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immigration - Page 1443

  • Immigration : un nécessaire renversement des perspectives politiques et idéologiques

    L’affaire est entendue : l’immigration en France et en Europe pose des problèmes économiques, sociaux, sécuritaires, culturels, civilisationnels de moins en moins admissibles. Il faut donc mettre un terme au processus migratoire. Mais comment ? Des réformettes à la marge ne régleront rien. Ce qu’il faut, c’est changer de paradigmes dominants. Polémia présente ici en douze points l’inventaire des bouleversements nécessaires pour inverser les flux migratoires.

     

    1 – Rétablir la liberté d’expression

     

    Depuis 1972, la loi Pleven, sous couvert de « lutter contre le racisme et l’antisémitisme », réprime la liberté d’expression. Une législation pénale de plus en plus extensive, appliquée lato sensu par des tribunaux politiquement corrects, rend de moins en moins facile la simple analyse de la réalité et a fortiori la possibilité de la faire connaître à l’opinion. Sans liberté d’expression, il n’y a pas de démocratie possible. Et sans diagnostic préalable, il n’y a pas de solution envisageable.

     

    2 – Supprimer le financement des associations immigrationnistes

     

    Les associations « antiracistes » et immigrationnistes vivent à 95% de subventions publiques. Elles se servent de cet argent pour encombrer les tribunaux : — devant les juridictions pénales pour réprimer la liberté d’expression de ceux qui ne pensent pas « bien » et pour exercer un chantage sur les autorités publiques nationales ou locales (« je ne te poursuis pas si tu me subventionnes »); une attitude en elle-même délictuelle; — devant les juridictions judiciaires et administratives pour défendre la cause des étrangers clandestins et des fraudeurs du droit d’asile ; en matière d’immigration, l’État n’a pas d’argent pour payer des avocats pour défendre la cause de la loi… mais il en donne à ceux qui la combattent !

     

    3 – Changer de paradigme moral : retrouver la fierté, rompre avec la repentance

     

    La France – comme l’Europe – souffre d’une idéologie culpabilisante. Jeunes générations et acteurs publics se voient constamment reprocher les malheurs de l’histoire : de la Seconde Guerre mondiale, de la colonisation ou de l’esclavage. Il faut en sortir : abroger les « lois mémorielles » et retrouver la fierté de notre passé.

     

    4 – Changer de paradigme juridique : renoncer à l’idéologie des droits de l’homme et recouvrer la souveraineté française sur les lois françaises

     

    Et pour cela dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme. Une Convention dont l’interprétation par la Cour européenne des droits de l’homme ne protège pas la liberté d’expression mais rend toutes nos lois de protection nationale inefficaces avant même d’être appliquées; une telle dénonciation est possible puisqu’elle est explicitement prévue par l’article 58 de la Convention (avec un préavis de six mois).

     

    5 – Sortir du mondialisme économique et du sans-frontiérisme, revenir au patriotisme économique

     

    L’immigration, c’est-à-dire « les délocalisations à domicile », est le pendant des délocalisations « offshore » : ce qui est à l’œuvre, c’est la même logique du mondialisme économique qui considère les hommes comme de simples marchandises. L’immigration, c’est aussi un moyen de faire baisser les salaires.

     

    La relocalisation, la préférence nationale à l’emploi, le patriotisme économique sont des concepts à faire entrer en résonance pour revitaliser notre économie : « fabriquer français avec des Français. » Le succès des produits « made in local », appuyé sur la notion de circuits courts inhérente au développement durable, illustre la popularité – et donc l’acceptation – potentielle de ce mouvement.

     

    6 – Rétablir de vraies frontières

     

    Les frontières de l’Union européenne sont des passoires. L’Union européenne ne sait d’ailleurs même pas où elle s’arrête.

     

    Or la frontière est une paroi protectrice : elle doit laisser passer ce qui est bon et maintenir à l’extérieur ce qui ne l’est pas. La France peut accueillir des étudiants étrangers à condition qu’ils soient en nombre limité et sérieusement sélectionnés. La France peut accueillir des réfugiés politiques à condition qu’il s’agisse de vrais réfugiés venant d’un tout petit nombre de pays. Pour le reste, la France doit drastiquement limiter les autorisations de séjour qu’elle accorde, ainsi que le nombre des visas attribués aux ressortissants des pays à risque. Il faut établir un contrôle préférentiel aux frontières pour les ressortissants de certains pays. Les pays d’émigration clandestine doivent figurer sur une liste noire. Il faut aussi comme les Suisses expulser tous les délinquants étrangers.

     

    Partout dans le monde, en dehors d’une « sphère occidentale » en repli depuis la crise financière de 2007 – 2008, on assiste à un retour en force de la notion de frontière : la France serait dans son rôle en assumant une fonction d’avant-garde dans le rétablissement, en Europe, de cette condition essentielle à l’exercice des libertés politiques et économiques.

