Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1414

  • Un ministre refuse d'appliquer la loi

    Lors des questions au gouvernement, mardi, le député Thierry Mariani a interpellé Pascal Canfin (photo), ministre délégué aux affaires étrangères, chargé du développement :

     

    C"Le 26 avril dernier, monsieur le ministre, vous deviez vous rendre au Mali dans le cadre d’un accord de coopération, pour le développement et la sortie de crise de ce pays. Au moment d’embarquer, vous avez pris la décision d’annuler ce déplacement, au cours duquel vous deviez représenter la France.

    Si vous avez catégoriquement refusé de voyager dans cet avion à destination de Bamako, c’est à cause de la présence à bord d’un passager malien qui faisait l’objet d’une mesure de reconduite à la frontière, après avoir purgé une peine de huit ans de prison en France, pour viol aggravé et braquage à main armée. D’après la presse, vous êtes même allé jusqu’à exiger une annulation pure et simple de cette expulsion ! [...] En agissant de la sorte, vous avez remis en cause l’application des lois de la République, ce qui est inacceptable de la part d’un ministre.

    Plusieurs députés du groupe UMP. Démission !

    M. Thierry Mariani. La presse parle de « cas de conscience » ! Autrement dit, par acquit de conscience, vous seriez prêt à refuser l’expulsion d’individus dangereux et à garder sur notre territoire national un violeur d’enfant ! [...] Votre cas de conscience va-t-il jusqu’à penser aux victimes ? Votre attitude est totalement inadmissible ! Elle montre que vous vous désolidarisez ouvertement de la politique affichée par le gouvernement auquel vous appartenez et constitue un véritable désaveu pour les forces de l’ordre.

    Ma question est donc simple : alors que la situation de la France nécessite des décisions fermes, avez-vous toujours, avec vos cas de conscience, votre place au Gouvernement ?

     

    Le ministre n'a pas répondu. Il a préféré évoquer les crédits au Mali...

     

    Mais si lui refuse de faire appliquer la loi, alors nous pouvons bien nous asseoir tous sur la loi Taubira.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Silence d’État ! par Manuel Gomez

    Le rapport commandé à Thierry TUOT (conseiller d’État) sous le titre : « La grande nation pour une société inclusive » a été remis au premier ministre le 11 février 2013 et a été diffusé par Matignon le plus discrètement possible.
    Un conseiller d’état se doit de respecter le devoir de neutralité et de réserve incombant à tout fonctionnaire et Thierry Tuot reconnait que son rapport est loin d’être conforme à ce devoir, qu’il est même manifestement engagé mais qu’il le justifie par le droit de rêver… sans doute à une France multiraciale exclusivement.
    L’on en comprend parfaitement la pudeur, ou plutôt la précaution, dont le gouvernement a fait preuve quand on le lit avec attention.
    Thierry Tuot propose de retirer à l’État tout contrôle sur l’immigration et l’intégration des étrangers, rien que ça, et il n’hésite pas dans son délire névrosé de conseiller tout bonnement de confier ce contrôle exclusivement aux associations communautaires.
    L’État se réservant uniquement le droit et le devoir de subventionner largement les dites associations avec l’argent public, c’est-à-dire le nôtre bien sûr.
    Quel esprit demeuré peut proposer de confier à des associations telles que MRAP, LICRA, SOS Racisme ou France Terre d’Asile, le soin d’organiser, et surtout de réguler, le flux migratoire vers la France ? Une aberration.
    Examinons d’abord les généralités de ce rapport Tuot qui donnent le ton à tout le reste. Des extraits évidemment puisqu’il se lit sur 97 pages et autant de « perles » qui dénotent une méconnaissance totale du danger communautaire qu’il ne peut qu’amplifier et aggraver dangereusement :
    1)La question musulmane est une invention de ceux qui la posent et non une réalité. Elle ne cesse d’enfler et de soucier (sic) jusqu’à polluer le débat public. La république les appelle (les émigrés bien entendu).
    2)Il existe des problèmes plus urgents que la délinquance des jeunes. « Les vieux sont devenus une urgence sociale. Il ne faut donc pas tout focaliser sur les jeunes délinquants !
    3) L’adhésion aux valeurs nationales est dépassée. Quel anachronisme que de vouloir absolument obtenir l’intégration des jeunes d’origine étrangère par l’apprentissage du patriotisme! « Droits et devoirs ! Citoyenneté ! Histoire ! Œuvre ! Civilisation française ! Patrie ! Identité ! France ! Etc... Dans quel monde faut-il vivre pour croire un instant opérante la frénétique invocation du drapeau ? »
    4)L’égalité homme-femme se réglera d’elle-même. « Aux pourfendeurs effarouchés du statut qu’il pense diminuer de la femme en islam, rappelons que les églises avaient, il y a cinquante ans, une idée de la femme assez peu égalitaire. »
    5)Concentrer tous les moyens financiers du ministère de la Culture sur les quartiers “défavorisés”. Au point d’aboutir à cette recommandation étonnante : «Interdire par la loi et pour une période donnée la création de toute nouvelle institution culturelle ailleurs que dans les quartiers de la politique de la ville, sauf pour les formes d’expression culturelles elles-mêmes issues de ces quartiers.» (Donc le hip-hop, les rappeurs, et les textes culturels et patriotiques de leurs chansons à l’Opéra de Paris, à la Comédie française, etc.)

