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géopolitique - Page 635

  • Djihad : en 18 mois, +100% de combattants Français en Syrie, +200 % d’« impliquées »

     

    Bernard Cazneneuve donne un état précis des Français impliqués de près ou de loin dans les filières du djihad en Syrie et en Irak.


    Djihadisme : le nombre de Français "impliqués… par LCP

    Bernard Cazeneuve a établi devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les filières djihadistes un bilan des Français dans les filières djihadistes en Irak et Syrie.
    Le ministre de l’Intérieur a annoncé une hausse de 203 % du nombre de personnes « impliquées » (combattants, en partance ou suspectés de vouloir partir) et une augmentation de 104 % des combattants, sur une période 18 mois.

    Sur les 457 Français présents en Irak et en Syrie, le ministère a comptabilisé 137 femmes, 80 mineurs, dont 45 jeunes filles. Plus globalement, il estime à 1 600, le nombre de Français impliqués « d’une façon ou d’un autre dans les filières irako-syriennes » soit une hausse de 203 % par rapport à janvier 2014.

    http://fr.novopress.info/

  • Dextra vendredi 22 mai « Le bloc transatlantique » par Maurice Gendre

     

     

    Ce vendredi Maurice Gendre, animateur de l'émission radio Méridien Zéro, viendra nous parler du bloc transatlantique. 
    Nous vous attendons nombreux pour cette conférence.

     
  • Israël veut faire condamner les européens qui nient la légitimité de État !

    L’État d’Israël qui massacre des civils palestiniens et qui arme et soigne les terroristes en Syrie continue de pleurnicher sur l’antisémitisme. Lors du 5e Forum mondial pour la lutte contre l’antisémitisme (rien que ça), organisé par le gouvernement israélien au Palais des Congrès de Jérusalem du 12 au 14 mai dernier, un plan de lutte a été rédigé à l’adresse des européens.

    En voici un extrait :« L’adoption d’une définition juridique formelle de l’antisémitisme. Cette définition inclut les attaques contre la légitimité de l’État d’Israël et la négation de l’Holocauste. Le renforcement de la législation contre l’antisémitisme et la formation de la police à mieux faire respecter les lois existantes. Les ministères de l’Éducation en Europe doivent promouvoir l’éducation à la tolérance religieuse et la préservation de la mémoire de l’Holocauste. »

    http://www.contre-info.com/

  • Journal US: déçue par l'Occident, la Géorgie se tourne vers Moscou

    La tendance de l'Occident à se désintéresser de la Géorgie après le départ du président Saakachvili pousse les Géorgiens à envisager la possibilité d'une normalisation des relations avec Moscou.

    L'Union européenne se montre de moins en moins disposée à accueillir la Géorgie, ce qui provoque la déception des Géorgiens et les pousse à envisager la possibilité d'une réconciliation avec la Russie, rapporte le Financial Times. 

    Lors du sommet de l'Otan tenu en septembre dernier à Cardiff, l'Alliance n'a pas proposé à la Géorgie le plan d'action pour l'adhésion (MAP). L'Union européenne n'a pas non plus allégé le régime des visas avec la Géorgie. Bref, les habitants de ce pays du Caucase n'ont jusqu'à présent obtenu aucun des nombreux avantages promis par l'Occident.

    "La politique internationale m'a appris que plus un pays est petit, moins il a droit à la déception", a déclaré au journal le président du parlement géorgien David Usupashvili. "Nous devons rayer le mot «déception» de notre vocabulaire", a-t-il ajouté.

    Ce sentiment est pourtant celui que les Géorgiens éprouvent actuellement et qui crée un terrain propice au renforcement de l'influence russe, constate le Financial Times.

    "Une carotte, c'est ce que nous demandons à l'Occident. Or, nous avons le sentiment de faire tout notre possible, mais de ne rien obtenir en échange, alors que la Russie est là", affirme Eka Metreveli, expert de la Fondation géorgienne pour les études stratégiques et internationales.

    L'Institut national démocratique pour les Affaires internationales des Etats-Unis (NDI) a publié un sondage selon lequel 31% des Géorgiens, soit deux fois plus qu'il y a un an, souhaitent l'adhésion de leur pays à l'Union eurasiatique (Russie, Biélorussie, Kazakhstan, Arménie et Kirghizstan).

    Selon le Financial Times, le conflit en Ukraine a modifié l'attitude des Géorgiens envers la Russie.