     

    7 – Remettre en vigueur la liberté de préférence, abandonner la lutte contre les « discriminations »

     

    Il faut mettre un terme au racisme anti-français, anti-européen, antichrétien. Il faut aussi redonner vie au beau concept de préférence. C’est une liberté fondamentale que de pouvoir choisir librement ses collaborateurs, ses fournisseurs, ses aides à domicile, ses voisins, ses locataires, l’école de ses enfants. Y compris selon les critères de la nationalité, de la religion, de l’ethnie ou de la civilisation.

     

    8 – Adopter le principe de préférence nationale

     

    Les ressources financières de l’État sont rares, surtout dans un contexte budgétaire marqué par un fort endettement. Il faut donc fermer les robinets des déficits et par là même couper les pompes aspirantes de l’immigration : par la préférence nationale à l’emploi, aux prestations familiales et aux aides sociales.

     

    9 – Valoriser les principes de la civilisation française et refuser les mœurs étrangères

     

    Tout ne se vaut pas et le multiculturalisme est un échec reconnu. La sagesse est d’en revenir à l’identité française, celle des terroirs et des clochers. La France, ce n’est pas une abstraction, c’est une culture, c’est une civilisation, où les mosquées, les minarets, le voile islamique, l’abattage rituel banalisé, la viande de singe et le culte vaudou n’ont pas leur place. A fortiori dans l’espace public.

     

    10 – Réformer le droit de la nationalité

     

    Être français, cela s’hérite ou se mérite. Cela signifie en revenir au jus sanguinis, au droit de la filiation : est français l’enfant né de parents français; peut devenir français l’étranger qui appartient à la civilisation européenne d’expression française par les mœurs, par la culture, par la langue et par l’affectio societatis.

     

    11 – Mettre en œuvre la démocratie directe

     

    Ce n’est pas aux élites de dire ce qui convient au peuple. C’est au peuple de tracer les voies de son avenir : en s’exprimant directement sur les grands sujets par référendum; après des campagnes loyales partageant équitablement l’expression entre les thèses opposées.

     

    12 – Et en attendant ? Développer une attitude dissidente !

     

    Ne nous méprenons pas. Ces changements supposent un bouleversement du monde et le renversement des élites dirigeantes politiques, financières, médiatiques qui gouvernent. En attendant il faut développer une attitude dissidente : dans le choix de l’école de ses enfants, dans l’enseignement qui leur est délivré, dans la sélection de ses fournisseurs, dans l’achat local plutôt que dans l’achat global, dans l’affirmation sans complexes de ses convictions politiques, de sa foi religieuse ou de ses choix philosophiques, de ses préférences culturelles et gastronomiques.

     

    Polémia

     

    • Mis en ligne sur Polémia, le 9 décembre 2010.

  • Islam et République, les dangereuses insinuations de Noël Mamère

    BORDEAUX (via Infos-Bordeaux) – Toujours prompt à dénoncer les « catholiques intégristes », le maire de Bègles semble beaucoup plus frileux vis-à-vis des islamistes.

    Dans une tribune parue chez nos confrères de Rue 89, le député de Gironde réagit aux évènements de Trappes qui nous obligent « à réfléchir sur la vague d’islamophobie qui s’est emparée de notre pays » !

     

    L’ancien journaliste, loin de mettre en cause la violation manifeste de la loi par des musulmans voulant provoquer la République, s’interroge : « Pourquoi interpeller en plein ramadan une jeune femme voilée, sachant que durant cette période, un tel geste peut être interprété comme une provocation à l’égard des populations musulmanes ? ».

    Noel Mamère dénonce donc « un racisme d’Etat qui s’est lentement insinué dans la société française » et annonce sa proposition pour pallier aux problématiques communautaires des banlieues : « appliquer l’égalité réelle des droits, ce qui suppose un investissement sans commune mesure avec nos capacités actuelles ».

    Il est vrai que céder aux revendications de musulmans souhaitant imposer leurs normes et leurs coutumes religieuses en France, éviterait le conflit. Ce type de réflexion est typique d’une certaine gauche ayant gardé un fort esprit Munichois. Comme le disait Winston Churchill, « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous aurez le déshonneur et vous aurez la guerre » !

    http://fr.novopress.info

  • Renaud Camus : Le Changement de peuple, par Louis Montarnal *

     

    Comment un peuple peut-il accepter de se laisser déposséder de lui-même ? Comment ses dirigeants peuvent-ils l’encourager à aller en ce sens et le persuader que toute autre direction, dont celle qui consisterait à vouloir persévérer dans son être, serait criminelle ?

     

    Est-ce fatigue ou lassitude, volonté de disparaître, inconscience, ethno-masochisme ? Cela s’explique-t-il aussi par le cosmopolitisme desdits dirigeants pour lesquels la France, « patrie des droits de l’homme », est la terre de tous par convention, contrat et naturalisation (toutes choses abominables mais qui permettent aisément aux métèques de parvenir) ?

