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géopolitique - Page 440

  • Pour la France d’Emmanuel Macron, mieux vaut Qatar que jamais ! Et les droits de l’homme ?

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    Il est des pays où il fait bon vivre ; sous certaines conditions. Voyez le Qatar, ce royaume des mille et une nuits dont l’émir quarantenaire, Tamim ben Hamad Al Thani, peut se reposer sur un confortable tapis de plus de 2,5 milliards de dollars de fortune personnelle, tout en contemplant sa plaque de grand officier de la Légion d’honneur pour services rendus à la patrie des droits de l’homme…

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  • Canal de Suez : un seul navire s’échoue et l’économie mondiale craint de sombrer…

     

    Il est parfois des incidents, a priori anodins, qui en disent long sur ce que devient le monde. 

    Un seul exemple ? Le porte-conteneurs Evergreen, propriété d’un armateur japonais dont la  est basée à Taïwan, qui vient de s’échouer dans le canal de Suez. 

    Rien de susceptible, en bonne logique, de faire les gros titres des médias. Et pourtant…

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  • Dans la nouvelle Guerre froide, par Jean-Gilles Malliarakis

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    On peut dire merci à l’ambassadeur chinois Lu Shaye. En traitant Antoine Bondaz, chercheur français de la Fondation pour la recherche stratégique, de “petite frappe, hyène folle, troll idéologique” il a réveillé les endormis.

    Nous avons bel et bien affaire à un communiste et Francis Bergeron, ce 24 mars, peut mettre en cause avec raison, au-delà de son représentant si peu diplomate, le maître du pouvoir de Pékin, “Xi Jinping nouveau Staline“[1]

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  • BIDEN PLUS DANGEREUX QUE POUTINE POUR LA PAIX DU MONDE !

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    Pendant que la France cultive sa nouvelle image d’Absurdistan européen en inventant le confinement à l’extérieur, nouvel avatar de la pensée compliquée du “en même temps” de notre génial Conducteur, le nouveau président américain compense une démarche physique hésitante par des propos d’une étonnante fermeté à l’encontre de son homologue russe, Vladimir Poutine, qui serait, selon lui, un “tueur” qui ne perd rien pour attendre le châtiment.

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  • L’Europe aux cent drapeaux ou l’élection régionale comme identification territoriale européenne (1re partie) par Franck BULEUX

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    L’Europe aux cent drapeaux, de la Bretagne à la Normandie

    En préambule, quelques mots sur ce titre et son origine, L’Europe aux cent drapeaux… Il s’agissait de l’Europe rêvée par le militant breton, Yann Fouéré, qui a rendu célèbre cette expression, souvent reprise par le Normand Jean Mabire, lors de la parution d’un essai en 1968. Yann Fouéré s’affirmait alors comme un théoricien de l’idée européenne et surtout comme l’annonciateur du réveil des peuples européens. Dans cet essai, le militant breton réclame l’Europe politique et rappelle que celle-ci a déjà existé au Moyen Âge, définissant alors une véritable et innovante « supranationalité » au profit d’un empire.

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  • Guerre Fraude. Poutine est-il un tueur ? Biden va-t-il le liquider ? (Présent)

     
     
     
     

    Ce jeudi tous les médias titraient à peu près à l’identique : « Biden dit penser que Poutine est un tueur » (Le Figaro), « Biden pense que Poutine est un tueur » (L’Express), « Pour Joe Biden, Poutine est un “tueur” et en paiera le “prix” » (Le Point), « Joe Biden accuse Vladimir Poutine d’être un tueur » (20 Minutes), etc. Sommes-nous à la veille d’une troisième guerre mondiale ?

    Quand Donald Trump s’en était pris à Kim Jong-un, en 2017, les Occidentaux avaient levé les bras au ciel : « Une nouvelle guerre mondiale ? Il ne manquait plus que cela ! Trump va tout nous faire, la catastrophe est imminente. »

    Pourtant le président américain avait quelques raisons de taper du poing sur la table. Un étudiant américain, Otto Warmbier, avait été détenu pendant 18 mois en Corée du Nord. Il avait été renvoyé aux Etats-Unis alors qu’il était dans le coma, et il était mort peu après. Et il y avait le nucléaire.

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  • Guerre Fraude. Poutine est-il un tueur ? Biden va-t-il le liquider ? (Présent)

     
     
     
     

    Ce jeudi tous les médias titraient à peu près à l’identique : « Biden dit penser que Poutine est un tueur » (Le Figaro), « Biden pense que Poutine est un tueur » (L’Express), « Pour Joe Biden, Poutine est un “tueur” et en paiera le “prix” » (Le Point), « Joe Biden accuse Vladimir Poutine d’être un tueur » (20 Minutes), etc. Sommes-nous à la veille d’une troisième guerre mondiale ?

    Quand Donald Trump s’en était pris à Kim Jong-un, en 2017, les Occidentaux avaient levé les bras au ciel : « Une nouvelle guerre mondiale ? Il ne manquait plus que cela ! Trump va tout nous faire, la catastrophe est imminente. »

    Pourtant le président américain avait quelques raisons de taper du poing sur la table. Un étudiant américain, Otto Warmbier, avait été détenu pendant 18 mois en Corée du Nord. Il avait été renvoyé aux Etats-Unis alors qu’il était dans le coma, et il était mort peu après. Et il y avait le nucléaire.

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  • Faire face à la Chine

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    La France insouciante et officielle l'oublie trop souvent. Son domaine maritime immense, de près de 11 millions de km2, devrait imposer à ses dirigeants une vision politique mondiale. Les médias parisiens semblent l'ignorer, ne découvrant guère les océans qu'à la faveur de la course du Vendée Globe, c'est-à-dire tous les quatre ans. Or, cette situation ne se compare qu'à celle des États-Unis et nous associe indissolublement au sort de l'occident.

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  • De la guerre froide au multilatéralisme, Washington veut toujours contrôler l'Europe.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le 12 mars 1947, le président américain, Harry S. Truman, présentait devant le Congrès des États-Unis, sa "doctrine" visant officiellement à l'endiguement du communisme.
    Louable projet en apparence que celui de contenir l'abominable menace de la dictature rouge et la montée en puissance, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, des partis communistes au ordres de Moscou.
    Mais le véritable objectif de ce vaste plan de soutien économique, militaire et "moral" aux démocraties avait un autre objectif : le contrôle absolu de l'Europe par les Etats-Unis et son asservissement par Washington dans la continuité de la politique wilsonnienne menée depuis 1918, et de la vision iréno-hégémonique de Roosevelt.
    En s'abandonnant ainsi au bon-vouloir de l'Amérique, l'Europe occidentale échangeait un internationalisme pour un autre et se condamnait à n'être qu'un appendice continental d'une puissance étrangère, dépendance politique et sociétale au même titre - en plus riante - qu'elle l'aurait été sous main-mise du bloc soviétique.
    Au moment où Joe Biden et sa nouvelle administration rompent avec l'isolationnisme - au demeurant très relatif - de Donald Trump et renouent, sous couvert de multilatéralisme, avec une politique interventionniste de relance internationale de la puissance américaine, il n'est pas inutile de se souvenir de ce que furent les vrais ressorts de la Guerre froide.