« Je suis donc très déçu de certaines personnes. Et certaines personnes ont fait un travail phénoménal, mais que fais-je ? Je lutte contre l’état profond. Je combats le marais. Et j’ai dit que je le faisais. Et j’expose le marais. Je pense que si ça continue comme je le fais, et Ratcliffe est fantastique. Si ça continue comme ça, j’ai une chance de briser l’état profond. C’est un groupe vicieux de personnes. C’est très mauvais pour notre pays. Et cela ne s’est jamais produit auparavant. Il se trouve que vous êtes victime de l’état profond. Je déteste vous dire, que vous le sachiez ou non, mais ils vous ont horriblement traité au fil des ans. Et ils ont également traité de nombreuses autres personnes. Ils n’ont jamais pensé que j’allais gagner, puis j’ai gagné. Et puis ils ont essayé de me faire sortir. C’était la police d’assurance. Elle va gagner, mais juste au cas où elle ne gagnerait pas, nous avons une police d’assurance. Et maintenant, je les ai battus sur la police d’assurance, et maintenant ils sont exposés. Comey est un flic sale, McCabe, un méchant. Ce sont tous des méchants.
géopolitique - Page 415
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[VIDÉO] « Je lutte contre l’état profond Et j’ai dit que je le faisais. » – Donald Trump
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Pourquoi les Bourses mondiales jouent aux montagnes russes, par Marc Rousset.
La Bourse de Paris a repris 5,16 %, lundi 18 mai, suite à un nouveau vaccin américain qui a soulevé des espoirs irréalistes et démesurés. La place new-yorkaise a terminé aussi chaque jour dans une direction différente, depuis le début de la semaine, signe d’une forte volatilité. En fait, les Bourses sont assises sur un volcan car elles se refusent à voir l’éléphant de la crise économique qui attend dans le couloir.
C’est bien l’Union européenne qui empruntera 500 milliards d’euros avec la garantie de tous les États de l’UE, mais l’UE ne pourra rembourser ces emprunts qu’avec un nouvel impôt européen, ou en demandant aux États de rembourser en fonction de leurs pourcentages respectifs dans le PIB de l’UE. Des subventions seraient accordées à certains pays ou à des secteurs économiques en fonction de leurs besoins, et il y aurait donc bien mutualisation au niveau de l’UE avec un taux d’emprunt plus faible et redistribution des ressources vers les plus démunis. Mais la chancelière Merkel a seulement fait un geste politique : l’Allemagne, grande gagnante du système actuel, suite au laxisme des pays du Sud, leur a seulement proposé un os à ronger.
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L'Europe doit soutenir Taïwan
L'observation du passé de l'humanité ne relève pas de la zoologie. Les événements ne s'y reproduisent jamais à l'identique. Le libre choix permanent des fragiles fils d'Adam déjoue l'instinct de l'animal. Et pourtant l'histoire, cette "science des faits qui ne se reproduisent pas" [Paul Valéry] nous livre d'inépuisables enseignements, sous des masques à peine renouvelés.
Ainsi l'expérience du XXe siècle, avec sa chaîne d'horreurs brutalement totalitaires, et après les condamnations plus ou moins sincères, du Procès de Nuremberg clos en 1946 au rapport Khrouchtchev de 1956, pourrait nous permettre de mieux comprendre la mise en place rampante des dictatures cybernétiques actuelles.
Désormais en effet, ceux qui ont aimé Hitler et Staline adoreront, en Xi Jinping, le stalinien assumé, et le national-socialiste d'un genre nouveau. On peut regretter qu'à Paris au moins, cet enchaînement, objectivement évident, ne s'impose guère dans les esprits qui formatent l'opinion.
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Sur Sud Radio avec André Bercoff, Charles Gave sur l'Obamagate "C'est l'Etat profond des Etats-Unis qui pourrait tomber".
Charles Gave, essayiste, réagit sur l'ObamaGate. Trump est-il un bouc émissaire ? On en parle avec André Bercoff sur Sud Radio.