    Quoi qu’il en soit, Renaud Camus fait partie de ces rares consciences qui sonnent le tocsin en espérant réveiller leur peuple assoupi du sortilège qui l’emprisonne. Après La Grande Déculturation (2008), Décivilisation (2011) et Le Grand Remplacement (2011), Le Changement de peuple constitue une nouvelle étape dans l’analyse lucide de notre bel aujourd’hui.

    Le peuple français assiste donc passivement à son remplacement par d’autres peuples sur son propre territoire (après de très rapides car, impossibles, phases de cohabitation), avec ce que cela suppose de changement de moeurs, d’usages, de coutumes, de traditions, de façon de voir le monde et d’habiter une patrie. Pour parler plus directement, l’africanisation et l’islamisation de la France entraînent sa tiers-mondisation et son ensauvagement.

    Le patronat, devenu apatride, n’est bien entendu pas pour rien dans une telle substitution tant les intérêts économiques à court terme et le profit le plus immédiat, dans un contexte de mondialisation, nécessitent la mise en concurrence la plus large possible des travailleurs afin de diminuer la masse salariale (c’est pourquoi, d’ailleurs, les nationalistes ne doivent pas négliger l’enseignement d’un certain socialisme non marxiste.) Au-delà, la fabrication en chaîne de « l’homme remplaçable », sans attaches ni assises, demeure dans la ligne de mire du capitalisme international.

    Parmi les autres causes de la « contre-colonisation », même si Renaud Camus ne s’y attarde guère, figure la politique de l’Union européenne.

    Les « voyous diversitaires » ne mènent pas seulement « la guerre ethnique pour le territoire » mais contraignent ou invitent les collaborateurs et les traîtres (parfois zélés) à promouvoir des politiques coûteuses dont les autochtones sont fiscalement et socialement victimes. Pourquoi construire tant de logements dits sociaux et sacrifier tant de paysages si ce n’est pour loger les nouveaux arrivants ? (Les indigènes, eux, resteront sur liste d’attente.) Pourquoi la situation des prisons est-elle si désastreuse si ce n’est parce que le nouveau peuple les a, elles aussi, colonisées ? Or, il n’y a pas de problème de logement, mais un problème d’immigration de masse ; il n’y a pas de problème de prisons, mais un problème d’immigration de masse ; il n’y a pas de problème de sécurité et de violence, il y a un problème d’immigration de masse.

    Pour masquer ces faits bruts et irréfutables, la propagande sociologisante et marxisante édifie un monde Potemkine, un « règne du faux » que Renaud Camus appelle le « fauxel » ou « faussel », « double inversé du réel et le recouvrant entièrement », dont l’antiracisme constitue le dogme central. Littéralement, l’essentiel est de ne pas en croire ses yeux.

    Lutter contre la tiers-mondisation et donc le déclin de la France supposerait de supprimer toutes les invitations ou incitations idéologiques et économiques à nous coloniser, de procéder à des expulsions massives et de réviser le code de la nationalité. Cela supposerait que le peuple français reprenne en main son destin, chasse les oligarques et redevienne une famille de familles avec, à sa tête, un chef de famille et non des hommes de paille interchangeables.

    En attendant, des écrivains font oeuvre salutaire et Renaud Camus est de ceux-là. Nous devons soutenir celui qui a été mis au ban de la bonne société littéraire et qui a rejoint les parias et les proscrits. C’est de leur rang que partira la Reconquête !

    Louis Montarnal - L’AF 2867  http://www.actionfrancaise.net

    Renaud Camus, Le Changement de peuple, chez l’auteur, 114 p., 8,70 euros + frais de port, www.renaud-camus.net.

    *Louis Montarnal est rédacteur à L’Action Française 2000.

  • Pour l’amour de la France, on a le droit de refuser le métissage

    Dans Polémia, il y a polémique et donc la possibilité, voire le devoir, de contester toutes les idées dominantes. Y compris les plus affirmées par l’idéologiquement correct. Et ce sans concessions, demi-mesures ou faux-semblants. C’est le sens de ce texte d’Henry de Lesquen, président de “Voix des Français”, qui va au fond des choses dans la contestation du métissage.

    Pour l’amour de la France, on a le droit de refuser le métissage
    Je tiens à faire d’emblée une confidence, pour que chacun mesure ce qui est en jeu sur ce sujet délicat. Quand je me suis marié, en 1976, le fait que ma femme fût, comme moi, de nationalité française, de religion catholique et de race blanche ne m’était pas indifférent… Vous avez compris que je n’ai jamais été un ardent partisan du métissage.

