeunes garçons est fondamental. 
    Quelques exemples pratiques ? Ne relevez pas un enfant en bas âge lorsqu’il tombe mais encouragez-le à se relever seul jusqu’à ce qu’il réussisse et félicitez-le lorsque c’est fait, par des mots ou un geste de tendresse. Ne grondez pas votre enfant s’il manifeste de l’agressivité ou de la violence raisonnable dans une relation avec d’autres enfants, n’intervenez que s’il y a un réel risque et de façon non morale mais disciplinaire. Apprenez, certes, à votre enfant l’existence des normes collectives mais sans jamais oublier de lui rappeler la première de toutes les normes : la survie et la capacité de se faire respecter et de se défendre. Valorisez cela à chaque fois que nécessaire. La capacité d’un garçon à exprimer ses préférences, à exprimer son agressivité, à régler les conflits par lui-même, sans chercher un appui, est une condition indispensable à sa construction virile. L’en priver c’est l’exposer, l’affaiblir, le mettre en danger. Si vous espérez un jour pouvoir compter sur son aide et sa force, c’est donc vous mettre en danger, vous aussi. 
    3. Les causes sanitaires 
    Le changement de mode de vie des trois dernières générations en Europe, sur le plan alimentaire notamment, a profondément bouleversé les métabolismes pour des raisons en partie sanitaires (généralisation des perturbateurs endocriniens à corréler avec la baisse de fécondité et l’augmentation des cancers et malformations génitales masculines). Soyez attentifs à l’alimentation de vos enfants et à leurs contacts répétés avec les perturbateurs endocriniens contenus dans les aliments conditionnés en boîte, aux contacts avec toutes formes de plastiques et choisissez des vêtements adaptés, plutôt amples. Pour les bébés, proscrivez les jouets et tétines en plastique, privilégiez les cuillères en bois simple. Ne donnez pas de petits pots pour bébé mais des aliments que vous préparerez vous-même, si possible biologiques ou issus d’un potager non traité aux pesticides, herbicides et autres intrants chimiques toxiques. Certes, cette préparation demande du temps quotidien mais les conséquences sont autrement importantes… Je ne peux détailler sur cette question, il me faudrait un livre entier. 
    Les pratiques sportives sont aussi essentielles. Je n’évoquerai même pas la majorité des garçons qui n’ont presque aucune activité sportive (une catastrophe sanitaire) alors qu’ils passent 6 à 7 heures par jour assis sur une chaise en pleine période de développement, puis le reste de la journée devant la télévision ou l’ordinateur. N’espérez pas avoir des enfants sains avec ce régime de vie. Ils seront des cibles et, consciemment ou non, se retrancheront de la vie réelle pour fuir des rapports de force auxquels ils ne sont pas préparés. Pour vos garçons, privilégiez dès 6 ans des activités de contact (rugby, etc.) et, d’une façon générale, le contact direct avec la difficulté, la nature, le froid, le chaud, le piquant, aussi souvent que possible. Non dans une perspective de souffrance, et en songeant toujours que vous devez valoriser sans le plaindre ses échecs et ses bosses. 
    4. La néoténie européenne 
    La néoténie, ou juvénilité persistante des Européens, est un trait caractéristique qui n’empêche pas une maturation finale équivalente en virilité mais la diffère. Qu’est-ce que cela veut dire ? Simplement qu’aux mêmes âges, nous, Européens, sommes plus jeunes. Exemple : l’âge de la puberté est sensiblement plus précoce chez les Subsahariens que chez les Européens. Ceci affecte la croissance et la maturité musculaire. En clair, un Européen de 14 ans sera statistiquement moins avancé dans sa puberté (et donc sa taille, son développement musculaire, son agressivité, etc.) qu’un Subsaharien du même âge : un inconvénient, mais un avantage sur d’autres points. Si notre maturité est plus tardive, notre phase de maturation est plus longue… 
    La juvénilité est un inconvénient face à des brutes précoces physiquement mais elle constitue un avantage réel et en tout cas une réalité avec laquelle il faut compter lorsqu’il s’agit de vérifier les caractéristiques de l’adulte abouti et finalement formé. 
    Afin de compenser cette particularité (dont il existe, bien sûr, des exceptions), les activités viriles et les pratiques sanitaires adéquates, comme la construction identitaire correctement effectuée, suffisent largement. Ne vous étonnez pas de faire fréquemment ce constat. Les Européens sont plus jeunes, plus souples, plus ouverts et curieux et leur période de maturation est significativement plus longue que celles d’autres populations, en particulier des populations subsahariennes. Les populations arabo-berbères ont des caractéristiques proches des nôtres de ce point de vue, mais elles sont compensées chez elles par une construction identitaire plus traditionnelle (sexe, famille, peuple, cf. 1.) 
    Conclusion 
    J’ai cherché à aborder de façon simple et pédagogique les clés d’une réforme de nos pratiques éducatives (au sens large de ce mot) pour une adaptation de nos jeunes garçons aux contraintes de la société absurde et violente à laquelle ils seront confrontés. Chercher à les soustraire à cette société et à ses inévitables pathologies sociales caractéristiques des belles nations « arc-en-ciel » ne les préparerait évidemment pas à tout contact « accidentel » que l’on sait inévitable dans les années à venir. 
    Les quatre points abordés sont les points clés. J’aurais pu aborder la question des représentations familiales du père, l’absurdité des comportements violents pour les introvertis intelligents, la division des tâches dans le couple et le fardeau d’une génération qui a dû reconstruire ses repères après la fracture (le gouffre) de la génération soixante-huit, la culpabilisation ethno-masochiste et ce qu’elle fabrique parfois en retenue physique et encore bien d’autres choses. Ce rapide exposé repose sur des études scientifiques, des travaux multiples de spécialistes et, en complément, sur mon expérience des hommes et des garçons comme père de famille, puisque j'ai moi-même, quatre enfants. J’espère qu’elle sera utile et permettra de sortir de façon pratique des jérémiades impuissantes lorsque ces questions sont abordées. 
    Laurent.ozon@me.com