    "De nombreux Géorgiens considèrent l'Europe comme faible et indécise. Quant à Poutine, il donne l'impression d'être un homme fort qui parvient toujours à ses fins. Alors, les gens se demandent: l'Europe, quels avantages peut-elle nous offrir? N'est-il pas idiot de résister tellement à la Russie?", estime l'analyste politique Ghia Nodia.

    Le désir de renouer avec Moscou a été stimulé par la victoire de la coalition "Rêve géorgien" aux élections législatives de 2012. Tout en optant pour l'intégration européenne, cette formation politique cherche également à normaliser les relations avec la Russie.

    Avec la levée par Moscou de l'embargo sur les importations géorgiennes, les agriculteurs de ce pays ont compris que le marché russe était plus prometteur que celui de l'UE.

    Les experts géorgiens soulignent également le renforcement des groupes politiques pro-russes tels que le Choix eurasiatique de la Géorgie. Il s'agit d'une coalition d'organisations non gouvernementales qui compte environ 16.000 membres.

    D'après les analystes politiques, les partis pro-russes ne gagneront visiblement pas les élections législatives de 2016, mais ils pourront former une minorité suffisante pour empêcher les partis pro-occidentaux de prendre le contrôle du parlement.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150518/1016129650.html#ixzz3aZiq4Sma

  • L’Ukrainien Iatseniouk reconnaît que son gouvernement perpétue un génocide dans le Donbass

    Source : News 360X (pour la traduction)
    Sur les marches de Matignon , après sa rencontre avec Manuel Valls, Iatseniouk reconnaît que son gouvernement commet un génocide. Après la visite de Hollande chez le dictateur Castro, voici le génocidaire Iatseniouk en visite chez le Premier Ministre. Vous savez, ce Monsieur si prompt à faire la morale…

    Dans la cour de Matignon, après sa rencontre avec Valls le 13 mai :
    1) Frédéric Saillot pour Eurasie Express (en anglais) :
    – M. Iatseniouk, quand allez-vous cesser le génocide dans le Donbass ?
    – Quand Poutine se retirera, remplira l’accord de Minsk, cessera de violer la loi internationale… et quand la Russie sera traduite en justice
    – Vous avez déjà tué de 6 à 10 000 personnes, allez-vous continuer ?
    – C’est terrible, Poutine met en oeuvre une politique nationaliste d’extrême-droite (sic), il a tué des Ukrainiens innocents et annexé illégalement la Crimée…
    – C’est vous qui avez tué des Ukrainiens innocents… de 6 à 10 000 civils.

    2) Un journaliste français (en anglais) :
    – Que pensez-vous des pourparlers entre Américains et Russes hier à Sotchi ?
    – Je n’ai rien vu à ce sujet sur CNN. Mon message est que Sotchi n’est pas la meilleure station balnéaire au monde… Les Etats-Unis sont efficaces et nous comptons sur leur soutien pour obliger la Russie à réaliser les accords de Minsk et à retirer ses forces

    3) A une question de RFI (en russe) :
    – L’actuelle concentration des forces soulève la question des chances (sic) d’une reprise des combats et celle des devoirs de l’ensemble du monde libre : arrêter la Russie et l’obliger à respecter les accords de Minsk qu’elle a également signés.

    http://fr.novopress.info/187745/lukrainien-iatseniouk-reconnait-gouvernement-perpetue-genocide-donbass/

  • Politique & Eco n°43 - Ivan Blot et la conférence internatIOnale de Valdaï

  • L’État islamique a-t-il perdu la tête?

    Ex: http://www.noterror.eu

    Le « Conseil de la Choura » de l’EI réfléchirait à nommer un chef temporaire pour remplacer Abou Bakr al-Baghdadi, qui aurait été très grièvement blessé lors d’une frappe américaine en mars dernier. Une guerre des chefs fait rage au sein de Daesh, et elle pourrait nuire au califat autoproclamé.

    Selon des transfuges de Daesh, le « Conseil de la Choura » de l’État islamique réfléchirait à nommer un chef temporaire pour remplacer Abou Bakr al-Baghdadi, qui aurait été très grièvement blessé lors d’une frappe américaine en mars dernier. Comment l’Etat islamique s’organise-t-il dans ces conditions ? Est-il ralenti ?

