C’était une démonstration de force, dont l’ampleur a surpris même la police: Le groupe “Hooligans contre les salafistes” a mobilisé dimanche à Cologne (Allemagne) autour de 4.000 manifestants aux cris en particulier de « Pas de charia en Europe ».
immigration - Page 1307
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Des milliers de Hooligans manifestent contre les salafistes à Cologne
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Maldives : La charia au paradis
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La charia a très officiellement cours en Grèce
Lu sur Médias-presse-info :
"Grèce – En Thrace occidentale où vivent près de 100 000 musulmans, la charia est officiellement d’application. Nous sommes bien ici dans un pays membre de l’Union européenne. Et pourtant, des citoyens grecs musulmans font ici appel aux muftis et à la loi islamique pour régler leurs affaires familiales et personnelles. Une possibilité permise par la loi du 5 janvier 1914 qui porte sur « la législation applicable dans les territoires cédés et leur organisation judiciaire ».
Or, grâce au laisser-aller administratif, les muftis ont étendu leur pouvoir à d’autres domaines et à d’autres personnes, y compris non grecques et/ou non musulmanes, et a débordé le cadre géographique de la Thrace occidentale. Les tribunaux religieux islamiques ont étendu leur juridiction sans que la loi grecque ne s’y oppose. La cour de cassation (areios pagos) considère que le mufti est le « juge légitime » des citoyens grecs musulmans où qu’ils résident, en Thrace occidentale naturellement, mais aussi partout ailleurs sur le territoire grec et même plus curieusement, hors de Grèce.Les tribunaux religieux islamiques se sont donc emparés des litiges de droit familial quand bien même l’un des conjoints n’était pas grec mais égyptien, australien, allemand, moldave, palestinien. Dans chacun de ces cas, l’État grec n’a pas fait respecter la loi même s’il a demandé à l’administration de ne pas retranscrire sur les registres de l’état civil les mariages entre étrangers et citoyens grecs musulmans. Plus inquiétant, les tribunaux islamiques de Xanthi et de Didimoticho ont étendu leur juridiction aux litiges dans lesquels l’un des conjoints n’était pas musulman mais chrétien orthodoxe, sans que l’Etat grec ne s’en préoccupe. Il faut également noter que l’Etat grec laisse aux tribunaux islamiques le soin d’autoriser ou non le mariage de citoyennes grecques musulmanes mineures. De même, conformément à la charia, l’Etat grec tolérait jusqu’à très récemment la polygamie pour les citoyens grecs musulmans, malgré la règle constitutionnelle de la protection de la famille monogamique."Des musulmans en prière dans les rues d'AthènesLien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, religion 0 commentaire -
Allemagne : Manifestation hooligans contre salafistes – « La situation est hors de contrôle à Cologne »
D’ordinaire peu organisés et éclatés en petites entités en raison de la haine profonde que se vouent entre eux les hooligans qui soutiennent différents clubs de football allemands s’unissent désormais pour combattre le salafisme. L’un des groupes les plus actifs s’appelle «Ho.Ge.Sa», un acronyme qui signifie «Hooligans gegen Salafisten» («Hooligans contre les salafistes»).
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Attali justifie la colonisation musulmane
Attali justifie la colonisation musulmane de la France en jouant sur la peur d'une guerre civile.
Oracle de "la France d'après", il fut dès l'élection de Nicolas Sarkozy convoqué au chevet de la république pour contribuer à réformer la France, le tout sans une once de légitimité démocratique. Nous remontons cette note d'octobre 2007 parallèlement à son retour en force dans les médias, qu'il subjugue par son art de la prospective...dont les prédictions ont toutes échouées depuis 30 ans.