  • Suisse : Côme est elle en passe de devenir une seconde Lampedusa ?

    Selon notre confrère suisse RTS, alors que les migrants déferlent sur la Sicile, il existe désormais une « Lampedusa du Nord » à la frontière tessinoise : la ville de Côme, qui fait office de gare terminus pour des milliers d’entre eux.

    Parmi les dizaines de milliers de migrants qui débarquent au sud de l’Italie après avoir traversé la Méditerranée, nombreux sont ceux à mettre en effet le cap au nord et notamment sur la ville frontière formée par Côme et Chiasso, à proximité de la frontière suisse.

    La ville de Côme doit jongler entre les clandestins illégaux refoulés par la Suisse et les arrivées quotidiennes depuis le sud. Le directeur de l’ONG Caritas pour le diocèse de Côme évalue pour l’instant à 200 le nombre de clandestins qui arrive quotidiennement sur la ville, dont les structures d’accueil sont déjà saturées.

    http://fr.novopress.info/

  • La Justice suisse refuse de reconnaître deux pères à un enfant

    ... et refuse d'entériner l'injustice qui consiste à priver un enfant de sa mère :

    "Le Tribunal fédéral, la plus haute instance de la Justice suisse, a refusé de reconnaître deux hommes comme pères d'un enfant, conformément à l'acte de naissance californien de l'enfant.[...]

    Sans remettre en cause la GPA comme violation de l'ordre public, ce qui est déjà en soi une victoire, l'OFJ considérait que «seul celui des partenaires qui a donné son sperme pour la conception de l’enfant, et qui est donc son père biologique, doit être inscrit dans le registre de l’état civil»."

    Ce qui représente une victoire pour le site homosexualiste Yagg est une demi-défaite pour nous, car si dans les faits le droit de l'enfant a été respecté, le principe de la GPA n'a pas pour autant été remis en cause.

    Marie Bethanie

  • La Grèce a fait sa part, à l’Europe de faire la sienne

    Négociations entre la Grèce et les créanciers : la Grèce a fait sa part, à l’Europe de faire la sienne, selon le Premier ministre grec Alexis Tsipras.

