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immigration - Page 1308

  • Quand le FN mobilisera autant que la Ligue du Nord

    J’étais ce week-end à Rome, invité à un colloque sur l’islamisation et l’immigration. J’en ai profité pour assister, dans la foulée, au grand meeting organisé par La Ligue du Nord, sur le thème « Renzi à casa ». Traduction : le président du Conseil italien, dehors !

    Je suis encore sous le charme de ces trois heures. D’abord par le nombre de manifestants : 40.000 selon la police, 60.000 selon les organisateurs. Ensuite, les thèmes développés : non à l’Union européenne, sortie de l’euro, assez d’immigration, Lampedusa, cela suffit, halte à l’islamisation du pays. On ne tourne pas autour du pot à la « Lega »…

    Quand j’ai entendu le premier intervenant, représentant le monde agricole, je me suis dit : « Ils ont un orateur exceptionnel ! » Puis j’ai entendu les dix suivants et suivantes, tout aussi formidables. Aucun ne lisait son discours, il y avait une force de conviction, une qualité d’élocution, un sens de la harangue populaire que la dictature du politiquement correct n’a pas encore brisés. Ajoutez à cela la beauté de la langue italienne, qui fait qu’on n’avait même pas besoin de tout comprendre pour se laisser bercer par la magie des mots.

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  • Cazeneuve chouchoute les musulmans (Présent 8306)

    Cazeneuve, c’est cet inquiétant ministre de l’Intérieur – et des Cultes – qui refuse d’interdire de vente dans les librairies (1) les brûlots islamistes. Au motif que « prôner le djihad n’est pas un délit ». Pas un délit chez les dingos d’Allah sans doute, mais en Europe où l’on tue au nom du djihad ?

    Cazeneuve chouchoute les musulmans (Présent 8306)

    Vous aurez noté que, par une sorte de contorsion kamasoutresque, le gouvernement et la majorité des médias dhimmitisés ont retourné le problème. Ce sont des musulmans (pervertis, ignorants, fanatiques, déjantés, tout ce que vous voudrez, mais des musulmans revendiqués) qui ont tué en janvier dernier.

     

    Dans les journaux, ça devient : « Depuis les attentats de janvier, les milieux musulmans sont la cible (sic) d’une flambée (resic) d’actes de vandalisme et de violence. »

    C’est bien dommage, car surtoutpasdamalgame. Mais la faute à qui ? Est-il permis de demander à la communauté musulmane fréquentable (et pas au seul cacochyme Boubakeur) ce qu’elle fait concrètement pour endiguer et annihiler des gens qui, nolens volens, se réclament de l’islam ? Et qui, en tout état de cause, ne sont pas des extra-terrestres sortis de nulle part ?

    La semaine dernière, Cazeneuve est allé à Bordeaux, la ville du dhimmi Juppé qui l’accompagnait, « pour apaiser » nous dit-on. Pour apaiser qui ? Les chrétiens et les juifs qui sont les cibles – et plus souvent qu’à leur tour – des djihadistes ? Non. Pourapaiser les milieux musulmans !

    L’espace d’un après-midi, il a ainsi visité trois lieux de culte musulmans. A la mosquée Al-Houda, il a été reçu par le grand imam de Bordeaux (eh, oui, ça existe…) Tareq Oubrou.

    Car Cazeneuve a un plan pour l’islam : « s’appuyer sur le dialogue entre les religions pour éviter les fractures communautaires ou confessionnelles ». Mais qui les a créées et creusées, ces fractures ? Les chrétiens, les juifs, les bouddhistes ? Cazeneuve, c’est le fils naturel du Père Ubu et de Dada !

    Alain Juppé s’est dit réjoui de cette visite (2) et en a profité pour y aller d’un laïus bisounours : « A Bordeaux, nous vivons cette fraternité, nous faisons la promotion du vivre ensemble. » Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais cette expression utilisée ad nauseam, « le vivre ensemble », me fait gerber.

    Cazeneuve a dit s’engager à faire tout ce qui est en son pouvoir « pour apaiser les craintes, répondre aux attentes légitimes et procurer la tranquillité d’esprit ». Et comment il apaise ces djihadistes qui, après la décapitation de 21 coptes chrétiens, ont envoyé ce sympathique message : « Ceci est un message de sang à la nation de la croix et aux fidèles de l’Eglise ennemie » ? Et il apaise comment les Merah, Kaouachi, Coulibaly, les « Danois » à la Omar Hamid el-Hussein, à venir ?

