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immigration - Page 1377

  • “Le quartier Barbès a-t-il été annexé par l’Algérie ?” par Fabrice Robert

    Le quartier Barbès, dans le XVIIIème arrondissement de Paris, est bien connu : il s’agit d’un laboratoire grandeur nature du Grand Remplacement en cours. Ses boutiques halal, ses prières de rue, ses coiffeurs avec emplacement réservé pour les femmes voilées, ses trafics à ciel ouvert… Si les Parisiens connaissent bien cette destination exotique, un certain nombre d’entre eux ont toutefois pu être surpris — et cela à juste titre — d’y découvrir des tracts et des affiches pour une campagne électorale algérienne. En effet, alors que l’élection présidentielle mobilise les énergies à Alger, les portraits d’Ali Benflis et d’Abdelaziz Bouteflika s’affichent aussi dans les rues de Paris.

    Quel silence assourdissant de la part des autorités publiques, des médias et des politiques, mis à part, peut-être, la réaction du député UMP Éric Ciotti qui a écrit sur son compte Twitter : « Je m’étonne du silence du gouvernement et du préfet de police face aux différentes publicités électorales algériennes en plein Paris [...] Ces tracts et affiches électoraux pour les élections présidentielles algériennes n’ont pas leur place dans notre capitale. » Une simple déclaration non suivie d’effet, car la règle est de tout faire pour ne pas froisser un électorat potentiel, même si celui-ci se sent aussi concerné par des élections en Algérie…

     

    La publicité et l’affichage sont très réglementés pour les élections françaises. Mais personne ne trouve donc rien à redire lorsqu’il s’agit d’un affichage sauvage, qui plus est pour des élections étrangères. Les Parisiens ont pu, par exemple, admirer une affiche géante du candidat Ali Benflis déployée sur la façade d’un immeuble du quartier Barbès. Mais les partisans d’Ali Benflis sont allés bien plus loin en collant des affiches jusque sur les murs de l’église Notre-Dame-Réconciliatrice qui se trouve à l’angle de la rue de la Fontaine-au-Roi. Que des Algériens s’amusent à transformer un lieu de culte catholique en panneau électoral pour un candidat musulman, en plein Paris, ne semble pas déranger les propagandistes du vivre ensemble. Ils préfèrent certainement réserver leur discours d’indignation pour les actes qui touchent les mosquées.

    Cette campagne électorale algérienne en plein Barbès n’est pas sans rappeler l’ambiance particulière qui règne dans ce quartier les jours où l’équipe de football d’Algérie joue un match. Les façades d’immeubles sont décorées aux couleurs algériennes même quand l’équipe de France joue le même jour. Les défilés exubérants de ces « supporters » constituent, chaque fois, une véritable démonstration de force étrangère. Il ne faut donc pas grand-chose — un rendez-vous électoral, une rencontre sportive — pour réveiller l’instinct patriote de ces populations et ainsi donner le sentiment désagréable qu’une partie du XVIIIème arrondissement de Paris a déjà été annexée à l’Algérie. Mais il y a un léger problème. Ici, c’est Paris et pas l’Algérie.

    Fabrice Robert

    http://fr.novopress.info/162969/quartier-barbes-t-il-ete-annexe-lalgerie-fabrice-robert/#more-162969

  • Canada : cinq jeunes Blancs assassinés par un militant « antiraciste »

    Quatre hommes et une femme, tous dans la vingtaine, ont été poignardés à mort tôt mardi à Calgary (Canada) lors d’une fête.

    « « Il s’agit de la pire tuerie de l’histoire de Calgary. La scène était horrible » », a affirmé le chef de la police de Calgary Rick Hanson en conférence de presse. Il a mentionné que chaque victime a été poignardée à plusieurs reprises. Et il ne croit pas qu’elles

    dormaient au moment d’être attaquées. »
    Il y avait alors une vingtaine de personnes dans cette maison, et plusieurs autres ont été blessées.

    L’auteur des coups de poignard a alors pris la fuite, mais les policiers ont réussi à le retrouver tout près de là, grâce à un chien pisteur.

    Le meurtrier est Matt de Grood, 23 ans, fils d’un inspecteur de la police de Calgary, et qui suivait des études supérieures.
    C’est un métis. Ses cinq victimes sont blanches.