     Et à présent les propositions de Thierry TUOT, actuellement à l’étude du gouvernement.

    Naturalisation immédiate de tous les étrangers afin de mieux les intégrer. Avec pour seule condition d’avoir suivi une scolarité en France. Mais également de tous les parents d’étrangers nés en France à la seule condition que ces dits parents y soient installés depuis plus de vingt ans.
    Régularisation automatique de tous les clandestins en mesure de prouver qu’ils vivent en France depuis plus de cinq ans (comme ils sont clandestins, et donc non enregistrés, il leur suffira probablement soit d’une déclaration sur l’honneur, soit le témoignage de deux personnes… qu’ils n’auront aucune difficulté à trouver). Effectivement et grâce à ces dispositions judicieuses, l’intégration se fera d’autant plus facilement qu’il n’y aura très bientôt plus aucun Français de souche dans notre pays qui a pourtant connu de grandes vagues migratoires sans pour autant perdre son identité.
    J’ose croire que notre Président de la République et son gouvernement, même s’ils ne brillent pas par leurs décisions s’éviteront des lendemains très désenchanteurs en négligeant de suivre ces recommandations délirantes.

    Car, dans le cas contraire, ce ne sont pas des manifestations pacifiques, comme celles occasionnées par le « mariage pour tous » qu’il aura à « réprimer » mais bien au contraire, quelques millions de « casseurs » qui, cette fois, ne viendront pas des « banlieues »

    http://www.francepresseinfos.com/

  • De l’antiracisme à Égalité & Réconciliation : rencontre avec Farida Belghoul

    À la fin de l’année 1983, suite aux incidents de l’été entre des jeunes de la banlieue lyonnaise et la police, se déroulait la « Marche pour l’égalité et contre le racisme », plus connue sous l’appellation « Marche des Beurs ». L’année suivante, une jeune femme du nom de Farida Belghoul organisait une seconde marche : « Convergence 84 ». Vingt-neuf ans plus tard, en exclusivité pour Égalité & Réconciliation, elle livre sa version de l’histoire, qui diffère radicalement du roman antiraciste officiel...

    Partie 1 :


    Farida Belghoul rencontre E&R (1/2) par ERTV

    Partie 2 :


    Farida Belghoul rencontre E&R (2/2) par ERTV

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • Tensions au sein du gouvernement néerlandais à propos de l’immigration clandestine

    AMSTERDAM (via le site de Lionel Baland) - Aux Pays-Bas, la politique d’asile et de détention des étrangers provoque des tensions au sein du gouvernement regroupant le VVD (Parti libéral de droite) et le PvdA (Parti travailliste). Lors du congrès du PvdA qui s’est déroulé il y a quelques semaines, le parti s’est déclaré presque à l’unanimité contre le fait que le fait d’être un immigré clandestin devienne légalement punissable.