    Alors que l’UMPS continue de se vautrer dans l’angélisme, il est temps de parler vrai. Même Yves de Kerdrel de Valeurs actuelles, qui n’est pourtant pas une flèche, s’en est rendu compte : « Comme s’il n’y avait pas urgence, de la part de tous, à ouvrir enfin (sic) les yeux sur cette guerre de religion que les islamistes ont décidé de porter sur notre sol contre des Français chrétiens ou juifs ».

    Alain Sanders

     

    (1) Et pas seulement dans les librairies musulmanes, mais jusqu’à la FNAC (entre autres).

     

    (2) Réjoui et un brin admiratif : « Je n’ai jamais fait trois mosquées dans la journée. »

     

     

    http://fr.novopress.info/183263/cazeneuve-chouchoute-les-musulmans-present-8306/

  • Le déclin de SOS Racisme

    Par la conjuration d’un “vivre-ensemble” malade de nature, d’une jeunesse qui ne se laisse plus abuser, de l’essor des idées patriotes dans le débat français, SOS Racisme semble se rapprocher de la chute.
    L’officine du Parti Socialiste bien que se faisant de plus en plus agressive et bruyante dans sa communication ne rassemble plus la foule dans ses manifestations d’indignation sélective. Elle ne cherche plus qu’à faire taire puisqu’elle ne se fait plus entendre. En effet, sa rhétorique, rengaine lancinante se périme. Aussi s’acharne t-elle, unie à d’autres, à tout faire pour que la parole contradictoire qu’elle nomme haine ne puisse s’exprimer dans une liberté retrouvée sur internet.
    Maigre de ses membres, tel le héron, l’association phare antiraciste en est à rassembler ses anciens Présidents pour son prochain dîner annuel.

    http://fr.novopress.info/

  • Valls et son Islam de France

    Manuel Valls s’attaque à « tout ce qui retarde un islam de France »
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    Tel est le nouveau leitmotiv du premier Ministre exprimé lors de sa visite à la grande mosquée de Strasbourg ce 3 mars 2015. Plus un islam financé de l’étranger, mais qui le sera avec les deniers publics, l’argent des contribuables, il est bon de le rappeler. Le triste choix s’imposant est d’une dichotomie affligeante : l’ingérence de puissances étrangères par le prosélytisme et l’argent ou le racket du Français pour un islam de France qui sera tout autant prosélyte.
    La loi 1905, ce paillasson où l’on s’essuie les pieds en faisant mine de le brosser, a depuis longtemps des difficultés de survie. Il est devenu usuel de dire tout et n’importe quoi en son nom, surtout son contraire.
    Ce culte musulman qui serait enseigné à l’université à l’avenir, qui serait financé par le citoyen de France, qu’a t-il de séparé avec l’État ?
    Trop de gens dans les divers cercles de pouvoir ont pris cette détestable habitude de ne pas respecter la France, de la traiter en imbécile docile, de déchirer sa culture, son mode de vie, son histoire, son peuple. Quand elle n’est pas insultée, usurpée, elle est vendue par petits morceaux de patrimoine. La voici aujourd’hui officiellement islamisée au nom de la laïcité, bien sûr.

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  • Christian Estrosi vote 3000 euros de subventions aux Jeunes Frères musulmans

    Lu sur l'Observatoire de l'islamisation :

    1407513579"Après des locaux loués par la mairie de Nice pour un loyer dérisoire au bénéfice d'une mosquée (voir notre enquête), on apprend dans Nice Matin que 3000 euros ont été affectés aux Jeunes Musulmans de France (JMF) branche jeune de l'UOIF qui représente les Frères Musulmans en France. A titre de comparaison, la mairie UMP donne  4000 euros au Secours Catholique ou 4000 euros également à l'ABRI qui vient en aide aux retraités isolés et sans ressources. 

    Pour comprendre la ligne politique de cette association communautariste , la lecture de la présentation du livre écrit par son ancien président charismatique Farid Abdelkrim, est très instructive. L'ouvrage s'appelle "Na'aboul France" qui signifie "Maudite soit la France" : "Nous sommes en 2005 après Jésus-Christ. Toute la Gaule est occupée par les gaulois... Toute ? Non ! Des villages peuplés d'irréductibles musulmans résistent encore et toujours à l'intégration. Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de républicains laïcs gaulois des camps retranchés de Marseillorum, Strasbourgum, Villeurbannum, St denisum et Roubaixum." [...]