    Il était un fervent militant « antiraciste ».
    Ici, sur son profil facebook, il clame son combat pour l’« égalité des droits pour toutes les races et identités » :degroot
    Il nous semblait pourtant qu’au Canada, comme en France et ailleurs dans le monde (ex)blanc, distinguer les races était interdit (sauf pour favoriser les non Blancs bien sûr, avec la « discrimination positive »).

    Bref, cette tragédie rappelle la pertinence de l’adage « antiracisme est un mot codé pour racisme antiblanc ».

    http://www.contre-info.com/

  • 17e chambre ou tribunal islamique ?

    Certains magistrats de la 17e chambre correctionnelle de Paris ont déjà adopté, par leurs verdicts, l’article 22 des droits de l’homme en islam.   

    Le verdict rendu par la trop célèbre 17e chambre correctionnelle de Paris contre Renaud Camus et Jacques Philarchein devrait interpeller tous ceux qui se réclament des principes laïques et de la défense de la liberté d’expression. Le premier a été condamné à payer 5.000 euros, entre amende et dommages et intérêts, le second à 3.000 euros. Comme je le disais avec humour à l’écrivain, c’est un petit joueur puisque, pour des raisons semblables, j’avais pris, en mars 2012, au total 7.350 euros, tandis que mon ami Pascal Hilout se contentait, lui, de 4.850 euros. Verdict inique, pour lequel nous avons fait appel, avons été rejugés le 5 mars, et nous connaîtrons le verdict de la cour d’appel le 5 juin.

    Au-delà de ces sommes, qui sont loin d’être négligeables pour des personnes qui n’ont que leur travail ou leur retraite pour vivre, il est intéressant de s’attarder sur les arrêtés inquiétants du procès Camus-Philarchein. Il faut d’abord rappeler que seul le MRAP avait porté plainte, alors qu’habituellement les associations dites antiracistes chassent en meute.

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  • Montreuil : le foyer de travailleurs africains abritait… une fonderie clandestine !

    Mercredi, la police a découvert dans un foyer de travailleurs africains (sponsorisé par qui ?) de Montreuil (Seine-Saint-Denis), une fonderie clandestine…
    Elle transformait des métaux précieux dérobés à des Français, depuis au moins un an. Une forge et plusieurs outils permettant de travailler l’or y sont installés, et des kilos d’or et d’argent ont été saisis.

    En 2012, une fonderie clandestine avait déjà été démantelée à Montreuil, dans un bâtiment attenant au même foyer précise Le Parisien

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Renaud Camus n’a pas le droit de ne pas aimer l’islam. Vous non plus.

    C'est en conformité avec toutes les prévisions que Renaud Camus a été condamné hier pour quelques mots prononcés en 2010 lors des Assises sur l'islamisation.   

    « Je venais d’apprendre que mon frère était promu chevalier de la Légion d’honneur, quand ma garde à vue commença. »

    Ainsi commence Un roman français, de Frédéric Beigbeder.

    Hier, à l’instant précis de l’élection d’Alain Finkielkraut à l’Académie française, Renaud Camus apprenait qu’il était, lui, condamné pour « provocation à la haine ou à la violence ».

    C’est en conformité avec toutes les prévisions – les siennes y compris – que Renaud Camus a donc été condamné hier en première instance pour quelques mots de son discours prononcé le 18 décembre 2010 lors des Assises internationales sur l’islamisation, à Paris.

    On ne reviendra pas ici sur les propos en question (une simple recherche sur YouTube vous permettra de les retrouver), mais cette condamnation qui vient s’ajouter à un arsenal sans cesse grandissant de jurisprudences liberticides nous donne l’occasion de regarder en face le régime dans lequel nous vivons, et d’imaginer les moyens de le mettre à bas.

    Alors que partout sur les réseaux sociaux pullulent les injures devenues communes contre les chrétiens (au hasard : « catholique = pédophile »), il semble que la seule attitude légalement possible désormais face à l’islam soit l’amour, l’admiration, la quasi-fascination ! Que ce soit clair dans les chaumières : il n’est plus permis de ne pas aimer les disciples de Mahomet, chef de guerre et fondateur politique de l’oumma. Quant à « l’incitation à ne pas aimer », n’en parlons même pas !

    Mahomet : interdit de l’interdire !