"Alors que le rapport Attali vient d'être jugé "plutot raisonnable" par Nicolas Sarkozy, malgré sa proposition phare de "relance de l'immigration" (comme si elle avait été arrêtée) inspirée de son livre L'avenir du travail sorti en 2007proposant l'arrivée de 2 millions d'immigrés annuellement pour mener la France à 187 millions d'habitants en 2040 (alors qu'il suffit de sauver le régime des retraites par la capitalisation privée), je publie de nouveau les citations de l'illuminé mondialiste, glanées ça et là, en rajoutant celle-ci : « La logique socialiste c’est la liberté, et la liberté fondamentale c’est le suicide[…]L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement. »L’homme nomade , Ed. Le Livre de Poche, 2005.
Deux vieilles interviews de Jacques Attali, une de mai 1992, l’autre de mars 1997, éclairent sur sa vision de la colonisation islamique de l’Europe contemporaine.
« La France doit-elle se contenter d’accepter sur son sol les travailleurs européens ou assumer sa dimension musulmane ? Là est sans doute la principale question masquée par ce débat (ndlr : sur l’immigration), le vrai choix géopolitique. Si la France et l’Europe décidaient de s’affirmer comme un club chrétien, elles devraient se préparer à l’affrontement avec un milliard d’hommes, à une véritable « guerre de civilisations ». Avec en prime, en France, une guerre civile » Jacques Attali, Le Monde du 19 mars 1997
L’Algérie, le Maroc, la Tunisie ainsi que les pays de la péninsule arabique et du monde asiatique ont décidé- il y a 30 ans déjà -de s'affirmer en tant que club musulman exclusif par la création de l’OCI. Est-ce pour autant que 800 millions de chrétiens à travers le monde ont décidé de leur déclarer la guerre ?Absurde.
Attali, le 12 mai 1992 dans Le Monde, lors de la commémoration de la victoire de 1492 sur la colonisation islamique en Espagne, se félicitait qu’enfin, après cinq siècles, l’Europe s’ouvre à nouveaux aux zélateurs d’Allah :
« En 1492, l’Europe s’est fermée à l’est ( ndlr :comprendre au sud-est) et tournée vers l’ouest en essayant d’expulser d’elle tout ce qui n’était pas chrétien. Aujourd’hui, assez largement, le contraire se prépare. Une parenthèse de cinq siècles se ferme. L’Europe occidentale s’ouvre à son passé »
En bon mondialiste favorable à la « gouvernance mondiale », le sans-patrie fustigeait les frontières dans le même article :
« En 1492, comme aujourd’hui, le problème politique majeur est celui de la frontière, le choix entre nation et unité. On parle partout de marché et de démocratie comme si c’était des évidences parallèles, sans voir que l’économie de marché n’a pas besoin de frontières- la frontière interdit le développement de l’économie de marché et condamne au dirigisme économique- (…) Pour que la démocratie ne soit pas un frein au développement, elle doit être sans frontières, sinon on aura la frontière sans la démocratie »
On ne voit pas bien en quoi des frontières servant de filtre pour les personnes empêcheraient les biens de circuler. Sur la question de la démocratie qui réussit sans frontières, découpler la liberté des peuples à disposer d'eux même d'une souveraineté nationale s'exprimant dans un Etat-nation délimité géographiquement et un positionnement assez délirant. Mais on comprendra mieux en sachant que dans la démocratie universelle d'Attali, droit d'ingérence ( il rejoint en cela Kouchner) et exportation de celle-ci "à l'américaine" vont de paire.
Sur son blog, réagissant à la mini-polémique sur les prénoms exotiques des enfants Dati et Sarkozy ( respectivement Zora et Solal ), Jacques Attali commit un billet sur cette question et ce qu'elle révèlerait de l'état moral d'un pays. Il oppose une assimilation stérile à une intégration enrichissante: « Quand une nation décline, se rétrécit et se recroqueville, elle assimile ( note de l'Obs-i: alors que la France n'a jamais été aussi puissante que dans les périodes où elle a assimilé les étrangers !) ; et le nombre de prénoms qu’elle emploie est de plus en plus réduit, signe de son uniformisation. Au contraire, quand une nation est vivante, dynamique, ouverte, en croissance, elle intègre ; et elle utilise alors de plus en plus de prénoms différents, dont elle se nourrit pour augmenter sa diversité. L’assimilation appauvrit. L’intégration enrichit."