    Une législation d’inspiration totalitaire
    J’espère que cet aveu ne m’attirera pas les foudres des tribunaux. Bien que la législation antiraciste soit d’inspiration totalitaire, elle n’interdit pas encore la discrimination, c’est-à-dire le libre choix, quand il s’agit du mariage. Je n’en suis plus cependant totalement sûr depuis qu’un procureur de la République a engagé des poursuites contre un Martiniquais de race blanche qui avait fait état à voix haute des pratiques endogamiques bien connues de la communauté dite des “Békés” à laquelle il appartient. Disons-le sans ambages, ce ne sont pas les propos de M. Alain Huyghues-Despointes, honorable vieillard de 82 ans, qui sont “abjects”, comme je l’ai lu, mais la volonté de le faire condamner par la Justice. La liberté d’expression serait-elle étouffée à ce point dans notre malheureux pays que l’on n’ait même plus le droit de critiquer le métissage ?

    Sarkozy dans le rôle du Grand Frère
    Il semble que ce soit l’opinion de M. Nicolas Sarkozy, si l’on en juge par le discours qu’il a prononcé à l’école polytechnique le 17 décembre 2008 : “Quel est l’objectif ? Ça va faire parler, mais l’objectif, c’est relever le défi du métissage. Défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Ce n’est pas un choix, c’est une obligation. C’est un impératif. On ne peut pas faire autrement. Au risque de nous trouver confrontés à des problèmes considérables. Nous devons changer, alors nous allons changer. On va changer partout en même temps, dans l’entreprise, dans les administrations, à l’éducation, dans les partis politiques. Et on va se mettre des obligations de résultat. Si ce volontarisme républicain ne fonctionnait pas, il faudra (sic) alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore.”
    On voit que le président Sarkozy n’a pas besoin de talonnettes pour jouer à la perfection le rôle du “Grand Frère” (“Big Brother”) dont parle Orwell dans son roman d’anticipation, 1984. Ses menaces font froid dans le dos.

    La France, peuple européen de race blanche
    Rappelons à ce soi-disant gaulliste ce que disait le général le 5 mars 1959 : “C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.” (Cité dans Alain Peyrefitte, C’était de Gaulle, t. 1, éditions de Fallois/Fayard, 1994, page 52.)
    Pour l’amour de la France, nous avons le droit de refuser le métissage. Si nous voulons que notre patrie garde son identité, nous avons même le devoir de refuser le métissage obligatoire préconisé par M. Sarkozy au nom du cosmopolitisme.

    Henry de Lesquen, Président de Voix des Français  www.vdfr95.com
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  • Freysinger "Nous sommes dans une situation d'avant-guerre civile en Europe".flv

  • Brétigny : les vols et insultes racistes anti-Blancs prennent de l’ampleur

    BRETIGNY-SUR-ORGE (NOVOpress) – Chaque jour qui passe vient contredire les tentatives de Manuel Valls cherchant à minimiser les actes de pillage liés la tragédie de Brétigny-sur-Orge. En milieu de semaine, le ministre de l’Intérieur restait vague en déclarant : « Il y a eu sans doute des vols »… Or, le Point.fr révèle « que quatre demandes de recherche et d’identification d’auteur de vol simple “dans un lieu affecté à un transport de voyageurs” lors de l’accident du 12 juillet en gare de Brétigny-sur-Orge ont été transmises aux commissariats de l’Essonne ».

     

    Autre information importante, dans un reportage diffusé par la radio RMC, un pompier qui était sur place confirme les jets de pierres et les insultes racistes par des racailles prêtes à profiter de la tragédie pour déclencher des émeutes. « Moi j’ai pas arrêté de me faire insulter dans tous les sens : fils de pute, sale Blanc… J’ai pris “sale Blanc” plusieurs fois, ça fait pas plaisir », témoigne le soldat du feu. Reste à savoir si l’Etat socialiste va continuer à nier ces réalités du terrain qui ne correspondent pas à l’utopie du « vivre ensemble ».

    http://fr.novopress.info

  • La réciprocité : une boussole dans le choc des civilisations et des États ?