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  • Barbarie anti-française à Evry

    Ils ont détruit la vie d’une toute jeune fille et c’est la France qu’ils violaient.

    Dans la nuit du 29 au 30 mars dernier, Evry, fief de Manuel Valls, a été le théâtre de la barbarie anti-française dans toute son horreur.

    Alors qu’elle sort du RER, quatre garçons interpellent une jeune fille de 18 ans et la conduisent dans un parc pour la frapper, la violer, lui cracher et lui uriner dessus… Elle est retrouvée le lendemain matin, immédiatement conduite à l’hôpital, puis entendue par la police. Ses descriptions et les caméras de surveillance permettront de retrouver ses bourreaux.

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  • Immigration : les régularisations ont bondi de 50 % en 2013

    Ces régularisations ont atteint, en 2013, le nombre record de 35 000. Si l'on ajoute les étrangers régularisés pour « maladie » — soit 6 000 personnes — et ceux régularisés en tant que « parents d'un enfant français » — soit environ 3 000 personnes —, plus quelques autres, ce sont environ 45 000 personnes qui ont été régularisées en 2013. Cela représente 123 régularisations par jour.

    Avec ce nombre de régularisations, la France franchit le cap des 200 000 entrées annuelles d'étrangers, alors que celles-ci tournaient depuis le début des années 2000 autour de 190 000.

    • 94 457 entrées pour motif familial (+ 8,4 %),
    • 17 813 pour motif économique (+ 11 %),
    • 62 984 pour motif étudiant (+ 7 %),
    • 17 754 pour raisons humanitaires (– 3 %)
    • 13 322 de motifs divers.

    Michel Janva

  • Le communautarisme exacerbé des élites

    Ces catégories d’individus qui ont par fonction ou par délégation le pouvoir de “dire” et de “faire” au nom et pour les autres – politiques, journalistes, experts, hauts fonctionnaires etc… – sont elles aussi frappées par ce phénomène de repli sur son groupe d’appartenance.

    La garden party de l’Elysée

    Le communautarisme, cette forme dégradée du vivre-ensemble souvent dénoncée comme facteur de division de la société, ne touche pas uniquement les grands ensembles de la population. Les élites, ces catégories d’individus qui ont par fonction ou par délégation le pouvoir de “dire” et de “faire” au nom et pour les autres – politiques, journalistes, experts, hauts fonctionnaires etc. -, sont elles aussi frappées par ce phénomène de repli sur son groupe d’appartenance.

    Alors qu’on attend de ces catégories supérieures, esprit d’ouverture, vision originale, capacité de se remettre en cause – autant de qualités mises au service de l’intérêt général, ce dangereux entre-soi produit à l’inverse du conformisme, la peur de la nouveauté et plus gravement encore la déconnexion d’avec la société. Une césure explosive à l’heure des slogans simplistes du style “tous pourris” ou “tous vendus” qu’il est grand temps de combler.

    C’est une scène classique des soirées électorales qui vient illustrer la permanence du célèbre écart jadis pointé par Auguste Comte entre le “pays légal”, celui d’une part des institutions et de leurs représentants, et d’autre part le “pays réel”, celui de “la France d’en bas”. A chaque fois que les extrêmes gagnent des voix supplémentaires, politiques et journalistes manifestent leur surprise comme si de telles poussées populistes ne pouvaient pas être prévisibles dans un pays pourtant en crise depuis trente ans.

    Une telle erreur d’appréciation est sûrement en grande partie à mettre sur le compte d’une vision tronquée d’un “petit monde” coupé des réalités et d’individus qui à force de vivre dans leur microcosme – celui d’une classe politique endogamique, de médias tournés sur eux-mêmes, ou d’experts vivant en circuits fermés – n’arrivent plus à concevoir le monde qu’à leur image. C’est-à-dire policé, politiquement correct, à l’abri de la crise.

    Prenons garde toutefois, le procès des élites est à manier avec prudence. Il a par le passé, faut-il le rappeler, ouvert la voie aux régimes totalitaires. Pour autant les attaques virulentes à l’encontre des élites émanant de populistes de tous poils, si mal intentionnés qu’ils soient, ne doivent pas occulter la réalité du divorce entre la population et ses élites.