    Pourtant, le fait de rendre la clandestinité juridiquement punissable a été inscrit dans l’accord de gouvernement. Pour le PvdA, cette mesure est seulement le symbole de la volonté d’une politique plus stricte en matière d’immigration.

    Les partis d’opposition, parmi lesquels le PVV de Geert Wilders, ne sont pas content car le VVD et le PvdA refusent l’organisation d’un débat sur le sujet à la Chambre.

    http://fr.novopress.info/

  • Mélenchon se félicite de la disparition des Français

    Ce riche héritier de bourgeois de gauche, ayant fait leur fortune au Maghreb du temps des colonies, a du mal vivre la révélation de son patrimoine (2,9 millions d’euros) par le Canard Enchaîné il y a quelques semaines. C’est peut-être pour cela qu’il se lâche dans cet entretien ?


    Rappel :
    Ethnomasochisme :
    Ensemble d’attitudes psychologiques, ou idéologie, résultant en la tendance d’un peuple ou d’une ethnie déterminé(e) (ou de personnes appartenant à cette population), à se dénigrer, à dénigrer sa propre histoire, sa culture et ses valeurs par rapport à celles de l’étranger, éventuellement en stigmatisant ses propres fautes historiques réelles ou supposées, et en souhaitant sa propre dissolution, notamment par le biais du métissage et d’une immigration massive.

    http://www.contre-info.com/

  • Après les émeutes ethniques du Trocadéro : J.J. Urvoas vole au secours de Manuel Valls

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Suite aux émeutes ethniques consécutives à la victoire du PSG dans le championnat de France de football, qui ont ravagé le centre de Paris dimanche et lundi dernier, Jean-Jacques Urvoas (PS) (photo) s’est félicité de l’action de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur. En service commandé, le député du Finistère a dû monter d’urgence au créneau pour défendre l’hôte de la place Beauvau, à juste titre mis en cause dans une affaire qui illustre la faillite de la politique menée par le gouvernement en matière de sécurité et d’immigration.

    Voitures brûlées, cafés saccagés, arrêt de bus détruits, magasins pillés : selon Le Monde – qui s’est bien gardé de préciser l’origine des émeutiers – « un paysage de désolation régnait lundi soir vers 21 heures, aux abords du Trocadéro, à Paris ». Ces émeutes, qui ont fait une trentaine de blessés, ont coûté, selon Le Figaro (15/05/2013), un million d’euros. Pour mémoire le coût sécuritaire annuel de l’immigration vient d’être estimé, selon une étude d’André Posokhow publiée sur le site Polémia, à 16 milliards d’euros.

    Président de la commission des lois à l’Assemblée nationale, Jean-Jacques Urvoas s’est empressé de prendre la défense du ministre de l’Intérieur, responsable à ce titre du maintien de l’ordre. Sur i>Télé, le député du Finistère a estimé que « Manuel Valls a agi avec suffisamment de sang-froid face à ces incidents (sic) ».

    « Nous rentrions effectivement de Lyon, il a été immédiatement informé par son directeur de cabinet et par le préfet de police de Paris de ce qu’il se passait. Il s’en est informé, il a demandé à avoir le plus d’informations possibles », a précisé celui qui est également secrétaire national du PS en charge de la sécurité. (…) Le ministre s’est simplement assuré que les forces de police qui avaient été mobilisées étaient suffisantes. C’était le cas, il y avait sept unités de CRS qui (…) étaient sur place. Quand la situation s’est tendue, bien normalement on a appelé des effectifs supplémentaires et quand nous sommes arrivés à 20h30, la situation était sous contrôle».

    Le député socialiste a conclu en affirmant le plus sérieusement du monde que Manuel Valls est un « homme de devoir » et qu’« on peut plutôt se féliciter » de l’avoir comme ministre de l’Intérieur – la légère restriction (« plutôt ») émise par l’élu finistérien étant à mettre au compte de sa grande déception de ne pas avoir été nommé, lui « monsieur sécurité » du PS, place Beauvau : le rêve de sa vie.