    Par-delà les continents et les frontières – des États ou des quartiers – le choc des civilisations provoque des incompréhensions. Les musulmans sont axés sur la défense de leur religion contre des propos ou des images qu’ils considèrent comme des « blasphèmes ». Les Européens et les Occidentaux sont, eux, davantage attachés à la défense de la liberté d’expression. Au-delà des tensions actuelles, il serait bon d’avoir une boussole dans les relations entre États, religions et civilisations. Une boussole aussi vieille que les relations en société : la réciprocité.
    Ainsi, il est étrange que les musulmans réclament – et obtiennent – la construction de grandes mosquées en Europe alors qu’aucune église nouvelle ne peut être construite aujourd’hui dans les pays musulmans, y compris et surtout dans les pays du Golfe arabo-persique qui accueillent de nombreux travailleurs catholiques (philippins notamment). Et dans les vieilles terres chrétiennes d’Irak, de Syrie (dans les zones rebelles) ou d’Égypte, la situation des chrétiens est de plus en plus délicate.
    De même, s’il est jugé normal que les femmes européennes se voilent dans les pays d’islam, il est alors inacceptable que le voile islamique crée des problèmes récurrents dans le fonctionnement des services publics européens (hôpitaux, écoles, administrations). Respecter les coutumes du pays qui vous accueille fait partie de la bonne éducation !
    Enfin la cohabitation sur les mêmes lieux (de vie ou de travail) d’hommes et de femmes de différentes religions débouche sur des mariages mixtes. Mais quand une chrétienne (ou une agnostique) épouse un musulman, elle doit devenir musulmane. Et quand un chrétien (ou un mécréant) épouse une musulmane, il doit lui aussi devenir musulman. La conversion est toujours à sens unique. C’est l’intolérance musulmane qui rend la réciprocité impossible.
    Dans un autre domaine, il est régulièrement demandé que la France reconnaisse des torts à l’égard de l’Algérie. Il est possible qu’il y en ait eu. Mais alors, que l’Algérie reconnaisse aussi ses fautes : l’enlèvement d’Européens transformés en esclaves par les barbaresques d’Alger, la disparition de 3.000 Européens à Oran en 1962 et les massacres de Harkis, le tout pour clôturer une guerre ouverte par l’assassinat d’un couple d’instituteurs (les Monnerot lors de la Toussaint 1954). S’il devait y avoir « repentance », celle-ci ne saurait être à sens unique.
    Le principe de réciprocité doit aussi régir les relations entre Etats et leurs ressortissants. Pourquoi envisager de donner le droit de vote en France à des ressortissants de pays où nos compatriotes qui y séjournent n’ont aucun droit équivalent ? Pourquoi accorder des services sociaux et médicaux à des étrangers sans contreparties ? Un Français qui voyage à l’étranger doit s’assurer avant de partir, ou payer sur place ses soins médicaux ; est-il équitable qu’il finance aussi par ses impôts les soins médicaux des étrangers présents en France lorsqu’ils sont sans ressources (CMU), voire clandestins (AME) ?
    Ce principe de réciprocité pourrait aussi être utilement rappelé dans la vie cultuelle française. Il est étrange d’adopter des attitudes différentes sur le blasphème selon que sa victime est catholique, musulmane ou juive. Le blasphème anticatholique (Piss Christ, Golgota Picnic) est soutenu par les autorités, protégé par la police et subventionné ! Le blasphème antimusulman est toléré mais condamné moralement. Le blasphème antijuif est vigoureusement condamné et fait l’objet de poursuites policières et judiciaires, au titre de la loi Gayssot (la « Shoah ») ou de la loi Pleven (l’antisémitisme). Ce « trois poids, trois mesures » ne facilite pas la bonne entente des uns et des autres et sert à nourrir la revendication musulmane. Ainsi Mahmoud Gozlan, porte-parole des Frères musulmans égyptiens, a-t-il déclaré : « Quiconque doute de l’Holocauste est emprisonné, mais si quelqu’un insulte le prophète, ses compagnons ou l’islam, le maximum que fasse (la France) est de présenter ses excuses en deux mots. Ce n’est ni juste ni logique. »
    Bien entendu, ce principe de réciprocité pourrait aussi servir à éclairer la vie politique française. A gauche, il fonctionne à plein : socialistes, communistes et Verts se soutiennent mutuellement et se désistent les uns pour les autres lors des élections. A droite, il n’en va pas de même ! Pour la gauche l’UMP ne doit jamais voter pour le Front national, ni accepter ses voix. Pour l’UMP, il est naturel que les électeurs FN votent pour ses candidats mais la réciproque est exclue. En ce domaine l’UMP entend recevoir sans jamais donner ; c’est nier le principe de réciprocité.
    La réciprocité doit aussi servir de ligne de conduite en matière de commerce international. Est–il raisonnable d’ouvrir les appels d’offres publics français au monde entier alors que, de la Chine à l’Allemagne, nos partenaires privilégient leurs propres entreprises nationales ?
    Le principe de réciprocité doit aussi conduire à se mettre à la place des autres. Posons-nous la question : trouverions-nous acceptables des ingérences militaires des pays arabes en Europe ou sur le continent américain ? Non ! Voilà qui devrait pousser les pays occidentaux à une certaine retenue dans leurs équipées guerrières au Proche-Orient ou au Machreck !
    Beaucoup des problèmes français et européens viennent d’une perte de discernement des dirigeants politiques et économiques. Le retour à des principes simples pourrait permettre d’éviter bien des difficultés et de rendre les choix plus cohérents et plus intelligents. Le principe de réciprocité est l’un d’entre eux !
    Jean-Yves Le Gallou http://www.polemia.com
    21/09/2012