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Conrad Kilian, "inventeur" du pétrole saharien
Jusqu’où montera le prix du pétrole ? Aux États-Unis, le prix du baril qui était resté stable à 5 dollars de 1920 à 1970 quand il atteignit 10 puis 40 $ a dépassé en novembre les 93 $ et pourrait bientôt passer le cap des 100. Même envolée en France où, malgré le cours très élevé de l'euro, pour une fois avantageux, le prix d'un litre d'essence sans plomb oscille entre 1,30 et 1,40 €. Ce qui a de très lourdes répercussions sur le niveau de vie des ménages et l'économie en général. Alors que pour la France, comme pour le Royaume-Uni et la Norvège - pour s'en tenir à l'Europe -, l'or noir aurait pu devenir une richesse nationale. Encore aurait-il fallu pour cela ne pas signer en mars 1962 les Accords d'Evian qui livraient l'Algérie au FLN rendant impensable une durable présence française au Sahara. Mais même avant cela, que d'occasions perdues... et de drames !
Un géologue de génie
Au mois de novembre 1955, des prospecteurs français mettaient au jour le gisement pétrolier d'Edjelé au sud de Ghadamès, non loin de la frontière algéro-libyenne et, en août suivant, le gisement d'Hassi Massaoud, aux environs d'Ouargla, dans le sud algérien.
Or, cinq ans plus tôt, en avril 1950, était mort misérablement à Grenoble, dans le plus grand dénuement moral et matériel, celui qui, le premier pressentit l'existence du pétrole dans le Sahara oriental : un certain Conrad Kilian - dont le nom, un moment célèbre, est aujourd'hui presque entièrement inconnu du public français.
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Turquie : Erdogan désigne injurieusement les survivants des massacres turcs de chrétiens !
Le 4 mai, lors d’une réunion d’information sur le coronavirus, le président turc Recep Erdogan a utilisé l’expression de « rescapés de l’épée », dans une rhétorique paranoïaque dont il est familier.
Ce terme très péjoratif désigne de façon assez inhumaine les survivants des grands massacres commis envers les minorités chrétiennes spécialement, par les Turcs entre 1894 et 1924…
L’utilisation de cette expression par le conquérant et vindicatif Erdogan, qui semble se prendre pour un nouveau sultan, est scandaleuse mais aussi inquiétante…De Uzay Bulut, journaliste turc, sur Gatestoneinstitut :
« « Nous ne permettrons pas à des rescapés de l’épée de mener des activités [terroristes] dans notre pays », a-t-il dit. « Leur nombre a beaucoup diminué mais il en existe toujours ».
« Rescapés de l’épée » (kılıç artığı en turc) est une insulte courante à l’encontre des survivants des massacres perpétrés contre les chrétiens – Arméniens, Grecs et Assyriens – dans l’ex-Empire ottoman puis en Turquie.
Qu’un chef d’Etat comme Erdogan emploie publiquement cette expression a de quoi alarmer. Non seulement parce qu’il insulte les victimes et les survivants de massacres, mais parce qu’il met également en danger l’actuelle communauté chrétienne turque déjà en butte à des « pressions » ou les attaques physiques sont monnaie courante.Garo Paylan, député arménien au Parlement turc, a protesté sur Facebook :
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Irak 2003-2008 : un déni d'holocauste
Le bilan « excède même le million de victimes, un chiffre bien supérieur aux 800 000 victimes du Ruanda voici treize ans et cinq fois celui du Darfour. Un autre déni d'holocauste a lieu sans qu'on y prête attention : l'holocauste de l'Irak » (Docteur Mark Weisbrot, de l'université du Michigan).
Certains l'apprennent à leur dépens nier l'Holocauste ou simplement douter est source d'interminables et pénibles poursuites. En revanche d'autres génocides ne semblent incommoder personne. Conditionné par le silence des média et une politique gouvernementale des plus opaques, l'Américain moyen estime que 10 000 Irakiens seulement auraient été tués depuis mars 2003, date de l'invasion états-unienne. Pourtant, comme l'indique une étude réalisée il y a plus d'un an par des médecins irakiens et des épidémiologistes américains de la John Hopkins University of Public Health, la réalité est tout autre. Publiée dans le prestigieux journal médical anglais The Lancet, cette étude faisait mention de 655 000 victimes (certificats de décès à l'appui) en date de juillet 2006 601 000 de mort violente, le reste en raison d'épidémies, pénurie de médicaments, coupures d'électricité, etc. Les enfants en particulier paient un lourd tribut plus de 260 000 décès.