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Arnaque aux faux malades : des centaines de sans-papiers régularisés

    L’escroc, atteint du sida, se faisait dépister sous différentes identités. Une fois le diagnostic établi, contre une somme d’argent, ses clients récupéraient les analyses pour bénéficier d’un titre de séjour provisoire.

     

    http://www.contre-info.com/arnaque-aux-faux-malades-des-centaines-de-sans-papiers-regularises

  • « Si tout le monde peut être Français, le communautarisme est inévitable »

    Le mot « Français » est souvent complété d’une appartenance communautaire… Que veut-il dire ?

    Il existe deux sens très différents au mot « Français » aujourd’hui.

    Un sens administratif, d’abord : être Français, c’est avoir une carte d’identité française.

    Un sens historique et culturel, ensuite, pour les Français de civilisation européenne et d’expression française.

    De ces deux définitions découlent une série de confusions devenues récemment caricaturales avec l’expression « djihadistes français ». Cette appellation est juridiquement vraie mais elle n’a aucun sens si l’on considère la définition culturelle et historique du mot « Français ».

    Quelle évolution du Code de la nationalité a permis un tel fossé entre différents « Français » ?


    Depuis 1803 (Première République !), la base de la nationalité est la filiation et, donc, le droit du sang : un expatrié a, par exemple, des enfants français.

    Mais cette règle a été progressivement déviée par l’ajout d’éléments de droit du sol : un enfant né en France de parents étrangers peut devenir automatiquement français entre 13 et 18 ans, et un enfant né en France de parents eux-mêmes nés en France est automatiquement français… S’ajoutent à cela des naturalisations de masse sans sélection. Résultat : on fabrique chaque année autour de 150.000 « Français » dont beaucoup ne sont absolument pas assimilés.

    Il y avait eu un grand débat en 1986 autour de la suppression de ces éléments de droit du sol. Le slogan du FN était : « Être Français, cela s’hérite ou se mérite », mais ce point de vue était aussi défendu par le RPR et l’UDF !

    Malheureusement, cette même année, de nombreuses manifestations étaient organisées contre la loi Devaquet qui voulait réformer l’Université et, à cette occasion, un jeune manifestant d’origine immigrée, Malik Oussekine, était mort… Victime d’une campagne de sidération médiatique, le gouvernement Chirac avait alors abandonné sa loi sur l’Université et la réforme de la nationalité.

    Il créait à la place la Commission de la nationalité qui a théorisé la conception « citoyenne » de la nationalité contre la volonté du peuple qui avait soutenu à 55 % des partis opposés à celle-ci.

    Comment en est-on arrivé à parler de « Français de souche » ?

    En 1987, la conception de la nationalité française dite « citoyenne » est donc adoptée.

    En clair, tout le monde peut être français s’il réside en France et adhère à un minimum de « valeurs » républicaines (ce qui n’est même pas vérifié ni réellement défini). Une coquille vide, conception très abstraite, cache-sexe d’une communautarisation du pays. On s’est mis alors à parler de Français juifs, de Français noirs, de Français musulmans… Et le Français « moins », c’est-à-dire le Français tout court, s’est alors retrouvé dans l’expression de « Français de souche », résultat d’une conscientisation qui a débuté dans les années 2000 grâce au site François Desouche.

    Le Français de souche, c’est un Français blanc, de civilisation européenne et de religion ou d’héritage chrétien.

    Le problème, c’est que les Français « plus » sont particulièrement protégés : interdiction de les « stigmatiser », et des associations soi-disant représentatives (CRIF, CRAN, CFCM) font valoir leurs exigences. À partir du moment où l’on refuse toute spécificité d’origine, de culture, d’histoire, de civilisation au concept de Français, il ne reste plus rien et les revendications identitaires de toutes sortes divisent la France. Parler de « vivre ensemble » dans cette situation est totalement hors-sol : il n’existe nulle part, ni dans les habitudes alimentaires, ni dans le choix du lieu de vie, de l’établissement scolaire ou des références culturelles. Il est le cache-sexe d’une société éclatée puisqu’il ne peut y avoir de communauté nationale sans communauté de civilisation. Le problème n’est pas nouveau, Aristote le disait déjà !

    Qui pourrait représenter les Français de souche ?