    Il faut rester prudent. Pour l’instant, aucune confirmation de la mise hors de combat d’Al-Bagdhadi n’est parvenue aux autorités ni aux médias. Nous sommes donc dans le domaine des rumeurs. Ce qui peut aller dans ce sens, c’est qu’aucune déclaration affirmant que le « calife » est bien opérationnel n’est venue contredire ces mêmes rumeurs. Sur le terrain, Daech piétine en Syrie depuis la bataille de Kobané mais grignote du terrain en Irak, particulièrement dans la province d’Al-Anbar. Il est donc impossible pour l’instant de tirer des leçons sur une absence éventuelle du « commandant suprême ».

    Une poussée à l’international est aussi sensible, notamment dans le Sinaï, en Libye et en Tunisie. Il convient de rester très prudent dans les pronostics avancés.

    Deux Irakiens et un Syrien seraient en concurrence pour ce poste, selon les mêmes sources. Peut-on s’attendre à une guerre des chefs ?

    Le problème réside dans le fait qu’Al-Bagdhadi n’a pas désigné de successeur (comme l’a fait Al-Zawahiri au sein d’Al-Qaida en désignant de facto l »émir d’Al-Qaida dans la Péninsule Arabique -AQPA-). Il y a donc un certain nombre de prétendants. Il est probable qu’une guerre des candidatures aura lieu. Techniquement, c’est à la « choura » (le conseil consultatif fort de neuf membres) de désigner un successeur.

    Qui est le plus susceptible de l’emporter dans ces luttes d’influence ?

    Là aussi, rien n’est certain. Les Américains semblent placer Abd al-Rahman Mustafa al-Qaduli, un ancien professeur de physique irakien en bonne place : d’où la mise à prix de sa tête pour sept millions de dollars depuis quelques jours. Cet individu était jusqu’alors peu connu.

    On parlait plutôt d’Abou Ali al-Anbari, un ancien major-général irakien responsable du front syrien de Daech ou d’Abou Muslim al-Turkmani, responsable du front irakien. Abou Luqman Ali Moussa al-Hawikh, le « gouverneur » de Raqqa, la « capitale » de l’État Islamique est aussi évoqué. Il peut en sortir d’autres de la besace.

    Quelles peuvent en être les conséquences pour l’organisation ?

    Certains chefs locaux risquent de vouloir retrouver leur indépendance.

    Il ne faut pas penser que la situation est simple pour Daech qui fonctionne grâce à de multiples alliances conclues avec des tribus et d’anciens cadres du parti Baas irakien. Cette unité est volatile. Cela pourrait conduire à une dislocation du « noyau » de l’État Islamique établi à cheval sur l’est de la Syrie et l’ouest de l’Irak. Cela dit, rien ne dit que Daech est « touché au cœur ». Il faut attendre la suite.

    Personnellement, je pense que si al-Baghdadi était mort, il y aurait eu une revendication proclamant qu’il avait rejoint les « martyrs de la cause ». Il est peut être que blessé comme le laisse prétendre la rumeur. Les affaires courantes sont alors réglées par la choura.

    Viendra le moment où la nomination d’un remplaçant, même temporaire, sera rendue obligatoire car les activistes islamiques ont besoin d’un chef qui les guide et leur sert d’exemple. Attendons la suite.

    http://www.atlantico.fr/decryptage/etat-islamique-t-perdu-tete-guerre-qui-se-profile-entre-irakiens-et-syriens-pour-remplacer-al-baghdadi-alain-rodier-2140400.html

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • l’État islamique est entré dans la cité antique de Palmyre

     Les djihadistes de l’État islamique ont réussi à prendre le contrôle de plusieurs secteurs du nord de la ville, qui abrite les ruines de la cité antique de Palmyre.

    La plupart des ruines monumentales, qui comportent notamment des colonnades torsadées romaines, des temples et des tours funéraires, se trouvent au sud-ouest de la ville. Le site, qui fut l’un des plus importants foyers culturels du monde antique, est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.

    Une éventuelle prise de Palmyre permettrait à l’État islamique d’étendre son influence au-delà de l’est et du nord de la Syrie où les djihadistes sont bien implantés. En terme de propagande, la présence de l’EI dans ce lieu historique ne peut qu’attirer l’attention du monde entier. La directrice générale de l’Unesco à d’ailleurs appeler le Conseil de sécurité de l’ONU à agir pour la préserver la ville de Palmyre.

    Nombreux sont ceux qui craignent un nouveau saccage culturel. Le directeur des Antiquités et des musées syriens, Maamoun Abdelkarim, a confié sa peur de voir Palmyre tomber et la cité antique rasée par les djihadistes, qui ont déjà détruit des sites archéologiques dans le nord de l’Irak, notamment Nimroud et Hatra

    http://fr.novopress.info/