Aussi, Attali, pour remédier à la « haine de l’étranger » (comprendre le refus de l’africanisation et de l’islamisation d’une Europe chrétienne depuis 1500 ans) a sa solution : le droit de vote des étrangers ! Voilà les propos de l’illuminé :
« Partout en Europe, surgit la haine de l’étranger, de l’autre, responsable de nos malheurs…il faudra donc entrer dans les détails, penser et décrire les institutions concrètes en organisant, par exemple, le droit de vote des non-citoyens ( ndlr : le droit de vote des étrangers légaux ou non) ou le droit d’ingérence, ou le droit de vote des générations ultérieures »
« le droit de vote des générations ultérieures » vous avez bien lu ! Pratique, le Système choisirait les tendances de vote des français du futur pour contrecarrer les mal votants du présent. Il suffisait d'y penser.
http://www.islamisation.fr/archive/2014/10/11/l-odieux-chantage-a-l-invasion-de-jacques-attali.html
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Immigration : Jean-Paul Gourévitch à L’AF 2895 : " Pour une parole indépendante"
Consultant international sur l’Afrique et les migrations, docteur en sciences de l’information et de la communication, Jean-Paul Gourévitch vient de publier un ouvrage auquel nombre de nos confrères ont réservé un accueil polémique.
L’AF 2895 : Vous venez de signer dans la collection Pour les Nuls, qui vise le grand public sans rien lâcher sur l’exigence scientifique, une somme sur les Migrations : en quoi cet ouvrage manquait-il ?
Jean-Paul Gourévitch : Il existe en France nombre d’ouvrages sur l’immigration, historiques, politiques, sociologiques, démographiques sans compter les témoignages chargés d’émotions des migrants ou de ceux qui vivent auprès d’eux. En revanche l’expatriation reste un domaine peu exploré notamment sur le plan des coûts. L’idée de l’ouvrage était de conjuguer immigration et expatriation sous un seul terme, celui de migrations, et de ne pas se restreindre à la France mais d’ouvrir sur la géopolitique des flux et les exemples étrangers.
La seconde difficulté propre à cette collection dont le slogan est « Avec les Nuls tout devient facile » c’est de faire un travail de vulgarisation tout en respectant une rigueur méthodologique et scientifique. C’était le défi qui m’était assigné et que j’ai essayé de relever. Il ne faut pas noyer le lecteur sous une avalanche de chiffres mais on ne peut pas non plus les occulter. Il est également important de définir les termes. « Immigrés », « étrangers », « personnes d’origine étrangère » renvoient à des réalités différentes. Une anecdote significative. Lors du débat télévisé de l’élection présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy a mentionné plusieurs fois le « vote des immigrés » alors qu’il s’agit évidemment du vote des étrangers puisque nombre d’immigrés ont acquis la nationalité française et bénéficient donc du droit de vote. Une erreur que son adversaire n’a même pas relevée.
Enfin, mais c’est plus anecdotique, un ouvrage qui fait 400 pages plus les cartes et les annexes ne doit pas être pesant et comporter des moments plus légers : anecdotes, bêtisier, recension d’ouvrages, de films ou de lieux de mémoire. Reste qu’il n’est pas question de faire de l’humour sur les migrations car le fait de quitter son pays est toujours un déchirement qui peut se terminer de manière tragique comme l’actualité nous le rappelle chaque jour.
Vous et votre éditeur avez été victimes d’une tentative de déstabilisation. Pourquoi, alors que vous êtes un spécialiste internationalement reconnu de la question ?