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Que faire pour sauver la planète ? Il faut tourner la page du mondialisme criminel !
Nous reprenons notre enquête sur les suites de la crise que nous venons de subir. Aujourd'hui la parole est à l'écrivain et essayiste Franck Abed, qui fut un précurseur dans la réalisation, au début des années 2010, d'entretiens filmés de qualité et qui est aussi animateur de plusieurs sites consacrés en particulier à la littérature non-conformiste.
S.N.
Franck Abed
Avant toute chose, il convient de ne pas contribuer à la confusion généralisée qui existe quant à l’utilisation des termes mondialisation et mondialisme (1).
La mondialisation est un phénomène naturel de brassage des civilisations, résultant du développement des moyens de communication, des transports et des médias au sens large du terme. Elle est plus vieille que le concept de mondialisme. Effectivement, dans l’histoire antique, les Phéniciens, avant la fondation de Carthage, établissaient déjà des comptoirs pour le commerce en Afrique du Nord. Les Grecs voyageaient également dans toute la Méditerranée et les Vikings allèrent encore plus loin que les mondes connus. Personne ou presque ne peut vivre en autarcie. De plus, je rappellerai que l’échange entre les hommes est un don de Dieu, car l’Homme se construit, entre autres, avec l’altérité.
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L’arrestation de Félicien Kabuga, ou quand les médias rajoutent un chapitre à la fausse histoire du génocide du Rwanda
Félicien Kabuga qui vient d’être arrêté en France est présenté comme étant à la fois le financier de l’Akazu, une cellule familiale qui aurait préparé le génocide, et le fondateur des Interahamwe, milice associée au génocide des Tutsi et des Hutu alliés au FPR du général Kagamé, les « Hutu modérés » des médias. Or, l’Akazu n’a jamais existé et Félicien Kabuga n’a pas fondé les Interahamwe.
1) L’Akazu n’a jamais existé
Devant le TPIR, le Procureur a échoué à convaincre les juges « au-delà de tout doute possible », que :
- le génocide du Rwanda avait été planifié au sein de l’Akazu, une prétendue cellule familiale postulée avoir été financée par Félicien Kabuga et dirigée par Protais Zigiranyirazo, beau-frère du président Habyarimana,
- que le maître-d’œuvre de cette opération criminelle était le colonel Théoneste Bagosora, qu’il présentait comme le« cerveau du génocide ».
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Le nom d’un diplomate saoudien soupçonné d’être lié aux attentats du 11 septembre divulgué accidentellement par le FBI
Le Bureau fédéral d’investigation (FBI) aux États-Unis a divulgué accidentellement le nom d’un diplomate saoudien soupçonné d’avoir aidé deux pirates de l’air de l’organisation terroriste Al-Qaïda, lors des attaques terroristes du 11 septembre 2001 aux États-Unis.
La divulgation par erreur a été commise dans une déclaration d’un responsable du FBI en réponse à un procès intenté par des familles de victimes du 11 septembre qui ont déclaré que le gouvernement saoudien était impliqué dans les attaques. Le dossier de Jill Sanborn, directrice adjointe de la division antiterroriste du FBI, a été rendu public en avril, mais retiré à la fin de la semaine dernière. Le nom de Mussaed Ahmed Al-Jarrah a été révélé par erreur dans la déclaration. Al-Jarrah était un fonctionnaire de niveau intermédiaire du ministère saoudien des Affaires étrangères, qui a été affecté à l’ambassade saoudienne à Washington, en 1999 et 2000.
Selon le rapport, il était chargé de superviser les activités des employés du ministère des Affaires islamiques dans les mosquées et les centres islamiques financés par l’Arabie saoudite aux États-Unis. Les autorités estiment qu’Al-Jarrah a chargé deux personnes – Fahad Al-Thumairy, un religieux, et Omar Al-Bayoumi, un présumé agent saoudien – d’aider deux des pirates de l’air à s’installer aux États-Unis en janvier 2000, avant les attaques. On ignore où se trouve Al-Jarrah, mais il se trouverait en Arabie saoudite. « Cela montre qu’il y a une dissimulation complète par le gouvernement de l’implication saoudienne » a déclaré un porte-parole des familles.