    Les négociations marathon entre la Grèce et ses créanciers pourraient enfin déboucher sur un accord… ou pas. Le gouvernement Tsipras négocie pour obtenir les 7,2 milliards d’euros d’une tranche d’aide bloquée neuf mois par ses créanciers internationaux, l’Union européenne, la banque centrale européenne et le Fonds Monétaire International.

    Le gouvernement grec a fait sa part pour arriver à un compromis sur sa dette, et c’est à « l’Europe de faire la sienne », a déclaré samedi le Premier ministre grec.

    « Nous sommes dans la dernière ligne droite d’une période douloureuse et difficile », a expliqué M. Tsipras au comité central de son parti, Syriza. Néanmoins, a considéré le Premier ministre grec, « nous avons fait ce que nous avions à faire, c’est maintenant au tour de l’Europe ».

    Il a toutefois accusé

    Certains représentants des créanciers de profiter de l’asphyxie de liquidités dont souffre la Grèce pour renverser l’accord du 20 février.

    Le gouvernement grec ne « répondra pas à des demandes irrationnelles » et « n’acceptera pas de directives humiliantes » a averti Alexis Tsipras. Il a précisé devant les cadres son parti que « Nous ne discuterons pas d’une dérégulation majeure du système salarial. Nous n’accepterons pas une nouvelle réduction des retraites »,

    De leur côté, les créanciers européens semblent moins optimistes. Après la rencontre vendredi à Riga entre le Premier ministre grec, François Hollande et Angela Merkel, cette dernière insisté sur le fait que « beaucoup reste à faire » et « qu’il faut travailler très, très intensivement ».

    La France, par la voix de son ministre des Finances, Michel Sapin, joue la dramatisation ou la menace à peine voilée :

    Ce serait une catastrophe pour la Grèce que de sortir de la zone euro

    http://fr.novopress.info/188068/grece-fait-part-leurope-faire-sienne/

  • #OccupUE : Génération identitaire occupe la représentation en France de la Commission européenne

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    23/05/215 – PARIS (NOVOpress) - Cet après-midi à Paris, le mouvement de jeunesse Génération identitaire a occupé le bâtiment de la représentation en France de la Commission européenne, à Paris, boulevard Saint Germain. Une banderole a été déployée sur le balcon principal du bâtiment, juste devant l’Assemblée nationale, avec le slogan “L’émigration tue l’Afrique, l’immigration tue l’Europe”.

    Dans son communiqué officiel publié sur Facebook, Génération identitaire déclare que “(…) la passivité dans la lutte contre l’immigration clandestine, l’accueil systématique des bateaux de clandestins, la folle politique des quotas par pays, ne font que renforcer le fantasme d’un eldorado européen qui n’existe pas. Les candidats à l’émigration se font donc toujours plus nombreux, pour le plus grand bonheur des passeurs, milices et mafias dont nos dirigeants se font finalement les complices. Les morts en Méditerranée sont aussi la conséquence de cette politique. (…)”

    Pour suivre l’événement en direct, rendez-vous sur Twitter avec le hashtag #OccupUE : https://twitter.com/hashtag/occupue?f=realtime&src=hash

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    http://fr.novopress.info/

  • Oui, l’Europe et la soumission du Gouvernement français sont vraiment LE problème !

    Le cristal français vent debout contre Bruxelles qui menace de le plomber

     

    La Commission européenne pourrait interdire la vente de luminaires en cristal en Europe. De grandes maisons du luxe français en pâtiraient, fragilisant les régions Alsace et Lorraine. 7000 emplois directs et indirects sont en jeu.