Comme il était difficile de s’en prendre à l’ouvrage, on a cherché à diaboliser l’auteur, et ainsi à discréditer à la fois le propos et la collection. Cette part d’un seul article très « militant » d’une journaliste de l’AFP qui est repris in extenso le jour même et le lendemain par 51 journaux parmi les plus célèbres qui n’ont ni consulté l’ouvrage ni interrogé l’auteur ou l’éditeur. Cela peut laisser rêveur sur la déontologie d’une certaine presse qui pourtant ne se fait pas faute de donner des leçons.
Quand mon avocat et moi-même avons demandé à l’AFP comment elle comptait réparer le préjudice subi, l’Agence a répondu qu’elle ne voyait pas où se trouvait ce préjudice. Pourtant 10 millions de lecteurs de cette presse ont bien été « informés » qu’il s’agissait d’un ouvrage écrit par un auteur « très à droite » donc suspect. La preuve : ses thèses avaient été citées par le Front National et des sommités de gauche et d’extrême gauche, les seules interrogées par la journaliste, en contestaient la teneur. Pourtant aucune n’avait lu l’ouvrage puisqu’il était sorti le jour même et qu’elles n’avaient pas reçu de service de presse.
Bien entendu on s’attardait sur les événements organisés par la droite ou l’extrême-droite au cours desquels l’auteur avait donné des conférences en oubliant ceux organisés par la gauche ou l’’extrême gauche au cours desquels il était également intervenu, voire en niant qu’ils aient existé alors qu’ils sont parfaitement consultables sur Internet et ont donné lieu à des publications.
On en est même venu à contester ma qualité de consultant international sur l’Afrique et les migrations. Pourtant en 25 ans de carrière dans ce domaine, j’ai fait plus de 35 missions dont certaines ont duré des mois voire des années, notamment en Afrique, pour des organismes aussi divers que l’UNESCO, l’Union Européenne, Le Ministère des Affaires Etrangères, la Banque Mondiale, des ONG ou des cabinets d’expertise. Et mon rapport sur les migrations subsahariennes a été voté par le Conseil de l’Europe à l’unanimité (moins deux abstentions) ce qui n’est quand même pas courant.
On ne peut résister seul à cette lapidation organisée. J’ai obtenu des droits de réponse de la part de trois journaux qui en avaient rajouté jusqu’à la diffamation. Mais je constate avec amertume que dans un pays profondément divisé et où l’opinion publique n’est plus en phase avec ses représentants, il est difficile sur un sujet sensible et qui pourtant concerne son présent et son avenir, de porter une parole documentée, indépendante, aussi impartiale que possible, qui donne les sources de ses données et explicite sa démarche.
Est-il impossible de parler des migrations de manière apaisée ? Cet ouvrage n’a-t-il pas précisément pour objet de mettre un terme aux fantasmes sur la question pour l’aborder de manière objective ?
Ségolène Royal avait dit un jour qu’il faudrait « dépolitiser la question de l’immigration » et faire asseoir autour d’une même table des gens compétents et de bonne volonté pour chercher des solutions intelligentes aux problèmes qu’elle posait. Nous en sommes très loin. Sans doute l’immigration est-elle plutôt le pré carré de la droite et l’expatriation le cheval de bataille de la gauche. Mais ces deux aspects sont liés géopolitiquement, financièrement et humainement. L’ouvrage prétend lutter contre « les amalgames, les phantasmes et la désinformation ». La campagne de presse dont j’ai été victime montre que le combat est loin d’être gagné. J’ajoute que c’est un combat sur deux fronts. On risque toujours d’être ostracisé par les uns et instrumentalisé par les autres. Mes collègues qui travaillent en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Italie, aux Etats-Unis ou au Canada s’étonnent toujours des réactions passionnelles des Français quand on aborde ces thèmes. Chez eux aussi on débat, mais sans insultes ni déformation volontaire des propos de ceux qui ne pensent pas comme vous.
