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09/03/2014 - Discours de Fabrice Robert, président du Bloc identitaire
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France : le scénario yougoslave ?
La présence de véritables « enclaves » de populations étrangères (Sevran, Montreuil, Roubaix, Marseille, etc.) rend la situation, à terme, ingérable.
L’Histoire, si elle ne se répète jamais exactement, nous enseigne les processus qui conduisent à l’éclatement des nations.
Parce qu’en certains points les ressemblances sont frappantes avec la France, le cas de la Yougoslavie est fascinant. Nous reproduisons les mêmes erreurs, l’État central cède aux mêmes forces centrifuges (revendications religieuses, linguistiques, scolaires)… Sans parler que, pour les municipales à venir, commencent à fleurir des listes ouvertement communautaires…
Mais sans qu’on y prenne garde, l’érosion est causée par de minuscules détails, gouttes insignifiantes qui, à force de s’accumuler, se transformeront en pluie torrentielle.
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En France 34 % des naissances sont issues de l’immigration non européenne et de l’outre-mer
La Haute Autorité de Santé vient de publier un avis concernant le dépistage de la drépanocytose, la maladie génétique qui touche des personnes originaires d’Afrique (Afrique sub-saharienne et Maghreb), d’outre-mer, de certaines régions de la péninsule arabique, de l’Inde et du pourtour méditerranéen (en Europe sont concernées l’Italie du sud, la Sicile et la Grèce).
En France métropolitaine, seuls les nouveaux nés dont les parents sont originaires de ces régions sont dépistés : le nombre des dépistages effectués correspond donc à peu de choses près au nombre des naissances issues de l’immigration non européenne.
271.887 dépistages ont été effectués en métropole en 2012, ce qui représente 34 % du total des naissances en France (métropole).
Conclusion : en 2012, 34% des naissances en France étaient d’origine extra-européenne ou d’outre mer.
Il faut préciser que le nombre des tests de drépanocytose effectués ne correspond pas exactement au nombre des naissances issues de l’immigration non européenne :
- Le test concerne les nouveaux nés issus de l’immigration mais aussi ceux dont les parents sont originaires de l’outre-mer (les données concernant l’origine géographique des nouveaux nés testés n’étant pas rendues publiques, il n’est pas possible de connaître le nombre des naissances issues de l’outre mer).
- Le test concerne les nouveaux nés issus de quelques pays européens : Italie du Sud, Sicile, Grèce. Là encore le nombre de ces naissances n’est pas connu (mais il est probablement très faible).
- Certains nouveaux nés issus de l’immigration non européenne ne subissent pas le test. C’est le cas des asiatiques.
- Le test n’est effectué que lorsque les deux parents sont originaires d’une région à risque. Les nouveaux nés issus d’un couple « mixte » (par exemple un Français de souche et une Africaine) ne sont pas testés.
Pour connaître le nombre exact des naissances issues de l’immigration extra européenne, il faudrait donc retrancher du nombre des tests effectués, les nouveaux-nés issus d’outre mer et les nouveaux-nés européens (Italie du sud et Grèce) et y ajouter les nouveaux-nés d’origine asiatique.
La carte ci-dessus donne les chiffres par région. Exemple : en Île-de-France, c’est 60% des naissances qui, en 2010, étaient d’origine extra-européenne.
(NB : cette carte porte sur les données 2010. Le nombre des tests de la drépanocytose représentait alors 31,5 % du total des naissances en métropole).
Sourcehttp://www.oragesdacier.info/2014/03/en-france-34-des-naissances-sont-issues.html
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« Scènes de guerre » à Behren-lès-Forbach : gendarmes blessés, pompiers attaqués, mairie prise d’assaut.
5 gendarmes blessés. Aucune interpellation.
« Une nuit de violences a laissé d’importants dégâts dans la cité de Behren-lès-Forbach (Moselle) près de Forbach. L’interpellation d’un jeune a provoqué un déchaînement de violences…
D’après les premiers éléments rapportés par de nombreux témoins, de véritables scènes de guerre urbaine se sont jouées dans la nuit de lundi à mardi dans les secteurs de Forbach et de Behren-lès-Forbach. Les deux villes de Moselle-Est qui sont placées en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP) ont du faire face à un vrai déchainement de violence gratuite. Les habitants sont encore sous le choc. C’est avant tout la cité de Behren-lès-Forbach qui a été le théâtre de violences urbaines hallucinantes.(…) La mairie de Behren-lès-Forbach a été attaquée à coups de jets de pierres et cocktails Molotov.(…) Il n’y a eu aucune interpellation cette nuit suite aux violences. »
Berhen-lés-Forbach, ville largement peuplée de musulmans, abrite au moins une mosquée radicale avérée, sur les trois mosquées qu’elle compte.