  • Que faire des islamistes ? par Manuel GOMEZ

    Les islamistes ne se posent pas la question : que faire du reste du monde ? Depuis que l’Islam existe ils savent qu’ils doivent soit le convertir, soit le combattre, soit le détruire. Ce n’est pas le reste du monde qui ne les accepte pas, ce sont eux qui sont incapables de l’accepter.
    Les islamistes ne veulent pas être uniquement des musulmans. Ils sont convaincus que la Terre entière doit devenir musulmane. Leur croyance impose que l’on change celle des autres, même si les autres n’en ont aucune. Leur objectif est d’imposer leur foi, par la force, par l’argent, ou par l’invasion migratoire. 
    PAR LA FORCE ?
    Ils savent que ce n’est plus possible. Ils ont compris la leçon. Et c’est nous, les Occidentaux, qui la leur avons donnée. Il y a 2000 ans nous pensions que la solution était facile : on partait en croisade pour les convertir ou pour les exterminer. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec. À leur tour ils ont fait le voyage inverse, leur but : conquérir l’Europe. Ils ont envahi l’Espagne et tenter de s’implanter en France. L’Histoire nous l’a appris, ce fut un échec.
    PAR L’ARGENT ?
    Au XXIe siècle ils ne peuvent plus nous conquérir par la force alors ils nous séduisent par l’argent, nous convertissent par le terrorisme, attirent nos armées hors de nos frontières pour mieux les combattre et nous envahissent par leur immigration incontrôlée, leur polygamie et leur démographie galopante.
    Insidieusement et avec une patience toute Orientale, ils imposent leurs mœurs, leurs coutumes. Non pas dans le secret, mais au grand jour, profitant de la faiblesse, de la soi-disant compassion et surtout de la naïveté de cet Occident (dont une majorité de Français qui se moque totalement du devenir de notre pays. Celle qui a toujours collaboré avec nos ennemis, ceux d’hier et ceux d’aujourd’hui).
    Avant 1954 les Arabes (on ne disait pas alors « islamistes ») venaient « travailler » en métropole et s’intégraient obligatoirement, avant de reprendre le chemin inverse (vérifier auprès de la CGT, du Parti Communiste et du Patronat, qui avaient besoin de cette main d’œuvre et les aidaient), mais cela « c’était avant ».
    La guerre d’Algérie, le regroupement familial, l’accueil et l’assistanat offerts aux clandestins, la nationalité par le droit du sol, ont changé la donne.
    ALORS QUE FAIRE DES ISLAMISTES ?
    Les pays arabes eux-mêmes n’ont pas la solution. Les modérés ont renversé les dictateurs qui tenaient dans une main de fer les « salafistes » pour élire démocratiquement (paraît-il) des islamistes radicaux, tels les « Frères musulmans ».
    Il n’y aura jamais de république laïque dans un pays musulman puisque l’Islam est leur religion et leur civilisation. (Seul François Hollande veut y croire !).

    Si l’invasion se poursuit et s’amplifie les solutions s’imposeront d’elles-mêmes, dans la violence très certainement (chaque jour nous en apporte une nouvelle preuve), puisqu’elles ne peuvent être envisagées sereinement et avec lucidité par ceux qui nous gouvernent.

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Trappes : que cache la mobilisation contre « l’islamophobie » ?

    TRAPPES (NOVOpress) – Les partisans de la femme voilée à Trappes (Yvelines), dont le contrôle par la police à déclenché de très violents affrontements le week-end dernier entre des centaines d’émeutiers et les forces de l’ordre, agitent le torchon de « l’islamophobie » pour défendre leur cause. Ainsi, mercredi, des membres du Collectif des citoyens de Trappes ont fait état d’une « islamophobie » en réclamant la tenue d’une table ronde avec le préfet, les élus et les citoyens afin de rétablir un « vrai » dialogue et « faire bouger les lignes ».

    Par ailleurs, le mari de la femme voilée, un converti à l’islam depuis cinq ans (photo), affirme n’avoir « jamais tenté d’étrangler » le policier, affirmant lui aussi avoir subi des « provocations » et fait l’objet d’« insultes ». Dès le 20 juillet, le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), a exploité ce filon, s’en prenant aux médias et à la police, accusés de mettre « en cause les protagonistes musulmans, en première intuition ». Pour voler aux secours de ces extrémistes musulmans, le CCIF a utilisé également la vulgate « antiraciste » : « Plusieurs témoins de la scène rapportent des déclarations racistes de la part des policiers et un abus de moyens physiques à l’encontre d’une personne qui coopérait ». Mais pour le CCIF, cette affaire est surtout le dernier acte en date d’une « vague islamophobe en France ». Cette stratégie révèle le vrai visage de la lutte contre « l’islamophobie » : un soutien idéologique à l’islamisme en France.

    http://fr.novopress.info/

  • «Des pillages de Brétigny à la faillite de la France !»