    Pour les Français de souche, le vote FN est la voie politique la plus évidente pour exprimer leur « cri de douleur ». Mais les dirigeants du FN entendent, eux, s’adresser aux « Français de toutes origines » – ce qui peut se comprendre – et ne sont pas loin d’adhérer à la conception citoyenne de la nationalité…

    Il y a, là encore, un fossé qui se creuse : les deux principaux dirigeants rejoignent cette conception citoyenne de la nationalité alors que les militants, les adhérents et une très grande partie des cadres et des élus défendent une conception civilisationnelle de la nationalité. Les Français de souche sont encore en grande majorité, mais ils sont les véritables orphelins de la République.

    On ne parle plus que de « République ». Où est passée la France ?


    Le mot République est effectivement devenu un mot-valise pour désigner tout ce qui est politiquement correct : il a remplacé les mots « nations » et « identité ».

    On ne parle plus de France mais de République. Rappelons-nous pourtant que si la guerre de 1914 a été conduite par des « nationaux républicains » (Poincaré, Clemenceau, les généraux), les soldats, eux, sont morts pour la France ! On meurt pour quelque chose de charnel, pas pour une idée abstraite.

    Quelles solutions ?

    Même si l’expression « Français de souche » est sortie de la bouche du président Hollande dans un contexte ultra-stigmatisant puisqu’il s’agissait de qualifier le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union (qui, par ailleurs, est d’extrême gauche), il s’est imposé quand même. C’est une première victoire sémantique pour tous ceux qui développent une volonté de réappropriation de leur identité.

    Ce combat trouve désormais un relai intellectuel chez Zemmour, Juvin, Finkielkraut, Camus, Millet mais également dans LMPT, les Veilleurs ou les propos de Béatrice Bourges.

    Ces discours permettent une conscientisation des origines de la France. Il y a donc une demande populaire et une expression intellectuelle : les Français de souche sont encore très largement majoritaires, l’enjeu est donc désormais de tenter un renversement politique malgré la dictature médiatique. Il faut enfin s’affranchir de la culpabilisation imposée dans la sphère publique : ce système communautaire qui détruit la France ne tient plus que grâce à une propagande intense qu’il faut contrer. Et à laquelle, surtout, il ne faut pas céder !

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou réalisé par Charlotte d’Ornellas

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukVkApAkltAafAxMi.shtml

  • Ces immigrés clandestins de Calais qu’on installe en Bourgogne

    Plutôt que de tenter de stopper l’immigration clandestine, l’État a trouvé une autre solution qui consiste à obliger certaines communes à héberger des clandestins chez eux.

    C’est ainsi que la petite commune de Pouilly-en-Auxois a du accueillir plusieurs dizaines de Soudanais, Tchadiens ou Érythréens qui squattaient à Calais. C’est une ancienne caserne de gendarmerie qui a été reconvertie en centre d’accueil pour immigrés clandestins.

    Pour la sous-préfète de Beaune, tout se passe très bien :

    Les migrants se promènent en ville sans problème. Il ne faut pas oublier que ce sont des demandeurs d’asile, ils veulent apprendre le français, certains sont francophones et le parlent déjà. Il y a même un Soudanais qui peut citer Voltaire

    Bientôt des clandestins de Calais dans votre commune ?

    Dailymotion @Dailymotion

    http://fr.novopress.info/

  • Pegida Vlaanderen a bien l’intention de manifester ce lundi à Anvers malgré l’interdiction de Bart De Wever

     

    pegida-vlaanderen-2mars-2

    Pour la troisième fois consécutive, Bart De Wever, bourgmestre (maire) d’Anvers et président de la NVA, a interdit la manifestation de PEGIDA Vlaanderen, la branche flamande de Pegida. Mais, cette fois-ci, les organisateurs de la manifestation ont bien l’intention de se rassembler malgré l’annonce d’interdiction.
    « M. De Wever a eu bien assez de temps pour organiser la sécurité d’une telle manifestation », répond Rudy Van Nespen, le porte-parole de Pegida Vlaanderen. 

    De son côté, le bourgmestre d’Anvers a déjà déclaré aux médias qu’il ferait intervenir la police pour disperser les manifestants et empêcher la manifestation.

    Ce qui n’impressionne pas les dirigeants de Pegida Vlaanderen qui, sur Facebook, donnent des conseils et des avis juridiques en cas d’arrestation par la police.

    http://www.medias-presse.info/pegida-vlaanderen-a-bien-lintention-de-manifester-ce-lundi-a-anvers-malgre-linterdiction-de-bart-de-wever/26798