Ceux qui vantent de manière idéologique les bienfaits de l’immigration hésitent entre deux attitudes contradictoires : vanter ce qu’elle rapporte, ou affirmer qu’il est impossible d’en mesurer le coût... C’est que l’immigration a un impact à la fois économique, social, culturel, voire politique et géopolitique... Comment débrouiller un tel écheveau ?
En informant de façon contradictoire comme je le fais sur les motivations variées des mouvements migratoires, l’ampleur et l’orientation des flux, les diverses évaluations faites des coûts et des bénéfices, des investissements et de leur rentabilité, et les méthodes utilisées pour les mesurer.
A titre d’exemple dans « la partie des Dix », une des traditions de la collection, j’ai listé dix débats de fond sur des problèmes complexes comme l’ouverture des frontières, la fuite des cerveaux, la régularisation des personnes en situation irrégulière ou l’aide médicale d’Etat. Chacun est présenté selon un schéma type : historique du débat, arguments des partisans, arguments des adversaires, thématiques des controverses. Il n’y a pas de conclusions. C’est au lecteur de les tirer.
Pouvez-vous définir quelles devraient être les grands lignes de la politique migratoire d’un gouvernement qui ferait enfin le choix du seul bien commun ?
Je ne voudrais pas à mon tour me poser en donneur de leçons. Mon souci n’est pas de déterminer quelle est la meilleure politique en matière de migrations mais de permettre à chacun de se faire sa propre opinion en connaissance de cause C’est aussi pour cela que je n’hésite pas à intervenir dans des associations ou mouvements dont les options sont parfois opposées, en essayant de fournir à chacun une information qui soit précise, pertinente, et sourcée, et d’éclairer les enjeux.
L’AF 2895 - Propos recueillis par François Marcilhac
Retrouvez ici et ici Jean-Paul Gourévitch lors d’une conférence à l’Action française.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Immigration-Jean-Paul-Gourevitch-a
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Lunel – Djihad : nos régions ont du talent (Présent 8217)
Lunel, terreau du djihadisme français ? Cœur d’une filière de recrutement de moudjahidines ? Et demain Clairac et Saint-Marcel et Plougastel, Eguisheim et Morlaàs ? Nos petits patelins typiques ont radicalement viré de type.
Quatre jeunes habitants de Lunel dans l’Hérault (25.000 âmes, à l’est de Montpellier) partis rejoindre les rangs des djihadistes en Syrie, ont été tués le week-end dernier lors de combats. L’un des quatre était converti à l’islam, les trois autres de confession musulmane ancienne. Ils étaient accompagnés de leurs compagnes et de leurs bébés. L’une des femmes concernées se dit aujourd’hui désireuse de revenir en France, « après tant de drames »… Merci bien !
L’enquête évoque l’existence d’une « filière de recrutement » à Lunel
Selon des informations diffusées par BFMTV (à prendre avec prudence car de nombreux jeunes islamistes se vantent sur internet d’alimenterBFMTV en fausses informations) les services de police seraient à la recherche d’un homme d’origine syrienne, vu à plusieurs reprises ces derniers temps à Lunel. Il pourrait être le recruteur et l’organisateur des départs vers son pays pour le compte du Front Al Nosra, succursale d’al Qaïda en Syrie, engagé dans la guerre contre le régime de Damas. Selon ces mêmes informations, les quatre djihadistes auraient quitté Lunel par la route pour Barcelone d’où ils auraient embarqué sur des vols à destination de la Turquie, avant de passer clandestinement en Syrie. Ils auraient été accueillis dans un camp d’entraînement d’Al Nosra situé dans un petit village entre la frontière Turque et Alep, par un recruteur venu du Gard.
« Mes frères »
A Lunel où vit une importante communauté maghrébine, les voisins des quatre disparus sont … admiratifs. « C’est mes frères qui sont morts, point, y a rien à dire », lance agacé un « jeune » à un journaliste. Un joint à la bouche et un verre de thé à la menthe à la main. Un cousin des deux frères qui ont trouvé la mort raconte que ces garçons étaient « des personnes normales comme moi, des gens respectables ». « C’est à cause d’Internet, des vidéos sur Youtube, ils étaient sur Facebook. Ce n’est pas la mosquée. Ils ont eu une vision différente peut-être ».