    Une chape de plomb pèse sur les cristalleries françaises. Bruxelles pourrait leur interdire de vendre leurs luminaires, lustres, lampes et appliques en cristal en Europe à partir de l’année prochaine. En cause, une directive européenne qui limite l’utilisation de plusieurs substances dangereuses, parmi lesquelles le plomb, dans la fabrication d’appareils électriques ou électroniques. L’idée est d’éviter qu’elles ne se répandent dans les nappes phréatiques lorsque ces appareils sont jetés en décharge publique. Baccarat, Saint-Louis, Daum, Lalique... tous les fleurons du cristal français sont concernés, car le plomb leur est indispensable : c’est l’ingrédient qu’on ajoute au verre pour obtenir du cristal. C’est d’ailleurs un grand combat de la filière : dénoncer ceux qui utilisent l’appellation cristal sans respecter les 24% d’oxyde de plomb nécessaires.... comme Swarovski. [...]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Oui-l-Europe-et-la-soumission-du

  • USA contre Russie: nouvelle révolution de couleur en Europe pour la suprématie énergétique

    Une fois de plus c’est la volonté de Washington d’avoir la haute main sur toutes les ressources énergétiques qui, comme en Ukraine, est à l’origine d’une tentative de déstabilisation de la Macédoine, l’un des petits états des Balkans qui a résulté de l’éclatement de l’ex-Yougoslavie.

    Les faits sont simples, le dimanche 17 mai un appel à manifester de la part du principal chef  de l’opposition, Zoran Zaev, a rassemblé entre 100 et 1000 personnes, selon les sources, devant le siège du gouvernement à Skopje.
    Le Premier ministre conservateur, Nikola Gruevski, mis en cause a aussitôt réagi: « Zaev est une marionnette jouant un scénario étrange », a-t-il déclaré l’accusant de tenter d’initier dans le pays une version ukrainienne des révolutions de couleurs. Il a du être convaincant au vue de la contre-manifestation en sa faveur qui a gagné les rues de Skopje ce lundi 18 mai où environ 30 000 manifestants se sont rassemblés, selon des sources concordantes. Les manifestants ont afflué vers la place du Parlement dans la soirée, alors que dans le même temps les opposants de gauche, principalement musulmans, campaient toujours à deux kilomètres de là, devant le siège de l’exécutif pour continuer d’exiger le départ du chef du gouvernement.
     
    La manifestation de l’opposition avait été précédée d’une importante attaque d’un commando pan-albanais, le 9 mai dernier à Koumanovo, dont nous nous étions déjà fait l’écho,  avec un bilan de 22 morts, 30 prisonniers et de nombreux blessés. sans compter un quartier dévasté. Le terrorisme albanais, à la conquête d’une prétendue Grande Albanie, sévit dans le sud de la Serbie, au Kosovo et en Métochie, depuis la fin des années 90, encouragé par les forces de paix de l’OTAN, sous mandat international, qui ferment les yeux sur les camps d’entrainement du Kosovo. L’Albanie, membre de l’OTAN étant la base arrière des USA.
    Cela explique que les chrétiens aient réagi en foule à la tentative de déstabilisation OTANo-musulmane. Les Macédoniens savent bien que le désir de conquête des musulmans de l’UCK est utilisée par les Occidentaux qui avaient favorisé les exactions de l’UCK (Armée de Libération du Kosovo), ils n’ont pas envie de se retrouver, comme au Kosovo, sous domination musulmane.
     
    La dimension internationale de l’affaire apparaît avec la réaction des USA et de l’Union Européenne. Pour les puissances occidentales, il s’agit de diaboliser le pouvoir en l’accusant de dérive autoritaires. La Commission européenne accuse la République d’un «recul observé récemment, notamment concernant la liberté d’expression et des médias et l’indépendance du système judiciaire», indiquait-elle dans un communiqué du 8 octobre 2014, qui dressait un état des lieux de l’élargissement de l’UE.  Par ailleurs, le dimanche 17 mai, l’OTAN et l’UE avaient mis en garde les autorités macédoniennes, et plusieurs ambassadeurs s’étant entretenus à huis clos avec le Premier ministre. Ce dernier ainsi que M. Zaev étaient attendus au parlement européen de Strasbourg le mardi 19 mai.
     
    Ainsi, les pressions conjuguées des USA et de l’Union européenne toujours aux ordres du grand frère américain, étaient bien synchronisées avec la manifestation de l’opposition le 17 mais. Ce qui ne semble pas avoir été prévu est l’ampleur de la contre-manifestation. Mais  le processus de type révolutions de couleur est mis-à-feu, il n’est pas forcément destiné à marcher du premier coup. Pour le moment il ne s’agit que d’avertissements qui sont destinés à monter en puissance avec un battage médiatique proportionné, afin que le gouvernement cède aux intérêts américains.