    Jamais l’entre-soi des élites n’a paru aussi grand qu’aujourd’hui. “Des talkshows télévisuels aux dîners en ville, de cocktails en expositions, les nouveaux bien-pensants communient aux mêmes valeurs à l’écart de la société”, stigmatise le sociologue Michel Maffesoli, co-auteur, avec Hélène Strohl, d’un virulent essai sur Les Nouveaux Bien-pensants (éditions du Moment). Une forme d’autisme aux antipodes du comportement que l’on attend de ces catégories supérieures : esprit d’ouverture, vision originale, capacité de se remettre en cause, autant de qualités à mettre au service de l’intérêt général et qui manquent cruellement aujourd’hui.

    Une forme dégradée du vivre-ensemble

    Le regroupement d’individus par affinités, ressemblances ou manières communes d’être est un phénomène humain assez naturel qui n’est pas critiquable en soi. C’est sur ce ressort d’empathie que les associations et autres amicales se développent particulièrement en France, ces dernières venant fortifier positivement le lien social. Mais cette sociabilité se dévoie lorsque les groupes vivant dans leur microcosme en arrivent à rejeter les contacts avec ceux qui n’en font pas partie. Autrement dit lorsque “l’entre-soi” prime sur toute relation avec l’extérieur. On verse alors dans le communautarisme. Or cette forme dégradée du “vivre-ensemble” ne touche pas uniquement les populations des grands ensembles des banlieues, elle touche aussi, de manière tout aussi virulente, les quartiers chics des villes, ceux où résident en général politiques, journalistes, experts et hauts fonctionnaires.

    Le ressort de ce séparatisme social n’est pas ici la religion comme on le voit dans les cités mais la place que confère aux individus le statut social et professionnel. Ce critère prédominant n’étonne pas vraiment dans une France où les traces de l’Ancien Régime et de la société d’ordres demeurent toujours très présentes. “Le problème est qu’en France, l’entre-soi va de pair avec l’idée de rang et de hiérarchie. Ceux qui sont mis à l’écart du groupe sont traités avec condescendance, voire mépris tant il est vrai que la société française est construite sur le clivage entre ce qui est noble ou pas”, analyse le sociologue Philippe d’Iribarne.

    Le repli frileux sur le pré carré de l’ancien monde

    Une telle ligne de démarcation n’est pas nouvelle – cela fait plusieurs décennies que Pierre Bourdieu a mis en évidence les phénomènes de reproduction des élites via la maîtrise des codes sociaux par l’éducation, la concentration géographique des habitats et le rôle considérable de l’acquisition des diplômes dans le destinée des individus – mais sur cette toile de fond bien connue les phénomènes d’entre-soi n’ont eu de cesse ces dernières années de s’accentuer.

    “Derrière ce que nous appelons la crise, nous vivons en réalité un changement d’époque. Et les élites traditionnelles, plutôt que d’affronter le monde réel, s’accrochent à l’ancien monde et cultivent leur entre-soi pour se sécuriser”, analyse Michel Maffesoli.

    Le défi que les élites ont à relever est d’ordre existentiel puisque c’est la nature même de leur pouvoir qui se trouve mis en cause. Mondialisation, révolution numérique, crise de l’Etat providence, etc. : les politiques ont perdu les manettes, les médias la maîtrise de l’ordre du jour de l’actualité, les hauts fonctionnaires leur raison d’être interventionniste. Mais plutôt que de chercher à se réinventer et à redéfinir une raison d’être adaptée à cette nouvelle donne, les élites ont tendance à opérer un repli frileux sur leur pré carré.

    L’homogénéité du groupe plutôt que sa diversité

    Ce repli s’accompagne de la volonté de préserver à tout prix l’intégrité du groupe en opérant consciemment ou pas une sélection drastique des nouveaux venus sur le modèle du “qui se ressemble s’assemble”. C’est particulièrement net dans la sphère politique où la professionnalisation accrue des fonctions s’accompagne d’une uniformisation des profils. “Au Parti socialiste, les élus commencent de plus en plus jeunes leur carrière, souvent dans les mouvements lycéens ou étudiants où l’appareil les repère – l’Unef est ainsi un vivier important de nouvelles recrues”, observe Luc Rouban, directeur de recherches au CNRS, expert au Cevipof.