    Ce satisfecit – même nuancé – sera certainement partagé par les bandes ethniques qui viennent de s’illustrer au Trocadéro et qui règnent impunément dans des secteurs de plus en plus importants du territoire national. Pas sûr, par contre, que les opposants à la loi Taubira, violemment réprimés à la moindre occasion – aujourd’hui le simple port d’un tee-shirt de la Manif Pour Tous peut conduire au poste de police – soient du même avis.

    http://fr.novopress.info

  • Marché du halal : connaître les faits pour ne pas subir

    « Etats généraux du respect du consommateur et du bien-être animal ». A Paris, 25 mai 2013

    A quelques jours des « Etats généraux du respect du consommateur et du bien-être animal », qui se tiendront à Paris le 25 mai prochain (renseignements sur le site http://vigilancehallal.com/), les chiffres du marché halal, la stratégie des marques et les perspectives sont analysés par J.H. d’Avirac, expert en marketing.
    Soigneusement écartée par les médias officiels (prétendument laïcs) depuis la présidentielle, la problématique du halal, de la non-information du consommateur, du défaut de traçabilité sur les abattages rituels, de la souffrance animale, demeure et s’amplifie même par le caractère particulièrement juteux de ce segment de marché en très forte croissance.
    Connaître les faits pour ne pas subir.
    J.H. d’Avirac fait le point pour Polémia


    Les chiffres du marché

    Le marché mondial du halal représente 450 milliards d’euros et concerne 1,6 milliard de consommateurs potentiels. Sa croissance annuelle est de 10%.

    La France est le marché le plus porteur en Europe, avec plus de 7 millions de consommateurs potentiels.

    Le marché français du halal est estimé aujourd’hui à 7 milliardsd’euros (soit plus de deux fois le marché des produits bio). Il progressede plus de 10% (sans équivalent dans l’industrie agro-alimentaire).

    49% des musulmans déclarent consommer de plus en plus de produits halal : la dynamique du marché français est donc liée à l’effet conjoint de l’augmentation du nombre d’acheteurs et de la progression de la quantité achetée par acheteur.

    Chaque année, 1,1 milliard d’animaux sont abattus en France. Pour la seule région Ile-de-France, sur 5 abattoirs, un seul (spécialisé dans la viande de porc) n’abat pas les cheptels de façon rituelle. La certification halal génère un coût plus ou moins répercuté au consommateur final de 10 à 15 cts par kilo de viande.

    La stratégie des marques

    Les grandes marques nationales et internationales s’intéressent massivement à ce marché à forte croissance : DUC, FLEURY MICHON, HERTA, KNORR, LABEYRIE, LIEBIG, MAGGI…

    Des marques « dédiées » souvent générées par les grands groupes, qui protègent ainsi leurs marques-phares de toute polémique : DOUNIA, ISLA DELICE, ISLA MONDIAL, MEDINA, SAABA, JUMBO, ZAKIA (Panzani), REGHALAL (LDC), NURDAN (Pierre Martinet)…

    Des marques de distributeurs en progression : WASSILA de Casino (2009), CARREFOUR (2011). AUCHAN et LECLERC réfléchissent à des approches similaires.

    Des investissements publicitaires en grands médias à l’image des grandes marques agro-alimentaires (cf. campagne Isla Delice).

    Depuis le 1er septembre 2010, l’entreprise de fast-food Quick, dont l’Etat est actionnaire majoritaire via la Caisse des dépôts et consignations, a décidé de pérenniser l’offre exclusive de produits à base de viande halal dans 14 restaurants tests.

    Le marché est dynamisé par l’innovation en matière d’offre produits (plats cuisinés, snacking), par la diffusion en GMS (grandes et moyennes surfaces) et par le développement des circuits spécialisés (HAL SHOP, BAKER MARKET, « Au Pays »).

    Les GMS et les marques sont particulièrement attentives à un point-clé : 80% des ventes sont réalisées par de petits bouchers. Le marché de la viande halal est donc un marché à forte croissance « transférable » à moyen terme, grâce notamment à d’importants moyens marketing.