« Mes frères ». « Des personnes comme moi ». Combien sont-ils comme eux ? Accueillis par la France ou nés en France, éduqués, soignés, logés, élevés en France. Combien sont-il à vouloir mourir ou massacrer pour Allah ? La France fournit actuellement le plus gros contingent de djihadistes européens au Moyen-Orient avec plus d’un millier de recrues. Plus éloquent que toutes les démonstrations sur la réussite de cette « intégration » et de cette « assimilation » que l’on continue de nous vendre et de nous vanter.
Caroline Parmentier
http://fr.novopress.info/177304/lunel-djihad-nos-regions-ont-du-talent-present-8217/#more-177304
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Islamisation : Où que nous soyons, le problème est le même – Par Vincent Revel
L’islamisme ne connaît pas de frontières. Cette idéologie s’adapte à son environnement là où on la laisse s’installer. Le Canada vient de découvrir cette triste réalité. Ce pays, qui accueille chaque année des dizaines de milliers de migrants dans un modèle de société communautariste, se trouve face à la même problématique qui se pose à l’Europe : comment faire pour cohabiter avec l’Islam lorsque l’on apprend depuis longtemps aux jeunes générations la détestation de soi ? Comment faire pour ne pas voir des jeunes, paumés, en perte d’identité, devenir des fous d’Allah ?
Pour lutter pleinement contre les discriminations (version canadienne du bien vivre ensemble), le Canada a toujours voulu être le bon élève de la classe ! Désirant autoriser les tribunaux islamiques à se prononcer sur les affaires familiales, les autorités canadiennes ont provoqué l’indignation de nombreuses associations laïques et féministes. Au nom de la multiculturalité et du droit à la différence, le Canada était prêt, en 2005, à se compromettre avec les pires des radicaux, qui étaient conscients de leur force et de leur capacité à profiter de la naïveté de leurs hôtes.
Avec la montée d’un communautarisme nouveau, une petite ville du Québec, Hérouxville, osa s’élever contre le politiquement correct en condamnant fermement les crimes d’honneur, la lapidation des femmes, l’excision et d’autres pratiques monstrueuses promues par les extrémistes islamistes. La municipalité de ce bourg québécois s’insurgea contre les revendications de la communauté musulmane modifiant radicalement les habitudes et les traditions humanistes du Canada. Le fait que les musulmans demandent que garçons et filles ne se baignent pas ensemble dans les piscines municipales, révolta le conseiller municipal André Drouin. Hérouxville espérait que son action soit entendue comme l’expression «d’un cri du cœur», dénonçant un danger bien réel, entretenu par des radicaux décidés à faire du Canada une plateforme d’expansion de l’islam en Amérique du Nord. Cependant lors des élections fédérales partielles du 17 septembre 2007, l’islam remporta une nouvelle victoire en arrachant une décision aux autorités électorales canadiennes permettant aux femmes musulmanes de pouvoir voter sans avoir à montrer leur visage.
Ces évènements, associés à la tragédie d’Ottawa, sont le reflet d’une volonté affirmée provenant d’islamistes désireux de tester la force de résistance de la société canadienne. Même si la majorité des musulmans n’est pas attachée à un programme politique, l’islam n’est pas qu’une force religieuse. Il est également une idéologie au service de la civilisation musulmane.
Lorsque Mustafa Ceric, grand mufti de Bosnie, demanda un «processus d’institutionnalisation de l’islam en Europe» pour que les musulmans puissent avoir «leurs représentants légitimes dans les parlements nationaux européens», il ne faisait que déclarer ce que souhaitent nombre de musulmans européens. L’Islam a pour vocation, et ceci depuis son apparition dans les déserts de la péninsule arabique, d’être une force politique se servant sans gêne de la religion pour faire avancer ses idées. Son but est de dominer sans partage sur l’humanité. Son désir est la soumission des sociétés.