    C’est ce qu’avait dénoncé préalablement Sergeï Lavrov, le ministre des Affaires Étrangères russe, lors de sa visite à Belgrade le vendredi 15 mai. Il a fait part de son inquiétude pour la stabilité du pays et de toute la région des Balkans après les violences meurtrières pan-albanaises du week-end des 9 et 10 mai, qu’il a qualifiées d’ «actes terroristes planifiés». Ces incidents meurtriers «interviennent alors que le gouvernement macédonien refuse de se joindre aux sanctions mais soutient, en revanche, le projet de gazoduc Turkish Stream. » Il s’agit du projet de gazoduc alternatif au South Stream, qui doit relier la Russie à l’Europe par la Turquie.  Le pouvoir macédonien a également refusé d’appliquer les sanctions imposées par l’UE à la Russie, à la demande des USA, suite à la crise déclenchée par la Révolution Orange en Ukraine.

    Comme en Irak, en Syrie, en Libye et en Ukraine, les USA entendent être les maîtres de la distribution énergétique du monde. Ils veulent imposer à l’Union européenne leur propre gaz issu des schistes américains, projet qui implique la construction de grandes infrastructures à travers l’Atlantique pour des coûts nettement supérieurs à ceux que peut proposer la Russie, traditionnel et naturel fournisseur de gaz à l’Europe. le South Stream devait passer par la Bulgarie et les Balkans, mais les USA ont fait pression sur la Bulgarie qui a cédé et rompu le projet.  les Russes ont alors conçu le projet de substitution d’un gazoduc via la Turquie, la Grèce et la Macédoine. Le président macédonien a eu également l’audace d’assister au défilé de la Victoire à Moscou le 9 mai dernier, jour de l’attaque terroriste pan-albanaise.

    http://www.medias-presse.info/usa-contre-russie-mise-a-feu-dune-autre-revolution-de-couleur-en-europe-pour-la-suprematie-energetique/31792

  • Interview d’Alain Soral par la chaîne Arte : les images d’ERTV

    Malhonnêteté Arte: La chaîne de référence prise en flagrant délit de tricherie


    Interview d’Alain Soral par la chaîne Arte… par ERTV

    La chaîne franco-allemande Arte est venue interroger Alain Soral à Paris pour un reportage sur le thème de la « théorie du complot ». Les images obtenues ont été diffusées dans l’émission Yourope du 18 avril 2015, intitulée « Absurdité ou réalité ? Zoom sur les théories conspirationnistes qui prospèrent en Europe ». Sans surprise, le montage tente de nuire au président d’Égalité & Réconciliation. Fort heureusement, ERTV a contre-filmé l’interview, permettant ainsi de rétablir la vérité sur les propos d’Alain Soral…

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Brexit or Not To Be !

    Au lendemain de la victoire des Tories aux Communes, j'ai été très surpris de l'agressivité à l'antenne d'un économiste officiel, d'ordinaire si bonhomme, qui vouait la Grande Bretagne aux gémonies et annulait d'un trait les prétendus succès de la coalition sortante. Alors j'ai compris que l'économiste officiel grassement payé au mois - c'est Elie Cohen - se sentait insulté par la prétention britannique à mettre en débat sérieusement la voie de la longue marche vers la fédération des Etats-Unis d'Europe.
    Incapable de projeter aucune alternative heureuse puisqu'il lui est impossible de s'arracher au sillon européiste, le génie des amphithéâtres s'obstinait à développer les fondamentaux britanniques existants dans tous leurs travers, si tant est qu'il les prît tous. J'ai alors ressenti de la pitié pour un con ! Normalement sur scène, la régie lance là le Requiem de Gainsbourg. Je vous le mets quand même ?