    Perspectives

    Depuis la vache folle, 70% des Français se déclarent sensibilisés ou très sensibilisés aux risques alimentaires et aux questions de traçabilité…

    Deux conséquences :

    • Une majorité de Français souhaite savoir si elle mange halal ou non (72% des Français désapprouvent la dérogation permettant de ne pas étourdir les animaux avant abattage) ;
    • Attente en matière de certification, y compris chez les consommateurs de halal.

    Pour 66% des Français, il revient à l’Etat de veiller à la sécurité et à la traçabilité des produits alimentaires.

    Toutes les études marketing agro-alimentaires recommandent aujourd’hui de profiter de la « manne halal », en recherchant l’harmonisation des certifications et la mise en place d’un mix-marketing adapté, avec notamment de plus fortes dépenses publicitaires.

    Halal Expo, Salon européen annuel dédié, qui se tient à Paris, regroupe 7.100 visiteurs professionnels, mobilisés pour faire croître la catégorie sur tous les marchés et tous les circuits.

    Les récentes études d’opinion publiées en ce début d’année sur les craintes que suscite l’islamisation de la société française chez l’immense majorité de nos concitoyens invitent les industriels à modérer (momentanément ?) leurs ardeurs commerciales.

    Dans ce contexte on ne peut que s’étonner de l’absence totale de bruit sur cette question volontairement congelée depuis le Salon de l’Agriculture de 2012 où les « professionnels », tétanisés par la polémique, avaient promis de clarifier la situation… Il est vrai que le cheval roumain est passé par là et, avant lui, quelques millions d’électeurs-moutons, les beaux fromages de Hollande et ses dindons de la farce. La basse-cour médiatique en oubliera ses convictions laïques, la cruauté du rituel, la taxe religieuse qui est imposée à tous. Il nous faut donc réveiller les « camarades » et leur rappeler les mots de Paracelse : « Ce qui est une nourriture pour l’un est un poison pour l’autre »… tout particulièrement lorsqu’une pratique s’attaque aux fondements mêmes de notre civilisation.
    J.H. d’Avirac http://www.polemia.com

    14/05/2013

     (Sources : Etudes Eurostaf 2011, Ubifrance, Credoc 2011, Halal Expo, IFOP 2010, Le Figaro, Xerfi 2009, Solis 2009).

    Inscription aux Etats généraux : « voir 25 mai Réunion de vigilance halal à Paris »

    Il faut s’inscrire obligatoirement :

  • Du fantasme sportif aux fantasmes politiques

    L’argent, décidément, n’achète pas tout… La preuve, le Qatar n’avait pas pris ses précautions pour assurer la sécurité de l’après-victoire du PSG contre les sauvageons. Certes, les Autorités françaises non plus ! Nous, on a l’habitude, mais les Quataris, eux, ne savaient pas. Au moins, auront-ils appris que la France n’est pas « le leur pays » où ce genre de facéties n’est sans doute même pas imaginable… Là-bas, le premier hooligan qui éternue sans dire « pardon » étant probablement illico bastonné et jeté dans un cul de base fosse.

    Maintenant, ils savent pour la prochaine fois – si prochaine fois, il y a ! – qu’ils devront débourser quelques centaines de milliers d’euros d’investissement supplémentaire pour que la remise de la coupe aux joueurs victorieux se déroule dans la joie et l’allégresse… On sait ce qu’il en a été lundi dernier : vandalisme, pillage, 32 blessés (dont 1 policier et 2 gendarmes)… Tandis que les « ultras » du Club braillaient leur colère d’être interdits de tribunes depuis des mois, les « chances pour la France » déboulaient de leurs ghettos pour venir faire leurs courses… Coût du passage en caisse : autour de deux millions d’euros, estime-t-on.

    « Pourquoi tout a-t-il ainsi dégénéré, alors qu’on s’attendait à ce que les “ultras” manifestent leurs aigreurs… et que l’occasion était trop belle pour que les racailles se privent de s’adonner à la joie d’un “shopping” » entend-on depuis les événements ?