Le bonheur et la liberté des individus ne représentent rien devant l’unité de la communauté musulmane. Ceux qui désirent croire que l’islam est une religion comme une autre et que toutes les religions se valent se trompent. Ceux qui espèrent pouvoir associer l’islam à la démocratie moderne se trompent aussi lourdement. Avec l’islamisme, la compassion s’efface devant la froide volonté de Dieu, exprimée à travers le Coran et la charia, d’asservir l’Homme pour mieux dominer son esprit. Si nous continuons d’accommoder nos coutumes et traditions aux revendications multiples de l’islam, nos lois finiront par s’effacer devant Allah Akbar. Ce qui est valable pour la France l’est aussi pour le Canada.
Vincent Revel
http://fr.novopress.info/177395/islamisation-soyons-probleme-meme-vincent-revel/
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Sarkozy et l’immigration, ou le retour de Pinocchio
Chronique de Bernard Mazin, essayiste
« Je suis ici comme à la maison, comme en famille.
Si l’on devait créer un « Prix de la naïveté électorale et de l’Alzheimer en politique », l’électeur UMP mériterait sans aucun doute de se voir attribuer la Médaille d’Or. En effet, dans un article publié le 22 octobre sur le site du Figaro, relatant la visite de Nicolas Sarkozy dans son fief des Alpes-Maritimes où il se sent « comme à la maison, comme en famille », on peut lire ceci :
« Pour rassembler le plus largement possible, notamment dans ces terres où l’électeur de l’UMP peut être tenté par le vote FN, Sarkozy consacre aussi une large part de son intervention à l’immigration. « L’immigration ne doit pas être un sujet tabou, mais un sujet majeur, car elle menace notre façon de vivre », estime-t-il. « Les Français veulent rester en France, que la France ne ressemble pas à un autre pays. Nous voulons bien accueillir les autres, mais nous ne voulons pas changer notre pays », ajoute-t-il, suscitant de larges applaudissements. « Nos valeurs doivent être défendues face à un islamisme fanatisé qui rêve de semer la terreur en Occident », lance-t-il encore.
Outre la réforme de l’Espace Schengen, qu’il veut voir doter d’un « gouvernement », Sarkozy entend réformer les allocations et les aides aux immigrés. « Nous ne pouvons plus nous permettre le luxe de verser des allocations aux personnes présentes sur notre sol illégalement », estime-t-il. Quant à l’Aide médicale d’Etat, elle serait remise en cause au nom du « scandale » que constitue à ses yeux « le tourisme médical sous prétexte d’urgence ». Des thèmes qu’il devrait à nouveau développer mercredi soir à Toulon et la semaine prochaine à Marseille. Ce programme objectivement bien alléchant semble avoir déchaîné l’enthousiasme des 3000 personnes venues l’écouter à l’Acropolis de Nice.
Pourtant, comment oublier que durant les années où il occupait le fauteuil de la place Beauvau, puis durant son quinquennat à l’Elysée, l’immigration légale et clandestine a continué d’augmenter, en dépit des gesticulations verbales (la « karchérisation ») et des petites phrases destinées à la « com’ » jamais traduites en mesures concrètes (« Il n’y aura plus de zones de non-droit ») ?
Comment croire à ses rodomontades sur la défense de nos valeurs face à l’islamisme fanatisé, alors qu’il a créé le « Conseil français du culte musulman » et que la créature a échappé à son maître, comme le raconte de façon très circonstanciée Eric Zemmour dans l’un des chapitres de son Suicide français ?
Il faut aussi avoir la mémoire très courte pour ne pas se souvenir du discours prononcé devant les élèves de l’Ecole polytechnique, où il prônait la diversité et le métissage, déclarant, sous forme de menace à peine voilée, que ceux qui s’opposeraient à une telle « évolution » seraient invités à rentrer dans le rang.