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L’arnaque de l’antiracisme.
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MARINE LES CLASH TOUS EN DIRECT SUR UN PLATEAU
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Nice : la ville aux mosquées et aux djihadistes
Philippe Vardon, diplômé en droit et sciences politiques, publie ce mercredi L’Imam Estrosi, un livre-enquête sur l’islamisation de Nice et les rapports que le député-maire (UMP) de Nice entretient avec l’UOIF. Il répond à Minute :
"[I]l y a bien aujourd’hui à Nice dix-huit lieux de culte musulmans. J’en donne la liste précise en annexe de mon livre. Il ne s’agit pas forcément de petites mosquées (en opposition à la fameuse Grande Mosquée que les musulmans de Nice réclament depuis des années), puisque certaines peuvent accueillir plusieurs centaines de personnes! En ajoutant à ces dix-huit mosquées, celles, actuellement en travaux, dont l’ouverture est prévue à l’est et l’ouest de la ville, nous arrivons donc à vingt. Tout cela s’inscrit dans une certaine logique, car, après avoir affiché pendant quelque temps son soutien au projet de mosquée centrale et « clairement identifiée », la municipalité estrosiste est désormais favorable à « davantage de lieux de taille raisonnable ».
En qualifiant Estrosi d’imam, n’allez-vous pas un peu trop loin ?
L’imam est littéralement « celui qui conduit », et avec Christian Estrosi, on se trouve dans ce schéma. C’est notamment par son entremise que la majorité des mosquées niçoises sont aujourd’hui gérées par l’Union des musulmans des Alpes-Maritimes (Umam), association faisant partie de la fameuse Union des organisations islamiques de France (UOIF), dont la proximité avec les Frères musulmans est de notoriété publique. C’est sur cette association qu’Estrosi s’appuie pour contrôler l’islam à Nice. [...]
[N]otre ville est tout particulièrement touchée par les départs de jeunes musulmans vers la Syrie. Des réseaux envoyant des apprentis djihadistes s’entraîner en Afghanistan et en Indonésie y ont été démantelés, une enquête a été menée sur une base de soutien logistique aux islamistes tchétchènes. Je rappelle aussi qu’en 2009, à l’issue d’une manifestation protestant contre les bombardements israéliens sur Gaza, plusieurs centaines d’émeutiers avaient affronté les forces de l’ordre dans le centre ville, certains criant « Allah Akbar »! [...]
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NKM a déjà perdu Paris et Nicolas Miguet ne pourra rien y changer…
Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, les carottes sont déjà cuites et son équipe se prépare psychologiquement à connaître un fiasco retentissant au soir du premier tour des élections municipales. La question à l’ordre du jour, c’est plutôt de savoir comment limiter la casse. Mais ici encore, l’inconstance de NKM assure le désastre. Mais qu’est-ce qui a pris à l’UMP de confier Paris à la plus gauchiste de ses représentants ?
Hélène Delsol (nièce de la philosophe Chantal Delsol et de Charles Million) devait attirer les voix des défenseurs de la famille dans le IIe arrondissement. Elle est virée suite au lobbying de Catherine Michaud, présidente de Gay Lib (ex-lobby LGBT au sein de l’UMP passé à l’UDI où il garde au final sa même capacité de nuisance).
Dans le IIIe arrondissement, Marie-Laure Harel sera tête de liste avec le soutien d’une fine équipe composée de Gay Lib, de Roselyne Bachelot, de NKM et des filles de Cécilia Attias, ex-épouse d’un certain Nicolas Sarkozy.
Tous ces copinages entre NKM et Gay Lib ne lui garantiront même pas l’électorat du quartier du Marais car, de ce côté-là, Anne Hidalgo est bien mieux introduite et peut compter sur plus de relais communautaires.