    Mais s’y attendait-on vraiment coté gouvernement ? Toute la question est là, car ses membres sont tellement imbibés jusqu’à l’ivresse de bonne conscience politiquement correcte qu’ils ne pouvaient sans doute imaginer que le sacro-saint football – qui a remplacé dans leur « idéal citoyen » la sacro-sainte patrie de leurs aïeux – soit ainsi bafoué…

    Qui pouvait oser ? « Eux », tout simplement… tout ceux qui ne sacralisent pas ce sport, voire tous ceux qui sont dégoûtés que s’étalent sans cesse à la une des médias les sommes colossales qu’encaissent joueurs, entraîneurs, intermédiaires et autres personnes gravitant autour de la « planète foot ».

    C’est moins par laxisme que par utopie qu’un gouvernement socialiste et une municipalité socialiste n’ont pas vu le « coup venir ».

    Et c’est tout autant par fantasme politique que le premier s’est montré aussi brutal dans la répression lors des récents rassemblements de la « Manif pour tous » dans lesquels il appréhendait ni plus ni moins qu’un nouveau « 6 Février 34 », une menace de « putsch fasciste », voire une résurgence d’on-ne-sait quelle conspiration cagoularde…

    Philippe Randa  www.francephi.com
  • La guerre ethnique qui vient, par Yann Vallerie

    La guerre ethnique qui vient

    Les scènes d’émeutes en marge de la célébration du titre de champion de France de football par le PSG, viennent à nouveau de rappeler, à ceux qui refusent de le voir, que la guerre ethnique a débuté en France. 
Cela fait plusieurs années que des militants, des écrivains, des politiques, le disent, mais les dirigeants et leurs valets journalistiques jouent éternellement la politique de l’autruche. Par peur de l’amalgame, véritable crime contre l’humanité à en croire les tenants de la pensée unique, ils refusent de s’attaquer aux réelles causes de ces problèmes.

    Quel rapport y a-t-il en effet entre les hooligans du psg et les scènes d’émeute vécues hier ? Aucun. Il n’y avait en effet hier soir aucune bande de jeunes blancs « casseurs d’extrême droite » comme aiment à les appeler les journalistes. Le PSG Qatar version 2013, en mode répression et dénonciation à la sauce SOS racisme, c’est surtout un PSG des cités, contrôlé par les princes arabes.

    On a les supporteurs que l’on mérite : des bandes de cités, composées à majorité de jeunes Africains et Arabes, ont à nouveau déferlé sur la capitale parisienne, avides de pillages, d’agressions, de destruction. Ces mêmes bandes qui avaient enflammé la France lors des émeutes de 2005. Ces mêmes bandes qui attaquaient les manifestations lycéennes contre le CPE il y a encore quelques années.

    Faudra-t-il attendre que leur nombre s’accroisse, proportionnellement à la démographie galopante de certains départements français à majorité immigrée ? 
Faudra-t-il attendre de nouveaux lynchages, de nouvelles agressions à l’encontre de touristes, mais aussi à l’encontre des Français de souche, systématiquement visés par ces bandes ethniques ?

    Certaines photos et vidéos prises hier montrent une police dépassée, apeurée même (il suffit de voir certains visages pour le comprendre) face à ces évènements.
Une police qui semblait moins fière, moins vaillante, moins répressive aussi, que lorsque des centaines de milliers de personnes, très majoritairement de souche européenne, ont défilé dans le calme, dans toute la France, pour défendre la famille.

    Une police qui semblait faire moins de zèle et de politique de l’interpellation, par rapport aux nombreuses arrestations, aux multiples coups de matraque, aux éternelles procédures judiciaires dont ont fait l’objet les opposants au mariage pour tous et de façon plus générale, à la dictature socialiste en place actuellement.

    Que l’on pense aux 67 veilleurs mis en garde à vue pour avoir occupé l’esplanade des invalides, qui risquent jusque un an de prison, et comparez avec la vingtaine d’interpellés hier soir, pour des faits autrement plus graves.