    Avertissement politiquement incorrect et contrarien : je me fiche de savoir quelle est la composition socio-ethnico-culturelo-CSP-religieuso-originelle de ce que l’on nomme pudiquement dans notre pays en novlangue « les bandes de jeunes ». Je n’ai qu’un seul point de vue sur la question. Un voyou est un voyou. Un brigand est un brigand. Ils doivent être traités comme tels. Rien de plus et rien de moins.

    Mes chères contrariées, mes chers contrariens !

    Étant tombé vendredi sur un excellent article consacré à la future crise de la dette de la France, notre pays ayant perdu son dernier triple A je voulais revenir sur ce sujet qui nous intéresse forcément et à plusieurs titres. Comme parents pour le futur de nos enfants ou petits-enfants, comme contribuables, comme retraités, ou encore comme épargnants.

    Avant de revenir sur ce thème, et actualité oblige, je souhaitais faire un petit arrêt sur l’histoire de Brétigny et du déraillement du train Paris-Limoges. Quel est le rapport avec l’économie ? Vous allez très vite le voir et il est très important d’en parler, d’en être conscient, et de s’y préparer…

    Scène de pillage à Brétigny

     

    Je vais vous citer les passages les plus importants d’un article de dimanche 14 juillet 2013 dont vous trouverez le lien ci-joint.

    « Le récit fait par Nathalie Michel, déléguée du syndicat de police Alliance, sur Europe 1, est particulièrement glaçant :

    « A 17h30, alors que nos collègues interviennent, ils voient un groupe de jeunes qui approchent et qui semblent porter secours aux victimes. Très rapidement, ils se rendent compte que ces individus sont présents pour dépouiller les victimes et notamment les premiers cadavres. »

    « Mais samedi matin, Frédéric Cuvillier, le ministre des Transports, et plusieurs autre voix officielles réfutent une partie de ces informations. »

    « Le ministre fait état d’ »actes isolés », d’ »une personne interpellée », et d’ »une tentative de vol de portable » au préjudice d’un secouriste. Mais des « véritables actes [de pillage] commis en bande, non », affirme Frédéric Cuvillier. Il explique n’avoir pas connaissance « de victimes dépouillées ». Il confirme cependant que des pompiers « par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude. »

    Le contrôle de l’information

    Vous avez actuellement en cours dans notre pays un véritable scandale en train sous vos yeux d’être étouffé par les plus hautes instances gouvernementales.

    C’est une opération de contrôle de l’information fort intéressante à suivre, soit dit en passant. Comment faire pour que quelque chose qui a eu lieu… n’ait jamais existé ?

    Lorsque vous avez à faire face à des scènes de pillages sur des cadavres, ce qui a de quoi choquer l’ensemble de notre pays et de nos concitoyens, cela se transforme en novlangue « Hollandaise » en « les pompiers ont été accueillis de façon un peu rude »…

    Il est très important de bien réaliser la portée de cette manipulation politique, sociale et linguistique car cela montre parfaitement les limites de l’exercice démocratique dans notre pays et notre unique défaut, la cause de tous les maux qui touchent notre pays.

    Elle est pétrie de bonnes intentions du genre, « il ne faut pas mettre le feu aux poudres », il ne faut pas « donner de mauvaises idées aux autres », « quelque chose dont on ne parle pas n’a jamais existé », etc.

    Hélas, l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions, et cet autisme qui nous empêche de voir les réalités économiques et sociales que sont les nôtres nous mènera directement à l’enfer. Et nous nous en approchons de plus en plus vite.

    Notre incapacité à poser les problèmes et faire les constats

    C’était exactement ce que j’expliquais dans mon édito du 11 juillet. Nous nous refusons à poser les vrais constats. Or, lorsque l’on s’interdit de penser, de réfléchir, et de constater, on s’interdit de facto de trouver et mettre en place les solutions appropriées. Nous nous condamnons à une décadence plus ou moins rapide et à une chienlit de plus en plus prononcée.

    Or la chienlit est économique et sociale, ce sont deux aspects intimement liés.

    Nous ne pouvons que contempler la violence la plus extrême, l’absence totale de morale ou de valeur de la part de ce que l’on appelle pudiquement des groupes de jeunes, et qui ne sont en réalité que des bandes de brigands modernes. Des brigands, des voyous psychologiquement totalement déstructurés ayant l’impression de l’impunité permanente ou presque. Or ils viennent de nous démontrer que dans la chienlit, ils ont dépassé un nouveau stade. Ils pillent les morts et les blessés. N’oubliez pas cela pour le reste des événements.

    Revenons donc à la faillite de la France maintenant

    C’est un article de Challenges intitulé « La France va connaître une crise de la dette » qui a interrogé Charles Wyplosz, professeur à l’Institut des Hautes Études Internationales de Genève.

    Pour lui, les politiques d’austérité européennes vont entraîner une nouvelle crise financière.

    Le risque majeur d’un krach obligataire dévastateur pour les banques européennes.