    La Grande Bretagne a ceci d'original qu'elle déroute toujours ceux qui veulent s'en repaître. On ne donnait pas cher de l'Angleterre quand l'Invincible Armada de Philippe II se mit en lignes de combat en 1588 ; les préparatifs d'invasion lancés à Boulogne en 1805 par Napoléon Ier montraient à tous où se poseraient les lauriers de la fortune ; plus tard, même Göring avait compris que c'en était fini de la morgue anglaise quand la France fut couchée ! Et ben non ! Monsieur Cohen a séché les cours d'histoire. Oublions-le.

    Certes le vieux combat de l'archipel britannique contre le continent se s'est jamais éteint complètement. Mais alors qu'il convoquait toujours la France de la vieille monarchie, il se passe aujourd'hui entre le IV° Reich revenu, avatar moderne de la Prusse de Frédéric le Grand, et la thalassocratie de référence qui va encore nous surprendre. Nous, les phraseurs, nous avons disparu. C'est facile à comprendre, déjà, car l'histoire du futur n'est tracée nulle part, elle est faite d'hommes : qui est David Cameron ?

    C'est un fils de la gentry anglaise qui n'a pas que des origines aristocratiques. C'est un aristrocrate pur sang, au CV impeccable, éduqué dans l'emploi (source), avec une vision du monde, une spiritualité, de ceux qui ne courent jamais sous la pluie.

    David rentre au Ten avec son épouse, pas avec une p...


    Qu'avons-nous en face ici ? François Hollande ? Manuel Valls ? Michel Sapin ? Pierre Moscovici ? Ajoutons Nicolas Sarkozy pour faire le poids. Ce n'est pas que nous souffrions d'un déficit d'élite, mais notre système politique sélectionne les médiocres, la plupart issus de la fabrique des robots de Strasbourg, l'ENA. Le dernier chef d'Etat français qui lisait de la littérature est François Mitterrand ! Nos élites sont "ailleurs". Il est inutile d'épiloguer sur ce plan.
    Ce n'est pas pour autant que David Cameron aura la partie facile avec l'Allemagne et ses alliés de circonstance, la France et l'Italie. Il veut établir clairement une confédération européenne dont le coeur battant restera le Marché commun, alors que les continentaux veulent marcher à la fédération politique, quitte à diviser le groupe en plusieurs sous-groupes de vitesses différentes. En fait, et sans y faire référence continûment, ils clonent les Etats-Unis d'Amérique avec des spécificités cosmétiques locales. Mais l'anglais règne déjà en maître à Bruxelles, un signe qui ne trompe pas sur le mouvement de fond.
    Si les choses tournent mal, au-delà des calculs "avantages et inconvénients" des comptables en lustrines, la Grande Bretagne pourrait ne pas partir seule. Le Danemark, l'Irlande pourraient être intéressés - ils forment déjà le trident rétif*, et les Pays Bas aussi, qui ont voté "non", comme la France à la constitution giscardienne. Ce groupe très maritime peut intéresser la Norvège et l'Islande qui ne sont pas de gros PIB mais de grandes ZEE (zones économiques exclusives maritimes), et revenir immédiatement dans le jeu par derrière en s'intégrant au TAFTA qui reste positionné au coeur du trafic dans le plan mercantile anglo-saxon ; sans avoir à traîner de casseroles de politique étrangère comme la Commission européenne les crée à longueur de temps.

    Rien n'est joué et le combat anglo-allemand peut desserrer les mâchoires du piège à cons, à la réserve près d'une stratégie cachée de Berlin telle qu'en prêtent aux Allemands des gens aussi divers que Pierre Hillard, Jean-Luc Mélenchon ou Marc Fiorentino qui pour sa part verrait bien un couplage Brexit-Grexit à l'instigation des Huns. Mais personnellement, j'opterais pour la thèse d'une primauté de la Deutschland AG en toutes choses. Le Brexit ne lui coûte rien, l'inverse non plus. 

    Puisqu'on a ouvert la boîte à gifles, on va terminer par un Rule Britannia de derrière les fagots :

    (*) Le Royaume-Uni, le Danemark et l'Irlande bénéficient d'une clause OPT OUT dans les domaines d'asile et d'immigration, et spécialement la GB dans ceux de la monnaie commune, de la Justice, police et Défense (DK aussi). 
    Cf. la Wikipedia en six cartes sur les op-outs européens.

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