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L'immigration n'est pas un débat | IDRISS ABERKANE
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Mayotte, et ailleurs ?
Yves Thréard
Parti sabre au clair pour contenir la déferlante migratoire qui accable Mayotte, Gérald Darmanin dit vouloir mettre fin au droit du sol sur l’archipel. Un tabou va- t-il enfin sauter ? L’expérience commande d’attendre pour juger. À plus d’un titre, cette réforme ressemble comme deux gouttes d’eau à celle de l’immigration, qui a défrayé la chronique ces derniers mois. D’abord, la fermeté affichée d’un côté est, au nom du « en même temps », compensée par une mesure de générosité : pour faire admettre une plus grande sévérité sur le front des expulsions, on se souvient que l’exécutif a sorti de son chapeau la régularisation des clandestins dans les métiers en tension. Ensuite, on l’a vu, le parcours législatif du texte peut changer pas mal de choses et déboucher sur un résultat très décevant.
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[Violences ethniques] Après Thomas à Crépol, Filipp à Meinerzhagen
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Eric Zemmour sur France 2 : Il faut supprimer le droit du sol partout en France !
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Véronique Bouzou : « Les professeurs s’auto-censurent car ils n’ont pas envie de devenir des cibles sur les réseaux sociaux. » [Interview]
Véronique Bouzou est professeur de français depuis une vingtaine d’années et enseigne dans un collège public de région parisienne. Elle vient de publier « Un monde sans profs », fiction dans laquelle elle décrit les problèmes qui minent le système scolaire français. Nous l’avons interviewée ci-dessous au sujet de son livre.
Breizh-info.com : Pouvez- vous vous présenter à nos lecteurs ?
Véronique Bouzou : Professeur certifiée de Lettres modernes en région parisienne depuis vingt-cinq ans (comme le temps passe !), j’ai commencé ma carrière dans des collèges étiquetés alors sous le doux euphémisme de « sensibles ». Pas étonnant dès lors si j’ai choisi d’intituler mon premier livre paru en 2005 Manuel de survie à l’usage d’un prof de banlieue… Tout un programme !
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Aide aux migrants : La Cour des comptes alerte sur l’association Coallia qui ne garde la tête hors de l’eau que grâce aux subventions publiques
De nombreux dysfonctionnements et une situation financière précaire jette le doute sur l’avenir de Coallia. Cette association d’aide aux migrants ne garde la tête hors de l’eau que grâce aux subventions publiques.
Coallia (ex-Association pour la Formation des Travailleurs Africains et Malgaches – AFTAM) est l’un des opérateurs français spécialisé dans le logement des travailleurs migrants et des populations « fragiles ».
Portée par l’intensification des flux migratoires, elle a mené une politique de croissance sans maîtrise ni contrôle. En 2021, elle employait près de 4 300 salariés répartis entre 755 établissements.
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Carcassonne (11) : il frappe sa femme atteinte d’un cancer devant leur fils, contrôle sa vie, l’insulte et l’empêche de sortir… Mohamed, migrant marocain, écope d’une peine de six mois de prison aménagée à domicile
Placé sous contrôle judiciaire depuis le 14 octobre 2023, c’est libre que Mohamed s’est présenté devant le tribunal à juge unique de Carcassonne, vendredi matin. Natif de Meknes (Maroc), il était reproché à cet homme de 51 ans d’avoir été violent avec la mère de ses enfants.
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Allemagne : Après avoir été agressé par un « groupe de 15 personnes d’origine arabe » Filipp S. (16 ans) meurt des suites de ses blessures
09/02/2024
Les dommages physiques subis par le garçon suite à l’agression étaient trop graves. Tous les espoirs et les craintes de sa famille étaient vains.
Parce que l’élève du secondaire a reçu un diagnostic de mort cérébrale à l’hôpital , les médecins ont ordonné à la famille de se rendre au service de soins intensifs jeudi à 10 heures. Les parents, la sœur et les frères se sont précipités à l’hôpital pour accompagner le jeune de 16 ans dans son dernier voyage. Frère Wilhelm S. à BILD : « Nous lui avons dit au revoir. »
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Claire Koç : trop catho, trop bien assimilée pour être médiatisée ?
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Hauts-de-Seine : trois hommes jugés pour avoir détourné 400 000 euros de subventions du conseil départemental (MàJ : un an ferme aménagé en détention à domicile pour le principal accusé)
09/02/2024
Les trois hommes jugés pour avoir détourné 400 000 euros de subvention du Conseil départemental ont été reconnus coupables d’escroquerie, pour l’un, et de blanchiment d’argent pour les autres. Le premier, Hasnain H, a écopé de trois ans de prison, dont un ferme, ses deux complices, Kouraichi A. et Arsalan T., d’un et deux ans avec sursis.