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Afrique du Sud, la question raciale
Au mois d’avril 1994, porté au pouvoir par une opinion mondiale littéralement sidérée par la pensée unique, Nelson Mandela avait annoncé la fin de la question raciale, prophétisant même l’accession d’une société dans laquelle les races ne constitueraient plus un critère de fractionnement.
Vingt ans plus tard, après trois présidents noirs - Nelson Mandela, Thabo Mbeki et Jacob Zuma -, la question raciale qui n’a pas été résolue est toujours au cœur de la vie politique, sociale et même religieuse sud-africaine. En dépit des discours lénifiants du politiquement correct, l’idéologie n’a donc pas davantage fait disparaître les races que la pluie les rayures des zèbres.
En Afrique du Sud comme partout ailleurs en Afrique, là où les sociétés sont hétérogènes, le réel finit toujours par rattraper les idéologues. La base de la question est que la démocratie, cette ethno-mathématique électorale, faisant que les plus nombreux sont assurés de détenir le pouvoir, les peuples minoritaires sont donc devant un choix :
Soit ils acceptent le système et ils n’ont alors que deux options, la soumission et (ou) l’émigration ;
Soit ils le refusent et dans ce cas, ils n’ont que trois solutions :
1) La guerre, comme le font périodiquement les Touaregs du Mali.
2) La séparation comme le tentèrent maladroitement les Blancs en Afrique du Sud avec l’apartheid.
3) La négation des réalités comme le font les 10% de Tutsi au Rwanda, ce qui leur permet de dire qu’ils ne dominent pas les 90% de Hutu puisque les ethnies n’existent pas étant donné qu’elles ne seraient qu’un fantasme européen.
Avec le recul du temps, et compte tenu de l’hétérogénéité des populations, la seule solution à la question raciale sud-africaine était soit un éclatement du pays en grandes zones ethno-raciales, soit une cohabitation confédérale dans un cadre de séparation, chaque population ayant les mêmes droits et les mêmes devoirs dans sa propre sphère politique et territoriale.
Le Parti national tenta de mettre en place cette dernière politique, mais il le fit d’une manière inégalitaire dans le cadre rigide de l’apartheid qui n’était en définitive qu’une forme de suprématisme blanc quand, pour ses concepteurs il s’agissait tout au contraire d’un ethno-différentialisme.
A partir de 1994, avec l’ANC au pouvoir, ce fut la plus mauvaise des options qui fut imposée aux peuples d’Afrique du Sud : celle de la démocratie majoritaire dans le cadre d’un quasi système de parti unique. Résultat : l’ethno-mathématique électorale a fait des peuples minoritaires, en l’occurence les Blancs et les métis du Cap, des citoyens de seconde zone. Avec en plus le non-dit du ressentiment lié à l’apartheid qui condamne les premiers à être les éternels boucs émissaires des échecs successifs des gouvernants.
Aujourd’hui, victimes d’un racisme d’Etat comme nous le démontrons dans ce numéro spécial, ceux des Blancs qui le peuvent fuient l’Afrique du Sud ; certains allant même jusqu’à demander l’asile politique à l’étranger.
Pour avoir accès au numéro, il vous faut vous abonner à l’Afrique Réelle pour l’année 2014 :
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Afrique-du-Sud-la-question-raciale
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Manifestation du 9 mars à Paris : le Bloc identitaire appelle à un référendum sur l’immigration
Dimanche 9 mars à Paris, le Bloc identitaire a participé à une manifestation appelant à un référendum sur l’immigration, à l’image de celui qui s’est déroulé en Suisse. Le cortège qui réunissait 400 personnes selon les chiffres de la police, 700 selon les organisateurs (Rispote Laïque et Résistance Républicaine), a défilé de la place Denfert-Rochereau à la place d’Italie où différents orateurs ont pris la parole. Christine Tasin a lu un message de soutien de l’homme politique suisse Oscar Freysinger (à l’origine de la votation sur les minarets et du référendum sur l’immigration en Suisse). Fabrice Robert, président du Bloc identitaire a également pris la parole. Cette manifestation était notamment soutenue par l’écrivain Renaud Camus, le député Jacques Bompard ou encore Paul-Marie Couteaux, président du SIEL et Administrateur du Rassemblement Bleu Marine.