
Le juge des libertés et de la détention de Lille a remis en liberté ce samedi sept clandestins visés par une mesure d’éloignement. Le motif ? Ils n’ont plus accès aux téléphones du centre de rétention, détériorés par les occupants du centre.
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Le juge des libertés et de la détention de Lille a remis en liberté ce samedi sept clandestins visés par une mesure d’éloignement. Le motif ? Ils n’ont plus accès aux téléphones du centre de rétention, détériorés par les occupants du centre.
Du fait de son état psychiatrique, la garde à vue du Malien de 32 ans, auteur d’une attaque au couteau qui a blessé trois personnes à la gare de Lyon ce samedi, a été levée. L’assaillant est donc pour le moment pris en charge par l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. (…)
Cheffe du bureau d’accueil au service des étrangers à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), cette femme de 57 ans, poursuivie pour corruption passive et modification frauduleuse de données dans un système de traitement, est soupçonnée d’avoir délivré indûment des dizaines de titres de séjour et de récépissés à des étrangers qui ne remplissaient pourtant pas toutes les conditions pour les obtenir. Trois ans de prison dont deux ans avec sursis ainsi qu’une amende de 20 000 euros ont été réclamés à son encontre et contre Saad C., un intermédiaire jugé, lui, pour corruption active. Une interdiction définitive d’exercer dans la fonction publique a également été demandée par le ministère public concernant la fonctionnaire. Mise en délibéré, la décision sera rendue le 29 février.
Un Tunisien de 43 ans, en situation irrégulière, a été présenté devant la justice après avoir violemment agressé et dépouillé une sexagénaire à Cannes. Le prévenu a été condamné à de la prison ferme et maintenu en détention.
Le 28 décembre 2023, à la nuit tombante, un individu de forte corpulence, emmitouflé dans une parka à capuche, baskets aux pieds, jeans troué, suit Marie (Le prénom de la victime a été modifié, ndlr), 67 ans, qui remonte seule les escaliers du Suquet. Elle sent bien derrière elle une présence inquiétante.
Son dossier à la Caisse primaire d’assurance maladie était incomplet. Cet homme âgé de 38 ans a trouvé cette raison suffisante pour justifier un véritable « pétage de plombs » comme il l’explique. Ce jeudi 4 janvier, il s’entretient avec un agent en charge de l’étude de ses droits, cette dernière lui explique qu’il manque des justificatifs afin de lui verser ses prestations.
Washington/Austin. En cette année d’élections américaines, Hollywood se prépare à affronter Donald Trump : au cours des prochains mois, une vision d’avenir dystopique, intitulée «Civil War» («Guerre civile»), devrait sortir sur les écrans, évoquant les pires cauchemars des libéraux de gauche. Un président américain fictif y fait intervenir l’armée contre des Américains en révolte, de la fumée s’élève au-dessus de New York, des flots de réfugiés se déplacent le long des autoroutes.
Il aura fallu vingt-huit mois pour que Shir Said Kamali, réfugié afghan à Alençon (Orne), retrouve sa femme et ses neuf filles. Aujourd’hui, la famille vit dans des conditions précaires mais « en sécurité ». Surtout, les filles peuvent retourner à l’école et reprendre espoir.
Il a choisi de casser les codes à l’occasion du traditionnel raout hivernal des “Amis du Maire”. Lundi 29 janvier depuis le Palais de la Méditerranée, l’édile a ainsi rapidement interrompu son discours pour proposer à la salle de lui poser des questions au débotté. Dans l’assistance, deux niçoises ont pu prendre le micro, et dénoncer la situation des Moulins.
« Guerre civile » en vue : les craintes se multiplient que les États-Unis soient sur le point d’exploser alors que la patrouille frontalière des États-Unis et la garde nationale de l’État du Texas se font face au Texas.
Le face à face entre le gouverneur du Texas Greg Abbott et Joe Biden pourrait provoquer une guerre civile
La patrouille frontalière des États-Unis (USBP) et la Garde nationale du Texas se livrent un bras de fer : l’enjeu est la protection des frontières que le gouverneur du Texas, Greg Abbott, du parti Republicain, ne veut pas laisser entre les mains du laxiste et immigrationniste Joe Biden. Cette lutte entre le Texas et le gouvernement fédéral pour le contrôle de la frontière entre les États-Unis et le Mexique s’est encore intensifiée après que le gouverneur de l’État, Greg Abbott, a annoncé qu’il défierait l’administration Biden et la Cour suprême américaine en ordonnant l’installation d’encore plus de barbelés pour dissuader l’immigration.
« Emmanuel Macron a promis de livrer le texte au Conseil constitutionnel afin de vérifier « l’orthodoxie » de certaines mesures – c’est à dire pour le détricoter de nouveau avec l’autorité morale du Conseil constitutionnel. En bref, un nouvel enfumage se profile, et c’est précisément ce dont les Français ne veulent plus. » C’est au mot près ce que nous écrivions dans le dernier numéro du Bien commun, le mensuel de l’Action française, le jour du vote de la loi immigration à l’Assemblée.