    Oui, il s’agit bien là d’une dictature socialiste qui se met en place depuis plus d’un an, bien aidée en cela par une droite peureuse, terrifiée à l’idée de s’élever contre l’idéologie bien-pensante, humaniste et libérale, de crainte de se voir qualifier de raciste, homophobe, réactionnaire… En ne remettant jamais en question le travail de destruction culturel, social, économique, ethnique prôné par les socialistes depuis 60 ans, la droite fait le lit des violences qui ont eu lieu hier soir.

    Car cette dictature socialiste, répressive à l’égard des défenseurs de la famille, mais aussi de ses traditionnels opposants, semble bien tolérante à l’égard de toute « la misère du monde » qui déferle des banlieues françaises avec une soif de revanche, une soif de vol et de pillages, soif nourrie au quotidien par les sociologues, chercheurs au CNRS, journalistes, people et politiques qui deviennent au fil des années de véritables « chercheurs d’excuses professionnels ».

    Une majorité de jeunes noirs et Arabes saccagent un bus de touristes devant la tour Eiffel et pillent des boutiques ? 
« Construisons-leur une huitième MJC dans leur quartier, les sept autres ayant brûlées », « Offrons-leur des vacances dans les rares régions de France préservée de ces bandes ethniques, histoire qu’ils leur apprennent le vivre ensemble façon “9-3”
Ces jeunes se comportent de façon barbare et incontrôlable, agressant passants et policiers ? 
“C’est le racisme de la société française blanche, mais aussi la traite des Noirs ou encore la mémoire des exactions de Charles Martel qui les pousse à vouloir se venger, ils ont donc raison”

    Oui, il s’agit bien d’une dictature qui s’instaure petit à petit, dans un climat proche d’une guerre civile et ethnique. Une dictature qui joue le Lumpenprolétariat (les racailles, les bandes ethniques) contre son propre peuple.
Une dictature qui chercher à restreindre le dernier espace de liberté d’expression qu’est aujourd’hui Internet.

    Une dictature qui asphyxie le contribuable français, sous des charges, des taxes toujours plus élevées, et une répression féroce pour tous les contrevenants (automobilistes en tête). Mais une dictature si permissive avec “ceux qui sont majoritaires dans les prisons, mais qu’on ne peut pas nommer”, parce qu’effrayée par la violence dont font preuve les nouvelles “classes populaires” dès lors qu’on ne les “respecte pas”.
Une dictature qui accepte sans broncher que des pans entiers du territoire soient rachetés par des pays (et notamment le Qatar) qui ont une soif de conquête et de revanche sur les Européens dont nous voyons aujourd’hui à peine les prémices.
Une dictature qui préfère envoyer la police gazer des enfants et des manifestants dont elle connaît le peu d’agressivité et le peu de sentiment belliqueux, plutôt que de l’envoyer mettre fin définitivement aux exactions des bandes ethniques dans les cités et désormais en plein cœur de la capitale.

    Les Français doivent désormais savoir que dans les années de troubles qui viennent, troubles sociaux, économiques ou ethniques, ils ne pourront plus compter sur leurs gouvernants, ses politiciens et tout ce microcosme médiatico-politique.

    Ils ne doivent de toute façon plus compter sur des gens qui ne partagent ni leurs intérêts ni leurs préoccupations.
À nous militants politiques, associatifs, syndicaux, de savoir construire et activer les réseaux nécessaires à la mise en place d’une société qui sache s’opposer avec force et revendication à tous ceux qui souhaitent la destruction de nos peuples.

    « quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».