Alors, lorsque Nicolas Sarkozy a affirmé à Nice que « Les Français veulent rester en France » et que « nous ne voulons pas changer notre pays », il y a fort à parier que son nez, tel celui de Pinocchio lorsqu’il mentait, s’est allongé !
Bernard Mazin, 22/10/ 2014
Source : Le Figaro, Sarkozy de retour dans un de ses fiefs
http://www.polemia.com/sarkozy-et-limmigration-ou-le-retour-de-pinocchio/
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Sarkozy et l’immigration, ou le retour de Pinocchio
Chronique de Bernard Mazin, essayiste
« Je suis ici comme à la maison, comme en famille.
Si l’on devait créer un « Prix de la naïveté électorale et de l’Alzheimer en politique », l’électeur UMP mériterait sans aucun doute de se voir attribuer la Médaille d’Or. En effet, dans un article publié le 22 octobre sur le site du Figaro, relatant la visite de Nicolas Sarkozy dans son fief des Alpes-Maritimes où il se sent « comme à la maison, comme en famille », on peut lire ceci :
« Pour rassembler le plus largement possible, notamment dans ces terres où l’électeur de l’UMP peut être tenté par le vote FN, Sarkozy consacre aussi une large part de son intervention à l’immigration. « L’immigration ne doit pas être un sujet tabou, mais un sujet majeur, car elle menace notre façon de vivre », estime-t-il. « Les Français veulent rester en France, que la France ne ressemble pas à un autre pays. Nous voulons bien accueillir les autres, mais nous ne voulons pas changer notre pays », ajoute-t-il, suscitant de larges applaudissements. « Nos valeurs doivent être défendues face à un islamisme fanatisé qui rêve de semer la terreur en Occident », lance-t-il encore.
Outre la réforme de l’Espace Schengen, qu’il veut voir doter d’un « gouvernement », Sarkozy entend réformer les allocations et les aides aux immigrés. « Nous ne pouvons plus nous permettre le luxe de verser des allocations aux personnes présentes sur notre sol illégalement », estime-t-il. Quant à l’Aide médicale d’Etat, elle serait remise en cause au nom du « scandale » que constitue à ses yeux « le tourisme médical sous prétexte d’urgence ». Des thèmes qu’il devrait à nouveau développer mercredi soir à Toulon et la semaine prochaine à Marseille. Ce programme objectivement bien alléchant semble avoir déchaîné l’enthousiasme des 3000 personnes venues l’écouter à l’Acropolis de Nice.
Pourtant, comment oublier que durant les années où il occupait le fauteuil de la place Beauvau, puis durant son quinquennat à l’Elysée, l’immigration légale et clandestine a continué d’augmenter, en dépit des gesticulations verbales (la « karchérisation ») et des petites phrases destinées à la « com’ » jamais traduites en mesures concrètes (« Il n’y aura plus de zones de non-droit ») ?
Comment croire à ses rodomontades sur la défense de nos valeurs face à l’islamisme fanatisé, alors qu’il a créé le « Conseil français du culte musulman » et que la créature a échappé à son maître, comme le raconte de façon très circonstanciée Eric Zemmour dans l’un des chapitres de son Suicide français ?
Il faut aussi avoir la mémoire très courte pour ne pas se souvenir du discours prononcé devant les élèves de l’Ecole polytechnique, où il prônait la diversité et le métissage, déclarant, sous forme de menace à peine voilée, que ceux qui s’opposeraient à une telle « évolution » seraient invités à rentrer dans le rang.
Alors, lorsque Nicolas Sarkozy a affirmé à Nice que « Les Français veulent rester en France » et que « nous ne voulons pas changer notre pays », il y a fort à parier que son nez, tel celui de Pinocchio lorsqu’il mentait, s’est allongé !
Bernard Mazin, 22/10/ 2014
Source : Le Figaro, Sarkozy de retour dans un de ses fiefs
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