    « La crise de la zone euro n’est pas terminée. Le plus grave n’a pas encore eu lieu. D’abord, les dettes publiques ne sont pas soutenables : celles de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne et sans doute de la France. Ensuite, les banques n’ont pas été nettoyées. Pire, depuis 2008, les dettes publiques ont migré dans les bilans des grandes banques européennes, qui ont signé un véritable pacte du diable avec les États. Ces derniers les ont incitées à acheter leurs dettes publiques en leur promettant de les sauver en cas de crise. Aujourd’hui, les établissements bancaires sont donc beaucoup plus sensibles à une remontée des taux d’intérêt, venue des États Unis, qui risque de provoquer de lourdes pertes en capital. »

    C’est exactement ce que j’explique depuis plusieurs semaines, notamment dans mon article consacré à l’étude du bilan de BNP Paribas (qui était un exemple). Les banques sont pleines d’obligations. Elles y sont particulièrement exposées, tous leurs fonds propres sont investis exclusivement en obligations d’États plus ou moins pourries… On sait où tout cela va nous mener. On ne veut juste pas le voir.

    Il exprime également très bien ce que l’on peut penser de la politique que la Commission européenne demande aux États de mener. Cette politique est désastreuse. Nous le savons.
    Cette politique ne fonctionne pas. Nous le savons.
    Cette politique nous mène à l’abîme. Nous le savons.
    Cette politique nous mène à l’insolvabilité et à la faillite par la déflation et la récession. Nous le savons.
    Nous le savons car nous avons le cas grec. Le cas portugais. Le cas espagnol. Le cas italien. Et désormais, en cours… le cas français.
    Mais nous continuons quelque chose qui est condamné à échouer. Alors comme il le dit :

    « Je suis en colère. La Commission européenne reconnaît son plantage, qui sera enseigné dans les livres d’histoire. Elle a imposé des coupes budgétaires au plus mauvais moment, alors que l’économie européenne n’était pas sortie de la récession. Le résultat, c’est plus de récession, plus de chômage et plus de dette. Mais la Commission persiste dans l’erreur : elle maintient des objectifs de réduction de déficit, alors que nous sommes en récession. »

     Il conclut son interview en expliquant que « le succès de François Hollande est d’avoir tenu un an sans que la France ne rejoigne l’Italie et l’Espagne dans la catégorie des pays officiellement en crise de la dette publique. Mais la dette de l’État continue de prospérer et ce n’est plus qu’une question de temps avant que la grande catastrophe arrive. Dans un proche avenir, l’Italie et l’Espagne vont plonger et l’attention se portera alors sur le domino suivant, la France. »

    Il a parfaitement raison. Les jours de la France sont comptés financièrement parlant. Lorsqu’arrivera la grande catastrophe financière et que notre pays devra faire face à son insolvabilité, que croyez-vous que cela aura comme conséquences concrètes ?

    Vous ne ferez pas face qu’à des difficultés pour trouver des produits de première nécessité, ou encore aux difficultés financières quotidiennes liées à la précarité généralisée occasionnée par le défaut de paiement de la France.

    Vous ferez aussi face à des hordes de nouveaux barbares appelés « jeunes de banlieue » et qui rendront, dans la majorité de nos grandes villes, une vie déjà économiquement difficile tout simplement épouvantable.

    C’est l’une des raisons essentielles pour laquelle je vous conseille à nouveau le tryptique suivant :

    - Maison à la campagne loin des grands centres urbains à l’ambiance qui deviendra délétère et intenable (et qui vous permettra d’avoir un potager, un poulailler et d’améliorer le quotidien de vos gamelles).
    - Pièces d’or et d’argent pour protéger votre épargne de la grande banqueroute à venir.
    - Plan épargne personnel boîtes de conserve (le confit de canard ou le foie gras existent en boîte de conserve), ainsi qu’une bonne cave bien garnie dans la mesure où la misère est plus supportable avec du bon vin et que ce placement restera également toujours liquide…

    Mais tout ce que je viens de vous dire n’existe pas en France

    La France ne fera pas faillite puisque, comme vous l’a dit votre Président Hollandouille 1er, la crise est finie. Les pillards n’existent pas dans notre pays puisque, d’après le sinistre des Transports, il s’agit juste de pompiers accueillis un peu rudement. Tout va donc très bien, vous pouvez aller vous recoucher tranquillement, en attendant votre prochaine pension de retraite trimestrielle.

    Sinon, vous pouvez aussi vous poser la question suivante : s’il se passe lorsque tout est à peu près normal ce qui s’est passé à Brétigny, alors imaginez ce qui se passera lorsque ces bandes de gentils jeunes auront un peu faim ?

    Le gouvernement n’y résistera pas. La démocratie non plus.

    Charles Sannat  Le Contrarien Matin

    Notes :

    Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société AuCOFFRE.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement www.lecontrarien.com.