    Yann Vallerie http://www.reseau-identites.org

  • Avec l’Europe de Bruxelles, les allocs pour tous… les immigrés polygames

    Pour la première fois depuis seize ans,  un président français, dans la conjoncture de récession que l’on sait,  était entendu hier par  la Commission européenne au grand complet à Bruxelles. Avouant que « la situation économique est grave » et  qu’ »il est probable (certain)  que la croissance soit nulle en 2013″, François Hollande, fidèle à sa méthode Coué,  a assuré que « nous avons passé le moment le plus difficile ». Il a promis de poursuivre les réformes exigées par les instances européistes. En échange du délai de grâce de deux ans pour ramener le déficit public en dessous de la barre des  3 %, il s’est engagé à obéir au président de la Commission,  José Manuel Barroso,  qui lui a intimé l’ordre  d’  »enrayer (la) perte de compétitivité » de la France (qui ne le souhaite pas?), de  » (mettre) à profit (ces deux années)  pour accélérer les réformes structurelles. »

      Bruxelles presse notamment  la France de mettre urgemment  en oeuvre  la réforme des retraites -suggérant un départ à l’âge de 67 ans!-  que le gouvernement  Fillon avait lancé. Nous n’oublions pas   que la gauche dans son ensemble, M. Hollande en  tête,  s’était levée comme un seul homme contre cette « réforme sarkozy-Fillon »…

     Le  gouvernement Ayrault  a d’ailleurs  envoyé  le 30 avril dernier  à la Commission européenne son « Programme national de réforme« . Si un proverbe arabe affirme qu’ »il faut toujours enrober la flèche de la vérité dans du miel« , le jugement sur ce calendrier de mesures   n’avait pas été tendre. Le Commissaire européen aux  affaires économiques et monétaires, Olli Rehn,  avait fait ce commentaire dédaigneux  et désobligeant, utilisant  a minima le langage diplomatique:  « C’est un bon résumé de ce qui a été fait depuis un an, mais cela reste un peu faible sur le plan prospectif ».

     Si la France s’enfonce dans le gouffre de la crise économique sociale mais aussi identitaire, le respect des oukases bruxelloises par les gouvernements français  viennent trop souvent aggraver une situation dont sont coresponsables au premier  chef, ne l’oublions jamais, la lâcheté, l’aveuglement  et/ou  le dogmatisme idéologique des   partis qui se partagent le pouvoir dans notre pays.

    le 14 mai, Eric Branca sur le site de Valeurs actuelles, rapportait une information qui est restée « confidentielle » en France « mais pas en Algérie ». Il évoque ainsi  une décision  rendue le 7 avril dernier par la Cour de Cassation réunie en assemblée plénière. celle-ci s’est appuyée sur la jurisprudence européenne, « qui  interdit (…)  aux Etats de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques« . Mais aussi  sur « l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001″, « dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les Etats extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues. »

    Ainsi,   »désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même (…) , si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant  épousé  plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance. »

     En 2010 est-il encore rappelé les services du ministère de l’Intérieur avaient recensé, hypothèse basse,   80.000 pères de famille dans la situation du célèbre franco-algérien   Lies  Hebbadj,  à la tête d’un foyer « composé de quatre femmes et de douze enfants » -voir l’article publié sur notre blog sur cette affaire. 

    Bref,  » à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée… »

    « A l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale souligne M .Branca,  on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration !« 

    Effet d’aubaine que les Français, eux, attendent toujours de cette Europe bruxelloise à laquelle notre classe politicienne a fait allégeance note Bruno Gollnisch  et  pour laquelle ils sont contributeurs net. Europe bruxelloise  qui a pourtant  contribué,   à la fermeture de nos industries,   à la baisse de la compétitivité de nos entreprises,   à la baisse de  notre  niveau de vie, de  notre  pouvoir d’achat,  à nous  dépouiller de notre  souveraineté et même,  on le voit aujourd’hui,  de  notre  identité.

    En pleine campagne présidentielle l’année dernière le commissaire Européen Olli Rehn cité plus haut,  donnait le sentiment de la caste européiste en expliquant que « l’union économique et monétaire devra être complétée par une intégration (politique et économique) plus profonde ou nous aurons à accepter une désintégration progressive de plus d’un demi-siècle d’intégration européenne »

    Il semble bien  au contraire  constate encore Bruno Gollnisch, que c’est cette Europe là qui est directement  responsable  de la désintégration progressive de la prospérité, de  l’identité européenne et de notre Europe des patries libres.

    http://www.gollnisch.com