    Cette sélection qui confine à la cooptation a un inconvénient, celui de multiplier les clones. On retrouve cette même quête d’homogénéité chez les intellectuels. Une illustration parmi d’autres : le combat des élèves de l’Ecole normale supérieure, crème de l’enseignement hexagonal, pour que les étudiants entrés par équivalence dans l’école ne puissent pas se prévaloir du titre de normalien !

    Et les médias ? Selon l’avis très autorisé de Jean-François Kahn, auteur de L’Horreur médiatique, “l’unicité du corps médiatique appréhendé comme une caste autoverouillée et déconnectée du vrai monde s’apparente partiellement seulement à un mythe”. Partiellement ?

    C’est déjà reconnaître à demi-mots l’endogamie intellectuelle de médias qui perçoivent le réel “tous de la même façon et tous en même temps”. Les ressorts de l’horreur médiatique sont multiples : à l’homogénéité sociologique et culturelle s’ajoutent, circonstances aggravantes, l’absence d’autocritique et un manichéisme uniformisateur.

    Pensée unique et conformisme généralisé

    Comme pour tous les communautarismes, les effets dissolvants de l’entre-soi des élites sont loin d’être anodins. Le repli des catégories les plus élevées mine à bas bruit le pacte de coexistence démocratique qui lie les groupes sociaux dans les sociétés évoluées. Raisonnant dans un circuit fermé, où tout le monde est du même avis, la pensée du groupe n’est soumise à aucune contradiction constructive, ce qui génère un conformisme général et son corollaire, l’absence de prise de risques. Les voix discordantes sont rejetées en dehors du “cercle de la raison”. Dans l’entre- soi, on préfère raisonner en théorie plutôt que par l’épreuve de l’expérience, cela conduit inéluctablement à de graves erreurs de jugement collectives. D’où, par exemple récemment, l’incroyable emballement politico-médiatique lors de l’affaire Léonarda. De tels écarts soulignent le déphasage actuel de ceux qui ont le pouvoir, celui de “dire” et de “faire” au nom des autres. Pour y remédier, l’élite politique croit avoir trouvé la solution, en se réfugiant derrière les fameux “éléments de langage” chers aux communicants.

    Un remède pire que le mal car il vient assécher tout apport d’intelligence personnelle au nom d’une vaine quête d’efficacité à un moment où l’on a plus que jamais besoin d’idées neuves. “Les bienpensants sont dans l’incantation. Mais comme ils ne sont pas convaincus eux-mêmes par ce qu’ils racontent, ils n’arrivent naturellement pas à convaincre”, décrit Michel Maffesoli.

    Une raison de la perte de crédibilité des élites. Crise de représentativité, d’efficacité, et de confiance : l’entre-soi des élites aggrave tous les maux de la société française. Et nourrit tous les populismes, car comme l’explique Philippe d’Iribarne, “à l’arrogance des élites répond le ressentiment de la population”.

    Le nouvel Economiste

    http://fortune.fdesouche.com/335823-le-communautarisme-exacerbe-des-elites#more-335823

  • Procès politiques : la police associative fait condamner Renaud Camus

    La police associative, en l’occurrence le MRAP, manifestement aussi efficace en France que l’est la police religieuse en Arabie Séoudite — elles sont du reste l’une comme l’autre grassement subventionnées par leur Etat respectif — a fait condamner ce 10 avril 2014 le grand écrivain Renaud Camus pour "provocation à la haine contre les musulmans". 

    Un professeur de philosophie a également été condamné pour les mêmes chefs.

    L’Action française, tout en refusant de se prononcer sur le fond des propos tenus, affirme et continuera d’affirmer sa solidarité pleine et entière avec toutes les victimes d’une censure visant à interdire les débats de société ou toute contestation des bienfaits de la politique immigrationniste imposée par Bruxelles.

    LA LIBERTÉ D’EXPRESSION NE PEUT SOUFFRIR AUCUNE ATTEINTE ! SEULS LES PAYS TOTALITAIRES DÉFINISSENT DES OPINIONS COMME DÉLITS ! EXIGEONS L’ABROGATION DES LOIS SCÉLÉRATES !

    LIRE le compte rendu paru dans Le Monde, ainsi que l’entretien paru sur Boulevard Voltaire avec Renaud Camus la veille du procès

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Proces-politiques-la-police